Etudes musicales

Disons que ça fait toujours bien sur un CV. Très reconnu à l'étranger je crois. Le diplôme type CNSM est le seul à valeur européenne, d'après mes souvenirs.



Je pense faire un DNSPM dès que j'aurai obtenu des prix (au fait je ne vous ai pas dit, j'ai eu deux médailles de vermeil en piano et en saxophone c'est à dire deuxième prix, avec moult encouragements en piano, je suis content), quelqu'un a des infos précises sur cette filière ?

Era a écrit:

au fait je ne vous ai pas dit, j'ai eu deux médailles de vermeil en piano et en saxophone

Bravo !

Quid du clavecin ?

C'est toujours pour moi que je bosse le continuo, je n'ai pas passé d'examen cette année, j'aurai le temps plus tard

Il y a un sujet à l'agreg cette année qui permet de réviser une bonne partie de l'histoire de la musique :

Révolutions et musique

De l’Ars nova au XXIe siècle, la contestation d’un ordre ancien se décline en musique de diverses manières. Selon les lieux et les époques, il existe tout une gamme de « révolutions » pouvant aller de la transformation douce au changement radical, ou de la sortie progressive d’une tradition à une véritable rupture de langage. L'étude de ces ruptures et de ces transformations sera conduite en référence à l'histoire des arts, des idées, et des sociétés.

Je vais m'en servir pour y réfléchir et me faire un petit check up , ça me fera le plus grand bien ! Et puis, pourquoi pas si je le sens bien , tenter l'expérience ? Bon, ça je n'en suis pas encore là !!!!
Mais si quelqu'un a des infos, des aides, etc je suis preneur !

Ça y est, j'ai acheté Le Déliateur et me suis décidé à travailler sérieusement ma technique au moins une demi-heure par jour...

Mais mon Dieu, qu'est ce que c'est chiant, je sais pas si je vais tenir.

Orfeo a écrit:

Il y a un sujet à l'agreg cette année qui permet de réviser une bonne partie de l'histoire de la musique :

Révolutions et musique

Certes, le livre ne traite que de la musique du XXème siècle, mais le sujet y est largement débattu, avec une pluralité de points de vue précieuse :

Wolferl a écrit:

Ça y est, j'ai acheté Le Déliateur et me suis décidé à travailler sérieusement ma technique au moins une demi-heure par jour...

Mais mon Dieu, qu'est ce que c'est chiant, je sais pas si je vais tenir.

C'est ça qui différencie les vrais pros (des semi-psychotiques) de l'honnête homme éclairé que tu es.

Ah, moi je t'aurais conseillé de prendre le "Daily technical studies for piano" d'Oscar Beringer, c'est je pense ce qu'il y a de plus complet. Le principe est qu'il donne une séries d'intervalles puis ça module dans tous les tons, dans 421 exercices, proprement exhaustif pour la technique pianistique.

Après, je suis quasiment névrosé dans une quête de perfection du 1er exercice (dans cet exercice, les 5 doigts de chaque main sont très serrés et ça joue vachement sur les touches noires, en progressant sur tous les tons, avec ça tu as des doigts tous terrains), mais le Hanon, lui, est carrément aliénant.
J'ai le déliateur aussi, mais il ne m'a paru si bien foutu. J'ai juste lu les petites phrases des "grands pianistes" çà et là...

Wolferl a écrit:

Ça y est, j'ai acheté Le Déliateur et me suis décidé à travailler sérieusement ma technique au moins une demi-heure par jour...

Mais mon Dieu, qu'est ce que c'est chiant, je sais pas si je vais tenir.

Mais tellement formateur !


Toute mon enfance

DavidLeMarrec a écrit:

les vrais pros (des semi-psychotiques)

Wolfgang a écrit:

je suis quasiment névrosé dans une quête de perfection du 1er exercice

Psychose ou névrose, l'éternelle question.

La névrose, c'est moi grave que la psychose.

T'manière, le Beringer, ça peut être naturel. Ca a été créé pour névroser les pianistes.
Le Hanon, c'est encore plus répétitif. L'objectif, là, c'est l'hôpital!

Oui, j'ai fréquenté gentiment le Hanon pendant quelques années, le terme d'"aliénation" n'est effectivement pas trop fort. C'est juste dommage qu'il s'agisse de musique...

