Playlist (126)

je crois que c’est le moment.

Kara Karayev (1918–1982) : Symphonie nº3 (1964)
Orchestre de chambre du Conservatoire de Leningrad (Yuri Aliev)

Brahms : Symphonie n°1 (Orchestre symphonique de la radio danoise, Thomas Dausgaard)

Je vais être définitif : impossible de faire mieux !

/watch?v=p_wDDvTamHQ

tomseche89 a écrit:

Brahms : Symphonie n°1 (Orchestre symphonique de la radio danoise, Thomas Dausgaard)

Je vais être définitif : impossible de faire mieux !

/watch?v=p_wDDvTamHQ

C'est sans appel.

Merci pour le lien, je vais écouter.

Spahlinger : extension (1979–80)
Josh Modney, Eric Wubbels
Spahlinger : Apo do (1982)
Spektral Quartet

tomseche89 a écrit:

Brahms : Symphonie n°1 (Orchestre symphonique de la radio danoise, Thomas Dausgaard)

Je vais être définitif : impossible de faire mieux !

/watch?v=p_wDDvTamHQ

Tsk, tsk, dire ça quand on a Manze-Helsingborg sous la main…

Pas écouté cela dit, je vais faire !

Benedictus a écrit:

Octavian a écrit:

Carlos d'Alessio - Un vague extrêmement précis (1985)
Delphine Seyrig, Sami Frey (récitants), Carlos d'Alessio (piano), bande magnétique

J'adore ce disque! L'atmosphère est totalement prenante, et puis la voix de Delphine Seyrig...

Pour la voix de Delphine je veux bien tenter l'expérience

Benedictus a écrit:

Et la Soupe aux poireaux-pommes de terre est assurément un des plus beaux textes de Duras.

le potentiel nanardesque d'un tel titre est assurément prometteur

Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce soir :   W.A. Mozart – S. Rachmaninov – J. Haydn – F. Liszt – S. Thalberg

Ravélavélo a écrit:

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/14963353

Bach
* Sonates pour viole de Gambe
Daniel Müller-Schott, violoncelle
Angela Hewitt, piano
J'apprécie surtout la très virtuose Sonate en Sol mineur qui me rappelle la version Gould/Rose.

œuvres de Bach injustement mises à l'arrière plan.
Il y a aussi des très belles versions avec viole(s). Savall/Koopman par deux fois; Cocset/Cuiller/Myron

1) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Concerto n°8 en ut majeur, K. 246
Concerto n°9 en mi bémol majeur, K. 271

= Lili Kraus, piano ; Stephen Simon, Vienna Festival Orchestra

(Epic, mai 1965)

Down by the Salley Gardens.
20th Century English Songs
avec Purcell en filigrane
H. Howells, R. Quilter, I. Gurney, RV. Williams, G. Finzi, L. Berkeley, CV. Stanford, P. Warlock, V. Hely-Hutchinson, B. Britten, M. Tippett

Bejun Mehta, contre-ténor
Julius Drake, piano

Intéressant !
Ce serait bien d'en dire un mot dans le topic mélodie anglaise de Rubato.

xoph a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/14963353

Bach
* Sonates pour viole de Gambe
Daniel Müller-Schott, violoncelle
Angela Hewitt, piano
J'apprécie surtout la très virtuose Sonate en Sol mineur qui me rappelle la version Gould/Rose.

œuvres de Bach injustement mises à l'arrière plan.
Il y a aussi des très belles versions avec viole(s). Savall/Koopman par deux fois; Cocset/Cuiller/Myron

Savall/Koopan, merci pour tes références !
Pour les puristes sans doute parce que Savall joue de l'instrument sur lequel ces sonates sont composées.

Surtout parce que c'est superbe !

Mélomaniac a écrit:

Intéressant !
Ce serait bien d'en dire un mot dans le topic mélodie anglaise de Rubato.

peut-être: un mais pas plus, après deux écoutes je ne sais toujours pas quoi en penser; à la troisième, qui sait ?

Bernhard Lang (1957–) :
— Monadologie XXXII – The Cold Trip, part 1 pour voix et quatuor de guitares (2014)
Sarah Maria Sun
aleph gitarrenquartett
— Monadologie XXXII – The Cold Trip, part 2 pour voix, piano et laptop (2014/15)
Juliet Fraser, Mark Knoop

Chopin

Études, Préludes, Polonaises - extraits (Lhévinne)
Concerto pour piano No.1 (Lhévinne & Barnett)
Sonate No.2 (Nat)
Sonate No.3 (Bolet)

2) Sergueï Rachmaninov (1873-1943) :

Concerto n°2 en ut mineur, Op. 18

= Agustin Anievas, piano ; Moshe Atzmon, Philharmonia Orchestra

(Emi, mai 1967)

Tiré de l'excellente intégrale des oeuvres concertantes de Rachma que grava le pianiste américain autour de 1970,
avec un Philharmonia superbe de relief et de couleurs.

xoph a écrit:

Surtout parce que c'est superbe !

