Playlist (114)

C'était un incunable ; depuis ce matin, c'est carrément devenu un objet archéologique :

Tu vas trop vite en besogne.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu vas trop vite en besogne.

J'aurais dû ajouter : sans l'hymne britannique .
Reste ça : /watch?v=6bBz1olgJLo (qui n'est peut-être pas le meilleur argument du maintien de la GB dans l'UE ; même s'il "sonne", assurément ).

NB L'orgue historique de Saint-Jacques à Hambourg, était un des instruments préférés de Reger, tellement il appréciait peu les mammouths
de son temps à la Walcker, Sauer, etc.

J'ai ressorti un vieux 33 T (1971) que j'avais acheté quand j'étais ado:

J.Guillou:Symphonie initiatique pour trois orgues opus 18.

le Canon à Trois et la Sonata con Ricercare...

Je l'ai également. C'est une des quelques choses que j'aime bien de Guillou.

Tiens tu me donne envie d'écouter un autre album de lui, également for intéressant:

Et celui là,je ne l'ai pas!

Ah bon! Tu devrais dans ce cas faire une recherche dans les boutiques de vinyles usagés ou bien l'acheter sur le net, car c'est un document,
puisque que ce sont des improvisations uniques qui ne peuvent réapparaître. Peut-être qu'un jour cet album sera réédité en numérique.

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont


Berg : Sieben frühe Lieder.  von Otter / Wiener Philharmoniker, dir. Abbado

Berg : Der Wein.  von Otter / Wiener Philharmoniker, dir. Abbado


Poulenc : Quatre Petites Prières de Saint François d’Assises.  Picton-Turbervill, Choir of St John’s College, dir. Nethsingha 

Messiaen : O sacrum convivium!. Picton-Turbervill,  Choir of St John’s College, dir. Nethsingha


Szymanowski : Symphonie No.4.  Żmudziński / Polish State PO, dir. Stryja

Wagner:Parsifal Acte I (Karajan)

Pour être beau c'est beau.

Haydn

Les Trios pour baryton à cordes

Aria Lachrimae Consort

Studio SM (2011)

Des classiques... parmi d'autres !

Ravel : Daphnis & Chloé, Suite No.2.  Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester, dir. Celibidache


Scriabine : Sonate No.5. Feinberg
 
  Quelle version - et quelle prise de son    !!

Debussy : En blanc et noir.  Argerich, Kovacevich 


Myaskovsky : Sonate pour piano No.2.  Scherbakov


Bruckner : Motets.  La Chapelle Royale, Collegium Vocale, Ensemble Musique Oblique, dir. Herreweghe

Comment c'est beau ... 
Je me demande si les Motets ne seraient pas l'une des meilleures façons de faire apprécier Bruckner

Pour la deuxième de Myaskovsky, c'est par cette pianiste qu'il faut que tu l'écoute:



Elle a la passion à fond, comme il faut, afin de bien rendre cette sonate passionée, tourmentée, sur le thème cyclique du Dies Irae.

Les deux autres sonates de son album valent également l'écoute.

Dispo sur Deezer: http://www.deezer.com/album/439695

anaëlle a écrit:

Bruckner : Motets.  La Chapelle Royale, Collegium Vocale, Ensemble Musique Oblique, dir. Herreweghe

Comment c'est beau ... 
Je me demande si les Motets ne seraient pas l'une des meilleures façons de faire apprécier Bruckner

C'est à mes yeux l'un des deux plus beaux (sinon le plus beau) corpus pour chœur a capella du XIXe. Que ça puisse faire aimer du Bruckner à un public réfractaire à ses symphonies (à des baroqueux, en particulier), c'est évident. Que ça puisse faire aimer Bruckner, c'est-à-dire servir de porte d'entrée aux symphonies, ça me paraît moins certain: on est quand même dans un tout autre type d'esthétique et même de logique compositionnelle; à la limite, le Quintette à cordes (très chouette) y conviendrait davantage.
Cela dit, pour apprécier les symphonies, je crois que chaque auditeur doit d'abord essayer de trouver des interprétations susceptibles de satisfaire ses propre attentes.

(Bon, moi, je suis un inconditionnel absolu de tout Bruckner comme on l'aura probablement déjà compris...)

