Playlist (69)

vous avez au moins un point commun.

D'ailleurs, au départ, il n'aimait pas vraiment Roussel.

Àh ! Salut Rav !

Une écoute dédicace en ton honneur :

Weinberg : Quintette en ut mineur Op. 18 (1944)*
Chostakovitch : Trio pour piano n° 2 en mi mineur Op. 64 (1942-43)**
Galynin : Trio pour pour piano en ré mineur (1948)**/Borodin Quartet, M. S. Weinberg*, Lubov Yeldina**

Maurice Ravel, Gaspard de la Nuit · Jeux d’eau · Sonatine · Miroirs.

Jean-Efflam Bavouzet, piano.

MDG, 2003.

yamaw a écrit:

Maurice Ravel

Encore mieux !
_______________

Saint-Saëns _ Concerto pour cello n° １
János Starker [ violoncelle ] Antal Doráti : London Symphony Orchestra
Saint-Saëns _ Concerto pour piano n° ４
Robert Casadesus [ piano ] Leonard Bernstein : New York Philharmonic

et j’ai aussi emprunté du Janaček.

Viens dans mes bras !!!

Filip Sande : Symphonie n° 1/KORK
Crt Sojar Volgar : Concerto pour flûte et orchestre/M. Lipovsek-Slovenian Radio Symphony Orchestra

Je crois de plus en plus en la résurrection de la musique moderne.

Filip Sande : Symphonie n° 5 Op. 104
Crt Sojar Volgar : Symphonie n° 2

Campra : l'Europe galante, Christie, Ambronay 2005

Beethoven - Fidelio - Vienne / Furtwängler (live Vienne 1953)

Brahms, Sonates pour violon opus 78 et 100. Trio pour cor. Adolf Busch, Rusolf Serkin, Aubrey Brain
Brahms, Sonates pour violoncelle. Pierre Fournier, Rudolf Firkussny

Einojuhani Rautavaara (*1928), Vigilia (1971–72).

Jyrki Korhonen, basse
Topi Lehtipuu, ténor
Pia Freund, soprano
Lilli Paasikivi, mezzo-soprano
Petteri Salomaa, baryton

Finnish Radio Chamber Choir
Timo Nuoranne, direction

Ondine, 1998. Enregistrement 1997.

Fanz Schubert (1797-1828) :

Symphonie n°9 en ut majeur D. 944

= Hans Schmidt-Isserstedt, Orchestre de la Radio de Hambourg

(Telefunken, 3-4 mars 1959)

Josef Matthias Hauer, 4 pièces op.28 pour violon et piano.
Arnold Schoenberg, Fantaisie op.47 pour violon et piano.
Anton Webern, 4 pièces op.7 pour violon et piano.
Alban Berg, 4 pièces op.5 pour clarinette et piano.
Alban Berg, Adagio pour violon, clarinette et piano (arrangement du deuxième mouvement du Concerto de chambre).
Hanns Eisler, Klavierstücke für Kinder.
Hans Erich Apostel, Sonatine op.19,2 pour clarinette seule.
Leopold Spinner, Suite op.10 pour clarinette et piano.

Ensemble Avantgarde :
Andreas Seidel, violon
Matthias Kreher, clarinette
Steffen Schleiermacher, piano

MDG, 2004. Enregistrement 2002.

yamaw a écrit:

Hans Erich Apostel, Sonatine op.19,2 pour clarinette seule.

C'est bien ça? Je connais pas.

Spoiler:

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Concerto pour piano n°3 en ut mineur Op. 26

= Dimitri Mitropoulos, Robin Hood Hell Orchestra of Philadelphia

(Columbia, 26 juillet 1946)

Brahms, Intermezzi op. 118-6, 117-1 et 76-3, Capriccio op. 76-2, Sonate opus 2-2. Dimitri Bashkirov

DUTILLEUX Henri
- Concerto de violoncelle.

"Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique.
(Ch. Baudelaire)"

"Puissante houle, étrange envoûtement (P. Michot)."

