Playlist (75)

alexandre. a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Surtout, c'est la démarche même de juger ce pianiste, inestimable par son défrichage à très haut niveau du répertoire très rare, mais aussi très virtuose (généralement évité même par les plus grands), sur la qualité de ce qu'il fait dans une œuvre rebattue où l'on n'a pas besoin de lui.

Les plus grands ont évité Alkan parce-que c'est de la musique destinée à être oubliée.

Et Busoni, Medtner, Roslavets, Dukas, Decaux? C'est tout naze aussi?

 

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°9 en ré mineur Op. 125

= Phyllis Curtin, Florence Kopleff, John McCollum, Donald Gramm

Fritz Reiner, Chicago Symphony Orchestra & Chorus

(RCA, 1-3 mai 1961)

Tournemire, Cinq improvisations · Office de l’Assomption (Landale) + grégorien

Xavier a écrit:

alexandre. a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Surtout, c'est la démarche même de juger ce pianiste, inestimable par son défrichage à très haut niveau du répertoire très rare, mais aussi très virtuose (généralement évité même par les plus grands), sur la qualité de ce qu'il fait dans une œuvre rebattue où l'on n'a pas besoin de lui.

Les plus grands ont évité Alkan parce-que c'est de la musique destinée à être oubliée.

Et Busoni, Medtner, Roslavets, Dukas, Decaux? C'est tout naze aussi?

Medtner n'a pas été évité par les grands : au-delà des enregistrements de Medtner lui-même, ses oeuvres ont été jouées (et enregistrées) par Maria Grinberg, Tatiana Nikolaïeva, Emil Guilels, Sviatoslav Richter, Maria Yudina, Evgeny Svetlanov, Benno Moiseiwitsch, et Boris Berezovsky plus récemment.

Busoni a été beaucoup joué au début du siècle, et par de très importants pianistes dont un certain nombre des propres élèves de Busoni (Petri par exemple fût un champion de la musique de Busoni).

Pour Roslavets c'est plus particulier, comme pas mal de soviétiques, il y a un cas de force majeure qui fait que les partitions n'étaient pas disponibles (ou très difficilement). Et parmi toutes les interprétations que je connais de sa musique, celles d'Hamelin sont parmi les moins bonnes.

Claude Debussy (1862-1918) :

Suite bergamasque

= Tamás Vásáry, piano

(DG, avril 1969)

alexandre. a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

D'abord, je suis assez persuadé que si j'écoutais ça (pas envie en ce moment, j'écoute des trucs bien plus intéressants sympas, Giselle et des reprises de Barbara), je ne serais pas de cet avis, et je n'oserais certainement pas ces grands mots.

Et pourtant il paraît que sur certaines bandes de concert Furtwängler nous donne des interprétations qui relèvent de la quasi-imposture.

Tu mets donc Hamelin et Furtwängler sur le même plan?
Des génies qui peuvent se planter, une fois de temps en temps...  

Claude Debussy (1862-1918) :

Préludes -Livre I

= Dino Ciani, piano

(DG, avril 1972)

Henze: L'Upupa, opéra de 2003. Filmé et enregistré au Festival de Salzbourg avec le WP, sous Markus Stenz. Mathias Görne dans le rôle principal, et John Mark Ainsley, Anton Scharinger, Hanna Schwarz. Dirigé par Brian Large.

J'aime beaucoup. Quel orchestre somptueux! Et la partie vocale n'a rien d'ingrat, Dieu merci. Pour qui aime Zauberflöte, Mârouf et Les Indes galantes, on y retrouve le même mélange de burlesque, fantastique, quête initiatique et déploiement de tableaux colorés et fantaisistes. Un peu de King Lear aussi (les trois fils, Kasim = Cordelia). Il n'y a pas de longueurs ni de temps mort. Je recommande sans réserve.

André a écrit:

Henze: L'Upupa, opéra de 2003. Filmé et enregistré au Festival de Salzbourg avec le WP, sous Markus Stenz. Mathias Görne dans le rôle principal, et John Mark Ainsley, Anton Scharinger, Hanna Schwarz. Dirigé par Brian Large.

