Playlist (104)

Wagner: La Walkyrie/Blu-Ray Barenboïm Cassiers

Schubert: symphonie no 8, et Dvorak: symphonie no 9: Wiener Philharmoniker, Karl Böhm (enregistrements DGG de 1979-1982). La référence.... .

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Horatio a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Eusèbe a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Eusèbe a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms:Quintette à cordes n°2 (Amadeus)

Finalement les deux quintettes à cordes de Brahms ne m'emballent pas tant que ça.
Je prefere nettement ses sextuors.

Même ce deuxième? Pour moi c'est tout de même une oeuvre de chambre majeure de Brahms.

Oui, même ce deuxième. On est quand même loin d'un monument comme le quintette pour piano et cordes.AMHA.

Je comprends. Je crois que pour ma part, je suis plus sensible à la gravité et à la mélancolie des oeuvres tardives qu'à la fougue de celles de jeunesse (tout en étant subjugué par le quintette avec piano: as-tu essayé Amadeus/ Eschenbach? C'est phénoménal!).

Moi aussi je trouve les œuvres à cordes (quatuors à sextuors) beaucoup moins intéressantes que les œuvres avec piano (trios à quintette), alors que c'est d'ordinaire l'inverse pour moi. Ne serait-ce que la qualité thématique…

Même le second sextuor à cordes ? On touche pourtant à des sommets de beauté et de raffinement ; je n'hésite pas à le placer à la hauteur du dernier trio avec piano, du célèbre opus 34 et du troisième quatuor avec piano ...

+1
Je ne connais pas les oeuvres citées ici ... mais le second sextuor c'est qq ch quand même !

J'adore également les 2 sextuors.Ce sont les 2 quintettes à cordes (sans parler des quatuors à cordes) que je prise moins.

Je trouve le second sextuor, comme le premier, assez mélodique et folklorisant, très agréable, mais pas du niveau d'intérêt des plus grands Brahms. Après, c'est loin d'être infâme, hein, je l'écoute quand même assez régulièrement (mais c'est une fois par an, là où le Premier trio ou le Deuxième Quatuor avec piano, c'est plutôt deux fois par mois…).

Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
Anne Queffélec (Piano)

Wagner: Das Rheingold. version Janowski / Dresde. On ne me fera jamais accroire que c'est de la grande musique. Un mix de singspiel et d'opéra moderne - tout est dans l'orchestre, il ne se passe presque rien au niveau des voix. comme c'est ingrat pour de vrais chanteurs !

Chez Janowski c'est très scolaire, la dichotomie est encore plus marquée qu'à l'ordinaire. Ceci dit, un très beau travail de mise en place. On suit bien la progression de l'action.

André a écrit:

Wagner: Das Rheingold. version Janowski / Dresde. On ne me fera jamais accroire que c'est de la grande musique. Un mix de singspiel et d'opéra moderne - tout est dans l'orchestre, il ne se passe presque rien au niveau des voix. comme c'est ingrat pour de vrais chanteurs !

Et sérieusement ?

=> Extraits de la Flûte, des Huguenots, de Rigoletto, de Tristan, de Walküre… en hongrois.
C'est beau.

DavidLeMarrec a écrit:

André a écrit:

Wagner: Das Rheingold. version Janowski / Dresde. On ne me fera jamais accroire que c'est de la grande musique. Un mix de singspiel et d'opéra moderne - tout est dans l'orchestre, il ne se passe presque rien au niveau des voix. comme c'est ingrat pour de vrais chanteurs !

Et sérieusement ?

Ben, sérieusement je n'ai pas encore trouvé la clé. Dramatiquement je comprends l'intérêt de l'oeuvre. Wagner lui-même revisitera son propre concept, cette fois sous forme de flashback (le Prologue de Götterdämmerung), de façon infiniment plus probante. Mais courage: je crois me rappeler que la version Solti m'avait semblé intéressante (avec de vraies enclumes au lieu des 'ping' de la version Janowski).

