Playlist (86)

Polyeucte a écrit:

Passer d'Arthus aux Maîtres, la chute est rude!

Oser comparer les Maîtres avec ce vulgaire sous-ersatz wagnérien d'Arthus ... !!!

Igor Stravinsky : Des machins néo-classiques immangeables.../Igor Stravinsky

Xavier a écrit:

Je l'aime assez aussi dans les deux enregistrements que tu cites, mais dans Tristan il fait déjà ces sons poussés, pour le moins inélégants...
Là c'est quasiment la 1ère fois que j'entends un chant vraiment propre de sa part. (c'est peut-être vrai aussi pour Parsifal et Tannhäuser avec Solti, mais mon souvenir date un peu)

Pour le chant propre, oui, c'est le cas dans Parsifal (dans Tannhäuser, il n'est quand même pas très lyrique comme garçon). Et d'une manière générale dans tout ce qu'il a fait dans les années 70. Évidemment, quand il s'attaque à Tristan, à Siegfried et à l'Empereur, la voix montre ses limites. On se rend compte, dans les captations de radio où il est enregistré de plus près, que la voix avait énormément de métal — c'est ce qui lui permettait de passer l'orchestre, alors même qu'il semble bridé en volume. Il devait faire pas mal de bruit à mon avis (je ne vois pas beaucoup d'équivalents aujourd'hui…).

--

(Symphonies de Schmidt.)

Benedictus a écrit:

Essaye plutôt Mehta / Vienne (Decca) ou à l'inverse Sinaisky / Malmö (Naxos).

Exactement les mêmes conseils. Sinaisky avant tout, mais pour la Quatrième, Mehta a de superbes couleurs.

--

Mélomaniac a écrit:

Vous m'aviez dit, je crois, que cette version n'est pas terrible, mais c'est la seule que j'ai sous la main, et pour découvrir l'oeuvre ça devrait bien suffire...

Disons qu'orchestralement, Varviso n'est pas très mobile, donc ça se traîne un peu dans une œuvre qui est déjà longue. Mais le plateau est quand même bien superbe (Bode-Cox-Ridderbusch-Sotin, c'est quasiment une distribution idéale !).

=> Bruckner - Symphonie n°3 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°4 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°5 - Andreae

Les bois détimbrent à mort, ce n'est pas très tendre, mais ça se consomme quand même beaucoup plus facilement quand c'est joué au bon tempo, exactement comme Parsifal. Au lieu d'en faire une, j'en ai fait trois.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Je l'aime assez aussi dans les deux enregistrements que tu cites, mais dans Tristan il fait déjà ces sons poussés, pour le moins inélégants...
Là c'est quasiment la 1ère fois que j'entends un chant vraiment propre de sa part. (c'est peut-être vrai aussi pour Parsifal et Tannhäuser avec Solti, mais mon souvenir date un peu)

Pour le chant propre, oui, c'est le cas dans Parsifal (dans Tannhäuser, il n'est quand même pas très lyrique comme garçon). Et d'une manière générale dans tout ce qu'il a fait dans les années 70. Évidemment, quand il s'attaque à Tristan, à Siegfried et à l'Empereur, la voix montre ses limites.

Son Empereur avec Dohnanyi en 80 m'avait plutôt agréablement surpris quand même.

Benedictus a écrit:

Bart a écrit:

Schmidt, Symphonie n°4, Welser-Möst

    

Essaye plutôt Mehta / Vienne (Decca) ou à l'inverse Sinaisky / Malmö (Naxos).

Ne connaissant pas du tout cette oeuvre et encore moins ses interprétations, j'ai écouté la première chose sur laquelle je suis tombé sur Musicme. Mais je vois qu'ils ont également Mehta, donc je le tenterai. Merci du conseil.   

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

Je l'aime assez aussi dans les deux enregistrements que tu cites, mais dans Tristan il fait déjà ces sons poussés, pour le moins inélégants...
Là c'est quasiment la 1ère fois que j'entends un chant vraiment propre de sa part. (c'est peut-être vrai aussi pour Parsifal et Tannhäuser avec Solti, mais mon souvenir date un peu)

Pour le chant propre, oui, c'est le cas dans Parsifal (dans Tannhäuser, il n'est quand même pas très lyrique comme garçon). Et d'une manière générale dans tout ce qu'il a fait dans les années 70. Évidemment, quand il s'attaque à Tristan, à Siegfried et à l'Empereur, la voix montre ses limites.

