Playlist (107)

Pour les études de Liszt, tentes la version de Gékic, il est dispo sur le tube.

Richard WAGNER - Ouverture de Tristan et Iseult (Christian Thielemann, Orchester der Wiener Staatsoper)

Debussy:La Mer (Celibidache)
Une lecture déconcertante...et très intéressante!!

Debussy:Nocturnes (Celibidache)
Là par contre je trouve que les partis-pris interprétatifs fonctionnent moins.

Vincent Lagaff' : Il é bo le lavabo ! Il é lê le bidê !

C'est trooooooo boooooooo !!!


Edit : C'est Emeryck qui m'a refilé le 45 tours, je n'y suis absolument pour rien !

Gracieuseté de Gaston.

Au programme ce soir :   Debussy, Strauss, -l'œuvre concertant

Sorabji, Count Tasca’s Garden (1929).  Powell

1) Claude Debussy (1862-1918) :

Fantaisie pour piano et orchestre, Les. 73

Andante ma non troppo - Lento e molto espressivo - Allegro molto

= Nicole Henriot-Schweitzer, piano ; Charles Munch, Orchestre National de France

(Valois, concert du 8 mai 1962)

Une charmante œuvre de jeunesse, d'une petite demi-heure, qui devait constituer un des quatre envois de Rome mais fut en fait écrite à Paris, en 1889-90.
Debussy la renia et elle ne fut présentée au public que l'année suivant sa mort.


J.J. Schweitzer et sa femme, Nicole Henriot, avec Charles et Fritz Munch au Lido, Paris 1957

2) Claude Debussy (1862-1918) :

Printemps, suite symphonique avec piano à quatre mains (orch. H. Büsser)

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, mai 1957)

Pas vraiment une œuvre concertante, les claviers imprègnent plutôt la partie orchestrale.
Encore une délicieuse partition de jeunesse, initialement conçue avec chœur mais ici remplacés par l'arrangement d'Henri Büsser, qui reçut l'aval du compositeur.
Succulente interprétation par le chef suisse  

C'est normal, étant une suite symphonique, non un concerto.

3) Claude Debussy (1862-1918) :

Printemps, suite symphonique avec piano à quatre mains (orch. H. Büsser)

= Charles Munch, Orchestre symphonique de Boston

(Victor, mars 1962)

Moins savoureux mais plus intense !

4) Claude Debussy (1862-1918) :

Première Rapsodie pour clarinette, Les. 116


Une partition rêveuse et agreste, écrite en 1909-1910 comme morceau de concours.

= Gervase de Peyer, clarinette ; Pierre Boulez, Philharmonia Orchestra

(CBS, décembre 1968)




= Robert Gugholz, clarinette ; Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, décembre 1964)

Jean-Baptiste Barrière (1707-1747)
Sonates pour le violoncelle avec la basse continue - Vol. 2 -

Bruno Cocset, Guido Balestracci & les basses réunies

Bruno Cocset, violoncelle et direction,
Guido Balestracci, pardessus de viole,
Bertrand Cuiller, clavecin,
Emmanuel Jacques, violoncelle,
Richard Myron, contrebasse,
Luca Pianca, théorbe





http://www.deezer.com/album/11409758

5) Claude Debussy (1862-1918) :

Deux danses, pour harpe et cordes, Les. 103

Danse sacrée - danse profane

Une commande de la maison Pleyel pour les concours du Conservatoire de Bruxelles, honorée en avril-mai 1904.
Une page gracieuse, d'un charme préraphaélite.
Markevitch en fait sentir la grisante opulence, tandis qu'Haitink raffine à l'extrême et en exhale une poésie diaphane.

= Suzanne Cotel, harpe ; Igor Markevitch, Orchestre des Concerts Lamoureux

(DG, mai 1959)




= Vera Badings, harpe ; Bernard Haitink, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Philips, décembre 1977)

6) Claude Debussy (1862-1918) :

Rapsodie pour orchestre et saxophone, Les. 98 (orch. Roger-Ducasse)

= Kenneth Radnofsky, saxophone alto ; Kurt Masur, Orchestre philharmonique de New York

(Teldec, live janvier 1996)

Cette partition sur laquelle Debussy travailla une dizaine d'années fut orchestrée et jouée juste après sa mort, la première fois sous la direction d'André Caplet, salle Gaveau en mai 1919.