Sinon:
Langgaard: Musique des sphères
Inger Dam Jensen (soprano), Thomas Dausgaard / Orchestre Symphonique, Chœur de Concert et Ensemble Vocal Nationaux du Danemark
Copenhague, IX.2009
Da Capo
Une œuvre vraiment fascinante: on y trouve en effet (surtout dans la première partie, dès 1918), une espèce de catalogue de toutes les musiques «planantes» des années 70 à 90 - des clusters de Ligeti à certains futurs tics d'écriture de Kantcheli ou de John Adams; la fin est plus prévisiblement mahléro-sibélo-strausso-scriabino-debussyste. Cela dit, au total, ça fait une œuvre prenante mais assez invertébrée, à laquelle je préfère d'assez loin la 1e Symphonie, d'un postromantisme torrentiel assez irrésistible, et la tri/tétralogie des symphonies 4 à 6, plus denses et plus novatrices.

Benedictus a écrit:

anaëlle a écrit:

Bruckner : Motets.  La Chapelle Royale, Collegium Vocale, Ensemble Musique Oblique, dir. Herreweghe

Comment c'est beau ... 
Je me demande si les Motets ne seraient pas l'une des meilleures façons de faire apprécier Bruckner

C'est à mes yeux l'un des deux plus beaux (sinon le plus beau) corpus pour chœur a capella du XIXe. Que ça puisse faire aimer du Bruckner à un public réfractaire à ses symphonies (à des baroqueux, en particulier), c'est évident. Que ça puisse faire aimer Bruckner, c'est-à-dire servir de porte d'entrée aux symphonies, ça me paraît moins certain: on est quand même dans un tout autre type d'esthétique et même de logique compositionnelle; à la limite, le Quintette à cordes (très chouette) y conviendrait davantage.
Cela dit, pour apprécier les symphonies, je crois que chaque auditeur doit d'abord essayer de trouver des interprétations susceptibles de satisfaire ses propre attentes.

(Bon, moi, je suis un inconditionnel absolu de tout Bruckner comme on l'aura probablement déjà compris...)

Et mon message, ici (d'ailleurs après "repêchage" ici même ; zig & zag) : https://classik.forumactif.com/t5247-bruckner-musique-sacree?highlight=bruckner .

Benedictus a écrit:

anaëlle a écrit:

Bruckner : Motets.  La Chapelle Royale, Collegium Vocale, Ensemble Musique Oblique, dir. Herreweghe

Comment c'est beau ... 
Je me demande si les Motets ne seraient pas l'une des meilleures façons de faire apprécier Bruckner

C'est à mes yeux l'un des deux plus beaux (sinon le plus beau) corpus pour chœur a capella du XIXe. Que ça puisse faire aimer du Bruckner à un public réfractaire à ses symphonies (à des baroqueux, en particulier), c'est évident. Que ça puisse faire aimer Bruckner, c'est-à-dire servir de porte d'entrée aux symphonies, ça me paraît moins certain: on est quand même dans un tout autre type d'esthétique et même de logique compositionnelle; à la limite, le Quintette à cordes (très chouette) y conviendrait davantage.
Cela dit, pour apprécier les symphonies, je crois que chaque auditeur doit d'abord essayer de trouver des interprétations susceptibles de satisfaire ses propre attentes.

(Bon, moi, je suis un inconditionnel absolu de tout Bruckner comme on l'aura probablement déjà compris...)

C'est bien dit (et perso, le quintette je vénère).
Et j'avoue que malgré son esthétique XIX°, j'adore la messe n°3. Pourtout ... ces messes du XIX° ... a priori ... c'est vraiment pas ce qui m'attire.

Dutilleux : Symphonie No.2.  Orchestre National, dir. Munch
 
Schoenberg : Quatuor No.2. Price, LaSalle SQ

Duparc : Extase. Crespin, Ricci / Simoneau, Rogers

Aaron Copland : Concerto pour piano et orchestre       1927 / Bernstein
 +

Cette infinité de teintes ; cette palette incroyable qui se savoure, se donne à entendre mais jamais à voir !

Benedictus a écrit:

anaëlle a écrit:

Bruckner : Motets.  La Chapelle Royale, Collegium Vocale, Ensemble Musique Oblique, dir. Herreweghe

Comment c'est beau ... 
Je me demande si les Motets ne seraient pas l'une des meilleures façons de faire apprécier Bruckner

C'est à mes yeux l'un des deux plus beaux (sinon le plus beau) corpus pour chœur a capella du XIXe. Que ça puisse faire aimer du Bruckner à un public réfractaire à ses symphonies (à des baroqueux, en particulier), c'est évident. Que ça puisse faire aimer Bruckner, c'est-à-dire servir de porte d'entrée aux symphonies, ça me paraît moins certain: on est quand même dans un tout autre type d'esthétique et même de logique compositionnelle; à la limite, le Quintette à cordes (très chouette) y conviendrait davantage.
Cela dit, pour apprécier les symphonies, je crois que chaque auditeur doit d'abord essayer de trouver des interprétations susceptibles de satisfaire ses propre attentes.

