Vos 10 secondes préférées

Je ne crois pas que le sujet ait été abordé : parmi vos oeuvres préférées, y a t-il des extraits entre 5 et 30 secondes qui à chaque fois vous touchent plus particulièrement ?

Sans ordre :

Chopin : fantaisie op. 49 (18:58)

Spoiler:

Scriabine/Nemtin : acte préalable (presque fin de la première partie)

Spoiler:

Rachmaninov : le rocher (12:15, il y a des meilleures versions)

Spoiler:

Scriabine : sonate n°8 (3:36)

Spoiler:

Sibelius : symphonie n°4 (toute la fin)

Spoiler:

Bartok : concerto violon n°2 (3:45)

Spoiler:

Bruckner : symphonie n°5 (3:10)

Spoiler:

Il en manque bien sûr un paquet, mais ça permet de connaître plus exactement les goûts des autres…

depuis le sujet : vos œuvres préférées (2)

DerivedRelations a écrit:

Quelle bonne idée ! Mais il y en a tant. Parmi tous les moments qui me touchent (au sens large), voilà les premiers qui me sont venus à l’esprit :

Le mouvement de la basse dans cette transition banale dans le 1er acte de Parsifal me réjouit énormément.

Spoiler:

Dans la 2ème pièce de l’opus 16, ce passage hors sol me fait sentir l’air d’autres planètes 🤭 (j’adore l’instrumentation toute simple : célesta + flûtes, le basson qui hoquète puis la harpe et le violon)

Spoiler:

Ces deux mesures magiques de Vers la voûte étoilée de Koechlin

Spoiler:

Le retour de ce petit thème dans une œuvre obscure d’un compositeur quasi-inconnu

Spoiler:

Cette danse dans la Musique pour cordes, percussion et célesta m’exalte

Spoiler:

Ce moment dans le Concerto de chambre de Ligeti où l’orchestre se transforme en synthétiseur me saisit à chaque fois

Spoiler:

Songeur a écrit:

DerivedRelations a écrit:

Quelle bonne idée ! Mais il y en a tant.

Je vais sûrement ouvrir un sujet !

DerivedRelations a écrit:

Dans la 2ème pièce de l’opus 16, ce passage hors sol me fait sentir l’air d’autres planètes 🤭 (j’adore l’instrumentation toute simple : célesta + flûtes, le basson qui hoquète puis la harpe et le violon)

Spoiler:

Quelles merveilles, je serais bien incapable de dire laquelle est ma préférée parmi les cinq ! (EDIT: peut-être la 1)

DerivedRelations a écrit:

Le retour de ce petit thème dans une œuvre obscure d’un compositeur quasi-inconnu

Spoiler:

Ça ressemble à Lohengrin … c’est quel acte ?

Golisande a écrit:

Je pense que j’aurais pu citer le même passage de l’op.16 de Schönberg (au sens large, car en plus l’épisode est assez long )… Pour l’instant cette deuxième pièce est ma préférée, peut-être à égalité avec la troisième.

Très bonne idée sinon, mais un peu trop chronophage pour moi (surtout en ce moment où je ne dispose que de mon vieux petit téléphone)…
(Par ailleurs ce peut être un peu insatisfaisant d’isoler un passage comme ça, car tout de même en général on l’apprécie pleinement dans son contexte, et dans une œuvre que l’on aime il y en a beaucoup… Mais dans Parsifal, je citerais notamment les quelques mesures de l’acte III qui précèdent immédiatement le Karfreitagzauber :

Après je pense à beaucoup de passages de beaucoup d’œuvres… Trop, en fait : si je commençais je n’arriverais plus à m’arrêter… )

Messiaen : oiseaux exotiques (1:53)

Spoiler:

Je trouve l’intégralité de l’œuvre folle (et beaucoup de moments me rendent fous, même presque tous), mais ce passage en particulier .

Scriabine : sonate n°7 (6:00)

Spoiler:

Julian Scriabin : prélude op. 3 n°1 (premières mesures)

Spoiler:

Sorabji : fantaisie espagnole (premières mesures)

Spoiler:

Ces seules mesures rattrapent pour moi quasiment toute l’œuvre de Sorabji (plus de 11000 pages paraîtrait-il !)

Schoenberg : op. 19 n°2 (les 9 mesures qui le composent)

Spoiler:

Et puis le solo de violon dans Jeux de vagues aussi .

Chopin : étude op. 25 n°7 (coda)

Spoiler:

Il avait à peine 25 ans, comment cette étude est-elle sortie de sa tête ?