J'aime beaucoup. Quel orchestre somptueux! Et la partie vocale n'a rien d'ingrat, Dieu merci. Pour qui aime Zauberflöte, Mârouf et Les Indes galantes, on y retrouve le même mélange de burlesque, fantastique, quête initiatique et déploiement de tableaux colorés et fantaisistes. Un peu de King Lear aussi (les trois fils, Kasim = Cordelia). Il n'y a pas de longueurs ni de temps mort. Je recommande sans réserve.

Ouah, Hanna Schwarz chante encore ? C'est la même que celle qui était dans le ring de Chéreau dans les années 70 ?

J'ai été voir sur wikipedia, elle est née en 1943 si c'est la même (sa notice est très succinte). Ca m'intéresserait de voir le DVD rien que pour la performance de chanter à l'opéra à cet âge là.

1943, si ça date de 2003, ça fait tout juste 60 ans, c'est tout à fait courant, il y a des cas bien plus extrêmes. (il y en a même qui chantent Elektra ou Brünnhilde à cet âge-là!)

Xavier a écrit:

1943, si ça date de 2003, ça fait tout juste 60 ans, c'est tout à fait courant, il y a des cas bien plus extrêmes. (il y en a même qui chantent Elektra ou Brünnhilde à cet âge-là!)

Ah ok, j'avais lu 2013. Mais ça fait déjà pas mal.

Tu sais, Gwyneth Jones chante encore... à 76 ans!
Et je ne parle pas de Mazura, Grundheber... et ce dernier pour des rôles assez importants quand même.
Car tout dépend de l'ampleur et de la difficulté des rôles, si c'est juste pour une intervention de 5 minutes, ça peut se concevoir très facilement.
Tiens, par exemple, Jones et Jerusalem avaient chanté dans Salomé en 2010, ils avaient tous les deux 70 ans passés.

Il y a même des rôles spécialement pour les 'seniors': la comtesse dans la Dame de pique, l'empereur Altoum dans Turandot. Triquet dans Onéguine est fréquemment chanté par un ténor qui approche de la date de péremption....

Puccini /Gianni Schicchi /Mitropoulos .Le son est est un peu criard dans les aigus et ça fait un peu hystèrique par moment mais c'est un live du Métroplitan Opéra de 1958 donc on ne nous épargne rien , avec ces versions faut jouer le jeu jusqu'au bout, là ça va c'est pas trop long comme oeuvre, Mitropoulos toujours exemplaire orchestralement et les chanteurs dont Coréna sont à la hauteur , surtout dans les ensembles, on ne s'ennuie pas du tout et c'est le principal dans la musique non?

Wéber/ Ruggiero Ricci / Carlo Bussotti / 6 études progressives pour violon et piano .Dans le coffret Decca consacré à ce grand violoniste, ces oeuvres très violonistiques  de Wéber,avec air russe et air polonais qui ne manquent pourtant pas d'intèrêt à l'écoute, même si ça reste assez virtuose et pour finir sont pas très jouées, très beau violon en tout cas même si ce sont des oeuvres plus extèrieures qu'intérieures.

DavidLeMarrec a écrit:

D'abord, je suis assez persuadé que si j'écoutais ça [...], je ne serais pas de cet avis, et je n'oserais certainement pas ces grands mots.

C'est pour cette raison qu'il vaut mieux écouter avant.  

Les grands mots n'étaient ni plus ni moins virulents que ceux qu'on peut lire bien souvent ailleurs, au sujet de compositeurs, d'œuvres, de musiciens instrumentistes, de chefs d'orchestre, de chanteurs, tous vivants ou déjà décédés, dans à peu près tous les fils de discussion qui sont ouverts.

Je suis d'accord qu'on se rend mieux compte de cette sévérité quand on lit que quand on écrit (c'est pour ça qu'on prévisualise dix fois), mais les termes employés, auxquels tu réagis, n'étaient pas significativement différents de ceux qu'on peut lire ailleurs.

Citation :

Surtout comparé aux pianistes légendaires qui sont incapables de respecter la partition.