Maurice Ravel, Tombeau de Couperin · Prélude · Sérénade grotesque · À la manière de Borodine · À la manière de Emmanuel Chabrier · Menuet antique · Menuet sur le nom de Haydn · Valses nobles et sentimentales . Pavane. Jean-Efflam Bavouzet, 2003.

DUFOURT Hughes
- L'origine du monde.

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Roméo et Juliette -ballet Op. 64, extraits

= Dimitri Mitropoulos, Orchestre philharmonique de New York

(Columbia, 11 novembre 1957)

Haendel - Jephtha - EBS / Gardiner

Puisqu'on parlait récemment de profondeur chez Haendel, le choeur "How dark, o Lord, are Thy decrees" en est un superbe exemple. Typiquement haendelien, une des choses qui me font considérer Haendel comme un grand et incontournable compositeur (et bien sûr, il est impossible de trouver quelque-chose d'aussi beau dans ses opéras).

Tchaikovsky, Concertos 1 et 2. Zhukov, Kitaenko / Tcherniakhovsky

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Le Fils prodigue -Suite de ballet Op. 46 bis

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, 5-7 novembre 1966)

Dukas:La Péri (Jordan)
Roussel:Symphonie n°1 (Dutoit)

Quelle musique!

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Tableau d'automne Op. 8

= Vladimir Ashkenazy, Orchestre symphonique de Londres

(Decca, 2 octobre 1974)

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

Filip Sande : Symphonie n° 5 Op. 104
Crt Sojar Volgar : Symphonie n° 2

C'est qui ces deux gugusses ?

Pizetti : "Canti della stagione alta" pour piano et orchestre

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Lieutenant Kijé -Suite Op. 60

= Antal Dorati, Orchestre philharmonique de la Radio néerlandaise

(Decca, 1-4 juin 1973)

alexandre. a écrit:

Haendel - Jephtha - EBS / Gardiner

Puisqu'on parlait récemment de profondeur chez Haendel, le choeur "How dark, o Lord, are Thy decrees" en est un superbe exemple. Typiquement haendelien, une des choses qui me font considérer Haendel comme un grand et incontournable compositeur (et bien sûr, il est impossible de trouver quelque-chose d'aussi beau dans ses opéras).

Je suis en train de découvrir. Mais je suis pas encore assez avancé dans l'écoute pour en parler.

Je pense que tu devrais aimer Théodora, si tu ne connais pas déjà. C'est épuré et profond.

Ses opéras c'est quand même relativement logique, vu tes goûts, que tu aimes moins. Oui oui c'est moins raffiné, plus simple et direct (mais c'est aussi une grande partie de leur charme quand associé à une imagination mélodique sans limite comme la sienne). Et puis il n'y a que très peu de chœurs dans ses opéras, et c'est vrai que plus j'avance plus je trouve que son écriture chorale paraît géniale, naturelle, évidente ...

Et on comprend mieux du coup la vénération de Haydn, Beethov ou Liszt pour sa musique.

Haendel - Israel in Egypt - The English Baroque Soloists / Gardiner

Cololi a écrit:

Je pense que tu devrais aimer Théodora, si tu ne connais pas déjà. C'est épuré et profond.

Ses opéras c'est quand même relativement logique, vu tes goûts, que tu aimes moins. Oui oui c'est moins raffiné, plus simple et direct (mais c'est aussi une grande partie de leur charme quand associé à une imagination mélodique sans limite comme la sienne). Et puis il n'y a que très peu de chœurs dans ses opéras, et c'est vrai que plus j'avance plus je trouve que son écriture chorale paraît géniale, naturelle, évidente ...

Et on comprend mieux du coup la vénération de Haydn, Beethov ou Liszt pour sa musique.

Je connais un peu Théodora, mais je ne l'ai pas encore écouté de façon intensive.
Les choeurs des oratorios sont énormes, le contrepoint arrache tout, les couleurs sont superbes, et ce malgré des idiosyncrasies harmoniques qui reviennent souvent.