Quant à la musique, outre la première et la dernière scène, c'est comme lire La Steppe de Chékhov.

Il y a des flashbacks dans tous les opéras à partir de la Walkyrie, pour les spectateurs qui n'auraient pas entendu l'opéra précédent la veille, c'est bien normal même si ça n'est pas hyper intéressant dramatiquement une fois qu'on est familier du livret.
Par contre, si tu ne vois pas l'intérêt de la musique, il n'y a pas grand chose à faire...

Tu as lu La steppe ?

Wagner: Der Fliegende Holländer. James Levine, Met Orchestra et d'excellents solistes, dont Morris, Voigt et Heppner.

André a écrit:

Tu as lu La steppe ?

Non, mais éclaire-moi, je n'avais pas l'impression que c'était un compliment.

Hier soir :
=> Beethoven – Leonore (sans dialogues) – Brouwenstijn, Windgassen, Leitner
Pas mal (surtout Leitner !).

Ce matin :
=> Beethoven – Fidelio (en français) – Moizan, Roux, Médus, Peyron, Inghelbrecht
Épatant. Le Jacquino infatué de Peyron est impayable ! Tempi les plus enlevés de la discographie, d'ailleurs.

Hier soir :

Donizetti, Don Pasquale - Muti
Sympathique, je découvre l’œuvre, et même le compositeur en fait. Je crois que je préfère ça au Barbier (dans ce genre, c'est un des seuls titres que je connaisse), mais bon ma dernière écoute c'était avec l'engorgé Prey conduit par Abaddo, ça joue peut-être.

Honegger, Le roi David Le Marrec - Baudo
Découverte aussi. J'ai très bien suivi malgré le côté un peu décousu. Certains ensembles m'ont bien emballé (de mémoire, la pythonesse, puis les lamentations après la guerre et la mort de Jonathan).

Dvorák, Concerto pour violon et orchestre - Suk / Neumann


Ce matin :

Ravel, L'enfant et les sortilèges - Maazel
Découverte aussi, après avoir été enthousiasmé il y a quelques mois par l'heure espagnole.
Génial aussi  Fantasque et raffiné à la fois.

"Mon dieu ! C'est l'Arithmétique !"

Côté interprétation, même en première écoute, tout me semble tellement bien couler que je me demande si ça ne règle pas déjà mon exploration des versions

Beethoven. Sonate pour piano n°8. Annie Fischer. 1970, Hugaroton
Beethoven. Variations Eroica. Gilels -live-. 1980, Hänsler
Wagner. Die Walküre. Brouwenstijn, Nilsson, Gorr, Vickers, London, Ward. OS Londres, Leinsdorf. 1961, RCA
Moussorgsky. Tableaux d'une exposition. Ott. 2012, DGG

André a écrit:

Quant à la musique, outre la première et la dernière scène, c'est comme lire La Steppe de Chékhov.

Méeuh, c'est trop bien La Steppe de Tchekhov !

Oui, La Steppe est un grand roman. En fait une longue nouvelle. C'est semé de petits incidents baignés dans une atmosphère de grisaille et de poussière dans laquelle tout se ressemble. On peut lire des pages entières sans que rien ne s'y passe, du moins en apparence. Entre le début (le départ du village) et la fin (l'arrivée à la ville) tous les incidents pourraient avoir été écrits dans n'importe quel ordre... Ce n'est pas le narratif qui compte, mais l'atmosphère.

............................

Mozart: symphonies 38 et 39. Karl Böhm et le Philhrmonique de Vienne (DGG). Le meilleur du Late Böhm.

Kalevi Aho: symphonie no 7, dite 'des insectes'. Osmo Vänskä dirige le Lahti Symphony. Label BIS.