Vaughan Williams : symphonie n°7 (2:58)

Spoiler:

L’extrait dure plus d’une minute, et c’est ce qui m’a d’abord fait accrocher à cette symphonie.

Dutilleux : tout un monde lointain (premières mesures)

Spoiler:

Quand ce début est bien joué (Rostropovich ou Bertrand par exemple), c’est un autre monde avec plusieurs dimensions semble s’ouvrir, un effet qui ne m’a jamais lassé, et que je n’ai jamais entendu ailleurs (à part dans le début de Prométhée)…

Dutilleux : symphonie n°2 (2:57)

Spoiler:

Debussy : Pelléas et Melisande (Acte 3, scène 1, 59:03)

Spoiler:

Si j’ai encore quelques difficultés avec Pelléas, ce n’est certainement pas pour les Actes I et III …

Tiens c’est curieux, pour Pelléas j’aurais pu mettre (entre beaucoup d’autres) ce qui suit immédiatement ton extrait :

Spoiler:

(la modulation et les contrebasses dans la deuxième mesure…)

Sinon, rien que dans Pelléas il y en aurait trop… Je peux quand même citer la toute fin de l’acte II (conclusion orchestrale de la scène de la grotte) — acte II qui est d’ailleurs mon préféré avec le III tout près (le IV m’a toujours relativement résisté, il n’y a que la scène d’Yniold que j’adore vraiment…)

Les deux mesures que tu cites (à partir de expressif, qui suivent « oh, oh, Melisande ») ne me touchent pas particulièrement, alors qu’en fait les trois pages qui vont après me plaisent quasiment autant que les deux lignes dont j’ai parlé :

Spoiler:

Je pourrais aussi citer ces mesures de l’acte I (5:07) :

Spoiler:

Pour Tristan et Isolde, impossible de choisir un extrait, en voici un (Acte I, scène 3) en plus de tous les retours du leitmotive du désir et de l’accord de Tristan…

Spoiler:

Mais j’aurais aussi bien pu mettre 10 secondes du duo, de Marke, le leur mort respective, des préludes, …

Golisande a écrit:

Tiens c’est curieux, pour Pelléas j’aurais pu mettre (entre beaucoup d’autres) ce qui suit immédiatement ton extrait :

Spoiler:

(la modulation et les contrebasses dans la deuxième mesure…)

Ce qui me fait fondre, c’est d’abord le 3 pour 2 avec un changement d’orchestration, puis le passage de Do M. à ré m. en passant par sol et si b, et enfin le cheminement chromatique descendant

Songeur a écrit:

Les deux mesures que tu cites (à partir de expressif, qui suivent « oh, oh, Melisande ») ne me touchent pas particulièrement

En fait je parlais surtout de « Oh ! Tu es belle » (mais j’aime absolument tout dans cette scène, hein, avec un très léger bémol pour le début – chanson de Mélisande – et la fin à partir de « Je les noue… »)…

Citation :

Je pourrais aussi citer ces mesures de l’acte I (5:07) :

Spoiler:

… Et pour ma part, à partir de 16 :

Spoiler:

(Mais c’est un peu la limite de l’exercice, du moins à l’échelle d’une œuvre : la subjectivité est si complexe et insaisissable que ces exemples ne disent en fait pas grand chose des goûts des uns et des autres, et ça se transforme vite en partie de ping-pong un peu stérile…)

Songeur a écrit:

Golisande a écrit:

Tiens c’est curieux, pour Pelléas j’aurais pu mettre (entre beaucoup d’autres) ce qui suit immédiatement ton extrait :

Spoiler:

(la modulation et les contrebasses dans la deuxième mesure…)

Ce qui me fait fondre, c’est d’abord le 3 pour 2 avec un changement d’orchestration, puis le passage de Do M. à ré m. en passant par sol et si b, et enfin le cheminement chromatique descendant

Si nous parlons du même passage, tu veux plutôt dire mi mineur en passant par l’accord de quinte diminuée sur ré ? (mais comme en plus il n’y a pas de si bémol, je ne pense pas que ce soit ça…)

Golisande a écrit:

Songeur a écrit:

Golisande a écrit:

Tiens c’est curieux, pour Pelléas j’aurais pu mettre (entre beaucoup d’autres) ce qui suit immédiatement ton extrait :

Spoiler:

(la modulation et les contrebasses dans la deuxième mesure…)

Ce qui me fait fondre, c’est d’abord le 3 pour 2 avec un changement d’orchestration, puis le passage de Do M. à ré m. en passant par sol et si b, et enfin le cheminement chromatique descendant

Si nous parlons du même passage, tu veux plutôt dire mi mineur en passant par l’accord de quinte diminuée sur ré ? (mais comme en plus il n’y a pas de si bémol, je ne pense pas que ce soit ça…)

Spoiler:

Do majeur, puis sol majeur, puis si b mineur, puis enfin ré mineur, non ?

