Playlist (84)

plenum a écrit:

Mais je parlais pas de l'oeuvre, mais de cette version avec l'orgue constipé

 
 
Comparé au disque frigide et constipé de Murray, l'interprétation de Preston paraît presque laxative...  
 
Sérieusement, je trouve que les phrasés véloces et bien réglés de Preston, la mécanique précise, les sonorités bien discernées, la pression du vent... tout cela convient bien à l'écriture pianistique de Widor.
 
Et puis la ton collet-monté de l'orgue de Westminster sied plutôt aux pompes second Empire de ce genre de répertoire...
 
Désolé, n'étant pas un thuriféraire absolu de Cavaillé-Coll, j'estime que ses instruments ne sont pas le seul viatique pour interpréter la musique française de cette époque.
 
Mais j'ai mauvais goût, c'est entendu  

Oui les orgues Cavaillé-Coll n'ont pas l'absolu, mais un anglais comme Westminster... en tous cas.

Preston, est un bon organiste et d'ailleurs ce que je considère comme étant ses chef-d'oeuvre discographiques, sont, les sonates de Hindemith, l'Orgelbüchlein et les concertos Vivaldi-Bach au Marcussen de la Cathédrale de Lübeck.

Sabaneev: Sonate pour violon, violoncelle et piano opus 20

     

plenum a écrit:

Preston, est un bon organiste et d'ailleurs ce que je considère comme étant ses chef-d'oeuvre discographiques, sont, les sonates de Hindemith, l'Orgelbüchlein et les concertos Vivaldi-Bach au Marcussen de la Cathédrale de Lübeck.

 
 Absolument !
 
J'ai réécouté le 14 avril ses Concertos d'après Vivaldi, c'est vrai que c'est une tuerie :
 
https://classik.forumactif.com/t7287p800-playlist-82

Son but d'un toucher sans legato, attaquant, est pour évoquer dans une certaine mesure les coups d'archet des cordes d'un orchestre,
ce qu'il réussit totalement. J'irais jusqu'à affirmer que cette version de ces concertos est un must, d'autant plus qu'il y a l'instrument, une excellente acoustique du lieu et la prise de son. 

Alban Berg: Sonate pour piano Op.1
Arnold Schoenberg: Pièces Op.11 Cinq Pièces Op.23, Six petites pièces Op.19
Anton Webern: Variations Op.27

Beveridge Webster, piano

Dover (1967) stéréo

Mélomaniac a écrit:

 
Si j'osais, je dirais même que je préfère les symphonies de Widor à celles de Vierne...  

Pourquoi ça ne m'étonne pas   

Eustache Du Caurroy - Missa pro defunctis - Doulce Mémoire

Dav' le brave a écrit:

Schubert : Fantaisie en do majeur, op. 159, D. 934
Julia Fischer
Martin Helmchen
Yes ! 

Cela devrait me plaire  

Sûrement, c'est en tout cas très réjouissant. 

Jeanne Gautier et André Lévy: Maurice Ravel "sonate pour violon et violoncelle" une vraie tuerie cette version               

Berg, Sonate.  Yudina

Grieg. Peer Gynt + autres pièces pour orchestre. OP Bergen, RUUD. 2006, BIS. Très beau disque, prise de son (SACD) exceptionnelle -magnifiques timbres des bois, notamment-.

Hier :



Toujours aussi divin, aussi bien pour Leonhardt que pour le Dom Bédos de Sainte-Croix à Bordeaux.   

Et puis surtout, il m'a donné envie d'aller à la découverte de Muffat, présent à deux reprises au programme !

