Playlist (72)

Ernest Chausson-Concert(o?) en ré majeur

Julliard string quartet&I.Perlman&J.Bolet

Label Sony BMG 1983

Busnois - Missa "O Crux lignum", Motets, Chansons - The Orlando Consort

Beethoven, Trio des Esprits / Schumann, Trio opus 63. Edwin Fischer, Enrico Mainardi, Wolfgang Schneiderhan, Salzburg, 08/08/1953
Brahms, Trios opus 8, 87 et 101. Edwin Fischer, Enrico Mainardi, Wolfgang Schneiderhan, Salzburg, 04/08/1954
Ce coffret est juste sublime !

Tu as ça dans quel coffret ?
J'ai le petit coffret Orfeo de 4cd, mais malheureusement il n'y a que le 1er des trois de Brahms, et pas le 5ème de Beethoven.  

C'est un collector acheté en 1990  (Hunt 568). La seule version de l'opus 101 par ce trio magique.

Merci. Ils sont vraiment bêtes chez Orfeo sur ce coup là, d'habitude ils ont une propension assez poussée à sortir des intégrales, et pour Fischer ils ne font qu'une anthologie. Ils avaient édité le Geister-Trio en simple, pourquoi ne pas l'avoir mis dans le coffret ?

De toute façon, ce n'est pas le même soir (4 jours plus tôt) que le coffret Orféo pour l'opus 8  

J.S.Bach-L'art de la fugue

Julliard string quartet

Label Sony BMG 1992

Mariefran a écrit:

(4 jours plus tôt)

donc absolument nécessaire ?  

Tu es jaloux ?  

Mozart, Sonate K.330 / Debussy, Pour le piano. Monique Haas
Schumann, Concerto pour piano. Haas, Jochum
Mihalovici, Toccata pour piano et orchestre. Haas, Albert.  

yamaw a écrit:

Mariefran a écrit:

(4 jours plus tôt)

donc absolument nécessaire ?  

Il doit y avoir encore plus spectaculaire, je pense que Mariefran a chez elle les trois Hammerklavier publiées de Richter, enregistrées les 2.VI, 11.VI & 18.VI.1975.  

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Mendelssohn - Trios avec piano n°1 & n°2 - Oistrakh / Knushevitsky / Oborin
Miracle II  

Beethoven : Concertos pour piano n°s 1 et 2
Arthur Schoonderwoerd [ pianoforte ] Ensemble Cristofori : Luigi de Filippe [ premier violon ]

Brahms : Requiem Allemand
- Agnes Giebel [ soprano ] Hans Hotter [ baryton ] Sergiu Celibidache : Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester & Rundfunkchor
- Ileana Cotrubas [ soprano ] Dietrich Fishcer-Dieskau [ baryton ] Carlo Maria Giulini : London Philharmonic Orchestra . Edinburgh International Festival Chorus

Eybler : Requiem
Barbara Schlick [ soprano ] Isolde Assenheimer [ alto ] Harry van Berne [ ténor ] Harry van der Kamp [ basse ] Wolfgang Helbich : Ensemble Vocal d'Alsfeld . Steintor Barock, Ensemble de musique ancienne

Beethoven : Sonates pour piano n°s 3 et 23
Vladimir  Horowitz [ piano ]

alexandre. a écrit:

[...] les trois Hammerklavier publiées de Richter, enregistrées les 2.VI, 11.VI & 18.VI.1975.

   

 
On est donc au moins trois.
Et ça reste toujours un mystère ces Hammerklavier de Richter, il n'a joué ça que pendant deux mois, et il domine complètement l’œuvre, les trois enregistrements sont fabuleux. Une des manifestations les plus spectaculaires de l'ascendant intellectuel que Richter pouvait avoir sur les partitions les plus complexes.

Haydn - Trios Hob.XV:27 & Hob.XV:28 - Oïstrakh / Knouchevitsky / Oborine
Génie de Lev Oborine ! Une conduite incroyable, ce qui est indispensable chez Haydn, et un jeu d'une virtuosité éblouissante, mouvement lent de l'Hob.XV:28 à tomber.

Villa-Lobos:Sextuor Mystique

Ralala c'est vraiment merveilleux.        

