Playlist (100)

Oriane a écrit:

Ça m'aurait étonnée que David ne vienne pas mettre son grain de seL.

Quand c'est Mélo, on voit bien ce que vaut son avis, mais je ne peux pas vous laisser vous mettre à plusieurs pour pervertir la jeunesse. Ce ne sont pas les bonnes versions de la Neuvième qui manquent, autant ne pas faire croire que les versions honnêtement tièdes sont des absolus.  Vous auriez juste dit que c'était bien, je ne vous aurais pas forcément contredits, mais recommander de ne pas chercher ailleurs, non, non-non-non-non-non.

Magnus Lindberg (1958–),

  Joy pour ensemble et électronique (1990).  Avanti! (Jukka-Pekka Saraste)
  Corrente pour ensemble (1992).  Avanti! (Sakari Oramo)
  Corrente II pour grand orchestre (1992).  yle RSO (Jukka-Pekka Saraste)
  Coyote Blues pour ensemble (1993).  Avanti! (Sakari Oramo)

DavidLeMarrec a écrit:

Oriane a écrit:

Ça m'aurait étonnée que David ne vienne pas mettre son grain de seL.

Quand c'est Mélo, on voit bien ce que vaut son avis, mais je ne peux pas vous laisser vous mettre à plusieurs pour pervertir la jeunesse. Ce ne sont pas les bonnes versions de la Neuvième qui manquent, autant ne pas faire croire que les versions honnêtement tièdes sont des absolus. Vous auriez juste dit que c'était bien, je ne vous aurais pas forcément contredits, mais recommander de ne pas chercher ailleurs, non, non-non-non-non-non.

J'ajoute au sous-chapitre II.2.c "Les fausses justifications : un prétexte pour en rajouter une couche".

Tes objections sont bien sûr les bienvenues (ainsi que tes suggestions). Il serait d'ailleurs utile de les transférer dans le fil dédié, où il n'est pas certain que les mérites de cette version aient été débattus (c'est trop compliqué pour moi de vérifier pour le moment: mon ordi est mort). En fait, il n'y a que cette interprétation de la 9e que je connaisse bien. J'ai dû en écouter d'autres, mais c'était a une époque où ... Donc, bon, je n'en ai aucun souvenir. Ça m'intéresserait de la comparer à d'autres.

Robert Kahn, Chamber music Vol. 1 (Toccata Classics)
* Sonate pour violon n° 1, op. 5
* Sonate pour violon n° 2, op. 26
* Sonate pour violon n° 3, op. 50

Un parfait inconnu pour moi. Ça c’est de la musique de chambre comme je l’aime !

Magnus Lindberg (1958–),

  Arena pour grand orchestre (1995).  yle RSO (Jukka-Pekka Saraste)
  Arena 2 pour ensemble (1996).  Avanti! (Sakari Oramo)
  Feria pour orchestre (1997).  yle RSO (Jukka-Pekka Saraste)
  Gran Duo pour ensemble à vent (2000).  yle RSO (Sakari Oramo)

Oriane a écrit:

Tes objections sont bien sûr les bienvenues (ainsi que tes suggestions). Il serait d'ailleurs utile de les transférer dans le fil dédié, où il n'est pas certain que les mérites de cette version aient été débattus (c'est trop compliqué pour moi de vérifier pour le moment: mon ordi est mort). En fait, il n'y a que cette interprétation de la 9e que je connaisse bien. J'ai dû en écouter d'autres, mais c'était a une époque où ... Donc, bon, je n'en ai aucun souvenir. Ça m'intéresserait de la comparer à d'autres.

Condoléances pour ton ordi.
Mais les suggestions de David, pas besoin d'aller voir le fil dédié - on peut assez facilement les deviner:

Spoiler:

(Je ne sais pas s'il irait jusqu'à Argenta/Cento Soli - moi oui, mais c'est vraiment spécial.)