Vous voulez vraiment dire que ça vous amuse de jouer au hamster dans sa roue ?

DavidLeMarrec a écrit:

Vous voulez vraiment dire que ça vous amuse de jouer au hamster dans sa roue ?

On peut faire des exercices sans se tranformer en une machine... Mais on peut aussi le faire comme tu le dis (quand je le fais, je lis un livre en même temps donc ce n'est pas vraiment du jeu ).

Wolfgang a écrit:

Mais on peut aussi le faire comme tu le dis (quand je le fais, je lis un livre en même temps donc ce n'est pas vraiment du jeu ).

Ca veut donc dire que c'est de la pure mécanique, ton esprit est ailleurs...

Je n'ai jamais pu travailler ma technique pour ma part, ça me saoulait au bout de cinq minutes.

Oui, absolument, c'est juste de la gymnastique.
Je travaille la technique et les exercices, parce que voulant devenir compositeur, j'ai pensé que le matériel brut des exercices me permettrait d'être capable de "tout faire" et d'avoir un vocabulaire plus riche au niveau des doigts, des combinaisons (par exemple au niveau des arpèges, il peut y avoir plein de manière de les tourner). Mais je n'ai pas beaucoup bossé le hanon, parce que justement c'est pas très varié et il n'y a pas beaucoup de "matériel" réutilisable ensuite.

Mais des pianistes d'exceptions comme Martha Argerich ou encore Xavier ont toujours affirmé n'avoir jamais fait d'exercices, donc bon voilà quoi.

ça m'amuse beaucoup de faire des exercices à la flûte (mon entourage beaucoup moins). Détaché, liées par deux, par trois etc, en TK.

Wolfgang a écrit:

Mais des pianistes d'exceptions comme Martha Argerich ou encore Xavier ont toujours affirmé n'avoir jamais fait d'exercices, donc bon voilà quoi.

J'aimerais bien avoir la technique de Martha Argerich.

Frère Elustaphe a écrit:

ça m'amuse beaucoup de faire des exercices à la flûte (mon entourage beaucoup moins). Détaché, liées par deux, par trois etc, en TK.

Ah, c'est bien que ça t'amuse, tu me dis comment tu fais ?
Parce que moi j'en ai besoin au saxophone, mais j'ai toujours eu une flemme phénoménale

DavidLeMarrec a écrit:

Vous voulez vraiment dire que ça vous amuse de jouer au hamster dans sa roue ?

Honnêtement, je trouve qu'à partir d'un certain nombre de minutes, lorsqu'on est bien échauffé, que les veines virilisantes ressortent fièrement sur tout l'avant-bras, oui, c'est assez jouissif ce genre d'exercices purement technique, j'y trouve sincèrement un plaisir:en variant les formules, en augmentant le tempo, en revenant soudain à un tempo lent, en variant les touchés, les nuances, etc...



Duchâble, sors de ce corps !

Wolfgang a écrit:

Wolferl a écrit:

Sans vouloir t'alarmer, passer de médecine à musico, ça relève presque de la psychose.

Tsss... Au lieu d'être le plus grand médecin, je serais le plus grand compositeur.

Il y a combien de vrais compositeurs qui ont fait musico?...

Xavier, si, ça existe.

A présent que Wolfgang est inscrit, ça ne sert à rien de l'en dégoûter. Mais ne sois pas étonné tout de même si ça ne te paraît pas vertigineux. N'hésite pas à aller voir ailleurs si nécessaire.

Le gros problème de la musico, indépendamment des contenus, ce sont les débouchés : prof en collège urbain ou prof en collège rural. Ca ne sert à rien pour postuler dans le privé ou pour passer des concours du public, malheureusement.

Après ça, ça te fera une vie sociale tandis que tu travailleras de façon plus sérieuse à côté pour ton projet.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier, si, ça existe.

On me dit jamais rien à moi...

A la base, je vais en musicologie comme pour me servir d'un tremplin pour pouvoir réussir les concours du conservatoire à Paris, parce qu'effectivement ça m'a paru léger niveau débouché et perspectives. Pour moi, c'est très clair.

Par contre, il y a des cours qui vont vivement m'intéresser, sur la dramaturgie, sur l'opéra par exemple. Et puis il fallait bien (re)commencer ces études quelque part.

