Playlist (22)

poisson a écrit:

Qu'est-ce qui vaut la peine d'être écouté de la Stammitz-family

4'33''

Le reste, c'est gentil, mais pas forcément mieux.

Marathon (suite) :

Verdi> Nabucco (après maintes tergiversations, j'ai opté pour Cappuccilli GD Nesterenko cd Sinopoli Berlin 82. Ce fut dur. )

Puccini : Tosca



Evidemment, je n'ai pas besoin de préciser Ma Version.

Platée -> Prologue et acte I DVD Minko-Agnew

Debussy: Pelléas et Mélisande / Baudo

Beethoven : Symphonies n°8 & n°9
Chausson : Trio pour piano

WoO a écrit:

Chausson : Trio pour piano

Et... ?

J'en suis au troisième mouvement... Pour l'instant c'est lui que je préfère avec le premier. Quel sublime mouvement lent ! C'est une musique romantique inventive d'une grande poésie.

Oui, et ça chante magnifiquement.

Beethoven - sonate pour piano "pathétique" - Goode

Goode a sans doute fait la meilleure intégrale.

Beethoven - sonate pour piano et violon n10 - Orkis et Muther

La plus belle

~ Berlioz, Roméo et Juliette (Davis/LSO)
~ Schönberg, Verklärte Nacht (Zehetmair)
~ Bartok, Divertimento (idem)

natrav a écrit:

WoO a écrit:

Chausson : Trio pour piano

Et... ?

Je ne le trouve pas sur MusicMe... enfin si, 1 version, mais j'ai accès qu'a 30 secs.. Bon du coup je vais l'acheter en disque. Il est couplé avec ce lui de Ravel que je ne connais pas non plus. C'est l'occasion.

Verdi> I Lombardi Scala 84

Ouaisbon. Je savais déjà que ce n'était pas extraordinaire...

Tu as essayé la version avec Pavarotti, Anderson et Leech?

Oh, mais j'aime bien cet opéra. C'est juste la version qui est assez moyenne.
(Carrerras boaf, GD, gros boaaaaf, Carroli ça va)
Et puis, Anderson, ça ne m'emballe pas plus que ça. Je l'ai dans Gerusalemme, et je n'avais pas accroché...

*Niko a écrit:

natrav a écrit:

WoO a écrit:

Chausson : Trio pour piano

Et... ?

Je ne le trouve pas sur MusicMe... enfin si, 1 version, mais j'ai accès qu'a 30 secs.. Bon du coup je vais l'acheter en disque. Il est couplé avec ce lui de Ravel que je ne connais pas non plus. C'est l'occasion.

Si c'est le Beaux Arts trio, évite, leur Ravel est raté.

Pfitzner : Palestrina : acte 1 et acte 2.(version Kubelik)
Une vraie découverte avec des chanteurs de haut vole.

Je réécoute encore les trois premières sonates de Beethoven par Grinberg. Suis-je en train de tourner à la monomanie ???????

L'adagio de l'opus 2/3 est une merveille sous ses doigts… J'en ai encore des frissons dans le dos.

Mariefran a écrit:

Je réécoute encore les trois premières sonates de Beethoven par Grinberg.

J'ai bien approfondi son intégrale cet été, et en parallèle je réécoutais celle de Heidsieck (EMI). Mauvaise idée pour ce dernier, car la comparaison était terrible pour lui, alors qu'il est loin d'être un tâcheron (élève de Kempff et tout...)
Mais là, face à la personnalité et l'éloquence incroyable de Grinberg, la probité de Heidsieck faisait vraiment pâle figure...

adriaticoboy a écrit:

J'ai bien approfondi son intégrale cet été, et en parallèle je réécoutais celle de Heidsieck (EMI). Mauvaise idée pour ce dernier, car la comparaison était terrible pour lui, alors qu'il est loin d'être un tâcheron (élève de Kempff et tout...)
Mais là, face à la personnalité et l'éloquence incroyable de Grinberg, la probité de Heidsieck faisait vraiment pâle figure...

Ouf ! Je ne suis pas la seule…

Quintette de Franck, Darré et Quatuor Pascal.
Je vais mettre la Sonate de Liszt par Richter en concert (1966).

En allemand. C'est formidable : on a la meilleure Preziosilla imaginable, Neidlinger en Melitone, Frick en Guardiano...

Bel enthousiasme verbal, de Mödl notamment. Et la prise de son est splendide : c'est sûrement un studio, d'ailleurs.

EDIT : ça l'air d'être un live, bien qu'on entende aucun bruit de scène. Dans ce cas, c'est la meilleure prise de son de tous les temps.

Verdi : Ernani cd Schippers

Guillaume a écrit:

EDIT : ça l'air d'être un live, bien qu'on entende aucun bruit de scène. Dans ce cas, c'est la meilleure prise de son de tous les temps.

C'est peut-être tout simplement une version de concert, en live et sans public. Si c'est un enregistrement pour la radio, c'est même très plausible. C'était fréquent à l'époque en tout cas.

Elvira a écrit:

Verdi : Ernani cd Schippers

Pour le feune, j'ai changé de version, bien plus explosive, bien plus tripale, et ô combien plus jouissive.

Signé : La Monomaniaque de service.

Scriabine : Le Poème de l'Extase (Svetlanov 1966)

Le final est hallucinant

Mieux que la version de la BBC ?