Jean-Baptiste Lully (1632-1687) :
 
Atys : Air et chaconne ; le Sommeil ; Air pour la Suite de Flore ; Entrée des Songes funestes
Roland : Gigue ; Menuet ; Ritournelle des Fées
Acis et Galatée : Chaconne
Circé : Ouverture ; Rigaudon en tambourin
Carnaval : Mascarade
Triomphe de l'Amour : Air d'Apollon
Armide : Passacaille ; les Sourdines
Isis : Ouverture
Thésée : Marche
Cadmus et Hermione : Ouverture ; Air des Furies ; Sacrifice de Mars
Alceste : Marche
Psyché : Ouverture
 
= Jean-Paul Lécot, orgue Delaunay de la Cathédrale de Tarbes
 
(Forlane, octobre 1993)
 

@ Melomaniac & Plenum :

Effectivement, interprétation enthousiasmante, mais déjà que je n'aime pas le timbre du plein-jeu en général, alors joué sur ce marbre de tombeau... Vous aimez vraiment ce truc ? Les timbres de chaque tuyau sont tellement réguliers et lisses que j'ai l'impression d'entendre un synthé...

Diablotin a écrit:

Grieg. Peer Gynt + autres pièces pour orchestre. OP Bergen, RUUD. 2006, BIS. Très beau disque, prise de son (SACD) exceptionnelle -magnifiques timbres des bois, notamment-.

Oui, et tous les disques de Ruud avec Bergen sont de la même eau ! Dans ces soirs-là, Bergen est le plus bel orchestre du monde.  

Il a malheureusement beaucoup perdu en typicité sous Litton – qui a néanmoins fait de beaux disques avec eux.

Bien-sûr que j'adore ce timbre. C'est lumineux, chantant, la lumière qui pénètre totalement le travers d'un vitrail! Les orgues trop du style
Arhend sonnent trop VERTS surtout un tempérament ancien du genre mésotonique s'y ajoute. Trop de rudesses
m'enquiquine au max surtout si dans un lieu peu réverbéré.

Pardon, je parlais du Bach de Preston, Mélo a posté entre-temps.

Non, le disque LULLY de Lécot est l'une des très rares réussites que j'aie entendues pour ce compositeur à l'orgue. Je ne suis pas satisfait des phrasés, mais les arrangements sont bien choisis, bien organisés, et surtout pertinemment réalisés, en mettant bien en valeur les petites tensions harmoniques. Et j'aime bien l'orgue, effectivement très chaleureux.

C'est possible... Moi, celui que je voudrais vraiment entendre, c'est Trondheim. Tu as pu l'essayer ? Ils ne produisent guère en dehors des murs, c'est un gros investissement (en temps surtout) pour aller entendre un concert.

DavidLeMarrec a écrit:

Pardon, je parlais du Bach de Preston, Mélo a posté entre-temps.

Non, le disque LULLY de Lécot est l'une des très rares réussites que j'aie entendues pour ce compositeur à l'orgue. Je ne suis pas satisfait des phrasés, mais les arrangements sont bien choisis, bien organisés, et surtout pertinemment réalisés, en mettant bien en valeur les petites tensions harmoniques. Et j'aime bien l'orgue, effectivement très chaleureux.

Mais j'ai répondu en fonction du Bach/Preston.


Pour le Lully Lécot je partage ton avis.

DavidLeMarrec a écrit:

C'est possible... Moi, celui que je voudrais vraiment entendre, c'est Trondheim. Tu as pu l'essayer ?  Ils ne produisent guère en dehors des murs, c'est un gros investissement (en temps surtout) pour aller entendre un concert.

Non, malheureusement... Je ne suis resté à Trondheim que deux jours, en remontant vers le nord -en plus, la vie est chère en Norvège, et à l'époque, j'avais moins de moyens...- ! Je n'exclus pas, par ailleurs, de retourner en Finlande dans les temps à venir, je n'y ai jamais entendu d'orchestre là-bas non plus, mais maintenant que je suis accro à Sibelius, qui sait ???
Par contre, d'ici, il suffit de deux jours en voiture pour aller à Bergen avec une halte au Danemark, qui est assez moche cela dit-, donc le temps n'est pas un argument recevable    !