Sur les tragédies lyriques

Wolfgang a écrit:

A la base, je vais en musicologie comme pour me servir d'un tremplin pour pouvoir réussir les concours du conservatoire à Paris, parce qu'effectivement ça m'a paru léger niveau débouché et perspectives.

Tu veux rentrer en quelle discipline au CNSM?

Honnêtement, je ne vois vraiment pas en quoi la musico va t'aider pour ça... (en plus c'est pas fait pour)

A mon avis il serait plus judicieux de travailler ta discipline ou ton instrument avec un prof (en conservatoire ou pas) et point barre... Là tu vas voir plein de choses mais en fait aucune, et tu ne vas pas forcément avancer là où tu le désires... Et ça ne te préparera aucunement aux épreuves du CNSM.

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier, si, ça existe.

On me dit jamais rien à moi...

Enfin, je pensais à des profs de musico, je présume qu'ils ont eux-mêmes fait le cursus.

Mais bien sûr qu'il y en a, simplement ce n'est pas ça qui est déterminant sur leur CV, donc on te marquera leurs prix et pas leur licence de musico...
(Et pour avoir discuté avec des élèves de licence de musico qui ne connaissaient de Ravel que l'extrait de Gaspard passé en cours, bon...)

La musico, j'ai toujours pensé que c'était un truc pour rassurer les parents lorsque le fils veut faire musicien : il fait des études, il vit pas comme un sauvage.
Non, et puis le CAPES de musique, bien sûr.

--

Wolfgang, quand tu dis tremplin, j'espère que tu parles de temps libre, parce que techniquement, le niveau en musicologie, si j'en juge par la fac de Bordeaux (c'est peut-être vertigineusement mieux en Sorbonne - ça a l'air d'être mieux vu les modules proposés, mais je doute que ce soit tout à fait profondissime vu ce que j'en sais...), est très loin de ce qu'on peut attendre, même dans un CNR.

Après, si c'est pour avoir les mains libres pendant que tu prépares les concours, oui, c'est un plan raisonnable. [Si tant est qu'une carrière artistique soit un truc raisonnable, mais c'est une autre histoire. ]

Citation :

(c'est peut-être vertigineusement mieux en Sorbonne

J'y ai gouté, et j'en ai régulièrement des échos : c'est quand même pas folichon.

Oui, ben comme je ne sais pas encore trop à quel niveau ça va me mener, j'ai convenu de juger une fois que j'y serais si j'aurais besoin de cours ou non parallèlement, et je pense que je le saurais rapidement. En tout cas je ferais ce qu'il y a à faire pour atteindre mon objectif.

Dans ce cas, on peut te le dire tout de suite : tu auras besoin d'autre chose à côté.
1) Ce ne sont pas les mêmes épreuves. (Beaucoup de connaissances livresques plus ou moins approfondies en musico, contre la rigueur de la pratique dans les conservatoires, et à plus forte raison au CNSM.)
2) Le niveau n'est pas très élevé, Jérôme le confirme donc...

Bon... là je ne suis toujours pas véritablement inscrit, puisqu'ils ont validé mon inscription pédagogique, mais ils ne m'ont toujours pas envoyé les papiers de l'inscription administrative.

Je devrais prendre des cours où alors? Particuliers? Etablissement? (en écriture par exemple)

D'ailleurs comment devient-on compositeur de nos jours ? (et comment on peut en vivre !) C'est une question intéressante.
Quelle activité annexe est le plus susceptible de laisser le temps de se consacrer à l'écriture : enseignement, carrière de soliste ou au sein d'un ensemble orchestral, direction d'orchestre ?

Ecoute, c'est vraiment lourd (de responsabilité) de te donner des conseils aussi importants sur un forum, à une heure du matin. Ce qu'on te dit n'est jamais que l'avis que nous avons en général, nous ne connaissons pas ton cas particulier.

