Liberté dans l'interprétation... arrangements...

Une nouvelle interprétation c'est toujours l'occasion de redécouvrir une oeuvre et de la réinvestir. Seule la confrontation de multiples versions issues de sensibilités interprétatives différentes permet d'épuiser sa complexité.

Merci de pardonner la trivialité de ma seconde intervention au début de ce topic mais, mes propos d'alors sont dans l'exacte lignée de ce que vient de dire beaucoup plus élégamment sofro.
Malgré cela, je continue d'être étonné de certaines grosses différences d'interprétation d'une même oeuvre. Je crois que les différentes sensibilités ou approches d'une oeuvre par les interprètes ou chefs d'orchestre peuvent effectivement expliquer certaines "variations" mais quand c'est vraiment trop net...
Un exemple me vient à l'esprit mais je vous en parlerai demain car là , je vais dormir!

Bonsoir.

mitia a écrit:

Un exemple me vient à l'esprit mais je vous en parlerai demain car là , je vais dormir!

J'ai compris: tu viens d'écouter du Celibidache, c'est ça?

adriaticoboy a écrit:

En jazz, c'est pas ce qu'on appelle tout simplement l'improvisation!

L'improvisation existait aussi en classique autrefois, aujourdh'ui elle est tombée en désuétude. L'improvisation en jazz se base sur la grille harmonique et peut déstructurer complétement l e thème initial tandis que les variations en classique ne sont que des réminiscendes du thème initial + ou -. Chaune a son intérêt.