Maria Callas

(parce que nous sommes de droite ?)

Ah on vous a dit : "impia razzaaaaaaaa anathemaaaaa su voiIIIIIIIII, la vendetta del cielo scenderà, ANATHEMA SU VOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!" ??

Elvira a écrit:

Ah on vous a dit : "impia razzaaaaaaaa anathemaaaaa su voiIIIIIIIII, la vendetta del cielo scenderà, ANATHEMA SU VOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!" ??

Je crois qu'une certaine Abi nous a déjà dit des choses de ce genre.

adriaticoboy a écrit:

Mais non, c'est une punition divine... qui te visait toi particulièrement... Le problème, c'est que j'ai été sanctionné aussi, allez savoir pourquoi...

Moi aussi, Je l'ai acheté au prix fort ! La semaine de sa sortie… le pire, c'est que j'avais déjà l'essentiel mais je voulais le beau coffret, caprice, caprice…

DavidLeMarrec a écrit:

Elvira a écrit:

Ah on vous a dit : "impia razzaaaaaaaa anathemaaaaa su voiIIIIIIIII, la vendetta del cielo scenderà, ANATHEMA SU VOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!" ??

Je crois qu'une certaine Abi nous a déjà dit des choses de ce genre.

C'était plus exactement Oh Iniquiiii tuttiiiiiiii e più folli ancoooooooor !!!Su tuttiIIIIIIIIIIIIII IL MIO FUROOOOOOOOOOOOOOOOOOOORE piombar vedretEEEEEEE !

Et bien, sûr, heu, chanté par Maria Callas.

Par rapport au coffret Callas 70 Cd vendue sur amazon à 30 euros, c'est du neuf ou de l'occasion ?
Si c'est du neuf, comment ca se fait ? il est à 100 euros dans les magasins ...

en regardant de plus preès , il s'agit bien d'un coffret neuf .

28 euros sur Amazon, donc au moins ne pas l'acheter chez les voleurs (mieux, ne pas l'acheter du tout)

en regardant de plus pres , il s'agit bien d'un coffet neuf

Papageno a écrit:

Par rapport au coffret Callas 70 Cd vendue sur amazon à 30 euros, c'est du neuf ou de l'occasion ?
Si c'est du neuf, comment ca se fait ? il est à 100 euros dans les magasins ...

Ben faut pas aller à la Fnac.

le truc c'est pas contre la Fnac, mais tous les magasins ne font pas ce prix... je ne comprendspas trople prix d'amazon, il doit y avoir un probleme ...

Ben prive-toi si tu veux... Personnellement ce n'est pas la première fois que je remarque ce genre de différences.
Le coffret Callas c'est un gros truc qui peut faire cadeau de noël, ils le mettront jamais à 30 euros en magasin.

je me suis pas privé

La fnac a d'ailleurs fait la meme offre mais exeptionellment sur internet, en magasin le coffret reste à 110 euros ...

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

Déjà, évite Il Pirata de Bellini, le son est vraiment pourri (et l'opéra pas franchement transcendant).

Guillaume a écrit:

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

T'as pas déjà le méga-coffret ultime avec tout dedans?

Guillaume a écrit:

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

Toutes les traviatas
MacBeth, bien sûr (malgré le son)
Norma, épatante en 1955 avec Del Monaco / Stignani / Serafin
La même année avec Simionato / del MOnaco / Votto

J'ai retrouvé ça :

http://musique.fnac.com/a2200563/Spontini-7-Complete-Operas-Live-1954-1964-CD-album?PID=2&Mn=-1&Ra=-29&To=0&Nu=125&Fr=0

La vestale
Andrea Chénier
Tosca
La sommnanbula
Poliuto
Norma
Lucia di Lamermoor

ca vaut le coup pour les 3 rôles inconnus ?

Xavier a écrit:

Guillaume a écrit:

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

T'as pas déjà le méga-coffret ultime avec tout dedans?

Il s'agit d'un coffret studio où il n'y a que 26 enregistrements ! Callas en a enregistré 83 !

Et Parsifal c'est bien ?

Mouais, Poliuto, ce n'est pas très palpitant non plus.

Mariefran a écrit:

Guillaume a écrit:

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

Toutes les traviatas
MacBeth, bien sûr (malgré le son)
Norma, épatante en 1955 avec Del Monaco / Stignani / Serafin
La même année avec Simionato / del MOnaco / Votto

Merci.

Guillaume a écrit:

Et Parsifal c'est bien ? [/quote]

C'est drôle…

Xavier a écrit:

Guillaume a écrit:

J'aurais besoin de savoir quels sont les live de Maria Callas que vous me conseillez...
Mes critères :
-son
-avant 1959 de préférence
-pas trop cher
Et si possible avec une illustration de la pochette (je suis embétant hein ?)