Mahler:Symphonie n°3 (Sinopoli)

Alemdar Karamanov : Symphony No. 7 "Moonlight Sea" (1958)/Unknow


         

Joseph Haydn (1732-1809) :
 
Les Saisons, -oratorio en quatre parties
 
Première partie : Le Printemps
 
Simon, un paysan : Walter Berry
Hanne, la fille du paysan : Gundula Janowitz
Lukas, un jeune paysan : Werner Hollweg

Choeur de l'Opéra allemand de Berlin
 
Herbert von Karajan, orchestre philharmonique de Berlin
 
(Emi, novembre 1972)
 

C. P. E. Bach: Symphonies & concerto pour violoncelle
Café Zimmermann

Très vif et incisif et chantant sans être caricatural. La version du concerto pour violoncelle WQ 172 soutient la comparaison avec Bylsma/Léonhardt (par ailleurs très belle et pas râpeuse comme le veut une légende tenace sur Bylsma). Très belle entrée pour CPE Bach (même si pour moi, c'est les rondo et fantaisies)


Freiburger Barockorchester / Petra Müllejans / Andreas Staier
C.P.E. Bach: Sei Concerti per il Cembalo Concertato, Wq. 43

J'ai un peu de mal (malgré tout le bien que je pense de Staïer - qui n'est pas sans lien avec Café Zimmermann). Je suis peut-être moins sensible aux oeuvres  ou: peut être la mise en arrière plan du clavecin (où ais-je mis mon sonotone?)?

"...Quelle clarté prodigieuse! vous avez dû disposer d'un.......fantastique! - "à n'en pas croire vos oreilles! "Je venais de comprendre la première leçon qu'enseigne la technologie: j'avais appris à être malhonnête dans un sens créateur" G. Gould. in Geoffrey Payzant. ed Fayard p.207. Staïer est peut-être trop honnête.

PS vont-ils sortir du bois?

Joseph Haydn (1732-1809) :

Les Saisons, -oratorio en quatre parties

Deuxième partie : L'Eté

Simon, un paysan : Walter Berry
Hanne, la fille du paysan : Gundula Janowitz
Lukas, un jeune paysan : Werner Hollweg

Choeur de l'Opéra allemand de Berlin

Herbert von Karajan, orchestre philharmonique de Berlin

(Emi, novembre 1972)

Une oeuvre superbe!   

J'ai la version Bohm et celle de Jacobs.  

Dav' le brave a écrit:

Sûrement, c'est en tout cas très réjouissant. 

Oui, magnifique et étonnant d'entendre Julia Fischer au violon puis au piano avec autant de bonheur.

     

Berlioz : Symphonie Fantastique / Münch
      

arnaud bellemontagne, au sujet des Saisons de Haydn, a écrit:

Une oeuvre superbe!   

 
 
Oui, pour un calme dimanche après-midi ensoleillé, avachi sur mon fauteuil, cette oeuvre présente d'ineffables vertus postprandiales...  

Dimanche de l'opéra : Richard Wagner, Crépuscule des Dieux

 
 
Au programme : Découvrir le dernier volet de la Tétralogie
 
 
Richard Wagner (1813-1883) :
 
Le Crépuscule des Dieux, drame lyrique en trois actes
 
Prologue & Acte I
 
Siegfried : Wolfgand Windgassen
Gunther : Thomas Stewart
Alberich : Gustav Neidlinger
Hagen : Josef Greindl
Brünnhilde : Birgit Nilsson
Gutrune : Ludmila Dvorakova
Waltraute : Martha Mödl
Woglinde : Dorothea Siebert
Flosshilde : Sieglinde Wagner
Norn I : Marga Höffgen
Norn II : Annelies Burmeister
Norn III : Anja Silja

Choeurs du Festival de Bayreuth, dir. Wilhelme Pitz
 
Karl Böhm, Orchestre du Festival de Bayreuth
 
(Philips, été 1971)
 

 

Feike Asma à son bel orgue de Maasluis, interprète des compositeurs anglais.

1 John Stanley (arr. Henry Coleman): Trumpet voluntary
2 John Stanley: Sonate (trio) in b
adagio - allegro moderato - allegro vivace
3 William Walond: Introduction and toccata
4 Michael Chr. Festing (arr. G.Thalben-Ball): Sonate in E
largo - allegro - aria + 2 variations
5 William Boyce: Trio in dance form: gavot
6 Healy Willan: Introduction, passacaglia and fugue
7 William Thomas Best: Scherzo

Fontana (1975) stéréo

chris28 a écrit:

Dav' le brave a écrit:

Sûrement, c'est en tout cas très réjouissant. 

