Playlist (80)

Berlioz:Symphonie Fantastique (Bernstein)
Berlioz:Harold en Italie (Davis)

Pancho Vladigerov (1899–1978), Sonatine concertante op.28
Alexander Tanev (1928–1996), Sonate pour piano
Pencho Stoyanov (1931–), Sonate pour piano
Plamen Djourov (1949–), Sonate pour piano

Ivan Eftimov, piano

Gega, 2000

Johannes Brahms (1833-1897) :

Trio n°1 en si majeur Op. 8

= Jascha Heifetz, violon ; Emanuel Feuermann, violoncelle ; Arthur Rubinstein, piano

(RCA, septembre 1941)

Mélomaniac a écrit:

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Trio n°1 en la mineur Op. 49

= Jascha Heifetz, violon; ; Gregor Piatigorsky, violoncelle ; Arthur Rubinstein, piano

(RCA, août 1950)

One million dollar trio?

Liszt, Via Crucis.  De Leeuw

  

Maurice Ravel (1875-1837) :

Trio en la mineur

= Jascha Heifetz, violon; ; Gregor Piatigorsky, violoncelle ; Arthur Rubinstein, piano

(RCA, août 1950)

Samazeuilh: Le chant de la mer/Lemelin

    +

Samazeuilh: Evocation, Naïades au soir.../Lemelin

    +

Szymanowski: Mélodies opus 31, 41 et 54/Walewska

     

Debussy: Suite bergamasque; Deux Arabesques; Pour le piano; La plus que lente... / Tamás Vásáry (1969 DG)

Pour du MIDI, ce n'est pas si mal, on dirait presque qu'il y a un pianiste qui se cache derrière...

Wagner: Wesendonck-lieder/Walewska

      

Avraamov, Symphonie des Sirènes.  reconstitution Amigo & Molina

Varèse: Arcana/Martinon

     

Stravinsky, Le Sacre du printemps.  Svetlanov

J.S. BACH
Cantate BWV 146. ...........................Ach !


Je triche un peu car je ne le possède pas, ce disque.
Mais pour en avoir entendu un extrait dans Le Matin des Musiciens sur France Musique le jeudi 20 février,
et pour avoir podcasté l'émission.....
Je peux l'écouter ad libitum !
Ach !
C'est fabuleux ! (quoiqu'incomplet ; donc un prochain achat)
Suis-je le seul à qui ça fait cet effet là ?
(J'étais au volant et ai été obligé de m'arrêter !)

lucien a écrit:

Avraamov, Symphonie des Sirènes.  reconstitution Amigo & Molina

Où as-tu trouvé ça ?

sur ce double album.

sur youtube, sinon.  

Hector Berlioz (1803-1869) :

Nuits d'Eté, mélodies Op. 7

= Suzanne Danco, soprano

Thor Johnson, Orchestre symphonique de Cincinnati

(Decca, avril 1951)

  

lucien a écrit:

Avraamov, Symphonie des Sirènes.  reconstitution Amigo & Molina

Sans déconner,
Pour un inconditionnel de sonates, tu frappes fort !

elle ne sonne pas du tout comme un orchestre, cette « symphonie » ! 

+ un Sacre...
On t'aura changé...

lucien a écrit:

elle ne sonne pas du tout comme un orchestre, cette « symphonie » ! 

tu y vois plus les grandes orgues ?
Mais finalement,  ça te plait ?

Dvorak: concerto pour violoncelle. Heinrich Schiff, Concertgebouworkest, Colin Davis (Philips). Curieuse interprétation, curieuse prise de son. Un Dvorak très barbe-à-papa (mauve).

Clementi: sonates 1 à 4. Pietro Spada.

Schoenberg : Gürre-Lieder, Première partie (Jukka-Pekka Saraste, 2012 : Angela Denoke, Simon O'Neill, Katarina Karnéus)

Bon, j'arrête là... Denoke et Karnéus pas mal du tout (même si j'ai entendu mieux en retransmission je trouve ) mais O'Neill, je suis toujours aussi perturbé par cette voix assez vite nasillarde. Donc vu qu'en plus je préfère de loin la première partie à la suite (sauf la toute fin!   )...