Beethoven: Quatuor op. 59 no. 2 (Italiano)

Je ne connais pas cette version, mais là j'ai cru que l'orchestre allait littéralement prendre feu et que le plafond allait s'écrouler

KID A a écrit:

Beethoven: Quatuor op. 59 no. 2 (Italiano)

Tiens, c'est exactement mon obsession du moment (pour changer, j'ai le Quinzième... par les Italiano).

ça y est. On est tous contaminé par les quatuors de Beethoven.

WoO a écrit:

Scriabine : Le Poème de l'Extase (Svetlanov 1966)

Le final est hallucinant

Oui, c'est génial ! Tiens, je vais le réécouter…

Rachma, Trio n°2, Trio Oistrakh.

Guillaume a écrit:

En allemand. C'est formidable : on a la meilleure Preziosilla imaginable, Neidlinger en Melitone, Frick en Guardiano...

Bel enthousiasme verbal, de Mödl notamment. Et la prise de son est splendide : c'est sûrement un studio, d'ailleurs.

EDIT : ça l'air d'être un live, bien qu'on entende aucun bruit de scène. Dans ce cas, c'est la meilleure prise de son de tous les temps.

C'est un des plus beaux disques que je connaisse.

C'est vrai que Mödl en Preziosilla...

Tu es sincère, David ?

Pour moi, oui, c'est un disque de théâtre comme il y en a peu, un peu dans la veine, si j'osais, du Tristan de Karajan 52. Après ça, si tu veux acheter pour Mödl, elle a un rôle secondaire (mais Martins a une voix un peu comparable).

WoO a écrit:

Je ne connais pas cette version, mais là j'ai cru que l'orchestre allait littéralement prendre feu et que le plafond allait s'écrouler

Ah oui ? Bien, je note...

Staruss -> Till Eulenspiegel; Don Juan, Death and Transfiguration-Dance of the seven Veils -Karajan 1973

Frère Elustaphe a écrit:

ça y est. On est tous contaminé par les quatuors de Beethoven.

J'écoutais justement le seizième aujourd'hui, et la grande fugue... par les Italiano

Liszt: Sonate en si mineur, Barere, 1947.

Cette musique, c'est l'absolu musical. Je ne sais pas, c'est juste la perfection.

Wolfgang a écrit:

Liszt: Sonate en si mineur, Barere, 1947.

Cette musique, c'est l'absolu musical. Je ne sais pas, c'est juste la perfection.

Ca doit expliquer pourquoi c'est ennuyeux, même à lire.

Ca me fait justement songer que je n'ai pas mis ça sous mes doigts depuis longtemps, je réessaierais bien (quelques minutes) pour voir.

DavidLeMarrec a écrit:

Wolfgang a écrit:

Liszt: Sonate en si mineur, Barere, 1947.

Cette musique, c'est l'absolu musical. Je ne sais pas, c'est juste la perfection.

Ca doit expliquer pourquoi c'est ennuyeux, même à lire.

Ca me fait justement songer que je n'ai pas mis ça sous mes doigts depuis longtemps, je réessaierais bien (quelques minutes) pour voir.

on t'attend…

DavidLeMarrec a écrit:

Ca doit expliquer pourquoi c'est ennuyeux, même à lire.

C'est à prendre sur quel ton?

Mariefran a écrit:

on t'attend…

Oh, tu peux toujours attendre que j'aie la patience de jouer ça d'une traite, déjà.
Non, sincèrement, cette Sonate, j'ai un peu de mal à la digérer. C'est puissamment original, c'est même tout de bon fondateur, une des ruptures 'épistémologiques' majeures de l'Histoire de la musique, mais ça me fatigue vite.

Wolfgang a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Ca doit expliquer pourquoi c'est ennuyeux, même à lire.

C'est à prendre sur quel ton?

A toi de voir... Sur le même ton que ça marche à tous les coups ?

DavidLeMarrec a écrit:

A toi de voir... Sur le même ton que ça marche à tous les coups ?

Le bougre !

Wolfgang a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Ca doit expliquer pourquoi c'est ennuyeux, même à lire.

C'est à prendre sur quel ton?

J'hésiterais si j'étais toi, entre rouge et blanc.

Glazounov : Lady Soubrette

Elvira a écrit:

Elvira a écrit:

Verdi : Ernani cd Schippers

Pour le feune, j'ai changé de version, bien plus explosive, bien plus tripale, et ô combien plus jouissive.

Signé : La Monomaniaque de service.

La scène de la prise du château est monstrueuse... entre l'orchestre qui sonne comme une fanfare, le choeur qui beugle tout ce qu'il peut, et les chanteurs qui ne font pas dans la dentelle...

Hé bien, j'adore.

Pour me changer de tant de médisances futiles et stériles, je me mets la version de Sofronitsky, et puis j'enchaîne direct avec Grinberg.

Wolfgang a écrit:

Pour me changer de tant de médisances futiles et stériles, je me mets la version de Sofronitsky, et puis j'enchaîne direct avec Grinberg.

Après le Poème de l'extase qui décoiffe vraiment, j'enchaîne sur la 5 "Prométhée - Le poème de feu" Svetlanov, Richter (1988)

Si c'est bien la version que je connais, c'est abominable.