André a écrit:

Oui, La Steppe est un grand roman. En fait une longue nouvelle. C'est semé de petits incidents baignés dans une atmosphère de grisaille et de poussière dans laquelle tout se ressemble. On peut lire des pages entières sans que rien ne s'y passe, du moins en apparence. Entre le début (le départ du village) et la fin (l'arrivée à la ville) tous les incidents pourraient avoir été écrits dans n'importe quel ordre... Ce n'est pas le narratif qui compte, mais l'atmosphère.

Je ne peux mieux dire.

Glazounov : Symphonie 4
Rachmaninov : Symphonie 1

Que du bonheur

Je continue mes découvertes :

Weber, Euryanthe - Janowski
Pas mal, mais j'aime moins que le Freischütz : ça m'a paru un peu linéaire dans l'ensemble même si j'ai eu de bon moments. Et puis que c'est mal foutu, ce livret (enfin, du moins la façon dont le plan est amené et la trame de fond avec la morte)

Liszt

Premier Concerto pour piano

Malédiction pour piano et cordes

Rhapsodie hongroise pour piano et violon

Eugene List, piano

Carroll Glenn, violon

Vienna State Opera Orchestra, dir. György Lehel

Westminster 1964

Un peu de tout

Bruno Mantovani (1974)
Streets & Éclair de lune
Ensemble intercontemporain / Susanna Mälkki

Antonio de Cabezón (1510-1566)
Canto a mi caballero
Capriccio Stravagante / Skip Sempé

tiens voilà qui rappelle quelque chose*:
"Federico Garcia Lorca donne un très belle explication du style espagnol en terme de "duende", cet effet démoniaque provoqué par les muses...- l'apparition du duende signifie toujours un changement radical de la forme. Cela amène un sentiment inconnu de fraîcheur, avec les qualités de quelque chose de nouvellement créé, comme un miracle, produisant un enthousiasme presque religieux - " Sempé dans le livret citant Garcia Lorca
* Fil Scarlatti. Disque Sempé / Fortin intitulé Duende

Joseph Bodin de Boismortier (1689-1755)
Sonates pour basses
Le Conceert Spirituel / Hervé Niquet

De Boismortier, tu connais ses suites pour clavecin, surtout sous les doigts de Mireille Lagacé?

Non, première écoute de Boismortier. Plaisante.
Je note ton conseil

Ce sont de superbes suites, presque lyriques même! De plus sous les doigts de Lagacé sur le superbe Hemsch du Musée des instruments à Paris, tout y est.

Te voilà immortalisé. Puisse ton enthousiasme être contagieux
https://classik.forumactif.com/t2447p50-joseph-bodin-de-boismortier-1689-1755

K.H.Stockhausen:From opera cycle "Licht": die sieben Tage der Woche


Donnerstag aus Licht


Act 2: Michaels Reise um die Erde(1977/1980)

Marco Blaauw (Michael, trumpet),
Nicola Jürgensen (Eve, basset horn),
Carl Rosman and Fie Schouten (Swallow pair, clarinets)

Carlos Padrissa, stage director-La Fura dels Baus
Roland Olbeter, art director.
Chu Uroz, costumes.
Valentina Carrasco,choreography
Frank Sobotta,Light
Franc Aleu,video
MusikFabrik, Peter Rundel, conductor

Grieg - Symphonie, En automne, Variations sur une vieille mélodie norvégienne (N.Jaarvi)

Il y a vraiment des joyaux méconnus chez Grieg.

Franz Benda (1709-1786)
Sonates pour violon
Ornamented versions from a Berlin manuscript
Leila Schayegh, violon
Vàclav Luks, clavecin et pianoforte
Felix Knecht, violoncelle

Hier soir :
Verdi, La Traviata - Muti / Scotto


Ce matin pour me réveiller :
Strauss, Salome - Solti / Nilsson
C'est quoi cette prise de son ? Ça m'a vraiment tout gâché, d'autant que Nilsson m'a surprise : elle a l'air nuancée
Il est comment le report CD ? Parce que là, c'est vraiment la prise de son la moins naturelle du monde !

