Playlist (30)

Ropartz ~ Quatuor n°4 (Stanislas)

Mozart: Cosi fan tutte (Bohm)


L'orchestre peut être un peu acide parfois, mais beau plateau

Guillaume a écrit:

Meyerbeer : le Prophète
Lewis (Rinaldi, Horne, Gedda)
acte I - début de l'acte II



C'est assez étrange en fait, on a l'impression qu'on a gagné en modernité par rapport aux Huguenots. Dramatiquement, l'acte I est bien construit et très efficace, bien que le début tarde à se mettre en place (air de Berthe un peu long je trouve). Le "Ad nos" des Anabaptistes, vraiment surprenant. Et à l'instant, un embryon de motif avec une phrase orchestrale évoquant la marche du couronnement alors que Jean va raconter son rêve (je me suis dis que je connaissais cet air).

Gedda fait de gros efforts de diction, il est le seul pour lequel on peut se dispenser de regarder le livret, cependant les autres ne sont pas mal non plus. Horne est intéressante, et Rinaldi pas déplaisante. Les Trois Anas, vraiment bons.

Tu peux dire les trois Anars, on n'en est pas loin. C'est surtout Carmeli qui est excellent, les deux autres sont plus des comprimari.

Oui, on a gagné en modernité (l'orchestration !). Et comme tu le dis on perd en directeté.

Tournemire : Symphonie n°8
Messiaen : Petites esquisses d'oiseaux

*Niko a écrit:

Ropartz ~ Quatuor n°4 (Stanislas)

Et ?

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jonjon a écrit:

C'est post-romantique,

Heu... au sens très très large alors.

Citation :

du genre décadent, voire dégénérescent

Tout à fait.

Citation :

C'est teinté de Wagner, ça me rappelle aussi Korngold, et on entend même des élans pucciniens parfois. Bref, pas d'une grande originalité quand même.

Là aussi, tu juges peut-être un peu vite de cette banalité. Oui, c'est dans la même veine que Strauss, Korngold ou Zemlinsky, on entend effectivement des accents pucciniens, mais c'est quand même d'une richesse, d'une complexité et d'une personnalité qui ne peut se comparer qu'à Strauss (mais c'est moins violent que ses premiers et plus vénéneux que ses suivants).

Citation :

Enfin de la musique comme ça, moi, j'ai l'impression qu'on en a fait au kilomètre en Allemagne entre 1910 et 1930.

Eh bien c'est que tu n'as pas dû en écouter beaucoup, parce que déjà pour trouver un second Gezeichneten... Dans la même esthétique, oui, des tas. Quelque chose qui puisse s'en rapprocher précisément ou qui soit de la même qualité, ça devient tout de suite beaucoup plus rare.

Après ça, c'est une musique du courant novateur, mais qui n'est pas le coup de tonnerre du Sacre ou de Flammen de Schulhoff. C'est juste hyperabouti et totalement génial, pas plus que ça : tu fais bien de garder la tête froide.


J'ajoute à tout hasard que c'est une oeuvre dans laquelle le livret est particulièrement déterminant...

.

jonjon a écrit:

Oui, je parlais du point de vue de l'esthétique. Après, pour juger plus avant il faut quand même que j'écoute tout, peut-être.

Quand tu dis "pas grande originalité quand même", moi j'entends un jugement de valeur. En tout cas c'est pas le genre de remarque que je lis généralement sur l'esthétique, puisqu'une esthétique de courant est forcément partagée, donc pas spécialement originale.
Dans le cas où l'originalité est un critère, cela dit, la Symphonie de Chambre et Christophorus (voire Ferne Klang) peuvent vraisemblablement apporter plus de satisfaction.

Et puis bien sûr Flammen de Schulhoff ! Là on amortit l'investissement.

.

jonjon a écrit:

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

jonjon a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

jonjon a écrit:

Oui, je parlais du point de vue de l'esthétique. Après, pour juger plus avant il faut quand même que j'écoute tout, peut-être.

Quand tu dis "pas grande originalité quand même", moi j'entends un jugement de valeur. En tout cas c'est pas le genre de remarque que je lis généralement sur l'esthétique, puisqu'une esthétique de courant est forcément partagée, donc pas spécialement originale.
Dans le cas où l'originalité est un critère, cela dit, la Symphonie de Chambre et Christophorus (voire Ferne Klang) peuvent peut-être t'apporter plus de satisfaction.

Et puis bien sûr Flammen de Schulhoff ! Là tu amortiras ton déplacement.

C'est un peu propre à cette époque (et ce pays, etc.), en fait, j'ai l'impression qu'on a tellement composé comme ça que personne n'avait de langage propre. Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Fait gaffe à ce que tu dis, ça discrédite toute le sérieux de tes autres posts !