En effet, certains roles n'ont jamais été enregistrés en studio.

Merci.

T'as pas déjà le méga-coffret ultime avec tout dedans?

Le gros coffret EMI, ce ne sont que les enregistrements studio.

Guillaume a écrit:

Et Parsifal c'est bien ?

C'est curieux. Callas semble paralysée, elle débite son texte italien d'un air indifférent avec son timbre qui en devient affreux.

Morloch a écrit:

Guillaume a écrit:

Et Parsifal c'est bien ?

C'est curieux. Callas semble paralysée, elle débite son texte italien d'un air indifférent avec son timbre qui en devient affreux.

Oula.

J'ai Tosca 1952 à Mexico (di Stefano, Guido Picco)
Un Ballo (di Stefano, Simionato, Gavazzeni) Scala 1957
Aida (Del Monaco, Taddei, Fabritiis), Mexico 1951
Les Vêpres dirigées par Erich Kleiber à Florence en 1951
Andrea Chenier dirigé par Votto avec del Monaco, Milan 1955
toutes les Traviatas, je pense
Lucia avec Karajan, di Stefano, Panerai à Berlin en 1955

Les lives avec Bernstein (Medea 1953, Somnambule 1955) sont aussi absolument à connaître. Difficile de faire plus électrisant. Le son n'est pas au top mais c'est tout à fait écoutable.

Trés tentant tout ça.

C'est un live libre de droit. Il vaut surtout pour la jeune Callas en pleine possession de ses moyens qui sera meilleure toutefois plus tard sur le plan dramatique et la magnifique Adalgisa de Simionato. La qualité sonore est plutôt médiocre par contre. C'est un live de Mexico de 1950 sous la direction de Guido Picco.

Et Anna Bolena c'est bien comme opéra ?

Guillaume a écrit:

Et Anna Bolena c'est bien comme opéra ?

Cela fait parti des grands opéras de Donizetti. Je ne connais Callas que dans la scène de folie d'Anna Bolena, elle y est magnifique. Je pense que la confrontation avec Simionato doit être passionante.

Gencer powaa.

aurele a écrit:

Guillaume a écrit:

Et Anna Bolena c'est bien comme opéra ?

Cela fait parti des grands opéras de Donizetti. Je ne connais Callas que dans la scène de folie d'Anna Bolena, elle y est magnifique. Je pense que la confrontation avec Simionato doit être passionante.

Donc c'est à écouter. Il existe un live de 1957, non ?

Il existe effectivement un live de La Scala de 1957 qui a été publié par EMI notamment, Opera d'Oro et a été réédité par Myto.

Citation :

Bon, je peux peut-être faire une suggestion transversale de la part de quelqu'un qui n'aime pas démesurément Callas lorsque l'expression est outrée, mais qui admire ses talents lorsqu'elle trouve la juste mesure.
C'est pourquoi je recommanderais :
- Carmen avec Prêtre, merveilleusement entourée. C'est une vision d'une Carmen très provocante, moins femme que d'autres, mais d'une force magnétique hors du commun.
- Turandot avec Serafin, de même, pour son charisme exceptionnel. Enfin une chanteuse qui peut soutenir la tessiture sans escamoter les consonnes ! A la fois terrifiante et attachante, une gageure dans ce rôle.
- Nabucco avec Gui, pour les mêmes raisons : elle peut assumer avec arrogance le rôle, et c'est ce qu'il faut ici.
- Trovatore avec Karajan, avec de vraies trouvailles dans la psychologie du rôle, et un très bel entourage.
- Un Ballo in Maschera avec Serafin. Tessiture meurtrière qu'elle assume avec vigueur, et splendides moments cantabile. On peut trouver Amelia un peu imposante, peut-être, pour quelqu'un qui doute, mais splendide résultat. Il existe bien d'autres versions plus nuancées qu'on peut préférer (et le moment le plus audacieux de l'oeuvre, à la fin du trio du II, est coupé) ; cela dit, grande version.
- Sonnambula en effet (voir ci-dessus).

Et je finis par Puritani/Serafin, son plus beau disque pour moi (devant Carmen). Dirigé avec poésie, beaux partenaires, mais ce cantabile intense, cette folie mélancoliquement incandescente, ici encore très appuyée, mais comme ces grandes lignes et ce sujet s'y prêtent bien !
O rendetemi la speme m'habite toujours sans l'écouter...

Retrouvé ce message de David. J'ai à peu prés tout dans sa liste.

Guillaume a écrit:

Et Anna Bolena c'est bien comme opéra ?