Mendelssohn : Quatuor à cordes No.3 en ré majeur, Op.44 No.1 - Cherubini Quartett

Mendelssohn : Quatuor à cordes No.4 en mi mineur, Op.44 No.2 - Cherubini Quartett


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Plus j'en écoute et plus le Quatuor à cordes me fascine.
Il faut dire qu'avant la texture plutôt sèche avait tendance m'en tenir éloignée, alors que là je commence à énormément apprécier.
J'ai l'impression que le Quatuor est un genre un peu à part, comme si les compositeurs y donnaient le meilleurs d'eux même ...

 J'ai beau réfléchir je n'ai pas l'impression qu'un compositeur se soit jamais vraiment "planté" dans ces Q.

anaëlle a écrit:

Plus j'en écoute et plus le Quatuor à cordes me fascine.

Faut dire que tu sais choisir les œuvres (et les interprétations).
N'oublie pas d'écouter les Quatuors 5 et 6 par les Cherubini.

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7) Richard Strauss (1864-1949) :

Parergon zur Sinfonia Domestica, pour piano (main gauche) et orchestre, Op. 73
Panathenäenzug, étude symphonique en forme de passacaille pour piano (main gauche) et orchestre, Op. 74

= Peter Rösel, piano ; Rudolf Kempe, Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(Emi, janvier 1976)

Charmant programme thématique, d'œuvres qu'on n'écoute pas si souvent, cachées derrière la célèbre production symphonique de ces deux compositeurs -à continuer bientôt.

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Plus j'en écoute et plus le Quatuor à cordes me fascine.

Faut dire que tu sais choisir les oeuvres (et les interprétations).
N'oublie pas d'écouter les Quatuors 5 et 6 par les Cherubini.

Très joli ton avatar

C'est gentil ...

Je n'oublie pas le 5 et 6, mais là je vais faire une petite pause piano.  
Je ne vais tout de même pas m'engloutir tout les Quatuors de Mendelssohn par les Cherubini en une journée, même si j'en ai très envie.  

Mélodies françaises de 14/18 par Cyrille Dubois et Tristan Raës :
- Deux mélodies (Pierre Vellones)
- Quatre odelettes (Joseph-Guy Ropartz)
- Sept petites images du Japon (Georges Migot)
- Trois mélodies (Jacques de la Presle)
- Clairières dans le ciel (Lili Boulanger)

Magnifique!

Scriabine : Études Op.2, 8, 42 et 65 (No.2 et 3) - Gurdal

Mélomaniac a écrit:

7) Richard Strauss (1864-1949) :

Parergon zur Sinfonia Domestica, pour piano (main gauche) et orchestre, Op. 73
Panathenäenzug, étude symphonique en forme de passacaille pour piano (main gauche) et orchestre, Op. 74

= Peter Rösel, piano ; Rudolf Kempe, Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(Emi, janvier 1976)

Charmant programme thématique, d'œuvres qu'on n'écoute pas si souvent, cachées derrière la célèbre production symphonique de ces deux compositeurs -à continuer bientôt.

Tel le Petit Poucet, tu sèmes les indices...

Kaikhosru Shapurji Sorabji (1892–1988)

Passeggiata Veneziana (1955–56)
Villa Tasca (1979–80)

Jonathan Powell, piano

anaëlle a écrit:

J'ai l'impression que le Quatuor est un genre un peu à part, comme si les compositeurs y donnaient le meilleurs d'eux même ...
J'ai beau réfléchir je n'ai pas l'impression qu'un compositeur se soit jamais vraiment "planté" dans ces Q.

Effectivement. C'est une formation assez spécifique et certains compositeurs mettent du temps avant de s'y attaquer. Les quatuors de Haydn, Beethoven, Mendelssohn, Chostakovitch, Bartok... ce sont parmi leurs oeuvres les plus reconnues. Certains y ont moins excellé ; je pense à Schumann même s'il y a de très belles choses.

Ariel Ramirez
Misa Criolla
+ Navidad Nuestra
Ariel Ramirez/Choeur de la Basilique de Soccoro
1 LP Philips 842.763

Les orgues historiques de l'église Saint-Jacob à Lübeck

Pièces de Sweelinck, Tunder, Buxtehude et Bach.