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jonjon a écrit:

C'est un peu propre à cette époque (et ce pays, etc.), en fait, j'ai l'impression qu'on a tellement composé comme ça que personne n'avait de langage propre.

Ouille ! Tu vas avoir un sacré choc lorsque tu découvriras l'opéra seria et le belcanto romantique.

Non, sérieusement, il y avait des angles de recherches, voire des tournures qu'on pouvait retrouver, mais c'est une époque où au contraire la variété des compositeurs (et même d'une oeuvre sur l'autre) est très importante.

Citation :

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Toute plaisanterie mise à part, figure-toi que j'ai été le premier surpris de découvrir qu'en réalité une très large proportion des innovations musicales avait été réalisée à l'Opéra. C'est étrange puisque c'est un langage hybride, mais ça semble avoir stimulé ou fait baisser des barrières. Mais la différence est que moi j'étais prêt à recevoir la Révélation. Toi, ton Initiation achever tu dois.

jonjon a écrit:

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Ah! Enfin quelqu'un de sérieux ici!

HOLLIGER a écrit:

jonjon a écrit:

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Ah! Enfin quelqu'un de sérieux ici!

La différence est que Jonjon, lui, il l'a écouté son Keiser !

.

DavidLeMarrec a écrit:

HOLLIGER a écrit:

jonjon a écrit:

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Ah! Enfin quelqu'un de sérieux ici!

La différence est que Jonjon, lui, il l'a écouté son Keiser !

Peut-être, mais moi j'ai écouté l'opus 76n°3, autrement dit "l'empereur", je n'ai donc rien à me reprocher.

Moi aussi je l'ai écouté aujourd'hui (San Marco SQ) et aussi la Sérénade de saint Antoine.

Et puis j'ai complété avec du Devienne (trios pour hautbois, violoncelle et piano).

Des trios de Devienne pour hautbois, violoncelle et piano ? Ça existe ??

HOLLIGER a écrit:

Des trios de Devienne pour hautbois, violoncelle et piano ? Ça existe ??

Non.

Ce sont les opus 70 et 71, et ça se trouve au moins par Glaetzner, Pank et Schornsheim chez Berlin Classics.


Attention, ils héritent beaucoup de la vieille forme de la sonate à basse continue, c'est vraiment du hautbois solo accompagné. Ca vaut pas l'opus 73 qui est furieusement inspiré (les fameux quatuors avec basson), mais c'est sympathique.

jonjon a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

jonjon a écrit:

C'est un peu propre à cette époque (et ce pays, etc.), en fait, j'ai l'impression qu'on a tellement composé comme ça que personne n'avait de langage propre.

Ouille ! Tu vas avoir un sacré choc lorsque tu découvriras l'opéra seria et le belcanto romantique.

Non, sérieusement, il y avait des angles de recherches, voire des tournures qu'on pouvait retrouver, mais c'est une époque où au contraire la variété des compositeurs (et même d'une oeuvre sur l'autre) est très importante.

Citation :

Sachant en même temps que l'opéra reste quand même un truc périphérique, par rapport à la vraie musique.

Toute plaisanterie mise à part, figure-toi que j'ai été le premier surpris de découvrir qu'en réalité une très large proportion des innovations musicales avait été réalisée à l'Opéra. C'est étrange puisque c'est un langage hybride, mais ça semble avoir stimulé ou fait baisser des barrières. Mais la différence est que moi j'étais prêt à recevoir la Révélation. Toi, ton Initiation achever tu dois.

Voyons-voir... Johann Sebastian, Wolfgang, Ludwig, Anton, Gustav, vous vous occupez de lui régler son compte ?


Sinon, euh, forcément, quand il y a une école, je suppose que c'est fascinant de s'intéresser à chaque compositeur, à ce qui les différencie, etc. Mais bon, faut aimer l'école à la base, déjà. Ça ne m'empêche pas d'apprécier, mais à petite dose. Maintenant, il y en a aussi qui n'aiment pas Bruckner, à ce que j'ai compris. Va comprendre .

Et WAGNER ? Strauss ? Berg ? Debussy ? Monteverdi ? Ils sont à la pointe de l'innovation ... avec l'opéra ...
(Mais je te rassure ... j'adore tout autant Mahler et Bruckner ... )

DavidLeMarrec a écrit:

HOLLIGER a écrit:

Des trios de Devienne pour hautbois, violoncelle et piano ? Ça existe ??

Non.

Ce sont les opus 70 et 71, et ça se trouve au moins par Glaetzner, Pank et Schornsheim chez Berlin Classics.


Attention, ils héritent beaucoup de la vieille forme de la sonate à basse continue, c'est vraiment du hautbois solo accompagné. Ca vaut pas l'opus 73 qui est furieusement inspiré (les fameux quatuors avec basson), mais c'est sympathique.

