Playlist (72)

Fuligo a écrit:

Le chevalier a la rose m'aura quand même tenue soigneusement éloignée de Strauss pendant une grosse dizaine d’années. J'avais détesté a un point... peut-être temps de retenter.

Essaie Arabella, c'est un peu dans le même goût, sauf que c'est vraiment meilleur (pour la musique, pour le livret, pour la cohérence d'ensemble...).

Lucien a écrit:

Oustvolskaïa, Sonates pour piano nº1, 2, 4, 5 & 6.  à  (pourtant, c’est typiquement le genre de rythme que j’aime bien...)

Oui, pourtant c'est bien Utvolskaya (pour ces noms rares, grand dilemme... graphie anglaise qu'on voit partout, ou française ?), et ses sonates ne font pas exception, il y a beaucoup d'atmosphère et de qualités.

Polyeucte a écrit:

FROSCH??? Euh... t'as dû écouter la mauvaise version. Au contraire, c'est d'une délicatesse et d'une construction hyper fouillée et en rien massif!

En rien massif, il ne faut peut-être pas exagérer non plus. Il est vrai que ce n'est pas le Strauss le plus chambriste (ni le plus subtil), même si c'est évidemment une œuvre remarquable.

Polyeucte a écrit:

Et même dans les passages "massifs", on est loin de ce que Strauss a peu faire dans Elektra...

Pas d'accord.

Zeno a écrit:

Tu soulèves là un sujet passionnant. Tu nous dis donc qu'à force de fréquenter une musique, de trop la connaître, tu l'aimes moins ? Il me semble que David raisonne un peu de cette façon également.

Non, ça dépend vraiment des musiques (et c'est indépendant de leur qualité ou même de mon attrait pour elles). Mais effectivement, c'est un clivage présent chez les mélomanes, il y a ceux qui ressassent et ceux qui butinent, et ce n'est pas forcément un choix !

Citation :

Et toi, Cololi, ça finit par te gaver ???

Franchement, le Voyage d'Hiver, après l'avoir joué/chanté plusieur fois par semaine pendant des années, après en avoir écouté soixante ou soixante-dix versions (dont certaines réécoutées régulièrement), j'ai un peu de difficulté à l'écouter deux fois à la suite maintenant.

Cololi a écrit:

Une chose est certaine cependant le "grand orchestre" a beaucoup moins ma faveur qu'avant.

Le séjour chez les Verdurin t'a profondément changé.

Cololi a raison, l'orchestre c'est nul.

Je m'arrêterai à la demi-douzaine d'occurrences, il ne faut pas pousser non plus.

fgero a écrit:

Schmitt Crépuscules, Ombres (Wagschal)

Sous leur abord accessible, ces pièces me semblent magnifiques voire majeures.

Complètement !
Excellente version au passage.

Xavier a écrit:

D'ailleurs tu viens encore de dire des bêtises sur la 6è de Mahler qui est une des 2-3 plus inspirées.  

On peut vraiment hiérarchiser les Symphonies de Mahler ? Elles sont tellement différentes... comment comparer la 2 et la 3 à la 6 et la 7 (sauf en disant que la 2 et la 3 sont infiniment mieux, je veux dire ) ?

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi,

Bien sûr que non... il y a un tel fossé entre les quatre premières et les trois suivantes, qu'on peut aimer les unes à l'exclusion des autres.

Cololi est du même côté de la barrière que moi, donc Cololi a raison.

Plus que trois !

Schmitt, Quintette / Ombres opus 64. Quatuor de Berne, Werner Bärtschi

Chosta : symphonie n °1
Première écoute  

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi est du même côté de la barrière que moi, donc Cololi a raison.

Plus que trois !

Courage courage... tu as bientôt terminé... 

DavidLeMarrec a écrit:

Fuligo a écrit:

Le chevalier a la rose m'aura quand même tenue soigneusement éloignée de Strauss pendant une grosse dizaine d’années. J'avais détesté a un point... peut-être temps de retenter.

Essaie Arabella, c'est un peu dans le même goût, sauf que c'est vraiment meilleur (pour la musique, pour le livret, pour la cohérence d'ensemble...).

Quel dommage cette pique sur le Chevalier, on serait d'accord sur tout le reste sinon  
Avoue que ça te fait flipper ça  

Citation :

Polyeucte a écrit:

FROSCH??? Euh... t'as dû écouter la mauvaise version. Au contraire, c'est d'une délicatesse et d'une construction hyper fouillée et en rien massif!