Flynt, violin strobe;
l'international (version de flynt, ça va de soi).

alexandre. a écrit:

 
On est donc au moins trois.
Et ça reste toujours un mystère ces Hammerklavier de Richter, il n'a joué ça que pendant deux mois, et il domine complètement l’œuvre, les trois enregistrements sont fabuleux. Une des manifestations les plus spectaculaires de l'ascendant intellectuel que Richter pouvait avoir sur les partitions les plus complexes.

4.  

Hugues Dufourt:Dédale

Non,l'opéra n'est pas mort.

Anton Bruckner (1824-1896) :
 
Symphonie n°2 en ut mineur
 
= Horst Stein, Wiener Philharmoniker
 
(Decca, 26-29 novembre 1973)
 

Tunder - Cantates - Ricercar Consort

Pièces pour luth de François Dufaut,par Hokinson Smith:Pavane en mi mineur,Tombeau de Monsieur Blancrocher,et dans la foulée celui de Louis Couperin.

Par Gustav Leonhardt.

alexandre. a écrit:

yamaw a écrit:

Mariefran a écrit:

(4 jours plus tôt)

donc absolument nécessaire ?  

Il doit y avoir encore plus spectaculaire, je pense que Mariefran a chez elle les trois Hammerklavier publiées de Richter, enregistrées les 2.VI, 11.VI & 18.VI.1975.  
 

Tout le monde ne les a pas ??????  

Carl Maria von Weber (1786-1826) :
 
Ouverture de Euryanthe
 
= Horst Stein, Wiener Philharmoniker
 
(Decca, sept-octobre 1977)
 

Si ce n'est pas indiscret, tu as changé de pseudo? Quel était le précédent?
Parce que là, je ne vois pas du tout qui tu es...

Ripley.

Oui, il n'a pas choisi la continuité diaphane.

alexandre. a écrit:

 
On est donc au moins trois.
Et ça reste toujours un mystère ces Hammerklavier de Richter, il n'a joué ça que pendant deux mois, et il domine complètement l’œuvre, les trois enregistrements sont fabuleux. Une des manifestations les plus spectaculaires de l'ascendant intellectuel que Richter pouvait avoir sur les partitions les plus complexes.

Oui fusion totale dans Beethoven due probablement à des personnalités qui se ressemblent. Je ne dirai pas la même chose dans Schubert ou Chopin où il est généralement assez laborieux.

Dans Schubert il est généralement génial (particulièrement dans D.894 et D.840) et dans Chopin il y a un nombre incalculable de réussites (une intégrale des ballades parmi les meilleures, une intégrale des scherzi parmi les meilleures).

Zaderatsky - Sonate pour piano n°2 - Amirov

Roslavets - Cinq préludes, Deux poèmes - Favorin

Feinberg - Sonate pour piano n°5 - Favorin

Protopopov - Sonate pour piano n°3 - Amirov

alexandre. a écrit:

Dans Schubert il est généralement génial (particulièrement dans D.894 et D.840) et dans Chopin il y a un nombre incalculable de réussites (une intégrale des ballades parmi les meilleures, une intégrale des scherzi parmi les meilleures).

Et dans D 960 alors !
Après, du côté de l'incontestable, il faut mentionner Beethoven, Debussy et Prokofiev, dont il jouait les oeuvres avec lesquelles il avait scellé une alliance quasi mystique.
Pour Chopin, le corpus est plus réduit, mais à ce que cite Alexandre, j'ajoute certaines Etudes.

Villa-Lobos:Forest of amazon (Fleming/Heller)

Epique!

Les roucoulades de Fleming sont elles indispensables?  
Encore une oeuvre qui gagnerait à être exclusivement instrumentale.  

arnaud bellemontagne a écrit:

Villa-Lobos:Forest of amazon (Fleming/Heller)

Epique!

Les roucoulades de Fleming sont elles indispensables?  
Encore une oeuvre qui gagnerait à être exclusivement instrumentale.  