Oui, magnifique et étonnant d'entendre Julia Fischer au violon puis au piano avec autant de bonheur.

     

Je n'ai écouté que la première fantaisie, mais je vais me laisser tenter alors.  

Mélomaniac a écrit:

Dimanche de l'opéra : Richard Wagner, Crépuscule des Dieux

 
 
Au programme : Découvrir le dernier volet de la Tétralogie
 
 
Richard Wagner (1813-1883) :
 
Le Crépuscule des Dieux, drame lyrique en trois actes
 
Prologue & Acte I
 
Siegfried : Wolfgand Windgassen
Gunther : Thomas Stewart
Alberich : Gustav Neidlinger
Hagen : Josef Greindl
Brünnhilde : Birgit Nilsson
Gutrune : Ludmila Dvorakova
Waltraute : Martha Mödl
Woglinde : Dorothea Siebert
Flosshilde : Sieglinde Wagner
Norn I : Marga Höffgen
Norn II : Annelies Burmeister
Norn III : Anja Silja

Choeurs du Festival de Bayreuth, dir. Wilhelme Pitz
 
Karl Böhm, Orchestre du Festival de Bayreuth
 
(Philips, été 1971)
 

 

Peut être l'oeuvre la plus riche et épique de Wagner.     

arnaud bellemontagne a écrit:

Peut être l'oeuvre la plus riche et épique de Wagner.  

 
 
  Pour cet après-midi, je vais devoir arrêter à la fin de l'Acte I.

J'ai lancé l'écoute en sachant que je n'écouterais pas tout aujourd'hui, et c'est une énorme surprise : dès le début du Prologue, j'ai été scotché.

Ca vit ! Les leitmotive s'enchaînent avec une virtuosité étourdissante. Musicalement, c'est grisant ! Et quelle orchestration !

Aucun temps mort dans le drame (ou peut-être un chouïa dans le monologue du troisième tableau).

Alors que je m'étais ennuyé dans La Walkyrie et Siegfried, ici c'est chaud bouillant !

Pourvu que ça continue dans les deux actes suivants.

Je les écouterai plus tard, mais en tout cas cette découverte m'a euphorisé !

xoph a écrit:

soutient la comparaison avec Bylsma/Léonhardt (par ailleurs très belle et pas râpeuse comme le veut une légende tenace sur Bylsma)

Légende maintenue vivace grâce à la documentation discographique.

Francesco Provenzale - Missa defunctorum - Cappella de'Turchini_Antonio Florio

Ravel. Oeuvres pour piano. Pascal Rogé. 1973-74. Decca. Tout est très bon, sauf la prise de son, assez moyenne...
Schumann. Concerto pour piano. Arrau, OS Boston. Davis. 1980. Philips

Bach/Widor:Finale de la Passion selon Saint-Matthieu BWV 244
Beethoven/Trovato: Allegretto de la 7e Symphonie Op.92
Berlioz/Büsser: Marche au supplice de la Symphonie fantastique
Wagner/West: Liebestod de Tristan et Isolde
Saint-Saëns/Lemare: Danse Macabre Op.42
Debussy/Guilmant: Andantino du Quatuor à cordes en Sol mineur
Sibelius/Fricker: Finlandia Op.26
Holst/Sykes: Mars, de Les Planètes.

Mélanie Barney aux grandes orgues Beckerath de l'Oratoire Saint-Joseph

Barraqué, Sonate.  Henck
Goeyvaerts, Sonate.  Champ d’Action

Beethoven : Sonates 8 et 30 (Baremboim), Symphonie 6 (Harnoncourt, puis Karajan 63)
Glière : Symphonie 2 (Naxos)

Wagner : Tristan und Isolde (Philippe Jordan, 2014 : Robert Dean Smith, Franz Josef Selig, Violeta Urmana, Jochen Schmeckenbecher, Janina Baechle, Raimund Nolte, Dietmar Kerschbaum)

Mouais... Urmana toujours aussi stridente, Jordan fait de belles choses (enfin surtout l'orchestre!) mais ça manque un peu de passion... Dean Smith est toujours aussi bien avec ses limites, Selig fatigue pas mal... le reste est bien sans plus.
On est loin de la dernière reprise (quand Meier n'était pas malade!)