C'est nul.

C'est clair, ou je dois en remettre une couche ?

Alors, pour les prises sur le vif. Je ne peux pas tout faire, mais en voici toujours quelques-uns à prendre :

49, Abigaille avec Gui. Indispensable, la grande incarnation du rôle. Attention aux éditions, le son va de correct à horrible.
57, Sonnambula avec Votto. Peut-être son plus beau disque. Extatique, éloquent.
51, Bonne Traviata avec Taddei.
58 Medea Rescigno. Un bon environnement (meilleur qu'avec Bernstein), une bonne forme. L'oeuvre, sous cette forme, est très secondaire.
55 La Lucia avec Karajan est intéressante.
60 Poliuto, c'est plutôt du bon Donizetti.
55 Je n'aime pas la Traviata avec Giulini (tout est si lourd, chez elle comme chez les autres), mais si tu aimes Callas, c'est quand même son enregistrement le plus légendaire. Moi je recommande plutôt Santini et, plus objectivement, Ghione.

... et à éviter :

50, Trovatore. Le son est horrible et l'environnement pas fameux (surtout le ténor).
50, Parsifal Gui. Excellent enregistrement hélas coupé. Mais Callas y est totalement ailleurs, elle n'interprète rien, c'est absolument sans intérêt vu qu'elle ne comprend pas ce qu'elle fait...
50-51, Aida. Je n'aime pas ce concours de glottes, mais on peut trouver ça plaisant.
De même, je ne l'aime pas dans Norma par goût personnel.
51, Vespri Siciliani. Mauvais son, hors style et en italien.


Pour la Vestale et Alceste, tout dépend de la tolérance de chacun au n'importe quoi.

Citation :

49, Abigaille avec Gui. Indispensable, la grande incarnation du rôle. Attention aux éditions, le son va de correct à horrible.

J'ai ça :




Pas encore bien écouté. Le son est correct, horrible ?

C'est normal qu'on entende le souffleur au début Ghione 58 ? Il se calme aprés ?

Quel éditeur ? Ce n'est pas mon édition (la mienne est bien sûr dans la catégorie infâme ).

Pour le souffleur de Ghione, ça doit dépendre des éditions aussi, parce que dans l'ancienne EMI et la nouvelle 'remasterisation', je ne le trouve pas particulièrement envahissant. Après, dans les théâtres italiens de ces années, et même allemands, tu auras du mal à y échapper.

Il va falloir que je me décide à écouter ce nabucco de 49...

DavidLeMarrec a écrit:

Quel éditeur ? Ce n'est pas mon édition (la mienne est bien sûr dans la catégorie infâme ).

Pour le souffleur de Ghione, ça doit dépendre des éditions aussi, parce que dans l'ancienne EMI et la nouvelle 'remasterisation', je ne le trouve pas particulièrement envahissant. Après, dans les théâtres italiens de ces années, et même allemands, tu auras du mal à y échapper.

L'éditeur est Membran Music. L'édition est de 2005.

Quand au Ghione c'est une remasterisation de 1997 et la boite est noire.

Ce sont les bonnes éditions ?

Ca va le souffleur s'est calmé. On l'entend surtout pendant la fète du Ier acte en réalité.

C'est normal que le Largo al Quadrupede soit si peu bruyant ? Il est en arrière plan, non ? Le pire c'est qu'Annina arrive ensuite et fait 3X plus de bruit que tout le choeur.

Un trés bon enregistrement, en tous cas. J'en ferais une critique détaillée demain. Et puis Kraus quand même !

Quelques mots sur ça :


Ghione, 1958, Callas, Kraus, Sereni

Tout d'abord un petit rappel : nous sommes en 1958 et pour la Callas, l'Opéra c'est bientôt fini, hélas, trois fois hélas ! Onassis lui tend les bras sur son yacht paradisiaque, et sa voix décline, depuis son spectaculaire amaigrissement entre 53' et 54', dangereux pour son soutien vocal. C'est sa dernière grande année, aprés les apparitions se feront de plus en plus rares, et la Callas se retirera de la scène en 1965.

Sur Callas, elle est assez superbe. Par rapport à Santini à 53 la voix à perdu en épaisseur, l'aigu y est moins sur, le dernier aigu du "Sempre libera" est légèrement strident par ex. . A coté, cependant, elle approfondit son personnage et perfectionne son incarnation.
On sent qu'elle entre dans des temps durs, mais c'est remarquable à l'oreille !

Alfredo Kraus, porte trés bien son nom, c'est un Alfredo sublime, à la voix magnifique et généreuse. J'attends d'entendre Di Stefano pour comparer, mais face à Albanese, il n'y a absolument pas matière à comparaison ! C'est le point fort de cet enregistrement, et un partenaire inédit pour Callas.

