Playlist (89)

=> Hauer — Salambo — Zagrosek
Agréable. Pas forcément marquant, mais ça s'écoute très bien.

Uuno Klami (1900-1961) :

Suite Kalevala Op. 23

La Création de la Terre - Pastorale - Terhenniemi - Berceuse pour Lemminkaïnen - Forger le Sampo

= Petri Sakari, Orchestre symphonique d'Islande

(Chandos, octobre 1993)

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Hauer — Salambo — Zagrosek
Agréable. Pas forcément marquant, mais ça s'écoute très bien.

ça ne vaut pas mon Messiaen–Feldman de cinquante-six minutes.

Le réel est toujours moins bien que la fantaisie.

(Tu n'as pas besoin de te répéter, tu as déjà fait frémir tout le monde sur ce forum en le postant une fois.)

DavidLeMarrec a écrit:

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

=> Hauer — Salambo — Zagrosek
Agréable. Pas forcément marquant, mais ça s'écoute très bien.

ça ne vaut pas mon Messiaen–Feldman de cinquante-six minutes.

Le réel est toujours moins bien que la fantaisie.

(Tu n'as pas besoin de te répéter, tu as déjà fait frémir tout le monde sur ce forum en le postant une fois.)

.... Etant toi et Xavier, c'est ça ?

Mais c'est un David LeMarrant aussi, pas seulement frémissant.

Alkan

Sonatine, Visions, Les diablotins, Marche funèbre, Marche triomphale...

Ronald Smith, piano.

EMI 1974


Toujours pas réédité en CD! Heureusement que j'ai toujours conservé le vinyle.

plenum a écrit:

Mais c'est un David LeMarrant aussi, pas seulement frémissant.

Alkan

Sonatine, Visions, Les diablotins, Marche funèbre, Marche triomphale...

Ronald Smith, piano.

EMI 1974


Toujours pas réédité en CD!  Heureusement que j'ai toujours conservé le vinyle.

Berlioz: Symphonie fantastique/Roth

ovni231 a écrit:

André a écrit:

Chostakovich: symphonie no. 4 Concertgebouworkest, dirigé par Kondrachine.

C'est bien le live de 1971 ?

Oui c'est bien celui-là !

......................................

Beethoven: symphonies 4 et 7. Concertgebouworkest, Eugen Jochum. Philips.

Chostakovich: Jazz Suite no 1. 2 concertos pour piano. Alexandre Lazarev, Jerzy Maksymiuk. EMI

Vinko Globokar (1934–), Hallo, do you hear me ? pour orchestre symphonique, chœur mixte et quintette de jazz (1986).  Orchestre Symphonique de Radio Slovenija / Chœur “Tone Tomšič” de l’Université de Ljubljana / Quintette de jazz de Radio Slovenija / Vinko Globokar, direction
Vinko Globokar, Ausstrahlungen pour vingt musiciens et un soliste (1971).  Ensemble Musique Vivante / Michel Portal, soliste et direction
Vinko Globokar, Fluide pour neuf cuivres et trois percussions (1967).  Ensemble Musique Vivante / Diego Masson, direction
Vinko Globokar, Atemstudie pour hautbois solo (1971).  Heinz Holliger

Découverte :

Saëns - Quatuor à cordes No.1 en mi mineur Op.112 / Quatuor Modigliani

Fabuleux


J'entends un peu tout ici.
Du Schumann du Beethov, du Schubert.

On apprend rien mais c'est rudement beau.

L'ensemble Modigliani est lumineux

Stravinski:Le Sacre du printemps (Ancerl)

Ces rééditions Supraphon gold edition sont un désastre sonore.

Edison Denisov (1929–1996), Symphonie de chambre nº1 (1982).  EOC (Kawka)
Edison Denisov, Au plus haut des cieux d’après Georges Bataille, pour soprano et orchestre de chambre (1986).  Peyré / EOC (Kawka)
Ekaterina Kouprovskaia (1966–), Cinq romances d’Anna Akhmatova pour soprano et ensemble, orchestration Edison Denisov (1988/94).  Peyré / EOC (Kawka)
Edison Denisov, Symphonie de chambre nº2 (1994).  EOC (Kawka)

Beethoven : sonate 32, Richter. Première écoute intégrale.