Et Koopman au clavecin !
Clavecin un peu en retrait.

J S Bach
* 2e mouvement de la Sonate en Sol mineur

/watch?v=riPYFyi84rw

3) Joseph Haydn (1732-1809) :

Sonate en mi bémol majeur, Hob. XVI:52

= André Watts, piano

(CBS, février 1964)

J S Bach
* Sonate III en Sol mineur BWV 1029
Anner Bylsma, violoncelle piccolo (à 5 cordes)
Bob van Asperen, orgue



L'orgue donne un cachet recueilli à cette même sonate.
L'autre curiosité, c'est le violoncelle piccolo à cinq cordes.

/watch?v=L8wp4lu8skQ

4) Franz Liszt (1811-1886) :

L'Arbre de Noël

= Rhondda Gillespie, piano

(Chandos, 1979)

Un des cycles lisztiens les plus charmants, entre folklore mitteleuropa et vignettes de crèche.

5) Sigismond Thalberg (1812-1871) :

Lacrimosa, d'après le Requiem K. 626
Fantaisie sur la Sérénade et le Menuet de Don Giovanni

= Cyprien Katsaris, piano

(Sony, février 1992)

Un album autour d'oeuvres transcrites ou inspirées de Mozart, interprété avec toute la virtuosité de Katsaris
qui est aussi l'auteur des deux dernières pièces au programme.
Fabuleux disque pour tous les amateurs de chatoiements pianistiques

Pancho Vladigerov (1899-1978)
Concerto pour violon en F mineur (1921)

Ludwig van Beethoven : Trios pour piano et cordes n° 5 "des Esprits" & 6, op. 70

Noël Lee, piano
Robert Gendre, violon
Robert Bex, violoncelle



Voilà un pan du catalogue beethovenien que j'avais complètement négligé jusqu'à présent. À tort !

Varèse : Arcana (Chailly)

Ebouriffant!

Philip Glass
* Dead Things
Valentina Lisitsa, piano

Trop bref aperçu du coffret 2 CD Decca/London de la pianiste Ukrainienne consacré au compositeur 'minimaliste' Philip Glass.

Kara Karayev : Symphonie nº3 (1964)
Orchestre de chambre de Moscou (Barshai)

Richard Wagner
* Ouverture Tannhäuser & Musique du Venusberg (Version Paris)
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan (EMI, 1975)

Kara Karayev : Concerto pour violon (1967)
Gidon Kremer / БСО (Volodymyr Kozhukhar)

• Steve Reich: Proverb (1995) pour voix et ensemble¹. City Life (1994) pour ensemble²:

Paul Hillier / Theatre of Voices, members of The Steve Reich Ensemble¹. Brad Lubman / The Steve Reich Ensemble²
New York, VI.1996
Nonesuch
Alors qu’il y a des œuvres de Reich que j’aime vraiment, je n’ai pas du tout accroché à ces deux pièces que j’écoutais pour la première fois. Voir ici.

Ludwig van Beethoven
* Ouverture 'Leonore no.3'
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan

Meredith Monk (1942–) : Our Lady of Late pour voix avec verre à vin (1972)
Meredith Monk

lulu a écrit:

pour voix avec verre à vin

Consommé pendant l'œuvre, ou pas ?...

il y a un problème ?

Un problème, tout de suite, non.... un étonnement.

c’est un lieu commun, mais : « tout corps sonore mis en œuvre par le compositeur est un instrument de musique. »
(et les verres chantants ça n’a quand même rien de très extravagant.)

Hans Abrahamsen (1952-) les 4 quatuors à cordes
Les Ardittis

Michel van der Aa (1970-), concerto pour violon
Janine Jansen

Nielsen : Symphonie n°1 (N. Jarvi)

Des accents brahmsiens par moments.

Octavian a écrit:

lulu a écrit:

pour voix avec verre à vin

Consommé pendant l'œuvre, ou pas ?...

Ah! C'est pas pour boire.
On fait tourner le doigt sur le rebord du verre.
Très original.
Et le son diffère selon la quantité de vin dans le verre (coupe), mais j'en suis pas tout à fait certain.

lulu a écrit:

c’est un lieu commun, mais : « tout corps sonore mis en œuvre par le compositeur est un instrument de musique. »

Ça me rappelle effectivement quelque chose...

Spoiler:

lulu a écrit:

(et les verres chantants ça n’a quand même rien de très extravagant.)

Je ne dis pas le contraire. Et c'est une sonorité que j'aime bien, en plus. Mais si tu admettras que s'il est déjà plus rare de voir des compositeurs utiliser les verres chantants plutôt que le glassharmonica (déjà pas bien courant), il est encore plus rare de faire ça avec un seul verre... et de préciser qu'il doit être rempli de vin.

