Playlist (75)

Wagner / L'or du Rhin / Furtwangler et l'orchestre de la Raï .Une version à part je pense, une version à laquelle on revient toujours, beau travail sur le son pour cette version que ce soit pour les voix ou même pour l'orchestre .c'est le genre de versions ou l'on sait que Wagner est là quelque part et nous observe! 

Blancafort: 4 chansons/Vera

    

Liszt, Mephisto-Valse nº2 (Sofronitski)
Liszt, Mephisto-Valse nº2 (Nyíregyházi)
Liszt, Mephisto-Valse nº2 (Setrak)

Szymanowski /Symphonies 1 et 2 / Karol Stryja.Pas facile vraiment de s'y retrouver dans ces deux symphonies, on passe par différents compositeurs et plusieurs influences on dirait, bref un patchwork assez interessant mais on y retrouve pas vraiment le  grand Szymanowski de la fin, dans le livret j'ai appris qu'il était homosexuel, à quand un post sur l'homosexualité et la musique ? bref la seconde nous entraîne à la fois dans Scriabine et Strauss, on a les deux pour le prix d'un et même d'autres mais je les reconnais pas tous!

gluckhand a écrit:

Szymanowski /Symphonies 1 et 2 / Karol Stryja.Pas facile vraiment de s'y retrouver dans ces deux symphonies

On est bien d'accord!
Il m'a fallu un certain nombre d'écoutes mais comprendre un peu ce qui s'y passe.



Escaich: Concerto pour orgue n°2/Escaich, Novak

    

Saint-Saëns/Liszt, Danse macabre (Setrak)

Liszt, Valse oubliée nº4 (Setrak)

Liszt, Unstern! (Fiorentino)

 

Ravel orch.Constant: Gaspard de la nuit/Slatkin

    

Liszt, Portraits historiques hongrois (Kertész)

peut-être l’œuvre pour piano seul de Liszt que je préfère, avec la Fantaisie et fugue sur BACH et quelques autres pièces tardives (surtout Unstern). Bon, il faut toujours que j’écoute Clidat pour voir si c’est mieux... et que j’envoie un message à Ránki (vous avez son adresse ?).  

Bartok: Le Mandarin merveilleux, suite/Gardner

      (car ce n'est que la suite)

Giacomo Meyerbeer (1791-1864) :

Robert le Diable -opéra en cinq actes

Robert : Alain Vanzo
Bertram : Samuel Ramey
Raimbaut : Walter Donati
Isabelle : June Anderson
Alice : Michèle Lagrange
Alberti Jean-Philippe Marlière
Un héraut : Michel Philippe
Le maître de cérémonie : José Ochagavia
Une dame d'honneur : Françoise Galais
Un prêtre : Philippe Désert
Chevaliers : François Soulet, André Sénécal, Lucien Dalmon

Thomas Fulton, Orchestre et Choeurs de l'Opéra de Paris

(Legendary Recordings, live juillet 1985)

Xavier a écrit:

Xavier a écrit:

Berg: Wozzeck/Koenigs-Kringenburg

     

Avec Keenlyside et Denoke.

Dieu que c'est sombre...

N'hésite pas à en parler dans le fil quand tu as fini.

Pas trouvé ça terrifiant pour ma part, en particulier parce que musicalement, c'est très lumineux. Musicalement, c'est clairement la version de Wozzeck qui m'a le plus convaincu, davantage même que Weigle. On en parle dans le fil ?

Aujourd'hui :

=> Montéclair - Pan & Syrinx - Emma Kirkby
=> Montéclair - Pan & Syrinx - Danièle Forget (quelque part entre 415 et 390 )
=> Montéclair - Pan & Syrinx - Welsh Baroque Orchestra
Le pire est que je n'aime pas vraiment Montéclair.

=> « Je crois entendre encore » par Vezzani
=> « A te, o cara » par Vanzo
=> « Anges du paradis » par Vanzo
=> Duo de Saint-Sulpice par Esposito (un peu fragile et subtile pour une Manon, magnifique néanmoins) et Vanzo

=> Wagner - Götterdämmerung, fin du I début du II - Janowski, Berlin RSO

=> Loïc Mallié - Improvisations à l'orgue sur des thèmes wagnériens
Très diffus, de véritables inspirations, pas du tout des paraphrases. Très sinueux, mais pas mal.

=> Sibelius - Symphonie n°7 - Bernstein, NYPO
Ça s'annonce très bien !

Janacek: La petite renarde rusée/DVD Mackerras

    

DavidLeMarrec a écrit:

=> « Je crois entendre encore » par Vezzani

Un peu sanguin pour un Nadir, non ?