Plus sérieusement, vraiment enthousiasmé par son Ravel, j’explore la discographie de Bavouzet, donc:

● Debussy: Préludes, Livres I et II. «Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon»
Jean-Efflam Bavouzet
Chandos, 2006
Excellent aussi. Peut-être la version qui fait le mieux entendre tout l’ambitus dans langage pianistique de Debussy (que ce soit en termes de dynamiques, de rythme, d’attaques...) C’est parfaitement en style, totalement maîtrisé - mais aussi très vivant (beaucoup plus que Michelangeli ou Zimerman, par exemple) et avec une sonorité magnifique (j’ai l’impression que c’est le même piano que pour ses Ravel).
La seule chose qui me retiendrait d’en faire «ma» référence, contrairement à ses Ravel, c’est strictement une question d’attentes personnelle: dans Debussy, j’aime une sonorité plus épaisse et plus sombre, des tempi plus lents et plus de poids de la main gauche - Arrau, quoi.

Sibelius: La fille de Pohjola/Segerstam

+

Sibelius: Symphonie n°4/Segerstam

+

Benedictus a écrit:

j’explore la discographie de Bavouzert

Bavou-zéér, quel rebelle. C'est aussi un bicraveur ?

Coquille corrigée, merci.  
(Pas trop compris la blague, en revanche. J'imagine que c'est dans le dialecte de tes élèves?)

Au fait, avais-je vu juste pour la «discographie DLM» de la 9e de Schubert?

Benedictus a écrit:

Coquille corrigée, merci.  

Au fait, avais-je vu juste pour la «discographie DLM» de la 9e de Schubert?

Ça aurait pu, si tu n'avais négligé un paramètre essentiel… J'ai répondu dans un fil, car je suis un bon garçon obéissant, moi.

Franck Bedrossian (1971–), Itself pour orchestre (2012)

        SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
        François-Xavier Roth, direction

Béla Bartók : Concerto pour orchestre (1943)
Suite de Danses (1923)
Musique pour cordes, percussion et célesta (1936)/Georg Solti & CSO
Deux Images Op. 10
Quatre Pièces Op. 12/Pierre Boulez & CSO
Le Mandarin Merveilleux - Suite Op. 19a/Georg Solti & CSO

Dommage que Solti n'ait jamais enregistré la totalité du ballet, sans parler de son oubli impardonnable pour le Prince de Bois...

DavidLeMarrec a écrit:

Quand c'est Mélo, on voit bien ce que vaut son avis, mais je ne peux pas vous laisser vous mettre à plusieurs pour pervertir la jeunesse.

Je n'ai rien conseillé à Anaëlle, je lui fais juste remarquer qu'elle écoute des oeuvres superbes dans d'excellentes interprétations.
C'est normal d'admirer les diamants plutôt que ta verroterie.

Mais si tu veux prouver que notre jeune amie a mauvais goût pour mieux lui vendre ta camelote, on situera vite où se trouve l'imposture.
Hélas, on sait que tu n'es même plus à ça près...

ovni231 a écrit:

Le Mandarin Merveilleux - Suite Op. 19a/Georg Solti & CSO

Dommage que Solti n'ait jamais enregistré la totalité du ballet

Et si! Avec la radio de Francfort...

Weber_Concerto no.1 pour clarinette.
Martin Fröst, clarinette, Tapiola Sinfonietta, J.J. Kantorow.

Bach JS_Messe en si, CD2.
Ton Koopman, Amsterdam Baroque Orchestra and Choir.

Forqueray_le disque de Gustav Leonhardt, clavecin.

Buxtehude_Opera Omnia XVII, vocal works vol. 7.
Ton Koopman, Amsterdam Baroque Orchestra and Choir.

Villa-Lobos_Choros no. 11
Cristina Ortiz, piano, São Paulo Symphony Orchestra, John Neschling.

Marin Marais (1656-1728) :

Troisième Livre : Suites en ut mineur, sol mineur et fa majeur

Prélude - Fantaisie - Allemande - Courante - Sarabande - Gigue - Menuet - Contrefaiseurs - Rondeau
Prélude - Caprice - Gigue - Plainte - Fugue gaye
Prélude - Allemande - Double - Courante - Double - Sarabande - Gigue - Chaconne

= Jérôme Hantaï, basse de viole ; Pierre Hantaï, clavecin ; Alix Verzier, basse de viole

(Virgin, avril 1996)

Gaetano Brunetti, String Quartets, Schuppanzigh-Quartett (CPO)

Xavier a écrit:

ovni231 a écrit:

Le Mandarin Merveilleux - Suite Op. 19a/Georg Solti & CSO

Dommage que Solti n'ait jamais enregistré la totalité du ballet

Et si! Avec la radio de Francfort...

