Playlist (73)

Abbado oui je l'avais écouté, mais distraitement... pour l'instant j'ai encore du mal à me repérer vraiment dans cet opéra, et les différentes éditions de l'oeuvre n'y aident pas vraiment, je me retrouve à écouter quelque chose de différent à chaque fois.
Je ne sais même pas quel acte j'écoute en fait là sur le DVD.  

Je viens de finir les deux premiers actes de la Walkyrie en DVD par Levine.

Étant un habitué de la version studio de Karajan j'ai trouvé que l'orchestre manquait parfois un peu de puissance. Même si ça reste du très grand Wagner. Et la captation est excellente.

Et puis cette mise en scène...mon dieu que c'est laid...

Du coup je repars sur la 11ème de shostakovitch par Jansons

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte I (Dervaux)

Je découvre.  

Vincent r a écrit:

Je viens de finir les deux premiers actes de la Walkyrie en DVD par Levine.

Étant un habitué de la version studio de Karajan j'ai trouvé que l'orchestre manquait parfois un peu de puissance. Même si ça reste du très grand Wagner. Et la captation est excellente.

Et puis cette mise en scène...mon dieu que c'est laid...

C'est quelle mise en scène? Schenk ou Lepage?

Manque de puissance, j'avoue que j'ai du mal à voir de quoi tu parles.
La "puissance" de Karajan n'est due qu'aux micros, c'est une version plutôt chambriste d'ailleurs... (à moins que tu parles de puissance expressive, mais je n'ai pas compris ça)

arnaud bellemontagne a écrit:

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte I (Dervaux)

Je découvre.  

Attention ce n'est pas le même Poulenc que celui des Biches et des Animaux modèles.  

Xavier,

Après vérification il s'agit de la version Lepage.
Effectivement je parlais plutôt de puissance expressive : avec Karajan je rentre tout de suite dans l'œuvre, elle me parle plus. Je vis la tempête puis me sens réconforté à l'arrivée de sieglinde...bref je j'oppose que tu as compris

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte I (Dervaux)

Je découvre.  

Attention ce n'est pas le même Poulenc que celui des Biches et des Animaux modèles.  

Ouais ben pour l'instant je peux te dire que j'aime sacrément ce que j'entends.  
Quelle musique émouvante!


EDIT: j'ai ce coffret

arnaud bellemontagne a écrit:

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte I (Dervaux)

Je découvre.  

Attention ce n'est pas le même Poulenc que celui des Biches et des Animaux modèles.  

Ouais ben pour l'instant je peux te dire que j'aime sacrément ce que j'entends.  
Quelle musique émouvante!


EDIT: j'ai ce coffret

ça fait plaisir à lire ! Moi franchement j'aurai pas parié gros que tu accroches.
Mais oui évidemment c'est génial.

Orlando di Lasso (1532–1594), Il Canzoniere di Messer Francesco Petrarca, extraits

Huelgas-Ensemble
Paul Van Nevel, direction

HM, 2004 (enregistrement 2003)

Ohana: Nuit de Pouchkine/Hayrabedian

   

Ohana: Tombeau de Louize Labé/Hayrabedian

   

Arapov : Quatre Saisons (1978)/Rozhdestvensky and Co.
Concerto pour violon (1963-64)/Vaiman-A. Jansons
Lokshin : Symphonie n° 11 (1976)/Sokolenko-Rozhdestvensky

Après-midi Tchaikovsky :
Tchaikovsky :Concerto pour piano n°1 (Sviatoslav Richter, Evguéni Mravinski, 1955)
Tchaikovsky : Symphonie n°2 en ut mineur "Petite Russie" (Evgeny Svetlanov, 1990)
Tchaikovsky : La Tempête (Claudio Abbado, 1984)
Tchaikovsky : Roméo et Juliette, duo pour soprano et ténor (Sergei Lemeshev, Tatiana Lavrova, Samuil Samosud, 1953)
Tchaikovsky : Roméo et Juliette (Thomas Dausgaard, 2011)
Tchaikovsky : Trio pour piano en la mineur (Yahudi Menuhin, Hephzibah Menuhin, Maurice Eisenburg, 1939)
Tchaikovsky : Ouveture 1812 (Claudio Abbado, 1990)
Tchaikovsky : Francesca da Rimini (Evgeny Svetlanov, 1994)