En rien massif, il ne faut peut-être pas exagérer non plus.  Il est vrai que ce n'est pas le Strauss le plus chambriste (ni le plus subtil), même si c'est évidemment une œuvre remarquable.

  

Citation :

Polyeucte a écrit:

Et même dans les passages "massifs", on est loin de ce que Strauss a peu faire dans Elektra...

Pas d'accord.

 

Citation :

Non, ça dépend vraiment des musiques (et c'est indépendant de leur qualité ou même de mon attrait pour elles). Mais effectivement, c'est un clivage présent chez les mélomanes, il y a ceux qui ressassent et ceux qui butinent, et ce n'est pas forcément un choix !

 

Citation :

Franchement, le Voyage d'Hiver, après l'avoir joué/chanté plusieur fois par semaine pendant des années, après en avoir écouté soixante ou soixante-dix versions (dont certaines réécoutées régulièrement), j'ai un peu de difficulté à l'écouter deux fois à la suite maintenant.

C'est pour ça que je déteste les écoutes comparées.
Voilà pourquoi perso ... Winterreise n'est pas épuisé ... car je n'en ai pas du tout abusé  

Citation :

Cololi a écrit:

Une chose est certaine cependant le "grand orchestre" a beaucoup moins ma faveur qu'avant.

Le séjour chez les Verdurin t'a profondément changé.

Cololi a raison, l'orchestre c'est nul.

Je m'arrêterai à la demi-douzaine d'occurrences, il ne faut pas pousser non plus.

Verdurin ? Ce mélange de bon goût mal digéré à cause de sa bourgeoisie, se transformant inévitablement en snobisme et mauvais goût ?
Non ... je préfère Charlus ! Il n'a pas besoin de tricher lui. Il aime l'Art (et puis un zélateur de Balzac, Haendel et Bach comme Charlus ne peut être mauvais).
Donc séjour chez Verdurin je veux bien ... mais influencé seulement par le baron alors !

Et oui Cololi a encore raison  

Citation :

On peut vraiment hiérarchiser les Symphonies de Mahler ?  Elles sont tellement différentes... comment comparer la 2 et la 3 à la 6 et la 7 (sauf en disant que la 2 et la 3 sont infiniment mieux, je veux dire ) ?

 

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Polyeucte a écrit:

Courage courage... tu as bientôt terminé... 

Je suis sûr que personne n'a envie d'être à ma place en ce moment !

Cololi a écrit:

Quel dommage cette pique sur le Chevalier, on serait d'accord sur tout le reste sinon  

Ce n'était pas une pique sur le Chevalier (qui va très bien, merci), simplement le constat qu'Arabella est plus homogène, et en plus davantage aboutie. Il faut dire que ça arrive considérablement plus tard dans sa carrière.

Citation :

C'est pour ça que je déteste les écoutes comparées.
Voilà pourquoi perso ... Winterreise n'est pas épuisé ... car je n'en ai pas du tout abusé  

J'ai mis quand même dix ans à m'en détourner un peu, alors que je le jouais un jour sur deux et que je l'écoutais très régulièrement aussi... Et dès que je le laisse reposer quelques mois, j'ai envie d'y revenir, et je m'en engloutis une poignée de nouvelles versions en quelques jours.

Citation :

Et oui Cololi a encore raison  

Ah, ça compte aussi quand c'est toi qui le dis ?

Cololi a écrit:

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Les 5-10 premières écoutes j'étais comme toi, je me demandais même pourquoi il avait écrit tout ce magma encore plus long et bruyant que d'habitude...
Puis, assez rapidement, j'ai pensé exactement le contraire de ce mouvement (devenu pour moi un des trois grands de Mahler, avec l'andante comodo de la 9e et peut-être la 10e).

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Courage courage... tu as bientôt terminé... 

Je suis sûr que personne n'a envie d'être à ma place en ce moment !

Quelle bande d'enflures vous faites !

Mozart, Fantaisies K.475, 394 à 397. Demus  

Pfitzner - Préludes de Palestrina
Mozart - Symphonie n°40
Brahms - Symphonie n°4

Berliner Philharmoniker
Wilhelm Furtwängler
Wiesbaden, 10.VI.1949

J'ai récupéré le Tahra avec le concert complet  (et le son est quasi miraculeux pour 1949, merci aux preneurs de son de la radio hessoise).

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Si j'osais je dirais que tu ne l'a pas vraiment assimilé.  
C'est sans doute un des mouvements(voire le mouvement) les plus complexes du corpus malherien.