(Bon, moi, je suis un inconditionnel absolu de tout Bruckner comme on l'aura probablement déjà compris...)

Et quel est cet autre corpus ? Mendelssohn ou Brahms, forcément, mais tu es imprévisible des fois. Je suis bien sûr d'accord : c'est merveilleux. Mais ça ne préjuge pas vraiment de l'appréciation des symphonies, dont la poétique est beaucoup plus personnelle, au risque de ne pas être toujours aussi efficace que ses motets mendelssohniens, d'ailleurs.

Sinon:

Citation :

Langgaard: Musique des sphères
Inger Dam Jensen (soprano), Thomas Dausgaard / Orchestre Symphonique, Chœur de Concert et Ensemble Vocal Nationaux du Danemark
Copenhague, IX.2009
Da Capo
Une œuvre vraiment fascinante: on y trouve en effet (surtout dans la première partie, dès 1918), une espèce de catalogue de toutes les musiques «planantes» des années 70 à 90 - des clusters de Ligeti à certains futurs tics d'écriture de Kantcheli ou de John Adams; la fin est plus prévisiblement mahléro-sibélo-strausso-scriabino-debussyste. Cela dit, au total, ça fait une œuvre prenante mais assez invertébrée, à laquelle je préfère d'assez loin la 1e Symphonie, d'un postromantisme torrentiel assez irrésistible, et la tri/tétralogie des symphonies 4 à 6, plus denses et plus novatrices.

Pareil pour moi : fascinant, mais pas totalement convaincant. Je n'y reviens pas souvent, peut-être aussi parce ce qu'il préfigure n'est pas exactement ma came habituelle.

anaëlle a écrit:

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont


Poulenc : Quatre Petites Prières de Saint François d’Assises.  Picton-Turbervill, Choir of St John’s College, dir. Nethsingha 

Aucun bijou, même occulte, ne t'échappe. Que te restera-t-il à écouter dans deux ans ?

(en revanche, apprécier davantage le gros machin claironnant-concernant de Szyma, on dira que c'est juste pour ne pas faire de peine à Xavier, tu vaux mieux que ça)

Oooh! On dirait le retour du serpent convaincant Eve.

anaëlle a écrit:

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont

anaëlle a écrit:

Duparc : Extase. Crespin, Ricci / Simoneau, Rogers

On peut difficilement te donner tort ...

Pour Der Wein, je me demande si ma version n'est pas celle de Sabine Hass, en fait :



(L'album dans son entier, en réalité, me semble incontournable !)

Benedictus a écrit:

Et pour revenir à Szymanowski: quand on sort du «Chant de la nuit» avec ses harmonies sophistiquées, son côté plus extatique et incantatoire que dansant, sa forme très libre et un peu sinueuse, la Symphonie concertante donne vraiment l'impression d'un tournant néoclassique après un sommet de décadentisme.

C'est plutôt du post-postromantisme, non ? Effectivement, par contraste avec la Troisième Symphonie, ça paraît presque néo-, mais le projet idéologique, si j'ose dire, n'est pas du tout le même. Il n'y a pas de retour, de « réaction » ou d'épure dans ce langage-là… moins vénéneux, plus superficiel (plus pénible aussi) ne suffit pas à caractériser le néo-, pour cette fois.

DavidLeMarrec a écrit:

Et quel est cet autre corpus ?  Mendelssohn ou Brahms, forcément, mais tu es imprévisible des fois.

Ah bon? Non, je pensais effectivement à Mendelssohn. (Il y a aussi des choses superbes dans Brahms, mais le corpus est beaucoup plus inégal; et la partie sacrée n'en est pas forcément la fine pointe.)

DavidLeMarrec a écrit:

anaëlle a écrit:

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont

Poulenc : Quatre Petites Prières de Saint François d’Assises.  Picton-Turbervill, Choir of St John’s College, dir. Nethsingha 

Aucun bijou, même occulte, ne t'échappe. Que te restera-t-il à écouter dans deux ans ?

Il est à craindre en effet qu'ayant éclusé tout le répertoire fréquentable, Anaëlle en soit alors réduite à passer du côté obscur du forum. Après, savoir si ce sera plutôt du Dubois, du Villa-Lobos, du Czernowin, du Elgar, du Chtchédrine ou du Gounod-en-version-russe... Ce ne sont pas les influences corruptrices qui manquent, par ici.