Son Empereur avec Dohnanyi en 80 m'avait plutôt agréablement surpris quand même.

Moui, j'y entends le Kollo habituel. D'ailleurs, c'est vrai que dans la juvénile Ville Morte, il est « habituel » aussi. En fait, lorsque ça ne monte pas trop, il s'en sort très bien, mais quand c'est aigu et qu'il y a du volume à donner, c'est en général un peu frustrant — mais j'aime toujours assez Kollo, même déclinant, même en Siegfried.

Liszt: Faust-Symphonie
Jerusalem (ténor), Chicago SO & Chorus, dir. Solti

 
Deezer m'a coupé les accords finaux.   

Richard Wagner (1813-1883) :

Les Maîtres-Chanteurs de Nuremberg, opéra en trois actes

Acte II

Hans Sachs : Karl Ridderbusch
Veit Pogner, orfèvre : Hans Sotin
Kunz Vogelgesang, pelletier : Heribert Steinbach
Konrad Nachtigall, ferblantier : Jozsef Dene
Sixtus Beckmesser, greffier municipal : Klaus Hirte
Fritz Kothner, boulanger : Gerd Nienstedt
Balthasar Zorn, étameur : Robert Licha
Ulrich Eißlinger, épicier : Wolf Appel
Augustin Moser, tailleur : Norbert Orth
Hermann Ortel, savonnier : Heinz Feldhof
Hans Schwarz, bonnetier : Hartmut Bauer
Hans Foltz, chaudronnier : Nikolaus Hillebrand
Walther von Stolzing, jeune chevalier de Franconie : Jean Cox
David, apprenti : Frieder Stricker
Eva, fille de Pogner : Hannelore Bode
Magdalene, nourrice d'Eva : Anna Reynolds
Veilleur de nuit : Bernd Weikl

Sylvio Varviso, Choeurs et Orchestre du Festival de Bayreuth

(Philips, 1975)

  J'adore l'air au début de Jerum! Jerum!

Tournemire: l'Orgue Mystique - Cycle de la Pentecôte, Office n° 31 : 6ème dimanche après la Pentecôte
Delvallée

  , et le final    .

Cololi a écrit:

Polyeucte a écrit:

Passer d'Arthus aux Maîtres, la chute est rude!

Oser comparer les Maîtres avec ce vulgaire sous-ersatz wagnérien d'Arthus ... !!!

A la limite si tu veux tu peux écrire:

"Oser comparer les Maîtres avec ce vulgaire sous-ersatz wagnérien d'acte 1 d'Arthus ... !!!"

  

Mélomaniac a écrit:

Albert Roussel (1869-1937) :

Symphonie n°2

= Stéphane Denève, Orchestre royal national d'Ecosse

(Naxos, juin 2007)

  De loin la plus intéressante symphonie de Roussel quant à la complexité harmonique et au travail sur les atmosphères.

Ça se discute... Pour moi c'est la troisième.

Berg: Concerto pour violon/Kremer, C.Davis

     

Vierne: Quatuor à cordes
Quatuor Philips

Ça m'emballe pas.

Holst: les Planètes
BP, dir. Karajan

  

Vivaldi: Bajazet (Acte II)
Biondi

Y'a des airs pas mal.

Messiaen: Vingt Regards / Loriod
Messiaen: Vingt Regards / Muraro
Beethoven : Concerto pour piano n°5 / Kissin, Colin Davis
Grieg: Concerto pour piano / Michelangeli, de Burgos
Rachmaninov: Concerto pour piano n°2 / Lugansky, Oramo
Rachmaninov: Préludes op. 23 / Lugansky
Ravel: Gaspard de la Nuit / Kaasa

Schmidt, Symphonie n°4, Mehta


Vous aviez raison, c'est mieux que Welser-Möst. Très chouette en tout cas cette oeuvre, je vais me pencher de plus près sur ce compositeur.