WOAHO ! Merci Xavier ! Je vais aller me renseigner sur cet enregistrement de ce pas !

Alfano : Quintette avec piano (Darvarova, Scott)

Alfano : Concerto pour violon, violoncelle et piano (Darvarova, Scott)
Alfano : Sonate pour violoncelle et piano (Darvarova, Scott)

Roussel : Le Festin de l'Araignée (Royal Scottish NO, Denève)
Roussel : Suite n°1 de Padmâvatî (Royal Scottish NO, Denève)
Roussel : Suite n°2 de Padmâvatî (Royal Scottish NO, Denève)

Roussel : Le Festin de l'Araignée (BBCPO, Tortelier)

Aucune tartelette? Moi qui comptais redonner leur chance aux Roussel de Denève, un de ces jours...

● Haydn: Sonates nº39 en ré majeur Hob. XVI: 24, nº47 en si mineur Hob. XVI: 32, nº31 en la bémol majeur Hob. XVI: 46 et nº49 en ut dièse mineur Hob. XVI: 36
Jean-Efflam Bavouzet
Chandos, 2009
Très bien. Décidément un extraordinaire pianiste, qui sait s'effacer derrière les exigences stylistiques d'une œuvre: si ce n'est par la perfection technique et la connaissance approfondie des partitions comme des ressources de l'instrument, on ne reconnaîtrait jamais là le pianiste des Ravel et des Debussy écoutés ces jours-ci. Apparemment, c'est sur un Yamaha de série, et on croirait presque entendre Staier sur un pianoforte (mais avec des ornementations bien mieux maîtrisées).
Au demeurant, toujours le même problème avec ces Sonates de Haydn: certaines fois, je trouve ça confondant d'imagination formelle et d'esprit, d'autres trop simple et presque plat. Mystère dans le mystère: les interprètes les plus constants et les plus accomplis de ces sonates quasi simplistes se sont toujours trouvés plutôt du côté de l'intellectualisme et de la maîtrise (jadis Michelangeli, Gould et Richter, naguère Brendel, aujourd'hui Planès, Bavouzet, Hamelin) que chez les «poètes fantasques» du clavier.

DavidLeMarrec a écrit:

Roussel : Le Festin de l'Araignée (Royal Scottish NO, Denève)
Roussel : Suite n°1 de Padmâvatî (Royal Scottish NO, Denève)
Roussel : Suite n°2 de Padmâvatî (Royal Scottish NO, Denève)

Votre avis Ò Maître vénérable de ces lieues ?

Il fait Sa Toile,
Il Va, Il Vagabonde,
Loin de votre Immonde
Et parodique toile.

Benedictus a écrit:

Aucune tartelette? Moi qui comptais redonner leur chance aux Roussel de Denève, un de ces jours...

● Haydn: Sonates nº39 en ré majeur Hob. XVI: 24, nº47 en si mineur Hob. XVI: 32, nº31 en la bémol majeur Hob. XVI: 46 et nº49 en ut dièse mineur Hob. XVI: 36
Jean-Efflam Bavouzet
Chandos, 2009
Très bien. Décidément un extraordinaire pianiste, qui sait s'effacer derrière les exigences stylistiques d'une œuvre: si ce n'est par la perfection technique et la connaissance approfondie des partitions comme des ressources de l'instrument, on ne reconnaîtrait jamais là le pianiste des Ravel et des Debussy écoutés ces jours-ci. Apparemment, c'est sur un Yamaha de série, et on croirait presque entendre Staier sur un pianoforte (mais avec des ornementations bien mieux maîtrisées).
Au demeurant, toujours le même problème avec ces Sonates de Haydn: certaines fois, je trouve ça confondant d'imagination formelle et d'esprit, d'autres trop simple et presque plat. Mystère dans le mystère: les interprètes les plus constants et les plus accomplis de ces sonates quasi simplistes se sont toujours trouvés plutôt du côté de l'intellectualisme et de la maîtrise (jadis Michelangeli, Gould et Richter, naguère Brendel, aujourd'hui Planès, Bavouzet, Hamelin) que chez les «poètes fantasques» du clavier.