Arvid Gast, orgues

MDG 2014


Superbe document sonore des orgues du facteur Stellwagen. Des trois instruments, celui du transept, un trois claviers et 32 jeux, en
plus d'être historique, cet orgue est très important au niveau culturel. Le bloc gothique date de 1467 et 1515. Il a été converti par Friedrich Stellwagen, en 1636/7, en une division Hauptwerk puis ajoute une division Rückpositiv sur la balustrade et une petite pédale assez faible. Le système de vent et presque toute la tuyauterie sont d'origine. La division de pédale a été renforcée en 1935 sur recommandation de Hugo Distler. Encore ici, en prévision de la Deuxième Guerre mondiale, l'instrument est démonté et entreposé pour n'être réinstallé qu'en 1946. Donc
en entendant cet orgue aujourd'hui, c'est exactement la même sonorité que Buxtehude a entendu. C'est un des très rares orgues totalement authentiques, sans dénaturations ultérieures.

Maurice Ravel
Ma Mère l'Oye
+ Pavane pour une infante défunte
+ Le Tombeau de Couperin
+ Valses nobles et sentimentales
Charles Dutoit
Orchestre symphonique de Montréal
1 LP London 410 254-1

Antonio Vivaldi (1678-1741)
« Nuova Stagione »
Concerti RV808, 420, 194, 440, 403, 235 et 517

Amandine Beyer / Gli Incogniti
Manuel Granatiero, flûte traversière solo
Marco Ceccato, violoncelle solo
Anna Fontana, orgue solo
Amandine Beyer, violon solo & direction

Saint-Saëns

Deuxième concerto pour piano, version piano seul.

Harold Bauer, piano Steinway Duo-Art 1929

Everest stéréo 1965


Toute une technique! C'est ce qu'il faut pour attaquer ce concerto version solo!

Purcell:Dido and Aeneas
Pluhar 2015 / Flores, Scheen, Mauillon

(http://oe1.orf.at/programm/418840)

Pour l'instant (i.e. dix premières minutes) j'aime beaucoup, le continuo est exalté dans sa simplicité, on entend bien les lignes intermédiaires. A voir sur la durée. Je suis globalement assez client de ces versions un peu maniérées où on rajoute des répétitions et des trucs de guitare, luth etc... même si récemment en réécoutant Currentzis j'ai un peu renié mon enthousiasme initial.

Il faut que j'actualise mon carnet de bord aussi, si quelqu'un est intéressé par Das Buch mit sieben Siegeln de Schmidt...

Tss Ö1 qui débloque complètement à la 22e minute, interruption sur "Cupid only throws" et reprise deux minutes plus tard avec "To the hills and the vales". Il manque donc Pursue thy conquest

Guillaume a écrit:

Tss Ö1 qui débloque complètement à la 22e minute, interruption sur "Cupid only throws" et reprise deux minutes plus tard avec "To the hills and the vales". Il manque donc Pursue thy conquest

Moi qui était en train de le récupérer pour l'écouter tranquillement... ça me refroidit
Mais merci pour l'info tout de même!

Et d'ailleurs, si je puis me permettre... pas de retransmission du Couronnement dirigé par Spinosi? Les critiques ont l'air très bonnes...

Mauillon plane au-dessus de tout le monde. Le reste n'est pas mal non plus, c'est une version qui a du nerf et en même temps un bon son d'ensemble.

Les retransmissions viennent parfois un peu en retard. La fonction "Recherche" de leur site ne donne rien... je suppose que comme c'est un ensemble extérieur ça n'a pas la même priorité que l'orchestre maison. Mais il faut rester à l'affût, parfois ça vient quelques mois après, on ne peut jamais prévoir. Leurs programmes sont publiés un mois à l'avance...

Guillaume a écrit:

Mauillon plane au-dessus de tout le monde. Le reste n'est pas mal non plus, c'est une version qui a du nerf et en même temps un bon son d'ensemble.

Citation :

Les retransmissions viennent parfois un peu en retard. La fonction "Recherche" de leur site ne donne rien... je suppose que comme c'est un ensemble extérieur ça n'a pas la même priorité que l'orchestre maison. Mais il faut rester à l'affût, parfois ça vient quelques mois après, on ne peut jamais prévoir. Leurs programmes sont publiés un mois à l'avance...

J'avais un peu cherché et rien vu... je vais essayer de suivre tout ça!