Si tu me demandes mon avis :
- Musico ne sert pas à grand'chose, sauf à passer le temps en attendant de faire autre chose (ou bien le CAPES de musique si tu es prêt à enseigner en collège) : compétences peu poussées, valeur inexistante dans le monde du travail.
- Solution 1 : Tu ne fais rien d'autre que préparer tes concours. Mais gare à la désocialisation ! (Et puis ça dépend aussi de la réaction de tes parents, que nous ne connaissons pas ici.)
- Solution 2 : Tu fais un cursus plus instructif et potentiellement utile comme plan B (pas sciences du langage si possible, c'est passionnant mais il n'y a à peu près aucun débouché), si possible pas trop prenant. La difficulté, c'est qu'il y aura forcément un minimum de travail à fournir. Là, on peut faire la liste ensemble, mais ça va vite être réduit : pour un travail limité, il vaut mieux les sciences humaines, on peut mieux moduler sa quantité de travail, et il y a peu de filières avec des débouchés sûrs (histoire et lettres en gros, sachant qu'histoire demande quand même pas mal de boulot).
- Solution 3 : Tu fais musico, ça ne t'apprendra pas forcément beaucoup, mais ça te laisse une vie sociale et beaucoup de temps pour travailler tes concours (amplement assez sans doute).

Dans tous les cas, des cours particuliers ou du moins un travail personnel ordonné et soutenu seront indispensables à ton projet, bien sûr.

WoO a écrit:

D'ailleurs comment devient-on compositeur de nos jours ? (et comment on peut en vivre !) C'est une question intéressante.

C'est la vraie question, mais j'ose à peine la poser, parce que si on la pose, comme pour à peu près toutes les carrières artistiques, on laisse tomber...
Pour faire compositeur, il faut avoir des relations, en ayant prouvé sa qualité dans le cadre du circuit. Ca suppose donc de passer par les bons endroits (le CNSM, c'est une excellente idée), et puis de saisir les bonnes opportunités, de savoir ouvrir les portes.
(Et de se faire un site Internet, n'est-ce pas Xavier. )

Citation :

Quelle activité annexe est le plus suceptible de laisser le temps de se consacrer à l'écriture : enseignement, carrière de soliste ou au sein d'un orchestre, etc. ?

C'est peut-être bien la bonne question, mais je la retournerais : quelle activité principale est la plus susceptible de laisser le temps, un jour, de laisser s'épanouir l'activité compositionnelle à un niveau professionnel, pour éventuellement la remplacer...

DavidLeMarrec a écrit:

Dans tous les cas, des cours particuliers ou du moins un travail personnel ordonné et soutenu seront indispensables à ton projet, bien sûr.

C'est peut-être aussi l'occasion d'élargir sa culture générale et de découvrir plus en profondeur l'histoire de la musique. Ce n'est pas inintéressant non plus. Ce n'est pas parce qu'on suit une filière qu'on doit se limiter au minimum syndical qui y est enseigné. Ensuite, il faut penser à l'avenir, c'est sûr, et très vite.

WoO a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Dans tous les cas, des cours particuliers ou du moins un travail personnel ordonné et soutenu seront indispensables à ton projet, bien sûr.

C'est peut-être aussi l'occasion d'élargir sa culture générale et de découvrir plus en profondeur l'histoire de la musique. Ce n'est pas inintéressant non plus.

Franchement, on peut faire ça aussi bien tout seul chez soi à mon avis...

Bon, ben je me mets en chasse de cours... je vais essayer de me renseigner, et puis de regarder les tarifs surtout. Moi qui m'achète un piano en début d'année, c'est pas l'heure aux grandes folies.
Je vais aller en musicologie quand même.

Je paye 200 euros l'année... c'est trois fois rien franchement.

WoO a écrit:

C'est peut-être aussi l'occasion d'élargir sa culture générale et de découvrir plus en profondeur l'histoire de la musique. Ce n'est pas inintéressant non plus. Ce n'est pas parce qu'on suit une filière qu'on doit se limiter au minimum syndical qui y est enseigné.

Bien sûr. Mais tous les échos que j'ai eus de cette filière émanaient ou de gens qui prenaient ça manière d'avoir un diplôme tandis qu'il espéraient faire carrière (et finissaient prof de collège), ou bien des gens qui faisaient ça par passion et étaient extrêmement frustrés du contenu (rien à voir avec histoire de l'art, où l'on apprend réellement des choses). Enfin il y a la dernière catégorie, peut-être majoritaire, celle de ceux qui sont là parce que c'est pas trop fatigant, et qui ne vont surtout pas se forcer à écouter de la musique en dehors des heures minutes de travail...