Frédéric Chopin : Concerto pour piano et orchestre n°1 en mi mineur, opus 11* ; Sonate pour piano n°3 en si mineur, opus 58.
-- Moriz Rosenthal, Orchestre de l'Opéra d'État de Berlin*, Frieder Weissmann*.

Hallucinant. Pour la première fois dans mon cas, j'écoute ce pianiste, sans doute un des dix maîtres dans la musique de Chopin, dans des conditions acoustiques fabuleuses (une réédition exhaustive de Ward Marston pour l'éditeur Appian, APR7503). On ne peut donc plus avoir la moindre hésitation sur le magicien des sons qu'était Moriz Rosenthal.

Un pianissimo impalpable et sonore, quasi irréel, comme suspendu à un filet d'argent, qui conserve toute la qualité de sa sonorité quel que soit le mode d'attaque, un fortissimo royal, doré, plein, délié, sans l'ombre d'un commencement de dureté nulle part. Entre les deux, un camaïeu sans discontinuité.

Des superpositions de longueurs de résonance différentes, qui permettent de magnifier l'écriture à plusieurs voix en les incarnant simultanément, ce qui produit aussi des textures et notamment des couleurs inouïes. Une capacité incroyable à moduler la sonorité en fonction de la forme (structure thématique, etc.).

Un art de l'ornementation à défaillir d'aise. Fondée sur un legato immaculé et une science incroyable de la hiérarchie du toucher, son ornementation est ainsi organiquement intégrée à la ligne de chant. C'est bouleversant. En fin de compte, le boîtier idéal pour se rendre compte que ce qui a été perdu est abyssal et, peut-être, irréversible.

Avec Sofronitsky (via Michalowski, et Mikuli et Moscheles, jusqu'à Chopin et Beethoven), la lignée la plus directe, puissante et courte vers les grands maîtres (dans son cas via Mikuli jusqu'à Chopin, et bien sûr Liszt « en direct »). Une tendinite aux genoux m'empêche d'utiliser le souriard approprié, mais z'avez deviné...



Je viens de regarder : on n'a pas encore de fil consacré à ce musicien. Je vais peut-être essayer de faire quelque chose un de ces jours.

Scherzian a écrit:

Frédéric Chopin : Concerto pour piano et orchestre n°1 en mi mineur, opus 11* ; Sonate pour piano n°3 en si mineur, opus 58.
-- Moriz Rosenthal, Orchestre de l'Opéra d'État de Berlin*, Frieder Weissmann*.

Hallucinant. Pour la première fois dans mon cas, j'écoute ce pianiste, sans doute un des dix maîtres dans la musique de Chopin, dans des conditions acoustiques fabuleuses (une réédition exhaustive de Ward Marston pour l'éditeur Appian, APR7503). On ne peut donc plus avoir la moindre hésitation sur le magicien des sons qu'était Moriz Rosenthal.

Un pianissimo impalpable et sonore, quasi irréel, comme suspendu à un filet d'argent, qui conserve toute la qualité de sa sonorité quel que soit le mode d'attaque, un fortissimo royal, doré, plein, délié, sans l'ombre d'un commencement de dureté nulle part. Entre les deux, un camaïeu sans discontinuité.

Des superpositions de longueurs de résonance différentes, qui permettent de magnifier l'écriture à plusieurs voix en les incarnant simultanément, ce qui produit aussi des textures et notamment des couleurs inouïes. Une capacité incroyable à moduler la sonorité en fonction de la forme (structure thématique, etc.).

Un art de l'ornementation à défaillir d'aise. Fondée sur un legato immaculé et une science incroyable de la hiérarchie du toucher, son ornementation est ainsi organiquement intégrée à la ligne de chant. C'est bouleversant. En fin de compte, le boîtier idéal pour se rendre compte que ce qui a été perdu est abyssal et, peut-être, irréversible.

Avec Sofronitsky (via Michalowski, et Mikuli et Moscheles, jusqu'à Chopin et Beethoven), la lignée la plus directe, puissante et courte vers les grands maîtres (dans son cas via Mikuli jusqu'à Chopin, et bien sûr Liszt « en direct »). Une tendinite aux genoux m'empêche d'utiliser le souriard approprié, mais z'avez deviné...



Je viens de regarder : on n'a pas encore de fil consacré à ce musicien. Je vais peut-être essayer de faire quelque chose un de ces jours.

Je vais essayer du coup.