Bart a écrit:

Schmidt, Symphonie n°4, Mehta


Vous aviez raison, c'est mieux que Welser-Möst. Très chouette en tout cas cette oeuvre, je vais me pencher de plus près sur ce compositeur.

La 2 et la 3 sont formidables aussi (la 1 est remarquable, mais plus une récapitulation postromantique de ce qui a précédé).

Il y a aussi de belles choses en musique de chambre (et puis Notre-Dame de Paris, même si c'est moins bien).

Merci, je vais tenter les autres symphonies pour commencer.   

Berlioz: Requiem
Ronald Dowd (ténor), LSO & Chorus, dir. Davis

Je dois avoir un problème avec les ténors. Dowd m'énerve dans l'avant-dernier mouvement, il s'est cru dans un opéra belcanto italien on dirait.
Je trouve qu'il en fait trop, et qu'un peu de simplicité contribuerait à une atmosphère plus recueillie.
Quant aux ténors du choeur, ils m'ont presque fait grincer des dents quand il allaient dans les aigus, je ne saurais dire pourquoi.

Sinon c'est pas mal, un peu longuet. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus grandiloquent, les passages lourdingues n'occupent qu'environ la moitié si j'ai bien entendu.

Jof M a écrit:

Quant aux ténors du choeur, ils m'ont presque fait grincer des dents quand il allaient dans les aigus, je ne saurais dire pourquoi.

Parce que riches en harmoniques et un peu stridents ?

DavidLeMarrec a écrit:

=> Bruckner - Symphonie n°3 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°4 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°5 - Andreae

Les bois détimbrent à mort, ce n'est pas très tendre, mais ça se consomme quand même beaucoup plus facilement quand c'est joué au bon tempo, exactement comme Parsifal. Au lieu d'en faire une, j'en ai fait trois.

  

DavidLeMarrec a écrit:

Bart a écrit:

Schmidt, Symphonie n°4, Mehta


Vous aviez raison, c'est mieux que Welser-Möst. Très chouette en tout cas cette oeuvre, je vais me pencher de plus près sur ce compositeur.

La 2 et la 3 sont formidables aussi (la 1 est remarquable, mais plus une récapitulation postromantique de ce qui a précédé).

Il y a aussi de belles choses en musique de chambre (et puis Notre-Dame de Paris, même si c'est moins bien).

Et Das Buch mit sieben Segeln! Si tu le trouves, je te conseille le live salzbourgeois survolté de Mitropoulos (bon, c'est presque un pléonasme, «live salzbourgeois survolté de Mitropoulos») avec un plateau vocal de rêve; sinon, Harnoncourt, à la fois grandiloquent et hargneux, fait très bien l'affaire.

DavidLeMarrec a écrit:

Parce que riches en harmoniques et un peu stridents ?

Probablement.   

Benedictus a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Bruckner - Symphonie n°3 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°4 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°5 - Andreae

Les bois détimbrent à mort, ce n'est pas très tendre, mais ça se consomme quand même beaucoup plus facilement quand c'est joué au bon tempo, exactement comme Parsifal. Au lieu d'en faire une, j'en ai fait trois.

  

Oui, tu avais raison.

Pourtant il me semblait bien que j'en avais écouté… Je vieillis mal : au lieu d'aller vers l'étirement méditatif, je me range vers toujours plus de superficialité cursive et de baroque.

Citation :

Et Das Buch mit sieben Segeln! Si tu le trouves, je te conseille le live salzbourgeois survolté de Mitropoulos (bon, c'est presque un pléonasme, «live salzbourgeois survolté de Mitropoulos») avec un plateau vocal de rêve; sinon, Harnoncourt, à la fois grandiloquent et hargneux, fait très bien l'affaire.

Oui, c'est très beau. Mieux que Notre-Dame, mais c'est moins original… ça n'apporte pas beaucoup de neuf quand on a déjà écouté les symphonies.

Encore très différent, il faut aller chercher du côté de la formation quatuor… avec cordes, clarinette et piano.