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Si j'osais je dirais que tu ne l'a pas vraiment assimilé.  
C'est sans doute un des mouvements(voire le mouvement) les plus complexes du corpus malherien.

Sur ce mouvement c'est possible.

Il faut perseverer.  

Sinon, ça sert à quoi qu'on se décarcasse.

Mozart, Concerto pour clarinette / Quintette pour clarinette. Antony Morf, Armin Jordan, Quatuor Via Nova
St Saens, Poulenc, Sonates pour clarinette, Milhaud, Duo concertant, Schmitt, Andantino, Honegger, Sonatine, Debussy, Petite pièce. Claude Faucomprez, Alain Raes

Stravinski:L'Oiseau de Feu (Dorati)

Cette oeuvre c'est un rêve... 

Stravinski:Le Sacre du Printemps (Salonen II)

Version très lechée.
Un peu mou mais les augures printaniers sont reussis (car pris très lentement).

EDIT:je voulais bien entendu parler des rondes printanières.

arnaud bellemontagne a écrit:

Stravinski:L'Oiseau de Feu (Dorati)

Cette oeuvre c'est un rêve... 

sur cette version, le rêve n'est pas que dans l'oeuvre : c'est Dorati qui enflamme tout ça (ainsi que les sorciers-ingés de prise de son Mercury LP ) !!

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Si j'osais je dirais que tu ne l'a pas vraiment assimilé.  
C'est sans doute un des mouvements(voire le mouvement) les plus complexes du corpus malherien.

Oui... et pourtant ça m'a parlé tout de suite, sans évidemment tout comprendre alors que d'autres symphonies, comme la 2 et la 3, la 7 aussi, j'ai beau insister...

Franck, Quintette. Samson François, Quatuor Bernède
Debussy / Albeniz, Iberia. Orch. National de l'ORTF, Munch

Chostakovitch, 24 préludes et fugues (Nikolaïeva, 1990).  à  

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Si j'osais je dirais que tu ne l'a pas vraiment assimilé.  
C'est sans doute un des mouvements(voire le mouvement) les plus complexes du corpus malherien.

Oui... et pourtant ça m'a parlé tout de suite, sans évidemment tout comprendre alors que d'autres symphonies, comme la 2 et la 3, la 7 aussi, j'ai beau insister...

La 3 c'est p être ma préférée !! Enfin après la 1°.
L'adagio de la 10 ... ça par contre ... je suis encore et toujours conquis (c'est tellement hallucinant, tellement au dessus de tout que c'est inusable).
La 2° évidemment ce fut le choc ... mais je m'en suis lassé.
La 7° évidemment plus dur, mais très intéressant.

Franz Schubert (1797-1828) :

Sonate en ut mineur D 958

= Leif Ove Andsnes, piano

(Emi, avril 2006)

Brahms, Concerto pour violon. Ginette Neveu, Orch Symph. Radio Hambourg, Hans Schmidt-Issertedt (13/05/1948)  

Franz Schubert (1797-1828) :

Sonate en la majeur D 959

= Leif Ove Andsnes, piano

(Emi, août 2001)

Saint-Saens, hors-d'oeuvre assortis et troisième symphonie. Daniel Barenboïm et l'OP (dans les hors d'oeuvre) et le Chicago Symphony (dans le plat principal). La table d'hôte pour 8 euros  .

Cololi a écrit:

L'adagio de la 10 ... ça par contre ... je suis encore et toujours conquis (c'est tellement hallucinant, tellement au dessus de tout que c'est inusable).

Oui, et les autres mouvements reconstitués ensuite font tellement pâle figure à côté...
Mais tu vois, même la 9 que j'adore, je n'arrive pas à la trouver aussi parfaite d'un bout à l'autre que la 6.

Wagner: Parsifal, acte 2/Leitner

     

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle (avec Sophie Marceau en récitante)

     

Bach, Fantaisie chromatique et fugue BWV 903 (Ioudina*).

* 

Xavier a écrit:

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle (avec Sophie Marceau en récitante)

     

Sophie Marceau ??  
Tu m'excuseras de préférer le mystique Lonsdale !

fgero a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Stravinski:L'Oiseau de Feu (Dorati)

Cette oeuvre c'est un rêve... 

sur cette version, le rêve n'est pas que dans l'oeuvre : c'est Dorati qui enflamme tout ça (ainsi que les sorciers-ingés de prise de son Mercury LP ) !!

En effet c'est assez dingue cette prise de son et cette direction!  