Chopin : Concerto no1 pour piano ( Moriz Rosenthal, Frieder Weissman)

Alexandre m’avait fait écouté quelques extraits de Rosenthal il y a quelque temps, et j’avais trouvé ça assez hallucinant... ; mais quel dommage qu’il n’ait enregistré que (ou presque) du Chopin...

Bellini - Norma - Callas/Ludwig/Corelli/Zaccaria/Scala-Serafin



   

Bartok: 4 pièces opus 12/Gardner

    +

Lucien a écrit:

Alexandre m’avait fait écouté quelques extraits de Rosenthal il y a quelque temps, et j’avais trouvé ça assez hallucinant... ; mais quel dommage qu’il n’ait enregistré que (ou presque) du Chopin...

C'est sûr que Chopin est le cœur de son répertoire enregistré (son vrai répertoire de concert, je ne sais pas ; à cette époque-là, il y avait souvent un « biais » énorme entre ce que les musiciens jouaient couramment en concert et le petit échantillon qu'on décidait de fixer au disque), mais il y a quand même quelques œuvres de Rosenthal lui-même (très belles, d'ailleurs, je trouve), de Debussy (plusieurs « prises » différentes des Reflets dans l'eau), d'Albéniz (Triana), de Liadov (un Prélude et la Tabatière à musique), de Liszt (Deuxième Rhapsodie hongroise, Troisième Liebestraum), de Schubert et Schubert/Liszt (Troisième Moment musical, Soirée de Vienne n°6) et de Haendel (Air et variations en mi majeur).

Dans le livret d'accompagnement du boîtier, on évoque les enregistrements de radiodiffusion qui ont survécu. Un auditeur de l'époque venait tout juste de s'acheter du matériel d'enregistrement et a sélectionné d'assez larges extraits du mouvement lent de la Sonate en si mineur de Chopin pour tester son appareil (!). Ça nous vaut les merveilleuses 5,5 minutes d'extraits de la plage 10 du cinquième et dernier disque (24 mars 1935 à la BBC de Londres). L'amateur en question a « loupé », malheureusement, une autre œuvre qui était au programme ce soir-là : Au Lac de Wallenstadt...

@ Armand : Ce Premier de Chopin date de 1930-1931 et avait été édité chez Parlophone en Allemagne. La Troisième Sonate, si tu as l'occasion de l'écouter, est fabuleuse aussi, mais on ne l'avait jamais éditée aux temps du 78 tours. C'est un enregistrement du 26 juin 1939, avec une acoustique du local un peu particulière. Ward Marston pense à un local de petites dimensions, et il trouve que le jeu de Rosenthal ne se sent pas à l'aise dans cet espace confiné. Il trouve aussi que son jeu est « beaucoup plus raide » (much stiffer) que pour les enregistrements de 1937 pour EMI. Franchement, à mon avis, si cette Sonate en si mineur de Chopin présente un jeu « raide », alors 99,9999999999999999% des enregistrements ultérieurs de Chopin sont raides comme des barres à béton...

A.Tcherepnin: Préludes opus 85/Koukl

   +

Scherzian a écrit:

@ Armand : Ce Premier de Chopin date de 1930-1931 et avait été édité chez Parlophone en Allemagne. La Troisième Sonate, si tu as l'occasion de l'écouter, est fabuleuse aussi, mais on ne l'avait jamais éditée aux temps du 78 tours.

J'ai trouvé immédiatement le concerto sur Spotify ( c'est dans un cd où il y a aussi quelques préludes et nocturnes). Malheureusement, je n'ai pas trouvé la 3e Sonate.
En tout cas j'ai beaucoup aimé ce que j'ai entendu, il y a une grande clarté des lignes et chaque note semble être à sa place, en plus d'un fabuleux toucher je trouve. Dans le genre cela me fait un peu penser à Michelangeli ( désolé mais je ne maîtrise pas suffisamment le piano pour donner d'autres éléments de comparaison  ).
Merci pour les précisions discographiques en tout cas !

Armand a écrit:

J'ai trouvé immédiatement le concerto sur Spotify (c'est dans un cd où il y a aussi quelques préludes et nocturnes). Malheureusement, je n'ai pas trouvé la 3e Sonate.

J'ai peur que ce soit dû à sa rareté : aucune édition en 78 tours et une édition en 33 tours à la fin des années 1950, assez confidentielle en plus, si j'ai bien compris.  

Dans le tuyau, alors :

/watch?v=452q_6va-Eo (I)
/watch?v=e1JZ5Cbvizs (II)
/watch?v=YWcmp6qIC9g (III)
/watch?v=r7vytDHIIJs (IV)

Je t'avoue que je n'ai pas écouté la version du tuyau, juste recopié les liens, mais en tout cas les minutages correspondent parfaitement (sauf quatre secondes de plus dans le finale, comme souvent).