Goeyvaerts, Nummer 2 pour 13 instruments.  Champ d’Action

Boris Tishchenko : Variations Op. 1 & Piano Sonata No. 1 Op. 3/Dinara Mazitova, piano

Woh Woh Woh !!!            

Marin Marais (1656-1728) :
 
Troisième Livre : Suites en ut mineur et sol mineur
 
Prélude - Fantaisie - Allemande - Courante - Sarabande - Gigue - Menuet - Contrefaiseurs - Rondeau

Prélude - Caprice - Gigue - Plainte - Fugue gaye
 
= Jérôme Hantaï, basse de viole ; Pierre Hantaï, clavecin ; Alix Verzier, basse de viole
 
(Virgin, avril 1996)
 

Mélomaniac a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Peut être l'oeuvre la plus riche et épique de Wagner.  

 
 
  Pour cet après-midi, je vais devoir arrêter à la fin de l'Acte I.

J'ai lancé l'écoute en sachant que je n'écouterais pas tout aujourd'hui, et c'est une énorme surprise : dès le début du Prologue, j'ai été scotché.

Ca vit ! Les leitmotive s'enchaînent avec une virtuosité étourdissante. Musicalement, c'est grisant ! Et quelle orchestration !

Aucun temps mort dans le drame (ou peut-être un chouïa dans le monologue du troisième tableau).

Alors que je m'étais ennuyé dans La Walkyrie et Siegfried, ici c'est chaud bouillant !  

Pourvu que ça continue dans les deux actes suivants.

Je les écouterai plus tard, mais en tout cas cette découverte m'a euphorisé !

Ah la suite ça monte cresendo :

A l'acte 2, la scène calme du rêve de Hagen où Alberich revient murmurer (dans ce rêve) à son fils de récupérer l'anneau. C'est une scène d'une beauté à couper le souffle.
Ensuite : ça devient beaucoup beaucoup plus épique => appel des vassaux par Hagen (le moment où il faut que la basse ait une puissance démentielle), puis le double mariage, et Brünnhilde et Siegfried qui jurent sur la lance de Hagen (là aussi c'est épique). Encore plus épique : le trio de vengeance : Brünnhilde / Hagen / Gunther.
Le 3° acte commence calmement avec le rappel de du début de l'Or du Rhin mais déformé avec les 3 filles du Rhin qui essayent de convaincre Siegfried de leur donner l'anneau pendant qu'il est encore temps ...
Ensuite ça redevient épique car Siegfried se fait embrocher par Hagen ... puis la marche funèbre ... puis la dispute entre Hagen et Gunther (qui est tué). Puis la scène de l'immolation que tu connais et les eaux du Rhin qui envahissent la scène noyant Hagen qui essayait de reprendre l'Anneau.

T'es peut être pas obligé de tout lui réveler vu qu'il découvre  


@Kegue:   

Mahler:Symphonie n°4 (Sinopoli)

Souvent déconcertant dans la lignée de sa 1ere (mais un peu moins quand même) et de sa 3ème mais c'est rudement intéressant comme lecture.   

plenum a écrit:

Spoiler:

 
 Très excitant le genre d'engins qu'on trouve par chez-vous, au Québec.

Dommage que le buffet soit coupé sur cette photo (je parle de l'orgue...)

Jean-Sébastien Bach
Gottes Zeit Ist Die Allerbeste Zeit-BWV 106
Easter Oratorio-BWV 249

English Baroque Soloists & Monteverdi Choir & John Eliot Gardiner
Meg Bragle & Hannah Morrison & Peter Harvey & Nicholas Mulroy

Label SDG 2013