Ralph Vaughan Williams (1872-1958) :

Symphonie n°6 en mi mineur

= Adrian Boult, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, décembre 1953)

(Vraie) question de pure curiosité : il y a pas mal de grandes versions des symphonies de RVW, pourquoi écouter Boult alors que le son, la finition et l'élan sont sensibleent inférieurs ?

 Parce que t'as tout faux...

Tu devrais (ré)écouter (attentivement, sans préjugé)...

Mais quelles sont donc ces fameuses références suprêmes alors ?

Mélomaniac a écrit:

 Parce que t'as tout faux...

Non, sérieusement, tu trouves des atouts dans Boult ? Orchestre limité, capté pauvrement (oui, même dans les prises les plus récentes), phrasés prosaïques, absence de couleur… Si on écoute du RVW, en principe, on en veut pour son argent en sucre d'orge, on ne veut pas entendre Radio-Lyrique dans Christiné !

Citation :

Tu devrais (ré)écouter (attentivement, sans préjugé)...

Fait il y a quelques jours, justement.

Citation :

Mais quelles sont donc ces fameuses références suprêmes alors ?

Je ne parle pas de références suprêmes, en l'occurrence, il suffit de prendre n'importe quelle intégrale plus récente, avec ses qualités et ses défauts : Haitink, Hickox, Previn, Thomson, Handley, même Slatkin… C'est plus ou moins au goût de chacun, mais il n'y a pas ces problèmes.

=> Bruckner - Symphonie n°6 - Andreae
=> Bruckner - Symphonie n°7 - Andreae

=> Berlioz - Symphonie Fantastique - Markevitch
=> Berlioz - Symphonie Fantastique - Solti
(Je n'aurais jamais cru Solti capable de jouer en dehors du temps comme ça ! La Valse est épatante.)

DavidLeMarrec a écrit:

=> Berlioz - Symphonie Fantastique - Markevitch

 La version berlinoise, oui entièrement d'accord : beucoup plus noir, décapant et sulfureux (bref : plus réussi) que l'enregistrement DG avec les Lamoureux.

Pour VW, je te réponds demain sur le topic idoine.

Car je suis déjà occupé à remettre un peu d'ordre dans tes allégations sur un autre topic. Tu es épuisant...  

Mélomaniac a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Berlioz - Symphonie Fantastique - Markevitch

 La version berlinoise, oui entièrement d'accord : beucoup plus noir, décapant et sulfureux (bref : plus réussi) que l'enregistrement DG avec les Lamoureux.

Non, version Lamoureux. Miraculeux ce qu'il fait avec cet orchestre… les trois premiers mouvements ne se comparent à rien d'autre, comme sa Damnation. J'aime un peu moins le côté dépareillé, moins construit, des deux derniers mouvements, mais ça reste de l'immense standard.

DavidLeMarrec a écrit:

J'aime un peu moins le côté dépareillé, moins construit, des deux derniers mouvements, mais ça reste de l'immense standard.

  Bien d'accord, c'est carrément mou du genou, incompréhensible pour du Markevitch, et l'interprétation émolliente de ces deux derniers mouvements succombe face aux ébats chauffés à blanc de la version berlinoise.

Moitié du premier Acte de Lohengrin (mon baptême du cygne), version Cluytens Bayreuth 56. Après plus de 30 minutes je n'ai rien entendu d'intéressant à part le Prélude. Mais ça c'est Wagner. S'il réussit à me faire avaler aimer les MAîtres-Chanteurs, je suppose qu'il est capable de tout,

Premier Acte de La Cenerentola de Rossini. Baltsa, Abbado. Premier disque d'un coffret de 8 que j'ai acheté parce que c'était pratique vu que ma collection d'opéras de Rossini était encore vierge. Le finale de l'acte I est très bien, et Baltsa surprenante vocalement.

Jaroussky et Cencic: Duetti. Quel beau mariage !

Même pas Dank, König, dir, Einsam in trüben Tagen et l'entrée de Lohengrin avec les chœurs ineffables et le chant a cappella suspendu ?  Parce que même à la première écoute, ça se remarque, non ?