Charles Wuorinen (1938–), Time’s Encomium (1968–69)
Charles Wuorinen, Piano Sonata (1969).  Robert Miller
Charles Wuorinen, String Quartet (1971).  Fine Arts Quartet

Giorgio Federico Ghedini (1892–1965), Sette ricercari per violino, violoncello e pianoforte (1945).  Bonucci/Bonucci/Orvieto
Giorgio Federico Ghedini, Divertimento contrappuntistico per pianoforte (1940).  Orvieto
Giorgio Federico Ghedini, Capriccio per pianoforte (1944).  Orvieto
Giorgio Federico Ghedini, Ricercare super “Sicut cervus” (Salmo XLI) per pianoforte (1944).  Orvieto
Giorgio Federico Ghedini, Canoni per violino e violoncello (1946).  Bonucci/Bonucci

Edison Denisov, Concerto pour piano et orchestre (1974).  Philipp/Hauschild

Edison Denisov, Symphonie de chambre nº1 (1982).  Lazarev
Edison Denisov, Le Soleil des Incas (1964).  Lee/Lazarev

lucien a écrit:

- Alors comme ça, Pierrot n'a pas accepté vos avances. C'est regrettable pour lui.

- Hum... Je n'aime que les chauves...

oui enfin, c’est quand même sa femme.

Edison Denisov, Variations pour piano (1961).  Armengaud
Edison Denisov, Variations sur un thème de Händel (1986).  Armengaud

Jean Sibelius - Concerto pour violon - Mutter/Previn

bof

François Couperin - Leçons de Ténèbres - René Jacobs/Vincent Darras/William Christie/Wieland Kuijken



(pour l'instant ma version préférée avec hautes-contre)

Domenico Scarlatti
Sonates Kk 140-->Kk155

Scott Ross (clavecin)

Label Erato vol.9/34

Brahms - Intermezzo Op.117 n°2

Tristan Murail (1947–), Gondwana pour orchestre (1980).  ONF (Yves Prin)
Tristan Murail, Désintégrations pour bande magnétique et 17 instruments (1982).  l’Itinéraire (Yves Prin)
Tristan Murail, Time and again pour orchestre (1985).  Beethovenhalle (Karl-Anton Rickenbacher)

Edison Denisov, Le Soleil des Incas pour soprano et ensemble (1964).  Davydova/Rozhdestvenski
Edison Denisov, Chansons italiennes pour soprano, flute, cor, violon et clavecin (1964).  Davydova/Klaas
Edison Denisov, Les Pleurs pour soprano, piano et trois percussionnistes (1966).  Davydova/Lubimov/Rozhdestvenski

Camillo Schumann

Les deux sonates pour violoncelle et piano

Pièce de concert op.20

Maria Kliegel, violoncelle
Francesco Piemontesi, piano

Naxos 2010


Le connaissant surtout pour ses très belles sonates pour orgue, ici il démontre un superbe talent lyrique, mélodique. Kliegel ayant signé
deux superbes albums pour le même label des oeuvres de Mendelssohn et Saint-Saëns, ne faille absolument en rien dans celui-ci.
C'est ce que j'adore quand des compostieurs de qualités sortent de l'ombre ainsi!

8.5 sur 10

Dispo aussi via Deezer: http://www.deezer.com/album/1572516

J.S Bach
Cantate BWV 199 "Mein Herze schwimmt im Blut"
Christophe Coin, ensemble baroque de limoges
 quel choral: "Ich, dein betrübtes Kind". Lent, fluide et pesant (comme j'aime) où s'enroulent le violoncelle (piccolo) et la voix de soprane. Très différent de la version Suzuki tout aussi sublime (du même choral): rapide et droit devant; urgente.

Ce choral ''Mon cœur nage dans le sang'' doit être PESANT, non rapide comme une envie urgent de pipi... Suzuki c'est comme sur la moto
du même nom, trop énervé. Donc oui avec Coin et cies, c'est nettement plus approprié.

Terry RILEY : In C


Je crois que je me suis laissé aller à dire pas mal de bêtises sur cette musique, veuillez me pardonner.
Je viens de me rendre compte des faramineuses possibilités d'interprétations de cette œuvre.
La version vocale de Paul Hillier est extraordinaire !
Je l'ai écouté toute une journée en bricolant dehors : ça va avec tout !
De la barre à mine, la masse, à la visseuse à choc...Du zénith voilé au crépuscule qui chauffe le ventre des nuages,...
J'ai vécu un grand moment.
Avec l'émoi tout particulier à la 3,37 minute de la Part I (qui n'a de sens qu'à l'écoute des 3,37 minutes qui ont précédées ).
. C'est efficace et tordu, c'est sérieux et drôle, c'est long et infini, c'est étouffant et ouvert, c'est lénifiant et vertigineux, c'est éthéré et basique...
C'est joli et c'est Beau.

plenum a écrit:

Ce choral ''Mon cœur nage dans le sang'' doit être PESANT, non rapide comme une envie urgent de pipi... Suzuki c'est comme sur la moto
du même nom, trop énervé.  Donc oui avec Coin et cies, c'est nettement plus approprié.