Et pour terminer de façon délicate et légère

Tchaikovsky : Marche du couronnement festive (Evgeny Svetlanov, 1994)

=> Bernier - Benedic Anima Mear - Schneebeli     
=> Robert - De Profundis - Schneebeli     
=> Formé - Domine salvum fac Regem - Schneebeli     
=> Charpentier - Le Reniement de sain Pierre - Académie Vocale de Paris.      
Pour la première fois vraiment convaincu par cette œuvre !
=> Charpentier - Le Reniement de sain Pierre - Académie Vocale de Paris (bis)


=> Verdi - Aida, Trio de l'acte I - Karajan II      
=> Verdi - Aida, Trio de l'acte I - Serafin   
Mon Dieu, la sirène de Callas dans l'aigu.
=> Verdi - Aida, Trio de l'acte I - Mehta.    
Nilsson toujours flasque, fausse et moche, je ne m'y fais vraiment pas dans ce répertoire.


=> Tchaïkovski - Liturgie de saint Jean Chrysostome
pour le plain-chant, pour les chœurs
=> Tchaïkovski - Moskva - Dallas SO, Litton    
Découverte de la version. Un peu mou.
=> Tchaïkovski - Moskva - Radio de Moscou, Cherkasov (Musical Concepts)     
Là, ça fonctionne ! Celle que j'écoute usuellement (ou Gergiev).


=> Górecki – Wisło moja, Wisło szara - Chicago, Nelson     
=> Górecki – A ta nasza Narew - Chicago, Nelson
=> Górecki – Oj, kiedy na Powiślu - Chicago, Nelson
=> Górecki – Oj, Janie, Janie - Chicago, Nelson
=> Górecki – Polne róże rwała - Chicago, Nelson
=> Górecki – Szeroka woda - Chicago, Nelson


=> Schubert, Alfonso und Estrella, Suitner     
Tellement dommage que l'orchestre paraisse mou à force d'être rejeté au fond de la prise de son... Mais quand même beaucoup mieux qu'il m'avait semblé les dernières fois.

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte 2 et Acte 3 (Dervaux)

Une oeuvre magnifique qui distille tout du long une émotion à la fois profonde et contenue.

La fin m'a remué...j'en tremble encore  

arnaud bellemontagne a écrit:

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte 2 et Acte 3 (Dervaux)

Une oeuvre magnifique qui distille tout du long une émotion à la fois profonde et contenue.

La fin m'a remué...j'en tremble encore  

Oui ... et quelle misère de la version Nagano ne soit plus dispo !

En fait j'arrive tout simplement pas à croire comment Poulenc a pu pondre un truc d'une telle hauteur de vue tellement tout ce que j'ai écouté de lui accrédite l'image d'un compositeur léger, truculent, rieur et ludique.

arnaud bellemontagne a écrit:

En fait j'arrive tout simplement pas à croire comment Poulenc a pu pondre un truc d'une telle hauteur de vue tellement tout ce que j'ai écouté de lui accrédite l'image d'un compositeur léger, truculent, rieur et ludique.

C'est une autre face de Poulenc (il en a quelques autres, comme la profondeur de ses chœurs a cappella ou le prosaïsme de ses mélodies les plus gauloises).

Je ne suis pas convaincu par le détail de cette œuvre (la prosodie aussi bien que la musique), mais je dois dire que c'est l'une de celles qui m'emportent le mieux dans un univers particulier. Très grand.

arnaud bellemontagne a écrit:

En fait j'arrive tout simplement pas à croire comment Poulenc a pu pondre un truc d'une telle hauteur de vue tellement tout ce que j'ai écouté de lui accrédite l'image d'un compositeur léger, truculent, rieur et ludique.