???? Ben non, ces roucoulades sont le chant d'un oiseau... donc elles font partie de l'oeuvre... c'est majoritairement des vocalises en plus. Donc pour moi c'est un instrument parmi d'autres le voix ici.
Après, tu peux tester d'autres versions (comme celle dirigée par Villa-Lobos himself avec Bidu Sayao), tu trouveras peut-être àa moins "vocal" mais franchement, c'est splendide ce que fait Fleming : totalement instrumental dans le majorité des pièces!

arnaud bellemontagne a écrit:

Villa-Lobos:Forest of amazon (Fleming/Heller)

Epique!

Les roucoulades de Fleming sont elles indispensables?  
Encore une oeuvre qui gagnerait à être exclusivement instrumentale.  

Mais quand vas-tu trouver la voix ?

Zeno a écrit:

Mais quand vas-tu trouver la voix ?

Lao-Tseu a dit : "Il faut trouver la voie."
Moi je l'ai trouvée! Je vais vous couper la tête!!


(désolé, vieux réflexe d'un tintinophile marqué par un dessin animé... )

Mendelssohn - Romances sans paroles - Grinberg
Impérissable, un disque fétiche.

alexandre. a écrit:

Mendelssohn - Romances sans paroles - Grinberg
Impérissable, un disque fétiche.

Alors ça, ça m'intéresse : elle rend cette musique écoutable ???

Elle la rend bouleversante : /watch?v=Al-tUbtb4G8

Polyeucte a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Villa-Lobos:Forest of amazon (Fleming/Heller)

Epique!

Les roucoulades de Fleming sont elles indispensables?  
Encore une oeuvre qui gagnerait à être exclusivement instrumentale.  

???? Ben non, ces roucoulades sont le chant d'un oiseau... donc elles font partie de l'oeuvre... c'est majoritairement des vocalises en plus. Donc pour moi c'est un instrument parmi d'autres le voix ici.

C'est vrai.Je faisais surtout allusion au dernier tronçon de l'oeuvre: là ça devient vraiment très vocal.Et ça me gave assez je dois dire.

arnaud bellemontagne a écrit:

C'est vrai.Je faisais surtout allusion au dernier tronçon de l'oeuvre: là ça devient vraiment très vocal.Et ça me gave assez je dois dire.

Ah... bon, je suis fan de Fleming... son timbre et tout...
Mais je trouve justement que ce moelleux de la voix et ces couleurs vont très bien avec ce dernier tronçons, où les grandes envolées lyriques vocales suivent les envolées de l'orchestre... Un superbe tout (où vu que je ne comprends rien du texte, ça reste assez instrumental pour moi aussi! )

C'est surtout que ça sonne chanson sur la fin.C'est ça qui chiffonne.  
Mais entendons nous bien: c'est de l'envolée symphonique de haute volée cette pièce.  

arnaud bellemontagne a écrit:

C'est surtout que ça sonne chanson sur la fin.C'est ça qui chiffonne.  
Mais entendons nous bien: c'est de l'envolée symphonique de haute volée cette pièce.  

Ah d'accord... oui, un peu chanson de fin de film... mais en même temps... 
Moi j'aime bien!

Marais : Alcyone, Christie
LULLY : Amadis, Rousset
Montéclair : Jephté, Christie

Schubert-D958, D960-Richter. Je trouve vraiment ça trop épais.

arnaud bellemontagne a écrit:

C'est surtout que ça sonne chanson sur la fin.C'est ça qui chiffonne.  
Mais entendons nous bien: c'est de l'envolée symphonique de haute volée cette pièce.  

Il suffit d'écouter une autre version.  

Schubert D960-Brendel

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

C'est surtout que ça sonne chanson sur la fin.C'est ça qui chiffonne.  
Mais entendons nous bien: c'est de l'envolée symphonique de haute volée cette pièce.  

Il suffit d'écouter une autre version.  

Non en fait c'est la mélopée elle même qui m'insupporte.
C'est en fait tout le côté "pathos larmoyant sud-américain" de Villa-Lobos qui me hérisse un peu.
Je suis plus sensible à son génie des couleurs et à son souffle épique.  

Stravinsky: Le Sacre du printemps/Dudamel

     

Xavier a écrit:

Stravinsky: Le Sacre du printemps/Dudamel

     

Et que penses-tu de l'interprétation ? Ton avis m'intéresse beaucoup car ce chef ne laisse vraiment pas indifférent.