Mario Sereni est un trés beau Germont, incisif et en même temps trés paternel. Les seconds rôles sont bons, avec notamment Piero de Palma en Gastone.

L'orchestre est précis, vif, et emporte la partition de façon assez volcanique. Ghione adopte parfois des tempi de fous, à la fin par exemple. Il évite ainsi des lourdeurs, et dirige l'orchestre de Lisbonne, orchestre assez secondaire, de main de maître !

Le son est assez bon pour un live. Bien sur, il y a du grain, les bruits au fond de la salle, et les lourdeurs et imprécisitions habituelles mais c'est tellement énorme musicalement et dramatiquement !
Seul point négatif, le souffleur, assez omniprésent dans le Ier acte.

Si il ne vous faut qu'un seul témoignage de la Violetta callassienne, c'est celui là !

Oeuvre : 9,5/10
Son : 7/10
Interprétation : 10/10
Maria Callas : 10/10

Note : 90 %
Lapin d'Or

Il existe 2 versions Giulini : 55 et 56. Différences entre les deux (d'aprés l'ASO) : son supérieur en 56, Gianni Raimondi à la place de Giuseppe di Stefano.

Vous me conseillez laquelle ? On les trouve où chacune ? (si il reste des callassophiles, parce que aprés la catastrophe du sondage... )

Guillaume a écrit:

Tout d'abord un petit rappel : nous sommes en 1958 et pour la Callas, l'Opéra c'est bientôt fini, hélas, trois fois hélas ! Onassis lui tend les bras sur son yacht paradisiaque, et sa voix décline, depuis son spectaculaire amaigrissement entre 53' et 54', dangereux pour son soutien vocal. C'est sa dernière grande année, aprés les apparitions se feront de plus en plus rares, et la Callas se retirera de la scène en 1965.

Joli compte-rendu pathétique, tu as du talent pour raconter, ça ferait une bonne introduction pour une émission de radio.

Citation :

Alfredo Kraus, porte trés bien son nom, c'est un Alfredo sublime, à la voix magnifique et généreuse. J'attends d'entendre Di Stefano pour comparer, mais face à Albanese, il n'y a absolument pas matière à comparaison ! C'est le point fort de cet enregistrement, et un partenaire inédit pour Callas.

Moi j'aime beaucoup Albanese, mais Kraus dans son meilleur rôle et dans ses meilleures années, c'est sûr que ça tue.

Citation :

Mario Sereni est un trés beau Germont, incisif et en même temps trés paternel. Les seconds rôles sont bons, avec notamment Piero de Palma en Gastone.

Allons plus loin : c'est avec Zancanaro le meilleur Germont de la discographie. Pour être tout à fait honnête, c'est pour lui que je me suis procuré l'enregistrement... Mais tout le monde est excellent (même si Callas en fait des semi-remorques).

Citation :

L'orchestre est précis, vif, et emporte la partition de façon assez volcanique. Ghione adopte parfois des tempi de fous, à la fin par exemple. Il évite ainsi des lourdeurs, et dirige l'orchestre de Lisbonne, orchestre assez secondaire, de main de maître !

Oui, c'est très bien, l'orchestre est quand même de qualité si on compare aux mauvais orchestres des Italiens et il nous reste assez peu de témoignages de ce chef, étonnamment.


Pour la Scala, personnellement, je foncerais sur le trop rare Gianni Raimondi, mais la production légendaire, c'est celle de la création de 55 avec Di Stefano. Donc je te recommanderais de toute façon, en aficionado, d'écouter celle-là à un moment donné.

Donc, les deux en fait.

Dites, les gens, ca vaut quoi Lucia comme opéra ? J'ai deux studios, je prends lequel ?

C'est très beau comme opéra (pas particulièrement fan) mais ça mérite néanmoins une écoute. Le meilleur Donizetti.

Non, pas le meilleur, il y a quand même l'Elixir, la Favorite et les Martyrs qui valent mieux. Lucia est le dernier du lot à être vraiment bon.

Ah personellement, je place Lucia en premier, talonné de près par l'elisir.

La Favorita, j'aime moyennement, mais vu la version, cela se comprend...

Elvira a écrit:

Ah personellement, je place Lucia en premier, talonné de près par l'elisir.

La Favorita, j'aime moyennement, mais vu la version, cela se comprend...

La Favorite est un opéra français, il faut l'écouter en français. Viotti de préférence. En italien, c'est plat.

Oui, c'était en italien. Mais ce n'était même pas ça le problème : les chanteurs. Grands dieux, quelle horreur.