Cololi a écrit:

La 2° évidemment ce fut le choc ... mais je m'en suis lassé.

Tout fout le camp.  

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle (avec Sophie Marceau en récitante)

     

Sophie Marceau ??  
Tu m'excuseras de préférer le mystique Londsdale !

Ou Caron qui est assez Space, ce qui colle bien avec l'œuvre

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Oui, franchement, pour Mahler 6, Cololi, tu es le seul à penser ça (à moins de ne pas aimer Mahler en soi, ce qui n'est pas une tare, et pas ton cas quand même).
Cette symphonie est un monument, une vraie bombe, Mahler s'y dévoile comme jamais et le dernier mouvement est une épopée à lui seul. Quelle richesse, c'est inépuisable ! D'où le débat discographique la concernant, plus passionnant que pour toute autre, je trouve (ne serait-ce que les problèmes de tempo).
Tiens, pour la peine, et pour recoller au sujet, je viens de réécouter la version Bernstein, sa première, gravée avec le NYP et c'est fantastique !

Le final est vraiment ce que j'aime le moins dans cette symphonie  

Si j'osais je dirais que tu ne l'a pas vraiment assimilé.  
C'est sans doute un des mouvements(voire le mouvement) les plus complexes du corpus malherien.

Oui... et pourtant ça m'a parlé tout de suite, sans évidemment tout comprendre alors que d'autres symphonies, comme la 2 et la 3, la 7 aussi, j'ai beau insister...

La 3 c'est p être ma préférée !! Enfin après la 1°.
L'adagio de la 10 ... ça par contre ... je suis encore et toujours conquis (c'est tellement hallucinant, tellement au dessus de tout que c'est inusable).
La 2° évidemment ce fut le choc ... mais je m'en suis lassé.
La 7° évidemment plus dur, mais très intéressant.

Il m'a fallu pour chaque symphonie, pas loin de 3 ou 4 écoutes fastidieuses (vraiment fastidieuse ou je me faisais chi***) pour maintenant l'adorer et l'élever au rang du Maitre.   Le seul mouvement que je n'ai pas encore écouté: le dernier de la 9ème (je le réserve pour une grande occasion)

arnaud bellemontagne a écrit:

Citation :

Cololi

Citation :

La 2° évidemment ce fut le choc ... mais je m'en suis lassé.

Tout fout le camp.  

 Comme tu dis... Rien que le Totenfeier, Urlicht et ce dernier mouvement de 30 minutes sont absolument gigantissime!! Impossible de s'en lasser

Lieder, Sibelius - Von Otter, Hynninen

Lieder, Reger - DFD, Von Otter, Schaffer

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle (avec Sophie Marceau en récitante)

     

Sophie Marceau ??  
Tu m'excuseras de préférer le mystique Lonsdale !

Une version va sortir en septembre, avec Nabila en récitante.  

Zeno a écrit:

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Debussy: Le Martyre de Saint Sébastien/Rattle (avec Sophie Marceau en récitante)

     

Sophie Marceau ??  
Tu m'excuseras de préférer le mystique Lonsdale !

Une version va sortir en septembre, avec Nabila en récitante.  

C'est un peu ça dans mon esprit oui  
Non mais allo quoi !!!

schubert-D960-Radu Lupu, Brendel et Richter

sebby a écrit:

schubert-D960-Radu Lupu, Brendel et Richter

Et alors, tes commentaires ?

Milhaud:Symphonie n°7 (Francis)

Sympathique.

Voilà, c'est le mot. Sympathique.

Bruckner : Quintette-Quatuor Melos  
Intermezzo   
C'est vraiment une caricature de Bruckner ce quintette…

N'embête pas Cololi, il a moins de goût qu'avant pour l'orchestre, alors il fait un séjour de désintoxication au casino de Vichy.   

Zeno a écrit:

alors il fait un séjour de désintoxication au casino de Vichy.   

Il en a de la chance... il est super beau le théâtre du Grand Casino de Vichy (souvenirs souvenirs... )

Stravinski: Le Sacre du Printemps (Boulez Sony)

Les Rondes printanières sont insurpassables!  

Vivaldi-Concerto pour basson-Stabat Mater

arnaud bellemontagne a écrit:

Stravinski: Le Sacre du Printemps (Boulez Sony)

Les Rondes printanières sont insurpassables!  

C'est pas de saison!  

Après-midi Stabat Mater:

Après Vivaldi, ce seront: Schubert, Poulenc, Pergolèse, Boccherini, Szymanowski, Pärt, Haydn, Dvořák.