Alors il faut au moins que tu écoutes le Stabat Mater. (et le Gloria qui va d'un côté à l'autre)

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Poulenc:Dialogues des Carmélites Acte 2 et Acte 3 (Dervaux)

Une oeuvre magnifique qui distille tout du long une émotion à la fois profonde et contenue.

La fin m'a remué...j'en tremble encore  

Oui ... et quelle misère de la version Nagano ne soit plus dispo !

Ca se trouve quand même: http://www.priceminister.com/offer/buy/148297/Poulenc-Francis-Dialogues-Des-Carmelites-Dubosc-Yakar-Van-Dam-Opera-De-Lyon-CD-Album.html

De toute façon, pour une fois, les deux versions les plus couramment disponibles (Dervaux en CD, Latham-König en DVD) sont de loin les mieux chantées et les plus intenses, alors...

Ah quand même, moi j'adore Dubosc ici. Et l'orchestre de Nagano est superbe.

Xavier a écrit:

Ah quand même, moi j'adore Dubosc ici. Et l'orchestre de Nagano est superb.

En fait, en Blanche, je ne sais que choisir entre Dubosc, Lott et Duval...
Mais oui, Nagano offre des choses magnifique. Y a juste une Mère Marie un peu juste je trouve...

Oui, on entend mieux l'orchestre, c'est sûr, mais la déconnexion avec le chant (comme souvent chez Nagano, il paraît qu'il ne se préoccupe pas beaucoup des plateaux) est assez audible, alors ce qu'on gagne, on le perd au bout du compte.

Et puis même si Dubosc (que j'aime beaucoup) est très bien... comment rivaliser avec Duval-Scharley-Crespin-Gorr ?

Polyeucte a écrit:

Xavier a écrit:

Ah quand même, moi j'adore Dubosc ici. Et l'orchestre de Nagano est superb.

En fait, en Blanche, je ne sais que choisir entre Dubosc, Lott et Duval...
Mais oui, Nagano offre des choses magnifique. Y a juste une Mère Marie un peu juste je trouve...

Lott c'est dans quelle version?

EDIT: ah oui, c'est Marty, je n'ai pas écouté cette version.

Cras Quintette avec piano

 qu'est ce qu'on se sent BIEN après avoir écouté ça  

Escaich: La Barque solaire/Märkl

    

Xavier a écrit:

Polyeucte a écrit:

Xavier a écrit:

Ah quand même, moi j'adore Dubosc ici. Et l'orchestre de Nagano est superb.

En fait, en Blanche, je ne sais que choisir entre Dubosc, Lott et Duval...
Mais oui, Nagano offre des choses magnifique. Y a juste une Mère Marie un peu juste je trouve...

Lott c'est dans quelle version?

EDIT: ah oui, c'est Marty, je n'ai pas écouté cette version.

Orchestralement moins bien que Nagano, vocalement moins bien que les deux...

Charles Tournemire, Musique orante (Quatuor Ysaÿe)

Aulis Sallinen

Barabbas Dialogues pour baryton, mezzo-soprano, basse-baryton, soprano, ténor, narrateur et sept musiciens; accordéon, violon, violoncelle, flûte, clarinette, percussion et piano.
Sans doute mon oeuvre préférée d'Aulis Sallinen. Entre oratorio et opéra.
    

Escaich: Les Nuits hallucinées/Gubisch, Märkl

    

Cras journal de bord

Anton Bruckner (1824-1896) :
 
Symphonie n°4 en mi bémol majeur
 
= Günter Wand, Berliner Philharmoniker
 
(30 janvier-01er février 1998)
 

Thomas Tallis, Spem in Alium non habui (Huelgas, Van Nevel)

Miaskovsky: Symphonie n°4/Svetlanov

  

J. S. Bach, Cantates BWV 83, 82, 125, 200
 à   

Robin Tyson, contre-ténor
Paul Agnew, ténor
Peter Harvey, basse

The Monteverdi Choir
The English Baroque Soloists

John Eliot Gardiner, direction

Archiv, 2000

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

En fait j'arrive tout simplement pas à croire comment Poulenc a pu pondre un truc d'une telle hauteur de vue tellement tout ce que j'ai écouté de lui accrédite l'image d'un compositeur léger, truculent, rieur et ludique.