Citation :

En fait je parlais surtout de « Oh ! Tu es belle »

C’est bien la réplique qui suit « Oh ! Oh ! Melisande ! » …

Voilà, moi je parlais tout le temps de « Oh ! Tu es belle » (dont tu semblais aussi parler dans ton post précédent, puisque tu me citais avec l’extrait de partition correspondant), et pas de « Oh, oh, Mélisande » ni de ce qui précède…

(Ça devient compliqué là pour ceux qui liront…)

Songeur a écrit:

Debussy : Pelléas et Melisande (Acte 3, scène 1, 59:03)

Spoiler:

Je me suis arrêté juste à temps …

C’est exactement ce que je dis depuis tout à l’heure; il se trouve seulement que dans le post où tu décris la suite d’accords, tu cites immédiatement avant mon propre message concernant le passage suivant, d’où la confusion…

Golisande a écrit:

C’est exactement ce que je dis depuis tout à l’heure; il se trouve seulement que dans le post où tu décris la suite d’accords, tu cites immédiatement avant mon propre message concernant le passage suivant, d’où la confusion…

Mon iPad envoie une partie des messages avant que je les finisse depuis tout à l’heure, ça n’aide pas à la compréhension…

Strauss : 4 last songs (0:26)

Spoiler:

Strauss : Elektra (0:43, mais il y beaucoup d’autres moments)

Spoiler:

Brahms : concerto violon (5:51)

Spoiler:

Rachmaninov : concerto n°3 (pour le coup, n’importe quel extrait de 10 secondes fonctionnerait ici, mais cette cadence du deuxième mouvement ou ce tutti du premier )

Spoiler:

Schumann : Davidsbündlertänze op. 6 (4:49)

Spoiler:

Golisande a écrit:

Citation :

Je pourrais aussi citer ces mesures de l’acte I (5:07) :

Spoiler:

… Et pour ma part, à partir de 16 :

Spoiler:

(Mais c’est un peu la limite de l’exercice, du moins à l’échelle d’une œuvre : la subjectivité est si complexe et insaisissable que ces exemples ne disent en fait pas grand chose des goûts des uns et des autres, et ça se transforme vite en partie de ping-pong un peu stérile…)

Ah oui, c’est quelque chose ce crescendo  …

À l’échelle d’un opéra, le ping-pong peut en effet durer très longtemps, mais je crois cerner un peu mieux ce que tu aimes néanmoins…

DerivedRelations a écrit:

Ce moment dans le Concerto de chambre de Ligeti où l’orchestre se transforme en synthétiseur me saisit à chaque fois

Spoiler:

C’est la mesure qui suit qui me rend dingue .

Songeur a écrit:

Ah oui, c’est quelque chose ce crescendo  …

Excuse-moi mais… Quel crescendo ?

Golisande a écrit:

Songeur a écrit:

Ah oui, c’est quelque chose ce crescendo  …

Excuse-moi mais… Quel crescendo ?

Celui-là :

Spoiler:

Même s’il n’est pas forcément complètement visible à la vue de la partition, la progression dramatique que dégage ces accords .

Ah oui, mais moi c’est après que je préfère (à partir du chiffre 16 comme dit plus haut)…

Enfin bon, c’est sans fin cette histoire…

(Et t’façon je préfère le II.)

Golisande a écrit:

Ah oui, mais moi c’est après que je préfère (à partir du chiffre 16 comme dit plus haut)…

Enfin bon, c’est sans fin cette histoire…

(Et t’façon je préfère le II.)

C’est sûr que ce n’est pas très pratique (surtout avec des partitions orchestrales ) et sûrement incompréhensible à suivre cette discussion .

Mais à partir de 16, je n’entends rien de particulier par rapport à avant ou après …

C’est une caractéristique des chefs-d’œuvre : on peut aimer chaque détail  et chacun aime des détails différents (mais au bout du compte c’est l’ensemble qui importe, d’où la limite des comparaisons de versions réplique par réplique que j’ai pu faire par le passé…).

Schubert : fantaisie en fa mineur (7:52)

Spoiler:

J’ai joué le premier mouvement de cette fantaisie il y a quelques années, et c’est resté une de mes plus fortes émotions musicales.