À ce sujet, c'est un peu de deux choses l'une :
-- soit il n'y a pas de différence sensible entre ce que tu penses et ce que tu as écrit, auquel cas tu te montres, ici, encore bien plus méprisant à propos d'eux que ce que tu as cru percevoir dans les propos qui ont été tenus : on ne sait pas qui sont ces légendes jugées collectivement ;
-- soit il y a une différence entre ta pensée et la phrase que tu as écrite, auquel cas il s'agit d'ironie, de sarcasme, de dérision. Le problème de cette démarche rhétorique, c'est qu'elle interdit la discussion sur le fond et qu'elle casse toute possibilité d'échange entre les gens. Dans ce cas, je vois mal comment reprocher aux autres la seule réaction possible laissée face à l'ironie.

Citation :

On en a déjà mille fois parlé, une histoire de lettre / esprit qui se défend, mais qui est au minimum sujette à discussion.

Il s'agissait bien de la lettre, non seulement de la lettre écrite mais aussi de celle, implicite, induite par la forme musicale dont cette œuvre est un jalon (forme sonate/fugue, variation/transformation). Il y a une certaine volonté de respect de la lettre, par exemple de respect des istesso tempo, même si l'idée a été mieux suivie par d'autres, mais le tout s'inscrit dans un tempo de base qui n'est pas compatible avec la technique mise en jeu, en particulier sur le plan du soutien des lignes et des indications de phrasé. (Le même tempo sous d'autres mains aurait peut-être été excellent : tout dépend de la manière dont ça sonne.)

Citation :

Dire que Hamelin a une mauvaise technique, sur un strict plan pratique, c'est assez dur à défendre, comme dire que Pavarotti chantait mal, que Bernstein était un faux chef d'orchestre, etc. On peut leur trouver des défauts rédhibitoires, mais les juger incompétents parce qu'on les passe au tamis de ses propres valeurs ne me paraît pas équitable.

C'est peut-être dur à défendre dans l'absolu, mais on peut toujours écouter cette technique sur une occurrence. Après, c'est la statistique qui induit une impression plus générale, puis un avis voire un jugement.

Et puis, assigner aux propres valeurs des interlocuteurs la cause de leur jugement technique, c'est le premier pas sur la pente relativiste. Pas besoin d'être spécialiste de l'argumentation par rétorsion pour mettre à nu la dichotomie : nous sommes tous les sujets de nos propres valeurs... sauf celui qui parle au-dessus de la mêlée.

Citation :

Surtout, c'est la démarche même de juger ce pianiste, inestimable par son défrichage à très haut niveau du répertoire très rare, mais aussi très virtuose (généralement évité même par les plus grands), sur la qualité de ce qu'il fait dans une œuvre rebattue où l'on n'a pas besoin de lui.

Un autre membre a déjà répondu sur l'argument du répertoire.

Pour l'œuvre en question, je ne suis pas non plus de ton avis. Le musicien a joué une œuvre, qu'on peut bien considérer comme rebattue et à propos de laquelle on peut bien estimer qu'il n'y a plus grand-chose à dire sinon jouer les notes. Mais il l'a jouée, sans qu'on l'y contraigne : je ne vois pas ce qui interdit de tenir compte de ce qu'il en fait dans l'appréciation qu'on a de lui.

On peut en outre considérer que la forme de la sonate pour piano a ses jalons essentiels grâce à Mozart, Haydn, Beethoven, Schubert, Schumann, Chopin, Brahms, Tchaïkovski, Liszt, Scriabine, Medtner, Prokofiev et d'autres, et qu'un échec sur l'un d'eux est problématique. Je ne vois pas où est le problème.

Il y a de nombreuses œuvres que je n'ai pas écoutées par lui, mais il y a trop d'œuvres que je juge essentielles (Beethoven, Schumann et Scriabine, au minimum) où l'échec est trop important pour que la tendance puisse être inversée. S'y ajoute qu'un concert reflète mieux la réalité et a donc un poids statistique plus important.

Citation :

Je ne veux surtout pas démarrer une controverse (et je ne fais qu'émettre un avis qui n'a pas forcément vocation à être développé plus avant), mais vu la dureté des mots, et considérant qu'il est francophone, je voulais laisser un témoignage qui dise que ce n'est pas juste (à tous les sens du terme).

Il a au moins, sur les pianistes décédés ou qui ont cessé leur activité, un avantage décisif : il peut justifier ses décisions, et surtout il a la possibilité de rejouer. Les pianistes légendaires étant morts, ça leur est plus difficile.