Hommage à Youri Egorov

Beethoven/5 ème concerto pour piano/Egorov, Philarmonia, Sawallisch

A connaître.

Schubert : Symphonie n°9 (la grande) - Berlin, Harnoncourt.



Szymanowsky : Nocturne & &Tarentelle, Mythes et Romance
Tiberghien, piano et Ibragimova, violon

• Antonio Caldara (1670-1736)
Sonates en trio
Leila Schayegh (violon), Amandine Beyer (violon), Jonathan Pesek (violoncelle), Jörg-Andreas Bötticher (orgue et clavecin), Matthias Spaeter (luth)

• Joseph Bodin de Boismortier (1689 - 1755)
- Suites pour clavecin 1 à 4
Mireille Lagacé

- ‪Concertos for 5 Flutes Op 15 no 6, Op 15 no 3
Concert Spirituel / Vincent Touzet,
Anne Savignat , Jacques Antoine Bresch, Jan de Winne, Jocelyn Daubigney solistes (flutes)

• Louis Nicolas Clérambault (1676-1749)
Livre d'orgue
Suite du Premier ton, alterné avec le Magnificat
Miserere à 3 voix
Suite du Deuxième ton, alterné avec le Benedictus
Jean Boyer, orgue Boizard de Saint-Michel en Thiérache
Les Demoiselles de Saint-Cyr, direction Emmanuel Mandrin

Abnegor a écrit:

Ce matin :

Ravel, L'enfant et les sortilèges - Maazel
Découverte aussi, après avoir été enthousiasmé il y a quelques mois par l'heure espagnole.
Génial aussi  Fantasque et raffiné à la fois.

"Mon dieu ! C'est l'Arithmétique !"

Côté interprétation, même en première écoute, tout me semble tellement bien couler que je me demande si ça ne règle pas déjà mon exploration des versions

On pourrait le penser oui, car c'est une excellente version, mais en réalité il y a plein de choses à découvrir avec d'autres versions comme Ansermet, Prévin, Rattle, Dutoit, et d'autres...

Mozart : Concerto pour piano n°24, K. 491 (Eric Heidsieck, André Vandernoot et l'Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire)

Albert ROUSSEL
—
Symphonie 4
Bacchus et Ariane
Vaclav Neumann : Brno State Philharmonic Orchestra
—
Le Festin de l’Araignée
Vaclav Smetacek : Prague Symphony Orchestra
—
Sonatine
Conte à la Poupée
Jean-Pierre Armengaud [ piano ]



   miam

Aujourd'hui j'ai craqué :



J'ai acheté ça pour offrir, du coup j'ai écouté pour être sûr que ce soit bon.
Et au final c'est meilleur qu'Ashkenazy/Previn : Fistoulari enflamme le LSO dans le 3, et Kondrachine crée de magnifiques climats dans le 2. Ashkenazy est vraiment au rendez-vous en plus, éloquent, fougueux et avec tenue (j'aurais préféré une cadence ossia dans le 3-I, mais c'est secondaire).

Contrairement à mes dernières tentatives, ces concertos sont passés tout seuls.    Comme quoi, quand on est fatigué (l'interprétation a aussi joué).

J'ai un peu l'impression que le temps ne va pas en faveur du jeu pianistique d'Ashkenazy : je ne trouve pas qu'il se soit bonifié entre ces enregistrements (il avait 26 ans) et ceux qui suivent (son dernier disque Scriabine ne le montre clairement pas au sommet de sa forme). Son activité de chef d'orchestre y est sûrement pour quelque chose (de même que la vieillesse pour les disques les plus récents).

=> Beethoven – Fidelio (en français) – Moizan, Peyron, Roux, Médus, RTF, Inghelbrecht


=> Verdi-Offenbach-Wagner-Leoncavallo… en hongrois
Gyurkovics Mária chante Olympia avec une intonation totalement hasardeuse, mais quelle vie ! Rien que des voix bizarres, mais ça a beaucoup d'allure.