Schubert : impromptu op. 142 n°3 (21:06)

Spoiler:

Cette montée complètement inattendue

Ce passage de Dante m’a toujours donné l’impression de voler :

Spoiler:

Songeur a écrit:

Schubert : fantaisie en fa mineur (7:52)

Spoiler:

J’ai joué le premier mouvement de cette fantaisie il y a quelques années, et c’est resté une de mes plus fortes émotions musicales.

Je l'ai jouée aussi (en entier, mais c'est en un seul mouvement, non?), mais c'est beaucoup plus le début que je citerais, le passage que tu as mis me fait un peu penser à la Soupe aux choux.

Xavier a écrit:

le passage que tu as mis me fait un peu penser à la Soupe aux choux.

Ah oui, tiens ! (Et d’ailleurs tu as remis le même extrait pour l’Impromptu…)

Quant à Après une lecture du Dante : Fantasia quasi sonata (de Liszt donc) (parce que Dante tout court, je ne suis pas si que ça parle aux non-pianistes), c’est le type même de morceau que j’ai eu plaisir à travailler à l’époque où j’aimais bien les défis pianistiques, mais je ne suis même pas sûr de l’avoir déjà écouté volontairement (et comme presque toujours chez Liszt, je préfère les passages lents et doux… )…

Golisande a écrit:

(Et d’ailleurs tu as remis le même extrait pour l’Impromptu…)

Corrigé !

Golisande a écrit:

mais je ne suis même pas sûr de l’avoir déjà écouté volontairement (et comme presque toujours chez Liszt, je préfère les passages lents et doux…

Je peux comprendre que le Liszt virtuose, et en particulier cette œuvre, soit fatiguant à la longue, mais le passage que j’ai cité est assez lent et doux, non ?

Xavier a écrit:

Songeur a écrit:

Schubert : fantaisie en fa mineur (7:52)

Spoiler:

J’ai joué le premier mouvement de cette fantaisie il y a quelques années, et c’est resté une de mes plus fortes émotions musicales.

Je l'ai jouée aussi (en entier, mais c'est en un seul mouvement, non?), mais c'est beaucoup plus le début que je citerais, le passage que tu as mis me fait un peu penser à la Soupe aux choux.

La fantaisie est divisée en plusieurs mouvements (cinq, mais ils sont enchaînés).

Je ne vois aucun défaut dans cette fantaisie, je suis peut-être un peu moins sensible au final, mais quasiment tous les extraits auraient fonctionné…

[Dante] C’est sûr que c’est loin d’être le passage le plus tonitruant , mais c’est un moment où ça recommence à s’énerver un peu (je crois que je préfère ce qui précède et qui est assez planant si je me souviens bien)…

(Ce qui est certain c’est que c’est beaucoup plus lent et doux que la reprise de ce thème en ré majeur juste avant la coda…)

(Et il manque un bémol dans la première mesure de l’extrait de l’Impromptu de Schubert, mais là ce n’est pas de ta faute. )

Golisande a écrit:

(Et il manque un bémol dans la première mesure de l’extrait de l’Impromptu de Schubert, mais là ce n’est pas de ta faute. )

C’est incroyable de laisser passer un erreur pareille (alors que je pensais cette édition plutôt fiable)…

Pour une fois que ce n’est pas moi …

Berg : Wozzeck (ce contre-ut )

Spoiler:

Liszt : Réminiscences des Huguenots (fin)

Spoiler:

Scriabine : sonate n°8 (toute l’ouverture est une pure merveille, peut-être même au-dessus de celles des 5, 7 et 10)

Spoiler:

Mendelssohn : trio n°1 (2:42)

Spoiler:

Ça fait beaucoup de piano de manière générale …

"Denn einer nur freie die Braut,
der freier als ich, der Gott!"

...suivi du thème Wälsungenliebe joué par l'orchestre...

Charlym a écrit:

"Denn einer nur freie die Braut,
der freier als ich, der Gott!"

...suivi du thème Wälsungenliebe joué par l'orchestre...

Je ne me souviens plus, c’est au troisième acte (scène trois ?), mais où exactement ?

Entre 6:40 et 6:50 dans l'Adagio du Quintette à cordes de Bruckner (version Amadéus pour le minutage) ... bon après ça ... tout devient superflu :

Golisande a écrit:

(Ce qui est certain c’est que c’est beaucoup plus lent et doux que la reprise de ce thème en ré majeur juste avant la coda…)

En fait, j’ai découvert cette oeuvre « à l’envers », et écouter ce passage lent après le passage monstrueux que tu cites est assez impressionnant.