Connais-tu les enregistrements de ces sonates par Catherine Collard, assurément du côté de la limpidité, de l'absence d'emphase et d'apprêt? Une grande réussite, selon moi, très différente de celle des pianistes que tu cites.

Benedictus a écrit:

[...] Mystère dans le mystère: les interprètes les plus constants et les plus accomplis de ces sonates [de Haydn] quasi simplistes se sont toujours trouvés plutôt du côté de l'intellectualisme et de la maîtrise (jadis Michelangeli, Gould et Richter, naguère Brendel, aujourd'hui Planès, Bavouzet, Hamelin) que chez les «poètes fantasques» du clavier.

Intéressant ; quelles sont les Sonates de Haydn que tu as écoutées par Michelangeli ? C'est chez quel éditeur ? Comment trouves-tu la prise de son et l'édition ? (Ok, la question peut sembler saugrenue, mais Michelangeli mérite à mon avis les meilleures rééditions ; ceux qui l'ont entendu en direct disent que ses disques ne sont en général qu'une lointaine approximation de sa sonorité.)

N'ayant pu écouter encore ABM dans ces Sonates, je me tourne surtout vers Sviatoslav Richter et Ernst Levy.

Eusèbe a écrit:

Connais-tu les enregistrements de ces sonates par Catherine Collard, assurément du côté de la limpidité, de l'absence d'emphase et d'apprêt? Une grande réussite, selon moi, très différente de celle des pianistes que tu cites.

Ah non, mais merci du conseil. Une excellente pianiste, trop mal représentée au disque. (Chez Lyrinx, j'imagine? Ça ne doit pas être facile à trouver, si?)

Scherzian a écrit:

Intéressant ; quelles sont les Sonates de Haydn que tu as écoutées par Michelangeli ? C'est chez quel éditeur ? Comment trouves-tu la prise de son et l'édition ? (Ok, la question peut sembler saugrenue, mais Michelangeli mérite à mon avis les meilleures rééditions ; ceux qui l'ont entendu en direct disent que ses disques ne sont en général qu'une lointaine approximation de sa sonorité.)
N'ayant pu écouter encore ABM dans ces Sonates, je me tourne surtout vers Sviatoslav Richter et Ernst Levy.

Pardon, je me suis trompé: je ne l'ai entendu que dans des concertos de Haydn, pas dans des sonates. Désolé pour la fausse joie...
Je ne connais pas Ernest Levy, mais les soirées italiennes de Richter sont magnifiques.

Rock le brave a écrit:

Il fait Sa Toile,
Il Va, Il Vagabonde,
Loin de votre Immonde
Et parodique toile.

Pendant ce temps,
L'amante religieuse,
Sobre telle une pieuse,
engloutit son faux-amant.

Earle Brown, Available Forms I (1961).  musikFabrik (Earle Brown)
Earle Brown, Four Systems (1954).  Musica Negativa (Earle Brown)

ovni231 a écrit:

Rock le brave a écrit:

Il fait Sa Toile,
Il Va, Il Vagabonde,
Loin de votre Immonde
Et parodique toile.

Pendant ce temps,
L'amante religieuse,
Sobre telle une pieuse,
engloutit son faux-amant.

Et le scorpion leste
D'une goute de venin
La musique qu'il déteste.
Il l'empoisonne en vain!


warf

tod a écrit:

ovni231 a écrit:

Rock le brave a écrit:

Il fait Sa Toile,
Il Va, Il Vagabonde,
Loin de votre Immonde
Et parodique toile.

Pendant ce temps,
L'amante religieuse,
Sobre telle une pieuse,
engloutit son faux-amant.