Je n'avais pas pensé aux différences de son produites par des variations de quantité dans le verre, merci Ravelavelo.

En revanche si c'est ça, ça suppose bien que la quantité connaît elle-même des variations au cours de la performance. Ce qui ouvre à d'autres questions :

• Par quel moyen ces variations sont-elles opérées en concert ?
  
• Avec quel degré de précision ?
  
• Est-ce que la qualité du vin rentre en ligne de compte dans la qualité de l'interprétation ?  
  

euh, mais non, j’ai écrit « verre à vin » (wine glass dans l’original).
mais tu ne connais pas Meredith Monk ?

lulu a écrit:

euh, mais non, j’ai écrit « verre à vin » (wine glass dans l’original).

Diantre, tu as raison, j'ai lu trop vite. Au temps pour moi.

Je ne sais pas pourquoi j'ai tout de suite vu le verre à moitié plein.

lulu a écrit:

mais tu ne connais pas Meredith Monk ?

Je ne pense pas. Ou alors j'ai croisé ça brièvement et oublié depuis, le nom sonne vaguement familier mais c'est tout.

hier dans le train :

Philippe Hurel (1955–) :
— D’un Trait pour violoncelle (2008)
— Trait pour violon (2014)
— Trait d’union pour violon et violoncelle (2013)
— Cantus pour soprano et six instruments (2006)
— Plein-jeu pour accordéon et électronique (2010)
Elise Chauvin, soprano
Alexandra Greffin-Klein, violon
Alexis Descharmes, violoncelle
Pascal Contet, accordéon
Ensemble Court-circuit (Jean Deroyer)

Octavian a écrit:

lulu a écrit:

c’est un lieu commun, mais : « tout corps sonore mis en œuvre par le compositeur est un instrument de musique. »

Ça me rappelle effectivement quelque chose...


Je n'avais pas pensé aux différences de son produites par des variations de quantité dans le verre, merci Ravelavelo.

En revanche si c'est ça, ça suppose bien que la quantité connaît elle-même des variations au cours de la performance. Ce qui ouvre à d'autres questions :

• Par quel moyen ces variations sont-elles opérées en concert ?
  
• Avec quel degré de précision ?
  
• Est-ce que la qualité du vin rentre en ligne de compte dans la qualité de l'interprétation ?  
  

Intéressant comme sujet qui mérite un approfondissement.
J'ai un exemple: Paul McCartney nous donne une magistrale leçon dans les studios Abbey Road avec des verres remplis à différents niveaux et il s'en sert comme une sorte de basse continue dans une version d'enregistrement tout à fait originale de Band on the Run.
Ça vaut le coup d'oeil de la douzième à la quatorzième minute, on le voit à l'oeuvre.


/watch?v=9elQeVfrLOo

Octavian a écrit:

lulu a écrit:

mais tu ne connais pas Meredith Monk ?

Je ne pense pas. Ou alors j'ai croisé ça brièvement et oublié depuis, le nom sonne vaguement familier mais c'est tout.

je posais la question parce que voyant tes questions tu semblais la considérer comme une compositrice « classique », ce qui n’est pas vraiment le cas.
pour le dire rapidement, plutôt une artiste vocale (célèbre) ; « une espèce de positionnement aux confins du jazz, d’une avant-garde minimalisante et de la world music », disait récemment Benedictus.

Octavian a écrit:

lulu a écrit:

mais tu ne connais pas Meredith Monk ?

le nom sonne vaguement familier mais c'est tout.

... celui d'un pianiste de vieux jazz du 20ème siècle, peut-être ?

lulu a écrit:

je posais la question parce que voyant tes questions tu semblais la considérer comme une compositrice « classique », ce qui n’est pas vraiment le cas.
pour le dire rapidement, plutôt une artiste vocale (célèbre) ; « une espèce de positionnement aux confis du jazz, d’une avant-garde minimalisante et de la world music », disait récemment Benedictus.

D'accord, je visualise un peu mieux (et un petit furetage sur Youtube aide aussi).

Alifie a écrit:

Octavian a écrit:

le nom sonne vaguement familier mais c'est tout.

... celui d'un pianiste de vieux jazz du 20ème siècle, peut-être ?

J'y ai pensé bien sûr.

Quant à ton sous-entendu, ce n'est pas parce que je considère le jazz comme une musique toujours vivante que j'ignore le passé.

Béla Bartók : Contrastes
Frederick Grinke, violon
Jack Brymer, clarinette
Wilfrid Parry, piano

Béla Bartók : Sonate pour deux pianos et percussions
Wilfrid Parry & Iris Loveridge, pianos
Gilbert Webster & Jack Lees, persussions