Cololi a écrit:

Entre 6:40 et 6:50 dans l'Adagio du Quintette à cordes de Bruckner (version Amadéus pour le minutage) ... bon après ça ... tout devient superflu :

Ce quintette m’a toujours laissé un peu froid (c’est surtout l’instrumentation, parce que la musique de chambre sans piano me paraît toujours un peu distante), mais par exemple à 3:19 …

Songeur a écrit:

Charlym a écrit:

"Denn einer nur freie die Braut,
der freier als ich, der Gott!"

...suivi du thème Wälsungenliebe joué par l'orchestre...

Je ne me souviens plus, c’est au troisième acte (scène trois ?), mais où exactement ?

https://youtu.be/MXSTNZ6yKbc?si=lyzNUC8R9HPprKHq&t=12160

Bon en vrai ça fait plus de 10 secondes, il faut au moins écouter jusqu'à 3:24:20 sur la vidéo.

Songeur a écrit:

Charlym a écrit:

"Denn einer nur freie die Braut,
der freier als ich, der Gott!"

...suivi du thème Wälsungenliebe joué par l'orchestre...

Je ne me souviens plus, c’est au troisième acte (scène trois ?), mais où exactement ?

C’est au milieu du dernier grand monologue de Brünnhilde (Immolation de son petit nom), moins de dix minutes avant la fin.

Non, pendant les adieux de Wotan dans Walküre

Songeur a écrit:

Cololi a écrit:

Entre 6:40 et 6:50 dans l'Adagio du Quintette à cordes de Bruckner (version Amadéus pour le minutage) ... bon après ça ... tout devient superflu :

Ce quintette m’a toujours laissé un peu froid (c’est surtout l’instrumentation, parce que la musique de chambre sans piano me paraît toujours un peu distante), mais par exemple à 3:19 …

La musique de chambre sans piano ? T'as pas l'impression de taper sur le quatuor à cordes ? C'est juste le plus génial répertoire

Pour le reste ce n'est pas mon passage préféré.
Un autre passage qui me fait voir un autre monde c'est à 4:34 (version Amadeus) (puisqu'il faut sélectionner 10 sec).

Charlym a écrit:

Songeur a écrit:

Charlym a écrit:

"Denn einer nur freie die Braut,
der freier als ich, der Gott!"

...suivi du thème Wälsungenliebe joué par l'orchestre...

Je ne me souviens plus, c’est au troisième acte (scène trois ?), mais où exactement ?

https://youtu.be/MXSTNZ6yKbc?si=lyzNUC8R9HPprKHq&t=12160

Mais qu’est-ce qui te prend de lui balancer Nilsson dans la figure ?

En l'occurrence on entend surtout London ici

Citation :

Mais qu’est-ce qui te prend de lui balancer Nilsson dans la figure ?

C’est la version que j’écoute tout le temps .

Cololi a écrit:

La musique de chambre sans piano ? T'as pas l'impression de taper sur le quatuor à cordes ? C'est juste le plus génial répertoire

C’est en effet l’un des meilleurs répertoires, mais c’est une sonorité avec laquelle j’ai du mal, et que seul peut-être Chostakovitch arrive à me faire oublier (et Ravel bien sûr !).

Oui, le meilleur répertoire...après la symphonie, l'opera, le clavier et le piano, la musique concertante, le lied...

Songeur a écrit:

Citation :

Mais qu’est-ce qui te prend de lui balancer Nilsson dans la figure ?

C’est la version que j’écoute tout le temps .

Eh bien tu devrais peut-être en essayer une autre…

Golisande a écrit:

Songeur a écrit:

Citation :

Mais qu’est-ce qui te prend de lui balancer Nilsson dans la figure ?

C’est la version que j’écoute tout le temps .

Eh bien tu devrais peut-être en essayer une autre…

...pour te rendre compte que tout pris en compte, tu écoutais dès le début la meilleure version

Songeur a écrit:

Cololi a écrit:

La musique de chambre sans piano ? T'as pas l'impression de taper sur le quatuor à cordes ? C'est juste le plus génial répertoire

C’est en effet l’un des meilleurs répertoires, mais c’est une sonorité avec laquelle j’ai du mal, et que seul peut-être Chostakovitch arrive à me faire oublier (et Ravel bien sûr !).

Il faudra changer ça


Les Vêpres de Monteverdi ... le passage que je trouve le plus hallucinant à partir de 0:48 (et les 15 secondes suivantes) :

Charlym a écrit:

En l'occurrence on entend surtout London ici

Merde, j’ai confondu… [edit : avec « Ruhe, Ruhe du Gott » à la fin de Götterdämmerung (je précise que je ne suis pas du tout germaniste…) ]

Donc c’est Die Walküre (mais il y a mieux que London…).

(oui...Hotter)