Enfin, je trouve que le déplacement sur le plan de l'éthique (« ce n'est pas juste, à tous les sens du terme ») est discutable, pour le moins. Ça revient à dire qu'une intention a été substituée à une appréciation, ce qui est même peut-être insultant.

Le Villi  /Puccini / Bruno Apréa. Premier opéra de Puccini dans une très belle version pour moi du moins avec José Cura et Nana Gordanze,  on sent déjà la Bohême là-dedans , c'est fou ce que j'aime Puccini,il paraît qu'il n'était pas très fidèle a sa femme, ce qui est sûr c'est qu'il sait très bien chanter la passion et faire chanter les femmes surtout, je sais pas pourquoi ils ont mis opéra ballo en italien, ça veut dire quoi ballo exactement ?:lol,bon en réfléchissant comme il y a un narrateur et beaucoup de musique orchestrale , ce doit être aussi  sûrement un opéra ballet puisqu'il y a aussi il ballo d'ell ingrate de Monteverdi, le ballet des ingrats ?
« Lorsqu'on l'écoute, la musique de Puccini est plus belle que la dernière fois. »Igor Stravinski

Sylvano Bussotti / Il catalogo è questo /Tamayo. On parle pas beaucoup de Bussotti ici, pourtant un compositeur qui le mériterait amplement, après Puccini c'est logique d'écouter du Bussotti, un musicien fabuleux pour l'orchestre et la voix lui aussi bien que différent, une musique qui vous emplit d'elle même , vous envoûte et vous lâche plus ,moi j'aime beaucoup , en plus elle est très abordable et très riche musicalement, deux heures de musique superbe, à savourer!

Rameau : In convertendo, Psaume 125 (Raphaël Pichon - Ensemble Pygmalion, 2013 : Céline Scheen, Eugénie Warnier, Samuel Boden, Emiliano Gonzalez Toro, Benoît Arnould)
Rameau : Quam dilecta, Psaume 83 (Raphaël Pichon - Ensemble Pygmalion, 2013 : Céline Scheen, Eugénie Warnier, Samuel Boden, Emiliano Gonzalez Toro, Benoît Arnould)
Mondonville : In exitu Israel, Psaume 113 (Raphaël Pichon - Ensemble Pygmalion, 2013 : Céline Scheen, Eugénie Warnier, Samuel Boden, Emiliano Gonzalez Toro, Benoît Arnould)
Telemann : Deus Judicim tuum, Psaume 71 (Raphaël Pichon - Ensemble Pygmalion, 2013 : Céline Scheen, Eugénie Warnier, Samuel Boden, Emiliano Gonzalez Toro, Benoît Arnould)

Splendide concert!

Dutilleux

Mystère de l'Instant
Métaboles
Timbre, Espace, Mouvement ou La Nuit Etoilée
Les Citations

 

Beethoven: Symphonie no. 6. Karel Ancerl et le Toronto Symphony (live). Voilà une Pastorale un brin dérangeante par la relative agressivité du discours. J'ai l'impression d'une harangue.

Wagner: Extraits de Siegfried/Domingo, Pappano

     

Xavier a écrit:

Wagner: Extraits de Siegfried/Domingo, Pappano

     

Il y a aussi N.Dessay qui fait l'Oiseau. (un peu n'importe comment d'ailleurs, très maniéré)

Messiaen: Poèmes pour Mi/Jeffers

     

Scriabine, 3 pièces op.2 · 2 nocturnes op.5 · Canon en ré mineur · Fugue · Feuille d’album en la bémol · Feuille d’album en fa dièse · Nocturne en la bémol · Fantaisie pour deux pianos* · Variation Egorov · Allegro Appassionato op.4 · 24 préludes op.11 · Valse en sol dièse mineur op.post. · Valse en ré bémol op.post. · Valse en fa mineur op.1

Michael Ponti, piano
*Robert Leonardi, piano

Beethoven : septième Symphonie

Wagner, Walküre. Vickers ( ), Janowitz, Créspin, Stewart. Berliner Philarmoniker, Karajan
Curieux, ma colère m'a donné une envie impérieuse d'écouter cette merveille  

Tu as bien fait de faire semblant de partir.  

Mais c'est audiopathique ce truc.