Pas d'accord. Deux versions, deux lectures (je parlais du choral qui conclut presque la cantate*). Suzuki a hâte simplement de nous emmener (pas d'effet facile d'agitation baroqueuse, mais la "trouée" d'un ciel baroque en mire: j'y vais!)

* "Moi qui suis ton enfant affligé je jette tous mes péchés" (avec détermination chez Suzuki, et presque volupté (de la légèreté à venir) chez Coin)
PS J'adore la version Coin (comme les trois CD du même)

Oh mais je parlais bien de cette section, comme quoi Suzuki s'emballe trop pour l'atmosphère du choral, qui doit justement accuser aucune hâte, il faut que ce soit gémissant, traînant, le thème du choral le dit bien. Pour le reste , oui Suzuki ce n'est pas du tout inintéressant au contraire.

Reinhold Glière (1875-1956) :

Le Pavot rouge, ballet en trois actes Op. 70 -Suite

= Edward Downes, Orchestre philharmonique de la BBC

(Chandos, novembre 1992)

Roderick a écrit:

François Couperin - Leçons de Ténèbres - René Jacobs/Vincent Darras/William Christie/Wieland Kuijken



(pour l'instant ma version préférée avec hautes-contre)

Ouille. Pourtant, Lesne ou Cummings, c'est autrement intéressant, je trouve.

atomlegend a écrit:

Découverte :

Saëns - Quatuor à cordes No.1 en mi mineur Op.112 / Quatuor Modigliani

Fabuleux


J'entends un peu tout ici.
Du Schumann du Beethov, du Schubert.

On apprend rien mais c'est rudement beau.

L'ensemble Modigliani est lumineux

Oh oui, il est magnifique, très traditionnel dans une lignée plutôt germanique en effet.

Toujours les mots justes Atom !

et j'adore toujours autant ton Jaky en avatar

plenum a écrit:

Oh mais je parlais bien de cette section, comme quoi Suzuki s'emballe trop pour l'atmosphère du choral, qui doit justement accuser aucune hâte, il faut que ce soit gémissant, traînant, le thème du choral le dit bien.  Pour le reste , oui Suzuki ce n'est pas du tout inintéressant au contraire.

Ça me rappelle le film The Freshman, dans lequel Marlon Brando joue une hilarante parodie du Parrain, avec Broderick en ingénu et Maximilian Schell en 'Mad Scientist' entonnant 'Mein Herz Schwimmt im Blut'

J.S. Bach: sonates pour basse de viole et clavier. Jouées au violoncelle et piano par Leonard Rose et Glenn Gould (Sony). Loin d'être aussi convaincant que Laredo et Gould dans les sonates pour vioon et piano.

Old Czech Marches.Vaclav Neumann et le Philharmonique tchèque dans des marches de Fucik, Kmoch, Pospisil, Kovarik, Nylvt, Uhlir et j'en passe. Jouissif, surtout quand c'est Fucik, le Maître du genre.

Beethoven: symphonie no 7. Concertgebouworkest, Eugen Jochum. Philips.

DavidLeMarrec a écrit:

Roderick a écrit:

François Couperin - Leçons de Ténèbres - René Jacobs/Vincent Darras/William Christie/Wieland Kuijken



(pour l'instant ma version préférée avec hautes-contre)

Ouille. Pourtant, Lesne* ou Cummings**, c'est autrement intéressant, je trouve.

*pas encore écoutée, mais ça ne saurait tarder
** là, je confirme : je l'aime beaucoup mais je préfère Jacobs (moins "simple", mais plus "belle" ceci étant une tentative de mettre des mots que je sais inadaptés sur ce que je ressens)

Roderick a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Roderick a écrit:

François Couperin - Leçons de Ténèbres - René Jacobs/Vincent Darras/William Christie/Wieland Kuijken



(pour l'instant ma version préférée avec hautes-contre)

Ouille. Pourtant, Lesne* ou Cummings**, c'est autrement intéressant, je trouve.

*pas encore écoutée, mais ça ne saurait tarder
** là, je confirme : je l'aime beaucoup mais je préfère Jacobs (moins "simple", mais plus "belle" ceci étant une tentative de mettre des mots que je sais inadaptés sur ce que je ressens)

Oui, effectivement (moi j'entends plus de préciosité, voire de contorsions, dans la version Jacobs — et je n'aime pas les voix).