Jean Barraqué (1928–1973), Concerto pour six formations instrumentales et deux instruments (1962–68) ¹ · Le temps restitué, texte d’H. Broch (trad. A. Kohn), pour soprano, chœur et orchestre (1957/68) ²

¹ Ernesto Molinari, clarinette
¹ Charlie Fischer, percussion
² Rosemary Hardy, mezzo
² Vokalensemble NOVA Wien (dir. Colin Mason)
 
Klangforum Wien
Sylvain Cambreling, direction


(cd 1/3)

je n’accroche pas au Concerto, mais je sens que je vais bientôt adorer Le temps restitué (’pas si loin d’Obouhow et de Messiaen, à mon avis). 

Berg, Concerto pour violon
- Kolja Blacher / Claudio Abbado / Mahler Chamber Orchestra

Version géniale !   

Jean Barraqué (1928–1973), ...au-delà du hasard, texte de J. Barraqué d’après H. Broch, pour quatre formations instrumentales et une formation vocale (1958–59) ¹ · Chant après chant, textes de J. Barraqué et d’H. Broch (trad. A. Kohn), pour six batteurs, voix et piano (1966) ² · Étude pour bande (1952–53)

¹ Julie Moffat, Deborah Miles-Johnson, Christina Ascher, voix
¹ Florian Müller, piano
¹ Bernhard Zachhuber, clarinette
² Claudia Barainsky, voix
 
Klangforum Wien
¹ Jürg Wyttenbach, direction
² Peter Rundel, direction


(cd 2/3)

...pour Au-delà du hasard, je pense même encore davantage à Scriabine (Prométhée / Acte préalable)... alors bon, musicalement c’est probablement sot de dire ça, mais cela me fait vraiment la même impression.

Mozart

Concertos pour piano n° 20 et 25

Argerich- Orchestra Mozart-Abbado

Au-delà de l'aspect testamentaire de ce disque, et il y a un risque de manque d'objectivité dans l'appréciation de cet enregistrement, parce que justement c'est le dernier disque (du moins officiel) d'Abbado, c'est un très beau et très émouvant live je trouve!

Parce que l'Orchestra Mozart sonne bien tout d'abord (alors qu'en 2012 à Paris, je ne l'avais pas trouvé extraordinaire), et surtout parce que le dialogue entre la soliste et le chef est inné! Je vais peut-être enfoncer une porte ouverte, mais on sent que ces deux artistes sont (étaient   ) complices depuis plus de quarante ans, et qu'ils s'écoutent l'un l'autre!

Et puis c'est une merveille! Parce qu'elle sait toujours, la Martha, vous faire tendre l'oreille par une trouvaille rythmique, des cadences, des accents, en résumé une inventivité, une liberté et une jeunesse toujours bien présentes!

Un petit pincement au coeur en l'écoutant ce disque, mais un émerveillement, surtout pour le 20ème concerto (que je trouve mieux joué que le 25ème, mais c'est juste une appréciation personnelle)!

Et puis, petite nostalgie: c'est en écoutant le 20ème concerto de Mozart par Gulda et Abbado que j'ai aimé le classique! Gulda, Argerich, Abbado, trois complices, trois immenses artistes!

Spoiler:

Chants médiévaux du Manuscrit de Benediktbeuren

(Telefunken, septembre 1964)



Fas et nefas ambulant - Veris dulcis in tempore - Estivali sub fervore - In Gedeonis area - Dulce solum natalis patrie - Iove cum Mercurio - Nomen a solemnibus

Sic mea fata canendo solor - Vite perdite - Tempus transit gelidum - Fulget dies celibris - Exiit diluculo - Conspexit in cespite  - Die Christi veritas

Procurans odium - Planctus Mariae Virgine - Diu werlt frovt sih uberal - Dum juventus floruit - Sage, daz ih dirs - Chramer gip diu varwe mier

Andrea von Ramm : chant, harpe, organetto
Willard Cobb : chant, tambour
Sterling Jones : rebec, vielle, lyre
Thomas Binkley : luth, bombarde, trombone, tambourins, citole, psaltérion

Choeur d'enfants de Munich

Grayston Burgess : contreténor
Karlheinz Klein, Kurt Rith : baryton
Lore Wehrung : flûte traversière
Horst Huber : percussion

Hikari Kiyama, Death Metal Rock with Head Bang for amplified violin

Henry Flynt qui aurait écouté un peu trop Xenakis.