Stravinsky _ Sacre du printemps Quel pied !
Claudio Abbado : London Symphony Orchestra

Mozart _ Die Entführung aus dem Serail (ja !).
Georg Solti : Vienna Philharmonic Orchestra and Chorus

Je ne sais pas ce que m'a fait le Sacre, mais je n'ai jamais autant savouré et compris Mozart (et c'est pourtant pas faute de l'avoir savourer ! ) !!

Béla Bartók, 14 Bagatelles · 2 Élégies · 6 Danses populaires roumaines · Sonatine · 3 Chansons populaires hongroises.

Zoltán Kocsis, piano.

Philips, 1992. Enregistrement 1991.

Berlioz - Symphonie fantastique - Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire / Constantin Silvestri

Sibelius:Symphonie n°1 (Bernstein)



Envoûtant.

alexandre. a écrit:

le contrepoint arrache tout

Il me semble que nous tenons là une de ces formules définitives qui, peu nombreuses mais haut placées, disent l'ultime de la musique.

Je ne suis pas ironique.

Le rythme, a priori, les effets de masse orchestrale, les nuances FFFF, voilà qui, selon l'opinion commune, arrache tout. Mais il y a plus puissant encore : le contrepoint.

Bach et Haendel arrachent tout, ainsi que les grands polyphonistes des siècles plus anciens. Josquin, ça arrache tout aussi.
Les grandes fugues de bétovitou.

Beethoven : les ouvertures

Béla Bartók, 2 Danses roumaines · 3 Chansons populaires du district de Csík · Allegro barbaro · 4 Nénies · Suite · Noëls roumains · 3 Études · 3 Rondos sur des chansons populaires · Les débutants au piano.

Zoltán Kocsis, piano.

Philips, 1994. Enregistrement 1993.

Joseph Haydn (1732-1809) :

Symphonie n°101 en ré majeur Op. 95 n°2

= Karl Münchinger, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, 19-20 novembre 1954)

Beethoven, Intégrale des sonates pour violon et piano. Haskil, Grumiaux

Joseph Haydn (1732-1809) :

Symphonie n°97 en ut majeur

= Edouard van Beinum, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Decca, mai 1953)

BEETHOVEN Ludwig
- Sonates de piano 1, 2, 3 &4.

"Dieu sait pourquoi, ma musique de piano me fait toujours une très mauvaise impression."

Claude Debussy (1862-1918) :

Quatuor à cordes en sol mineur Op. 10

= Juilliard String Quartet (Robert Mann, Isidore Cohen, Raphael Hillyer, Claus Adam)

(RCA, 7-8 mai 1959)

Bartók - Quatuors à cordes n°1 à n°6 - Juilliard I
C'est méchant. J'ai bien fait de continuer à acheter des versions de ces quatuors. Une version immense.

BEETHOVEN Ludwig
- Quatuor à cordes n°14 opus 131, ut# mineur.

"Après cela, que reste-t-il à écrire ? (F. Schubert)"

alexandre. a écrit:

Bartók - Quatuors à cordes n°1 à n°6 - Juilliard I
C'est méchant. J'ai bien fait de continuer à acheter des versions de ces quatuors. Une version immense.

C'est la version publiée par WHRA ? Tout le coffret est génial !

Chostakovtich, Quatuors 11 à 13. Beethoven Quartet

Mariefran a écrit:

alexandre. a écrit:

Bartók - Quatuors à cordes n°1 à n°6 - Juilliard I
C'est méchant. J'ai bien fait de continuer à acheter des versions de ces quatuors. Une version immense.

C'est la version publiée par WHRA ? Tout le coffret est génial !

Pas encore écouté la 2nde Ecole de Vienne. Mais ces Bartók sont hallucinants. D'une radicalité assez rare en fait, c'est moderne mais sans être clinique, c'est même plutôt violent.

Florent Schmitt (1870-1958) :

Quatuor à cordes Op. 112

= Quatuor Champeil -Jean Champeil, Georges Balbon, Maurice Husson, Manuel Recasens

(Pathé, 7 décembre 1956)