Citation :

Merci pour les précisions discographiques en tout cas !

De rien, j'essaierai peut-être de commencer un fil à son sujet... Pour la discographie, étant donné que le boîtier de cinq disques chez APR (Appian) est complet (dans l'état actuel des recherches), rien de mieux que la page du site d'APR :

http://www.aprrecordings.co.uk/apr2/showentry.php?id=155

Roderick_U a écrit:

Bellini - Norma - Callas/Ludwig/Corelli/Zaccaria/Scala-Serafin



   

Ah, enfin une preuve que nous ne sommes pas la même personne ! Je commençais à désespérer.  

Encore que je ne déteste pas cet enregistrement.

Boulevard solitude /Hans Werner Henze /Ivan anguelov/Cascavelle . Un opéra montrant déjà la maturité d'un compositeur de 25/26 ans ,se servant du dodécaphonisme  pour montrer un  monde libre et  et le vieux monde "en tonalités habituelles" .Manon Lescaut revu par Henze,et oui  les femmes se font toujours séduire puis abandonner  dans les opéras,on a tellement entendu de choses depuis comme musique dont Die Soldaten que ça semble plutôt assez sage d'écoute maintenant, mais ça ne manque pas d'intèrêt au contraire il y a des très beaux moments chantés et orchestraux, Henze est un grand de l'opéra , aucun doute là-dessus .

Bertram a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> « Je crois entendre encore » par Vezzani

Un peu sanguin pour un Nadir, non ?

C'est rapide, tout en force, mais pas sans charme. J'aime beaucoup quand même – mais je confirme, c'est un peu bizarre.

Scherzian a écrit:

Dans le tuyau, alors :

/watch?v=452q_6va-Eo (I)
/watch?v=e1JZ5Cbvizs (II)
/watch?v=YWcmp6qIC9g (III)
/watch?v=r7vytDHIIJs (IV)

Je t'avoue que je n'ai pas écouté la version du tuyau, juste recopié les liens, mais en tout cas les minutages correspondent parfaitement (sauf quatre secondes de plus dans le finale, comme souvent).

Merci pour les liens. J'écouterai cela dès que je pourrai !

Scherzian, à Armand, a écrit:

Je t'avoue que je n'ai pas écouté la version du tuyau, juste recopié les liens, mais en tout cas les minutages correspondent parfaitement (sauf quatre secondes de plus dans le finale, comme souvent).

Je suis en train d'écouter le I et je suis à peu près sûr que c'est la même version de la Sonate n°3 de Chopin que celle rééditée par Appian : dans le I, à 5'03'' à peu près (dans le minutage de la version du tuyau), on entend un double petit défaut très caractéristique, dans l'aigu, qui est le même que celui que j'ai entendu tout à l'heure en écoutant le disque Appian (où le défaut arrive vers 5'05''). La réédition chez Appian est beaucoup plus chaleureuse que la restitution du tuyau.

Ivanovs: Symphonie n°1/Resnis

   +

Ca ne sonne pas du tout son époque (1933, alors que ça sonne plus comme du Rimsky ou Liadov), mais sinon c'est sympa.

Ivanovs: Latgalian Landscapes/Zirnis

   +

Là on pense plus à Rachmaninov.

Richard Wagner (1813-1883) :

Tannhäuser

Hermann : Josef Greindl
Tannhäuser : Wolfgang Windgassen
Wolfram : Eberhard Waechter
Walter : Gerhard von Stolze
Biterolf : Franz Crass
Heinrich : Georg Paskuda
Reinmar : Gerd Nienstedt
Elisabeth : Anja Silja
Venus : Grace Bumbry
Un pâtre : Else-Margrete Gardelli

Wolfgang Sawallisch, Choeurs et Orchestre du Festival de Bayreuth

(Philips, live été 1962)

Rameau : les surprises de l'amour

Rameau : les Indes galantes, Christie

Bartok: Musique pour cordes, percussion et célesta/Gardner

     

La Passion   Lemieux

Dans certains airs elle est renversante ("Jupiter,  lance la foudre" d'Iphigénie en Aulide), dans d'autres elle chante bizarrement et je suis tout perplexe (les Mozart, Saint-Saens, Massenet). Elle déploie une virtuosité superbe dans les Vivaldi et Handel. Testez avant d'acheter.