Jean Barraqué (1928–1973), Séquence, texte de F. Nietzsche (trad. H. Albert), pour voix, batterie et divers instruments (1950–55) ¹ · Sonate pour piano (1952) ²

¹ Rosemary Hardy, voix
¹ Klangforum Wien (dir. Jürg Wyttenbach)
² Stefan Litwin, piano


(cd 3/3)

lucien a écrit:

...pour Au-delà du hasard, je pense même encore davantage à Scriabine (Prométhée / Acte préalable)... alors bon, musicalement c’est probablement sot de dire ça, mais cela me fait vraiment la même impression.

Effectivement, je ne vois pas le rapport... quelle impression ?

la « fusion » sonore, l’instabilité (a)tonale, les voix, l’usage du piano, les percussions, l’orchestre, etc. 

c’est un romantique qui fait du sérialisme, Barraqué. 

Jean Barraqué, Sonate.  Roger Woodward (1972)

Delage: 4 poèmes hindous, Berceuse phoque/Angelici, Cluytens

     

Qualité sonore vraiment phénoménale pour un enregistrement de 1951!

Zaderatski, Sonate nº2.  Amirov
Protopopov, Sonate nº2.  Günther
Protopopov, Sonate nº3.  Amirov

pas évidente, cette sonate de Zaderatski, je trouve ; mais je commence à entrer dedans. 

Scriabine: Sonates n°6 et 9/Paik

      

Bizarre ce Steinway de 1926 qui sonne vraiment faux à mes oreilles.

Robert Schumann (1810-1856) :

Les Amours du Poète, cycle de lieder Op. 48

= Dietrich Fischer-Dieskau, baryton ; Christoph Eschenbach, piano

(DG, 1974)

Scriabine: Impromptus opus 7 et 14/Paik

     +

Fauré: Pelléas et Mélisande/Marriner

     

Falla: Psyché/Upshaw

     +

Debussy: Le chute de la maison Usher/Prêtre

     +

Oustvolskaïa, Grand duo pour piano et violoncelle (1959).  Rostropovitch / Loubimov

beaucoup de points communs avec Feldman, en fait.

Tes parallèles sont toujours aussi bizarres.

J'ai trouvé le manuscrit de Thora på Rimol !

C'est parti pour une longue épopée...

je ne dirais pas ça pour toutes les œuvres d’Oustvolskaïa, mais dans celle-ci il y a beaucoup de passages calmes (une majorité, en fait), qui font vraiment penser aux œuvres (tardives) de chambre de Feldman (sans les irrégularités rythmiques), je trouve.

Clementi: sonates, capricci, duetti. Disque 5/20 de l'intégrale de Pietro Spada (label Arts). Beethoven n'est pas issu de la cuisse de Jupiter, mais de celle de Clementi.

Mahler: symphonie no 4. Netania Davrath, le Utah Symphony sous Maurice Abravanel. Quelle fraîcheur et quelle perfection dans la simplicité (interprétation, exécution, prise de son).!

Il écrit bien, le Borgstrøm, son autographe d'orchestre est très lisible.

L'Ouverture est encore mieux écrite que je croyais, vraiment originale, remarquablement orchestrée (pas mal de points communs avec Sibelius), beaucoup de belles appoggiatures, d'appuis pas tout à fait sûrs, de ternaire qui surgit... Il faudrait au moins jouer cette pièce en concert, ça vaut largement Oberon ou Euryanthe...

lucien a écrit:

je ne dirais pas ça pour toutes les œuvres d’Oustvolskaïa, mais dans celle-ci il y a beaucoup de passages calmes (une majorité, en fait), qui font vraiment penser aux œuvres (tardives) de chambre de Feldman (sans les irrégularités rythmiques), je trouve.

Je n'ai pas encore écouté celle-ci. Mais bon, la dimension romantique de Barraqué, hein. (En revanche dans ... au-delà du hasard, il y a bien un côté monumental maladroit un peu Klagende Lied ou Gurrelieder.)