Ah oui je connais ce soantes qui sont pas mal ; il y a d'autres versions, celle de Bree, un anglais je crois, qui me parait meilleure!
Les quatuors avec basson sont en effet magnifiques, certains avec flûte aussi ;
Il existe des quatuors pour 3 flûtes, tu connais ?

jonjon a écrit:

Voyons-voir... Johann Sebastian, Wolfgang, Ludwig, Anton, Gustav, vous vous occupez de lui régler son compte ?

Ah, tu étais sérieux.

Cololi a précisé certaines choses (d'ailleurs si ton Wolfgang est Mozart, bien qu'il n'innove pas tant que ça, sa composition la plus audacieuse à tout point de vue est Don Giovanni...). Au demeurant Bruckner n'est pas exactement un novateur.

Citation :

Sinon, euh, forcément, quand il y a une école, je suppose que c'est fascinant de s'intéresser à chaque compositeur, à ce qui les différencie, etc.

Heu, je suppose quand même que tu fais une différence entre Strauss, Zemlinsky et Schönberg, c'est quand même pas tout à fait pareil ! C'est bien plus un courant avec des éléments esthétiques récurrents, des problématiques communes, qu'une école à proprement parler comme on en a vu dans les siècles précédents !
Il y a autant de différence entre eux qu'entre Fauré, Chausson Debussy, Koechlin et Ravel (et on a bien vu qu'on pouvait aimer l'un et pas l'autre !).

Citation :

Mais bon, faut aimer l'école à la base, déjà.

Justement, je ne suis pas sûr que ça se pose en ces termes. Parmi Elektra, Arabella, Zwerg, Gezeichneten, Arme Heinrich, Tote Stadt, Flammen, Bannadietrich, Capriccio, Gurrelieder, Lulu, Moses und Aron... on peut en aimer certains et en détester d'autres, ça couvre un spectre esthétique extrêmement large, même si le courant de pensée est à peu près le même.

Citation :

Maintenant, il y en a aussi qui n'aiment pas Bruckner, à ce que j'ai compris. Va comprendre .

En tout cas ils ont tort, surtout s'ils n'aiment pas sa musique de chambre et sa musique vocale qui sont ce qu'il a fait de mieux.

HOLLIGER a écrit:

Il existe des quatuors pour 3 flûtes, tu connais ?

Non, j'ai pas (encore) écouté ça.

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jonjon a écrit:

Non mais, Schönberg, je vois pas ce qu'il vient faire dans la discussion en fait

Il procède de la même esthétique au départ (jusqu'à la Première Symphonie de Chambre, schrekerienne en diable) et des mêmes préoccupations ensuite. Il est vrai que Moses, j'ai un peu exagéré. Mais je garde Lulu, ça ne change rien à l'affaire de la variété de ce qu'on y trouve.

Citation :

DavidLeMarrec a écrit:

En tout cas ils ont tort, surtout s'ils n'aiment pas sa musique de chambre et sa musique vocale qui sont ce qu'il a fait de mieux.

Je suis sérieux. Dans ses choucroutes orchestrales, il y a bien les mouvements lents qui se distinguent, mais sinon, on n'est pas au même niveau de poésie que dans le Quintette, les Aequales ou les Motets.

DavidLeMarrec a écrit:

HOLLIGER a écrit:

Il existe des quatuors pour 3 flûtes, tu connais ?

Non, j'ai pas (encore) écouté ça.

J'aime vraiment Devienne, je vais peut-être m'acheter tous ses concertos pour flûte ;ceux que je connais sont chouettes : des mélodies toujours inventives et très séduisantes.
Dans un autre genre, je cherche les oeuvres pour 3 violoncelle de Wagenseil qui sont introuvables à prix raisonnable sur le net.

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~ Draeseke, Lieder (Danz/Garben/Trekel)

~ Szymanowski, Quatuor n°2 (Varsovia)

Wolferl a écrit:

~ Draeseke, Lieder (Danz/Garben/Trekel)

Que ferions-nous sans CPO ?

DavidLeMarrec a écrit:

*Niko a écrit:

Ropartz ~ Quatuor n°4 (Stanislas)

Et ?

C'est la 1ère œuvre de Ropartz que j'écoute et je suis assez emballé. A la 1ère écoute, on ressent l'héritage de Ravel je trouve tout en ayant un langage personnel bien affirmé.
Il s'en dégage une poésie tout à fait réjouissante, simple, joyeuse, optimiste. C'est très séduisant.

J'aime beaucoup aussi. Puisque c'est la première fois que tu écoutes du Ropartz, je te recommande son versant wagnérien (le disque Krivine avec la Chasse du Roi Arthur et les Odelettes), c'est encore très supérieur. Et puis bien sûr le pastiche tristanien Le Pays.