Jaan Rääts : Symphonies Nos. 2, 3 & 6 (1958 ; 1959 ; 1967)/Neeme Järvi
Symphonie No. 8 (1987)/Eric Klaas

Xavier a écrit:

Abnegor a écrit:

Ce matin :

Ravel, L'enfant et les sortilèges - Maazel
Découverte aussi, après avoir été enthousiasmé il y a quelques mois par l'heure espagnole.
Génial aussi  Fantasque et raffiné à la fois.

"Mon dieu ! C'est l'Arithmétique !"

Côté interprétation, même en première écoute, tout me semble tellement bien couler que je me demande si ça ne règle pas déjà mon exploration des versions

On pourrait le penser oui, car c'est une excellente version, mais en réalité il y a plein de choses à découvrir avec d'autres versions comme Ansermet, Prévin, Rattle, Dutoit, et d'autres...

Wouw . Ça réserve donc de belles découvertes !

Ce soir, Schumann, Quatuors à cordes 1 et 2 - Quatuor Bulgare

Xavier a raison (il a seulement omis Maag ), Maazel est formidable, mais les versions exceptionnelles sont quasiment la norme dans la discographie de l'Enfant (de l'Heure aussi, d'ailleurs). Mais tu peux aussi te contenter de Maazel, il y a déjà plus ou moins tout…

Janis Ivanovs : Symphonie No. 5 (1945)/Dmitri Yablonsky

WOAHO !!!

Hugues Dufourt (1943–), These livid flames pour orgue (2014)
Max Reger (1873–1916), Sonate pour orgue nº2 (1901)
Iannis Xenakis (1922–2001), Gmeeoorh pour orgue (1974)

        Bernhard Haas, Sint-Bavokerk Haarlem

Saint-Saens: Samson et Dalila. Domingo, Obraztsova, Barenboim , Paris. Sur DGG. C'est...comment dire ? exotique

André a écrit:

Samson et Dalila.... Obraztsova,

Ecoute plutôt ceci ( excellent son et de nombreux extraits sur Youtube ;-)

György Ligeti (1923–2006), Lontano (1967)
Alexandre Scriabine (1871–1915), Prométhée (1910)
Igor Stravinsky (1882–1971), Le Roi des étoiles (1911)
Sergei Prokofiev (1891–1953), Sept, ils sont sept (1917) *
Nicolas Obouhow (1892–1954), Le Troisième et Dernier Testament (1946)

        Monique Krüs, soprano
        Martina Rüping, soprano
        Annelies Lamm, mezzo
        * Sergei Drobyshevsky, ténor
        Marcel Beekman, ténor
        Dimitry Ivashchenko, basse
        Alexei Lubimov, piano
        Lydia Kavina, croix sonore

        Groot Omroepkoor
        Radio Filharmonisch Orkest
        Reinbert de Leeuw, direction

Gary Carpenter (1951–), Dadaville for orchestra (2015).  BBC SO (Sakari Oramo)
Gary Carpenter, Fred & Ginger for orchestra (2011).  LSO (Daniel Harding)

mouais.

André a écrit:

Saint-Saens: Samson et Dalila. Domingo, Obraztsova, Barenboim , Paris. Sur DGG. C'est...comment dire ? exotique  

Exotique, c'est gentil comme qualificatif
Domingo pas mal, mais Obra assez immonde et Barenboim qui nous dirige Saint-Saëns comme du Wagner

Emeryck a écrit:

Tishchenko : Sonate pour piano n°10     1997 / Mazitova

Quel quatrième mouvement !
Un peu déçu par la fin.. 

un cluster aurait été plus efficace que ce glissando, non ?
(mais en effet, il ne me semble pas que ce soit sa sonate la plus indispensable.)