Mais si Wolfgang prend ce qu'on lui donne et profite de tout son temps libre pour se cultiver et travailler son projet, ça marche assez bien. Simplement, il ne faut surtout pas qu'il compte là-dessus pour lui trouver un boulot ou pour l'aider à entrer au CNSM.

jerome a écrit:

Je paye 200 euros l'année... c'est trois fois rien franchement.

Tu me fais entrer au CNSM toi?

Bon, on est désolés de te doucher un peu avant ton arrivée... mais vu ce que tu vises, il vaut mieux savoir que tu ne peux pas te reposer sur ton cursus universitaire, tu risquerais de lourdes déconvenues.

DavidLeMarrec a écrit:

Bon, on est désolés de te doucher un peu avant ton arrivée... mais vu ce que tu vises, il vaut mieux savoir que tu ne peux pas te reposer sur ton cursus universitaire, tu risquerais de lourdes déconvenues.

De toute manière, j'avais envisagé cette possibilité, que vous ne faites que confirmer. Maintenant, le problème est de trouver des cours sérieux... Je me dis que des cours particuliers, c'est peut être un peu léger (après il faut voir avec qui...). Et pour les institutions, c'est tout bouclé pour cette année.

Wolfgang a écrit:

Maintenant, le problème est de trouver des cours sérieux... Je me dis que des cours particuliers, c'est peut être un peu léger (après il faut voir avec qui...)

Si tu trouves quelqu'un d'adéquat, ça ne sera certainement pas plus léger que la musico...

Xavier a écrit:

Si tu trouves quelqu'un d'adéquat, ça ne sera certainement pas plus léger que la musico...

Je suppose que si tu donnais des cours, tu me l'aurais déjà proposé. Tu ne connaîtrais pas quelqu'un sinon?

Wolfgang a écrit:

Xavier a écrit:

Si tu trouves quelqu'un d'adéquat, ça ne sera certainement pas plus léger que la musico...

Je suppose que si tu donnais des cours, tu me l'aurais déjà proposé.

C'est quand tu veux en fait.

Xavier a écrit:

C'est quand tu veux en fait.

C'est pas pour rire?

Non non, je serai ravi de t'aider.

Xavier a écrit:

Wolfgang a écrit:

A la base, je vais en musicologie comme pour me servir d'un tremplin pour pouvoir réussir les concours du conservatoire à Paris, parce qu'effectivement ça m'a paru léger niveau débouché et perspectives.

Tu veux rentrer en quelle discipline au CNSM?

Honnêtement, je ne vois vraiment pas en quoi la musico va t'aider pour ça... (en plus c'est pas fait pour)

Mais si c'est fait pour! Admission en cycle long dans les disciplines théoriques après la licence: c'est prévu par les concours du CNSM.
Maintenant on peut aussi se demander à quoi sert un prix du CNSM pour trouver du boulot... alors que le cursus de musico, même en supposant que le niveau est très faible (c'est pas forcément faux ) donne un boulot (capes ou agrégation).

Pour l'agrégation par contre, il faut s'accrocher : je connais un type vraiment calé qui s'est fait refouler deux fois. (et un autre qui l'a eue, certes )
A propos où en est le projet de fusion des classes d'enseignement artistique dans le secondaire ?

emmanuel a écrit:

Xavier a écrit:

Tu veux rentrer en quelle discipline au CNSM?

Honnêtement, je ne vois vraiment pas en quoi la musico va t'aider pour ça... (en plus c'est pas fait pour)

Mais si c'est fait pour! Admission en cycle long dans les disciplines théoriques après la licence: c'est prévu par les concours du CNSM.

Ce n'est pas du tout ce que je lis dans la fiche technique...
Tu veux dire qu'avec une licence en Musicologie tu entres dans n'importe quelle classe théorique sans passer de concours d'admission??
Ils vont s'amuser les élèves qui rentrent en écriture après ce qu'ils auront fait en musico...
Ils pourront peut-être rentrer au CNSM, mais pas en sortir.

emmanuel a écrit:

Maintenant on peut aussi se demander à quoi sert un prix du CNSM pour trouver du boulot... alors que le cursus de musico, même en supposant que le niveau est très faible (c'est pas forcément faux ) donne un boulot (capes ou agrégation).

Ca c'est tout à fait exact.