Tu écoutes de la musique slave occidentale, maintenant ? Y a du relâchement.  

Golisande a écrit:

Tu écoutes de la musique slave occidentale, maintenant ? Y a du relâchement.  

tu parles de l'interprétation ? Parce c'est exactement ça.

Non, je parle du compositeur : au cas où tu l'ignorerais, il était polonais !!  (c'est bon,   )

Golisande a écrit:

Non, je parle du compositeur : au cas où tu l'ignorerais, il était polonais !!  (c'est bon,   )

Weinberg aussi.

Et Lutoslawski !

Helmut Lachenmann / Ausklang /(Dernières notes ?) Musik pour klavier et orchestre /Peter Eotvos. Un des grands concertos pour piano de notre époque, musique sérielle et tonale à la fois je pense, toujours en recherche , que ce soit instrumentale, acoustique ou sonore Lachenmann nous balade dans un univers étrange et particulier avec ce concerto pour piano de 50 minutes ,formidable travail sur le son et et sur les instruments,une musique très riche sans forme précise , du moins pas la forme du concerto habituel, un piano superbe , pas facile de parler de cette oeuvre pour un non musicien sinon pour dire qu'elle est à découvrir et qu'elle le mérite, sûrement un chef-d'oeuvre à mon avis du 20 ème siècle! 

Vino-Karlo a écrit:

Golisande a écrit:

Non, je parle du compositeur : au cas où tu l'ignorerais, il était polonais !!  (c'est bon,   )

Weinberg aussi.

Et Lutoslawski !

Je ne vais pas souvent sur ce fil, aussi ignorais-je que tu étais déjà passé de l'autre côté. Méfie-toi, à ce train-là tu finiras par écouter Pelléas...

Golisande a écrit:

Vino-Karlo a écrit:

Golisande a écrit:

Non, je parle du compositeur : au cas où tu l'ignorerais, il était polonais !!  (c'est bon,   )

Weinberg aussi.

Et Lutoslawski !

Je ne vais pas souvent sur ce fil, aussi ignorais-je que tu étais déjà passé de l'autre côté. :twisted:Méfie-toi, à ce train-là tu finiras par écouter Pelléas...

Mais je l'ai déjà écouté à plusieurs reprises (ceux de Schoenberg, Debussy et Sibelius) par le passé.

Vino-Karlo a écrit:

Mais je l'ai déjà écouté à plusieurs reprises (ceux de Schoenberg, Debussy et Sibelius) par le passé.

Je vois, je vois, il y a donc encore de la marge (j'ai bien écrit : écouter).  

Scriabine, 12 études op.8 · 8 études op.42 · 2 mazurkas op.post. · 10 mazurkas op.3

Michael Ponti, piano

TON-THAT tiêt

___Jeu des cinq éléments 1 (1982) pour violon et violoncelle - Maryvonne Le Dizès: violon - Pierre Strauch:    
Âpre, épuré, crispé, austère, et pourtant j'adhère totalement.

___Jeu des cinq éléments III (1984) pour trio à cordes et harpe - M. Le Dizès: violon/Jean Sulem: alto/Pierre Strauch: violoncelle/F. Cambreling: harpe:    
Les cordes, quelque soit l'importance de la formation choisie, est peut-être ma formation musicale de chevet même lorsqu'elle s'exprime à la limite du grincement.

___Niem (1974) pour flûte et harpe - E. Ophèle/F. Cambreling: harpe:   

Witold Lutoslawski : Symphony n° 4/OPRF-Salonen

Frédéric Chopin (1810-1849) :

Sonate n° 2 en si bémol mineur Op. 35

= Arthur Rubinstein, piano

(Victor, 11-92 mars 1946)

Spoiler:

Beethoven, Quatuor à cordes nº14 (Yale SQ)

Beethoven, Échappée extraordinaire op.133 (Yale SQ)

Lucien a écrit:

Beethoven, Échappée extraordinaire op.135 (Yale SQ)

 C'est quoi ce sous-titre pour le Quatuor n°16 ?

oups : op.133, je voulais dire.  

Mahler : 4 symphonie, Gibson/RSO

Découverte inattendue et si réjouissante ! Quelqu'un connaît-il cette version ? Mélomaniac   ?

 Non Horassio...

Qui chante le Lied final ?