Alors il faut au moins que tu écoutes le Stabat Mater. (et le Gloria qui va d'un côté à l'autre)

Poulenc:Stabat Mater (Dutoit)

Contrairement au Dialogues des Carmélites, ça m'a ennuyé du début à la fin.
Je ne suis vraiment pas fait pour la musique sacrée.  


Villa-Lobos:Concerto pour violoncelle n°1 (Perez)

Belle réussite.  
Une de plus!
Ah, Heitor!

Villa-Lobos:Concerto pour violoncelle n°2 (Perez)

Très bon aussi!  

De Bitelz, l'album Abbey Road, nouvellement réédité (remastérisé?)      Je me souviens très clairement du hoopla causé par cette parution. C'est à cette époque que mes goûts se sont affirmés, que ma différence s'est fait jour. Exit la Pop, bienvenue le Classique...

Billy Joel: Fantasias and Delusions. Un album de pièces pour piano dont le style rappelle Debussy, Chopin, Satie. Très surprenant venant d'un musicien connu comme un des géants de la Pop.    

Mahler: la troisième, dans la version COA de Haitink (1967?). Ma première version sur disque, et sans doute celle qu'à ce jour je préfère, fut celle de Horenstein sur Nonesuch, avec Norma  Proctor. Celle-ci (et la superbe version de Heinz Rögner sur Berlin Classics) la suivent de près. Les timbres crépusculaires des cuivres, le frémissement des cordes du Concertgebouw sont tout simplement uniques.      Et je ne parle pas de la prestation saturnine de Forrester dans le poème de Nietzsche.

Wagner: Rienzi/Steinberg

Presque     (et j'assume!)

Messiaen: Harawi/Von Osten

     

Mompou: Musica Callada.

Xenakis, Psappha

RAMMSTEIN / a voir leurs concerts absolument en DVD, un classique pour plus tard et déjà pour maintenant!  

Sciarrino
Sonate piano 1
Damerini

Günter Raphael /symphonies de 2 à 5 avec des chefs aussi divers que Célibidache ou Schmidt-Isserstedt, une musique post-romantique qui se laisse facilement écouter et dont je ne sais quoi penser, de beaux moments et beaucoup d'invention, il n'a pas interessé ces chefs par hasard? :CPO:ptdr: 

Dommage qu'à côté de chaque oeuvre citée ,il n'y ait pas un petit commentaire subjectif, ça serait un plus sinon ça fait un peu catalogue de la Redoute ? 

Johannes Ockeghem (ca 1420–1497), Missa Cuiusvis Toni
 à   

Ensemble Musica Nova
Lucien Kandel, direction

Æon, 2007

André a écrit:

Mahler: la troisième, dans la version COA de Haitink (1967?). Ma première version sur disque, et sans doute celle qu'à ce jour je préfère, fut celle de Horenstein sur Nonesuch, avec Norma  Proctor. Celle-ci (et la superbe version de Heinz Rögner sur Berlin Classics) la suivent de près. Les timbres crépusculaires des cuivres, le frémissement des cordes du Concertgebouw sont tout simplement uniques.      Et je ne parle pas de la prestation saturnine de Forrester dans le poème de Nietzsche.

Bien d'accord avec toi sur cette version  . Connais-tu aussi celle de Vaclav Neumann, dans le cadre de son intégrale avec la Philharmonie tchèque ? En termes de couleurs, je n'ai rien entendu de mieux jusqu'à présent - quel orchestre !

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Mahler : 9e symphonie, Klemperer

Inflexible, parfois roide jusqu'à l'indifférence. C'est très étrange d'entendre Mahler joué ainsi, sans aucune inflexion ; au profit de l'architecture d'ensemble, mais cette vision reste complètement anti-dramatique.