Mozart: Don Giovanni. Festival de Salzbourg 1956, sous Mitropoulos et les WP. Siepi, Corena, Della Casa, Grümmer, Simoneau, Frick, Berry, Streich.     
Pour l'orchestre, le chef, della Casa, Grümmer et Simoneau (stupéfiant dans Dalla sua pace). Siepi, Corena et Berry sont excellents, comme d'habitude. Beaucoup de bruits de scène et de mouvement des voix. Distortion sur les voix de femmes. Streich est presque inaudible.

Bach, Art de la fugue, extraits (Takahashi)

Lucien a écrit:

Bach, Art de la fugue, extraits (Takahashi)

 

 

 Y va falloir que t'en écoutes des polyphonies franco-flamandes, du luth Renaissance et du Bach joué sur de vrais tuyaux pour expier ces outrages...

 ce sera fait.

mais d’abord, un peu de Mossolov.

André Messager (1853-1929) :

Fortunio -comédie lyrique en quatre actes

Fortunio : Thierry Dran
Jacqueline : Colette Alliot-Lugaz
Clavaroche : Gilles Cachemaille
Landry : Francis Dudziak
Maître André : Michel Trempont
Maître Subtil : Patrick Rocca
Guillaume : René Schirrer
D'Azincourt : Michel Fockenoy
De Verbois : Nicolas Rivenq
Madelon : Brigitte Desnoues
Gertrude : Sylvie Stewart

John Eliot Gardiner, Orchestre et Choeurs de l'Opéra de Lyon

(Erato, mai 1987)

Schoenberg : Cinq pièces pour orchestre, op. 16 / Variations pour orchestre, op. 31



Boulez / BBC Symphony Orchestra

CBS




   

Jacques Offenbach (1819-1880) :

Mesdames de la Halle  -opérette en un acte

Madame Poiretapée : Michel Hamel
Madame Madou : Michel Trempont
Madame Beurrefondu : Jean-Philippe Lafont
Raflafla : Charles Burles
Ciboulette : Mady Mesplé
Croûte-au-pot : Léonard Pezzino
Le Commissaire : Jean-Marie Frémeau
Le Marchand d'habits : Marcel Quillevéré
La Marchande de plaisirs : Monique Pouradier-Duteil
Marchande de légumes : Olympe Dumaine

Ensemble choral Jean Laforge

Manuel Rosenthal, Orchestre philharmonique de Monte-Carlo

(Emi, 21-29 septembre 1982)

Wagner : Das Rheingold - Prélude, Interludes, Entrée des dieux au Walhalla (Philippe Jordan, Orchestre de l'Opéra National de Paris, 2013)
Wagner : Die Walküre - La Chevauchée des Walkyries, Incantation du feu (Philippe Jordan, Orchestre de l'Opéra National de Paris, 2013)
Wagner : Siegfried - Les Murmures de la Forêt (Philippe Jordan, Orchestre de l'Opéra National de Paris, 2013)
Wagner : Götterdämmerung - Voyage de Siegfried sur le Rhin, Marche Funèbre, Immolation de Brünnhilde (Nina Stemme, Philippe Jordan, Orchestre de l'Opéra National de Paris, 2013)

Bel enregistrement, superbe carte de visite pour l'ONP et son chef (en plus, avoir Stemme pour l'Immolation, ça en impose quand même!).
Direction de Jordan toujours aussi belle, orchestre en grande forme.

Par contre, le principe est assez étrange... des passages où les chanteurs ne sont pas là... comme le prélude de l'Or du Rhin...
Dommage aussi que les deux disques ne contiennent en tout et pour tout que 83 minutes de musique! Le disque n'est pas plus cher qu'un simple... mais dommage de ne pas avoir complété... Les Adieux de Wotan (suffisait de faire venir un Wotan!), ou alors d'autres extraits wagnériens pour l'occasion.

Wagner: Tannhäuser, acte 3/Barenboïm

    

Yuri Temirkanov .Poursuite de l'écoute du coffret Brillant et toujours pas déçu par ce chef, après une symphonie du nouveau monde que je n'avais pas écouté depuis longtemps, sûrement pas la meilleure version mais version très vivante , j'aime beaucoup aussi sa vision de La mer de Debussy, chez lui Temirkanov, c'est toujours interessant , jamais ennuyeux,ce qui est déjà un grand mérite , je l'aurais bien vu, diriger la totalité des 17 symphonies de Allan Pettersson !

Chopin, Préludes op.28, extraits (Rosenthal)

Chopin, Études op.10 & op.25, extraits (Planté)

Lyssenko, Première rhapsodie (Riabchun : /watch?v=3wbH2AojSuA&t=50s)