Et le scorpion leste
D'une goute de venin
La musique qu'il déteste
Et empoisonne en vain.


warf

Magnifique Chute !

Benedictus a écrit:

Pardon, je me suis trompé: je ne l'ai entendu que dans des concertos de Haydn, pas dans des sonates. Désolé pour la fausse joie...  

Pas de problème (j'étais malheureusement quasi certain de la réponse, même si je n'ai pas toute la discographie d'ABM en tête en permanence...).  

Citation :

Je ne connais pas Ernest Levy, mais les soirées italiennes de Richter sont magnifiques.

Oui. Pour Ernst Levy, il n'existe qu'une poignée de Sonates (de Haydn), mais toutes sont miraculeuses. Pour reprendre deux de tes termes plus haut, je t'avoue que je suis incapable de dire si j'admire plus chez lui la maîtrise intellectuelle (intellect jamais aride !) ou l'imagination fantasque (adjectif pris ici dans le sens le plus laudatif !) ou la maîtrise absolue de son instrument. C'est chez Marston Records, mais on peut se faire une idée avec le tuyau (c'est libre de droits, mais je tronque quand même) :

Hob. XVI/46 (/watch?v=EUFkmBF0vsg)
Hob. XVI/32 (/watch?v=TAb_V9p0YM0)
Hob. XVI/50 (/watch?v=FZKE1x9CrcI)
Hob. XVI/51 (/watch?v=I8GujllY7sw)

Il existe huit CD en quatre volumes de ce pianiste aux éditions Marston, avec des œuvres de Beethoven, Haydn, Mozart, Liszt, Levy lui-même, Schubert, Franck, Brahms, Schumann. J'attends encore le quatrième volume commandé mais pas arrivé (il faut que je pense à relancer, d'ailleurs   ). Il contient d'ailleurs quelques autres Sonates de Haydn. Tout ce qu'il a joué est fabuleux, par exemple cette Sonate de Liszt (on pourrait aussi citer une Bénédiction de Dieu dans la solitude) :

/watch?v=jUu2Stu23eA
/watch?v=-MEIT6o8auo
/watch?v=OLrgtOeba6A

Jamais entendu cette œuvre assumée et projetée ainsi. Il redéfinit en permanence ce que jouer du piano veut dire.

ovni231 a écrit:

Magnifique Chute !

J'ai un peu corrigé

Albinoni / Cimarosa / Marcello / Sammartini / Lotti: Concertos pour hautbois - Heinz Holliger, I Musici

De quoi passer une douce nuit !!

Scherzian a écrit:

Oui. Pour Ernst Levy, il n'existe qu'une poignée de Sonates (de Haydn), mais toutes sont miraculeuses. Pour reprendre deux de tes termes plus haut, je t'avoue que je suis incapable de dire si j'admire plus chez lui la maîtrise intellectuelle (intellect jamais aride !) ou l'imagination fantasque (adjectif pris ici dans le sens le plus laudatif !) ou la maîtrise absolue de son instrument. C'est chez Marston Records, mais on peut se faire une idée avec le tuyau (c'est libre de droits, mais je tronque quand même) :

Hob. XVI/46 (/watch?v=EUFkmBF0vsg)
Hob. XVI/32 (/watch?v=TAb_V9p0YM0)
Hob. XVI/50 (/watch?v=FZKE1x9CrcI)
Hob. XVI/51 (/watch?v=I8GujllY7sw)

Il existe huit CD en quatre volumes de ce pianiste aux éditions Marston, avec des œuvres de Beethoven, Haydn, Mozart, Liszt, Levy lui-même, Schubert, Franck, Brahms, Schumann. J'attends encore le quatrième volume commandé mais pas arrivé (il faut que je pense à relancer, d'ailleurs   ). Il contient d'ailleurs quelques autres Sonates de Haydn. Tout ce qu'il a joué est fabuleux, par exemple cette Sonate de Liszt (on pourrait aussi citer une Bénédiction de Dieu dans la solitude) :

/watch?v=jUu2Stu23eA
/watch?v=-MEIT6o8auo
/watch?v=OLrgtOeba6A

Jamais entendu cette œuvre assumée et projetée ainsi. Il redéfinit en permanence ce que jouer du piano veut dire.