Emission "Vocalises" consacrée à Jussi Björling du 3 septembre sur rsr2 : http://www.rsr.ch/#/espace-2/programmes/vocalises/?date=03-09-2010

DavidLeMarrec a écrit:

J'aime beaucoup aussi. Puisque c'est la première fois que tu écoutes du Ropartz, je te recommande son versant wagnérien (le disque Krivine avec la Chasse du Roi Arthur et les Odelettes), c'est encore très supérieur. Et puis bien sûr le pastiche tristanien Le Pays.

C'est bien noté !

Schumann, Sonates pour violon et piano n° 1 & 2 - Argerich & Kremer

Wagner : Götterdämmerung
Böhm
[je suis sur la partition, qui comporte la version française d'Ernst, et l'allemand aussi ; c'est dur de tout suivre... ]
Prologue, 2 et acte I, sc. 1-2



En fait, j'attends d'acheter Karajan pour renouveler un peu mes écoutes du Ring. Et j'ai envie aussi de connaître Parsifal, mais il faut que je prenne Kna 62, je pense.

Verdi, la Forza del destino (Muti)

Guillaume a écrit:

Et j'ai envie aussi de connaître Parsifal, mais il faut que je prenne Kna 62, je pense.

Alors que tu as Levine 85 sous la main...

Xavier a écrit:

Guillaume a écrit:

Et j'ai envie aussi de connaître Parsifal, mais il faut que je prenne Kna 62, je pense.

Alors que tu as Levine 85 sous la main...

Je plussoie Xavier...

Ca me fait moyennement envie, en fait, sur le papier. C'est peut-être très bien, mais j'ai envie de commencer avec des chanteurs que j'aime bien. Ce sera donc soit Boulez soit Kna 62. Ou alors je pourrais reprendre mon Kna 51...

Guillaume a écrit:

Ca me fait moyennement envie, en fait, sur le papier. C'est peut-être très bien, mais j'ai envie de commencer avec des chanteurs que j'aime bien. Ce sera donc soit Boulez soit Kna 62. Ou alors je pourrais reprendre mon Kna 51...

Sur le papier, ça a rien d'exaltant, mais dans les faits, c'est peut-être la meilleure version commerciale...

Si tu veux absolument des vieux chanteurs que tu aimes, prends Leitner... Il y a du climat et de très grands chanteurs.

Guillaume a écrit:

Ca me fait moyennement envie, en fait, sur le papier. C'est peut-être très bien, mais j'ai envie de commencer avec des chanteurs que j'aime bien. Ce sera donc soit Boulez soit Kna 62.

Tu préfères Jones à Meier?

Et Thomas meilleur qu'Hofmann, pas sûr non plus...

Ne les écoute pas trop ... écoute Kna dans Parsifal, c'est essentiel (même si il n'est pas le seul à bien le diriger).

Cololi a écrit:

Ne les écoute pas trop ...

Tu as écouté Levine 85?

Cololi a écrit:

écoute Kna dans Parsifal, c'est essentiel (même si il n'est pas le seul à bien le diriger).

Il est même le seul à avoir autant de pains et de problèmes de mise en place. (en 51 surtout)

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Ne les écoute pas trop ...

Tu as écouté Levine 85?

Cololi a écrit:

écoute Kna dans Parsifal, c'est essentiel (même si il n'est pas le seul à bien le diriger).

Il est même le seul à avoir autant de pains et de problèmes de mise en place. (en 51 surtout)

Je n'ai pas écouté Levine 85 ... mais j'ai écouté Levine au DVD et la version studio (je suis en train de l'écouter d'ailleurs ). Levine est très très recommendable.

Pour le second point je parle d'esprit ...

Percy Bysshe a écrit:

Chopin: 1er concerto pour piano, Bellucci, orchestration de Carl Tausig

La réochestration est véritablement positive, je préfère à la version originale. Il est bien ce Tausig, décidément, jamais décevant.

Ca se trouve en streaming ? Je suis curieux d'entendre le résultat...

Cololi a écrit:

Ne les écoute pas trop ... écoute Kna dans Parsifal, c'est essentiel (même si il n'est pas le seul à bien le diriger).

Je crois que Kna est le moins intéressant de tous les chefs que j'ai écouté dans Parsifal (et il y en a... un certain nombre ). Ce ne sont pas les grandes versions qui manquent : Kraus, Krauss, Jochum, Leitner, Boulez, Kegel, Jordan, Levine 85...

KID A a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

Chopin: 1er concerto pour piano, Bellucci, orchestration de Carl Tausig

La réochestration est véritablement positive, je préfère à la version originale. Il est bien ce Tausig, décidément, jamais décevant.

Ca se trouve en streaming ? Je suis curieux d'entendre le résultat...

Oui, ici.