DavidLeMarrec, à propos du putatif néoclassicisme de Szymanowski 4, a écrit:

C'est plutôt du post-postromantisme, non ?  Effectivement, par contraste avec la Troisième Symphonie, ça paraît presque néo-, mais le projet idéologique, si j'ose dire, n'est pas du tout le même. Il n'y a pas de retour, de « réaction » ou d'épure dans ce langage-là… moins vénéneux, plus superficiel (plus pénible aussi) ne suffit pas à caractériser le néo-, pour cette fois.  

Possible. (Je n'ai pas forcément envie d'aller réécouter ça tout de suite pour essayer de répondre.)

Philippe Leroux : Air-ré pour violon et marimba/vibraphone       1992 / Ensemble Court-Circuit (Valade)
 +
Philippe Leroux : Continuo(ns) pour flûte, clarinette, violon, violoncelle et piano       1994 / Ensemble Court-Circuit (Valade)
 +
Philippe Leroux : Phonie douce pour hautbois, saxophone et violoncelle       1991 / Ensemble Court-Circuit (Valade)

Philippe Leroux : PPP pour flûte et piano       1993 / Ensemble Court-Circuit (Valade)
 +
Philippe Leroux : Fleuve pour quatorze instruments       1988 / Ensemble Court-Circuit (Valade)
 +
Aaron Copland : Connotations pour orchestre       1961-62 / Bernstein
 +
Aaron Copland : El Salon Mexico pour orchestre       1936 / Bernstein

Aaron Copland : Music for the Theatre pour petit orchestre       1925 / Bernstein

DavidLeMarrec a écrit:

anaëlle a écrit:

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont


Poulenc : Quatre Petites Prières de Saint François d’Assises.  Picton-Turbervill, Choir of St John’s College, dir. Nethsingha 

Aucun bijou, même occulte, ne t'échappe. Que te restera-t-il à écouter dans deux ans ?  

' devra bien me rester quelques compositeurs mineurs, Bach, Beethoven, Chopin ...

Sérieusement, entre la musique que j'aime, celle que je devrais aimer et celle que j'aimerais aimer, pas clair, je viens à peine de me réveiller, j'ai encore plusieurs décennies d'écoutes ininterrompues 

Citation :

(en revanche, apprécier davantage le gros machin claironnant-concernant de Szyma, on dira que c'est juste pour ne pas faire de peine à Xavier, tu vaux mieux que ça)  

Ah mais j'aime beaucoup ! L'ambiance étouffante me fait penser aux Nuits dans les jardins d'Espagne !

bAlexb a écrit:

anaëlle a écrit:

Gurlitt : Vier dramatische Gesänge.  Oelze / Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, dir. Beaumont

anaëlle a écrit:

Duparc : Extase. Crespin, Ricci / Simoneau, Rogers

On peut difficilement te donner tort ...

Pour Der Wein, je me demande si ma version n'est pas celle de Sabine Hass, en fait :

Spoiler:

(L'album dans son entier, en réalité, me semble incontournable !)

J'écouterai -j'adore Der Wein !

Benedictus a écrit:

Il est à craindre en effet qu'ayant éclusé tout le répertoire fréquentable, Anaëlle en soit alors réduite à passer du côté obscur du forum. Après, savoir si ce sera plutôt du Dubois, du Villa-Lobos, du Czernowin, du Elgar, du Chtchédrine ou du Gounod-en-version-russe... Ce ne sont pas les influences corruptrices qui manquent, par ici.

Helmut Lachenmann : Dal niente pour clarinette       1970 / Damiens

Wagner:Parsifal Acte 2 (Karajan)

Bartók : Concerto pour piano No.1.  Anda / Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester, dir. Gielen

Bartók : Concerto pour piano No.2.  Anda / Kölner Rundfunk-Sinfonie-Orchester, dir. Fricsay


Bartók : Contrastes pour clarinette, violon et piano.  Anda, Blöcher, Varga

Bartók : Suite pour piano.  Anda

Bartók : Sonate pour deux pianos et percussions.  Anda, Solti, Peinkofer, Porth


Bartók : 27 Choeurs pour voix d’enfants et de femme, I & II .  Ensemble Vocal Benjamin Britten

Karel Husa : Quatuor à cordes n°1       1948 / Suk Quartet

Charpentier : Médée (William Christie, 1984 : Jill Feldman, Jacques Bona, Agnès Mellon, Gilles Ragon, Philippe Cantor, Sophie Boulin, François Fauché, Marie-Claude Vallin, Catherine Bignalet, Dominique Visse, Michel Laplénie, Françoise Paut, Monique Zanetti, Catherine Molmerret)

Toujours aussi fascinant et génial (ouvrage comme interprétation! )

Lully: Persée, actes I-III
Paul Agnew, Anna Maria Panzarella, Salomé Haller, Jérôme Corréas, Vincent Billier, Monique Simon, Robert Getchell, Béatrice Mayo Felip, Laurens Slaars, Cyril Auvity, Bruno Rostand, Christophe Rousset / Les Talens Lyriques, Olivier Schneebeli / Maîtrise du Centre de Musique Baroque de Versailles "Les Chantres de la Chapelle"
Paris, IX.2001
Astrée
Bien mieux que dans mon souvenir (l'œuvre et l'interprétation).
Rien qui justifie en tout cas de préférer des révisions douteuses.