Merci pour la découverte: je ne connaissais que de nom. Je vais tâcher de me procurer cela au plus vite.

Il y avait plusieurs choses sur Musique ouverte, si je me souviens bien. Est-ce toujours sur les serveurs ? Et comment y accéder ?

Scherzian a écrit:

Il y avait plusieurs choses sur Musique ouverte, si je me souviens bien. Est-ce toujours sur les serveurs ? Et comment y accéder ?

Vérification faite, je peux retrouver les liens pour Haydn et l'Appassionata de Beethoven.

Kancheli: Exil/Jurowski

Un florilège de mélodies de Fauré chantées par Elly Ameling et Gérard Souzay, accompagnés par Dalton Baldwin. Étiquette Briliant Classics.

La huitième de Bruckner jouée avec beaucoup de détermination par les Württemburgische Philharmoniker Reutlingen sous Roberto Paternostro. Très solide, sinon grandiose.

Robert Schumann (1810-1856) :

Sonate n°1 en fa dièse mineur Op. 11

= Vladimir Ashkenazy, piano

(Decca, juillet 1987)

Excellente version, une de mes préférées, juste en-dessous de l'indétrônable Sofro.

Wagner: Parsifal (Hofmann, Vejzovic, Van Dam, Moll, Karajan, Berliner). Ce n'est décidément pas rien. Qu'il s'agisse de l'oeuvre ou de l'interprétation ...      

Benedictus a écrit:

Eusèbe a écrit:

Connais-tu les enregistrements de ces sonates par Catherine Collard, assurément du côté de la limpidité, de l'absence d'emphase et d'apprêt? Une grande réussite, selon moi, très différente de celle des pianistes que tu cites.

Ah non, mais merci du conseil. Une excellente pianiste, trop mal représentée au disque. (Chez Lyrinx, j'imagine? Ça ne doit pas être facile à trouver, si?)

Une immense pianiste, trop tôt disparue

Je t'ai répondu dans le fil "sonates de Haydn": tu devrais y ajouter ton commentaire sur Bavouzet

Bellini Wagner - Jane Eaglen

Magnus Lindberg (1958–),

  EXPO pour orchestre (2009)
  Concerto pour piano nº2 (2011–12)
  Al largo pour orchestre (2009–10)

        Yefim Bronfman, piano
        New York Philharmonic
        Alan Gilbert, direction

Beethoven - Symphonie n°7 - Orchestre Révolutionnaire et Romantique_Gardiner (1992)

Sergei Rachmaninoff: Liturgie de Saint Jean Chrysostome, Op.31
St. Petersburg Chamber Choir & Nikolai Korniev

Igor Stravinsky (1882-1971) :

L'Oiseau de feu, ballet en deux tableaux

= Bernard Haitink, Orchestre philharmonique de Londres

(Philips, novembre 1973)

Per Nørgård (1932–),

  Symphonie nº1 (1953–56)
  Symphonie nº8 (2010–11)

        Wiener Philharmoniker
        Sakari Oramo, direction

Antonín Dvořák (1841-1904) :

Symphonie n°3 en mi bémol Op. 10

= Witold Rowicki, Orchestre symphonique de Londres

(Philips, novembre 1971)

Expliquer le programme qu'on écoute sur le moment, ça tient à peu de choses : j'ai choisi ce disque parce que le ciel sur la pochette, c'est exactement celui qu'il fait à Lille aujourd'hui  

Mélomaniac a écrit:

Antonín Dvořák (1841-1904) :

Symphonie n°3 en mi bémol Op. 10

= Witold Rowicki, Orchestre symphonique de Londres

(Philips, novembre 1971)

Expliquer le programme qu'on écoute sur le moment, ça tient à peu de choses : j'ai choisi ce disque parce que le ciel sur la pochette, c'est exactement celui qu'il fait à Lille aujourd'hui  

Pas de chance d'habiter le grand nord, moi dans le Pas-de-Calais c'est grand soleil!

Mozart - Requiem - Golovanov