Effectivement hier, avec un chef (Morandi) et un ténor (Demuro) différents, même impression "Arènes de Vérone" assez inattendue à Paris : pas beaucoup de décalages toutefois avec l'orchestre. Mais beaucoup de ralentis sur les notes aiguës (même pas très aiguës), sans que ce soit chez le ténor ou le baryton l'occasion de faire des nuances...
La mise en scène est intelligente, même si le double acteur est redondant et les popotins du crazy horse gâchent le quatuor. Et contrairement à Audi, elle est belle et compréhensible même quand on est assez mal placé, avec surtout d'efficaces jeux d'ombres.