Illustration de ce que je disais, mardi ils ont diffusé un concert du Tonkünstler-Orchester-NÖ du 21 décembre 2011 sans aucune raison apparente (!). Joli programme au demeurant : Messe D678 de Schubert et Symphonie avec orgue de Saint-Saëns. (Hélas je ne suis pas qualifié pour rendre compte de l'orgue du Musikverein, que nos organophiles veuillent m'en excuser, il a aussi joué pendant Schmidt bien sûr ) : http://oe1.orf.at/programm/418683

Surveille les émissions "Alte Musik neu interpriert" présentées par Bernard Trebuch, il y a souvent des pépites... et c'est là que pourrait surgir une Incoronazione éventuelle.

plenum a écrit:

Saint-Saëns

Deuxième concerto pour piano, version piano seul.

Harold Bauer, piano Steinway Duo-Art 1929

Everest stéréo 1965


Toute une technique! C'est ce qu'il faut pour attaquer ce concerto version solo!

C'est la transcription de Bizet ? J'ai la version de Alexander Ghidin (2006).

Bela BARTOK - Concerto n° 2 pour violon (Anne-Sophie Mutter)

Verdi: Aida, Actes II-IV.  Version Solti (Price, Vickers & Co.). Decca

Guillaume a écrit:

Purcell:Dido and Aeneas
Pluhar 2015 / Flores, Scheen, Mauillon

(http://oe1.orf.at/programm/418840)

Pour l'instant (i.e. dix premières minutes) j'aime beaucoup, le continuo est exalté dans sa simplicité, on entend bien les lignes intermédiaires. A voir sur la durée. Je suis globalement assez client de ces versions un peu maniérées où on rajoute des répétitions et des trucs de guitare, luth etc... même si récemment en réécoutant Currentzis j'ai un peu renié mon enthousiasme initial.

Il faut que j'actualise mon carnet de bord aussi, si quelqu'un est intéressé par Das Buch mit sieben Siegeln de Schmidt...

Tiens, Pluhar vient de sortir un Cavalli… elle arrête la variété ?

En général, ce qu'elle fait est roboratif, c'est une bonne nouvelle. J'ai chargé le programme, merci !

(d'ailleurs je suis finalement venu à bout de la radiodiffusion de Don Quichotte chez la Duchesse… quel gâchis… même musicalement c'est assez terne.)

Robert HP Platz (1951–)

RAUMFORM für Klarinette solo (1981/82)

Michael Riessler, clarinette

Flötenstücke für Altflöte und 7 Spieler (1982/83)

Carin Levine, flute
Ensemble Köln (Robert HP Platz)

Maro & STILLE für Violine solo, Sopran, Klavier solo, Bläser, Schlagzeug und gemischten Chor (1980/81)

Christine Whittlesey, soprano
Kristi Becker, piano
Irvine Arditti, violon
Elisabeth Künstler et Hanna Auerbacher, altos
Schola Cantorum Stuttgart (Clytus Gottwald)
Ensemble Köln (Robert HP Platz)

from fear of thunder, dreams... für Kammerensemble und Tonband (1987/88)

Ensemble Köln (Robert HP Platz)

VERKOMMENES UFER, szenische Komposition in 2 Akten nach einem Text von Heiner Müller (1983/84)

Nicole Tibbels, soprano
Susanne Otto, alto
Frank Sonnberger, baryton
Ensemble Modern (Bernhard Kontarsky)

Klavierstück Nr. 3 (1988)

Kristi Becker, piano

REQUIEM, Hörspiel-Montage (1983/84)

Rihm, Dritte Symphonie (1976/77).  Palimina, Turk, Groot Omroepkoor (Wood), Radio Filharmonisch Orkest (Stenz)

Poulenc: 3 mouvements perpétuels, Le Bestiaire

+

Duparc: L'Invitation au voyage



Debussy: Il pleure dans mon coeur

+

Par Claire Croiza et Francis Poulenc

Debussy: L'échelonnement des haies, La Vierge Erigone (Martyre de Saint Sébastien)/Tragin, Poulenc



Poulenc: Le Bestiaire, La Grenouillère, Reine des mouettes/Souzay, Bonneau (1948, qualité sonore remarquable!)

+

Poulenc: 4 poèmes d'Apollinaire/Bernac, Poulenc

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Fauré: Jardin nocturne/Bernac, Poulenc

Ravel: Sainte, Sur l'herbe/Bernac