Einsam in Trüben Tagen je pourrais le chanter en dormant. J'ai ça une douzaine de fois déjà, donc ça ne m'a pas interpellé (beaucoup moins qu'avec Brouwnstijn, par exemple). Le reste, non. Mais comme je l'ai dit, ça viendra peut-être "à rebours" lorsque j'aurai écouté le reste.

Rabaud: Mârouf, savetier du Caire. Je croyais avoir reconnu une mélodie dans le BT de Mélo. Je me suis donc tapé toute l'affaire. Très joli.

André a écrit:

Rabaud: Mârouf, savetier du Caire. Je croyais avoir reconnu une mélodie dans le BT de Mélo. Je me suis donc tapé toute l'affaire. Très joli.

  De l'utilité des BT !

Surtout ceux qui vous font écouter de jolies musiques...   

Là, en vain je le crains, mais si tu as passé un agréable moment c'est l'essentiel...  

******************************************************************************************************************

Frédéric Chopin (1810-1849) :

Nocturnes n°1-10 Op. 9, 15, 27, 32

= Stefan Askenase, piano

(DG, mars 1952)

Mélomaniac a écrit:

André a écrit:

Rabaud: Mârouf, savetier du Caire. Je croyais avoir reconnu une mélodie dans le BT de Mélo. Je me suis donc tapé toute l'affaire. Très joli.

  De l'utilité des BT !

Surtout ceux qui vous font écouter de jolies musiques...   

Là, en vain je le crains, mais si tu as passé un agréable moment c'est l'essentiel...  

C'est chouette Mârouf!!

Florentz:La Croix du Sud
Florentz:Prelude de l'enfant noir
Florentz:Debout sur le Soleil

Ces oeuvres d'orgue m'exaltent autant que sa musique pour orchestre, on y entend la même ferveur incantatoire, limite mystique.

Déplanétisant.       

Je parviens toujours à mes fins   

Oui, merci Col!   

=> Fried - Die Verklärte Nacht - Foremny

=> Debussy - Suite Bergamasque - Thiollier
=> Debussy - Nocturne - Thiollier
=> Debussy - Danse bohémienne - Thiollier
=> Debussy - Arabesques  - Thiollier
Je n'aime pas particulièrement le Debussy noyé de pédale… il n'empêche, il n'y a pas mieux que Thiollier.

=> Fried - Die Verklärte Nacht - Foremny

=> Debussy - Suite Bergamasque - Thiollier
=> Debussy - Nocturne - Thiollier
=> Debussy - Danse bohémienne - Thiollier
=> Debussy - Rêverie - Thiollier
=> Debussy - Mazurka - Thiollier
=> Debussy - Arabesques - Thiollier

Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893) :

La Belle au Bois dormant, ballet en trois actes Op. 66

Acte I

= Ievgueni Svetlanov, Orchestre symphonique de l'Académie d'Etat d'URSS

(Melodiya, 1980)

Bach:Les Variations Goldberg (Gould 81)

Le plus beau disque de piano que je connaisse.       

arnaud bellemontagne a écrit:

Bach:Les Variations Goldberg (Gould 81)

Le plus beau disque de piano que je connaisse.       

Hormis les partitas 

Edouard Lalo (1823-1892) :

Concerto pour violoncelle en la mineur

= Pierre Fournier ; Jean Martinon, Orchestre des Concerts Lamoureux

(DG, mai 1960)

César Franck (1822-1890) :

Sonate n°1 en la majeur

= Christian Funke, violon ; Peter Rösel, piano

(Berlin Classics, 1981)

Hændel : Il trionfo del tempo e del disinganno
Marc Minkowski, Les Musiciens du Louvre et de bien belles voix.

xoph a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bach:Les Variations Goldberg (Gould 81)

Le plus beau disque de piano que je connaisse.       

Hormis les partitas 

Tu parles de la version Gould?

En effet c'est un recueil magnifique que je mets quasiment à égalité avec sa version miraculeuse des Toccatas, mais ce qu'il fait des goldberg c'est vraiment incommensurable de dynamisme, de vivacité, de jubilation et de clarté...la musique est hyper compliquée et il arrive à lui donner un caractère évident. Vraiment un tour de force.