Wolfram Schurig: Ultima Thule (2003/04) pour 5 ensembles
Sylvain Cambreling / Klangforum Wien
Vienne, VI.2005
Kairos
Johannes Maria Staud: A map is not the territory (2001) pour grand ensemble
Sylvain Cambreling / Klangforum Wien
Vienne, II.2002
Kairos
Du chouette contemporain autrichien intello-conceptuel qui déchire (gentiment).

Zoltan Kodaly : Sonate pour violoncelle       1915 / Weilerstein
 +

Benedictus a écrit:

J'adore cette version nerveuse et sèche de Médée...

Citation :

Lully: Persée, actes I-III
Paul Agnew, Anna Maria Panzarella, Salomé Haller, Jérôme Corréas, Vincent Billier, Monique Simon, Robert Getchell, Béatrice Mayo Felip, Laurens Slaars, Cyril Auvity, Bruno Rostand, Christophe Rousset / Les Talens Lyriques, Olivier Schneebeli / Maîtrise du Centre de Musique Baroque de Versailles "Les Chantres de la Chapelle"
Paris, IX.2001
Astrée
Bien mieux que dans mon souvenir (l'œuvre et l'interprétation).
Rien qui justifie en tout cas de préférer des révisions douteuses.

Oui, superbe... après la révision est intéressante aussi. Il faudrait juste éviter de la présenter comme du LULLY...

Polyeucte a écrit:

Oui, superbe... après la révision est intéressante aussi. Il faudrait juste éviter de la présenter comme du LULLY...

Mouais... «Intéressante» d'un point de vue documentaire, sans doute. Musicalement, bon, je suis déjà assez peu sensible à l'opéra Louis XV, alors...
Il faudrait surtout l'entendre par une équipe qui a fait un minimum de répétitions et qui chante plus pour le public qui est dans la salle que pour les micros.

Ronald Stevenson : Passacaille sur DSCH pour piano       1960-62 / Stevenson
 +

Sancan : Sonatine pour flûte et piano.  Dufour, Rogé
 
Dutilleux : Sonatine pour flûte et piano. Dufour, Rogé 
 
Martin : Ballade pour flûte et piano. Dufour, Rogé 
 
Debussy : Syrinx. Dufour, Rogé 

Poulenc : Sonate pour flûte et piano.  Dufour, Rogé
 

Honegger : Quatuor à cordes No.3.  Parisii SQ

Honegger : Sonatine pour violon et violoncelle.  Vallin, Martignoni

Honegger : Hymne pour dixtuor à cordes.  Parisii SQ, Psophos SQ, Desjardins, Garoche

Honegger : Danse de la chèvre.  Bernold, Lencses, Vallin, Martignoni

Honegger : Trois contrepoints.  Bernold, Lencses, Vallin, Martignoni
 

Mouais ...

Wagner:Parsifal Acte 3 (Karajan)

Dmitri Shostakovich (1906-1975)
Quatuors 5 & 15
Borodin quartet


"- Doit-on présenter le cinquième Quatuor à cordes Op. 92 de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) ? Non, on ne présente pas le cinquième Quatuor à cordes Op. 92 de Dmitri Chostakovitch !" jrl133 sur un site marchand bien connu
"- Doit-on présenter le quinzième Quatuor à cordes Op. 144 de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) ? Non, on ne présente pas le quinzième Quatuor à cordes Op. 144 de Dmitri Chostakovitch !" jrl133 sur un site marchand bien connu
Enfin quelque chose de plus consistant: « Il faut le jouer de telle sorte que les mouches tombent mortes du plafond et que les spectateurs commencent à sortir de la salle par pur ennui. » D. Shostakovich à propos du quinzième quatuor, cité dans wikipédia

Karel Husa : Cinq poèmes pour quintette à vent       1994 / Prague Wind Quintet

Karel Husa : Variations pour quatuor avec piano       1984 / Prague String Trio, Jaromir Klepac

Brahms:Concerto pour piano n°1 (Rubinstein/Reiner)