MUSIQUE Sovietique (1917-1980)

Morloch a écrit:

mais alors c'est quoi cette histoire de 14ème de Chosta et de 6ème de Tischenko ? Parce que c'est pas qu'il soit limité au niveau du vocabulaire, PaulLaFlemme, mais c'est pas non plus le dieu de l'argumentation...

Ce sont deux symphonies vocales qui s'inscrivent dans un univers dévasté. Celle de Chosta est morne et expirante, tandis que chez Tichtchenko on contemple des ruines dont la vue ravive des blessures encore fraîches.

Il y a une dimension épique très impressionnante dans cette Sixième. Une symphonie majeure du XXe siècle pour moi.

extraordinaire base de données contenant toutes sortes de chansons soviétiques, téléchargeables, certaines composées par de très grands noms (Chostakovich, Muradeli, Kabalevsky, Pakhmutova etc...)

http://www.sovmusic.ru/english/

Sûr que c'est libre de droits?

c'est libre d'accès, et il n'y a pas de droits d'auteur sur la musique soviétique en théorie, mais supprime si tu veux. On peut peut-être à défaut répéter le lien sur Musique Ouverte?

On peut supposer qu'un gros site comme ça ne fait pas les choses à la légère et a passé des accords. De toute façon, on n'est pas censés faire des enquêtes de police non plus. Le tout est de ne pas proposer des choses de toute évidence illégales.

je savais pas où placer cette question ...

J'ai cherché sur le Net et j'ai pas trouvé alors je vous pose la question : existe-t-il des livres sur Shostakovich et en particulier sur ses symphonies ?

Papageno a écrit:

je savais pas où placer cette question ...

J'ai cherché sur le Net et j'ai pas trouvé alors je vous pose la question : existe-t-il des livres sur Shostakovich et en particulier sur ses symphonies ?

Price Minister en propose quelques-uns, mais visiblement tous en anglais : ici.
C'est vrai que je n'en ai jamais vu sur Chosta dans les rayons musique des bouquinistes, mais les membres parisiens auront certainement eu accès à plus de choix...

sinon il y aussi ce livre qui traite de l'Histoire Russe et de la musique.

http://www.amazon.fr/destin-russe-musique-dhistoire-R%C3%A9volution/dp/2213624577/ref=pd_bxgy_b_img_b

Stanlea l'a présenté
ICI
c'est apparemment la somme de trois autres livres du même auteur.
Pour Chosta, encore une fois, la bio Fayard de Meyer est le seul ouvrage de référence à peu près complet (mais succinct et à mon avis tendancieux puisqu'il ne replace pas suffisamment l'auteur dans la musique de son temps)

c'est justement ce que je recherche plutot qu'une biographie typique .
ce DVD a l'air pas mal justement puisqu'il retrace un courant de l'histoire russe à travers les symphonies de Shostakovich. Est-il recommandable ?

http://www.amazon.fr/Shostakovich-against-Stalin-War-symphonies/dp/B000BLBZM0/ref=sr_1_4?ie=UTF8&s=dvd&qid=1213570607&sr=1-4

je ne sais absolument pas. A priori d'après le titre, ça ne doit s'intéresser qu'aux septième et huitième avec un petit clin d'oeil à la 10 (dont on considère, à tort ou à raison, le scherzo comme un "portrait de Staline").

J'ai découvert aujourd'hui la cinquième symphonie de Popov. Je suis bouleversée par tant d'humanité. Cette musique me touche intimement, au-delà de ce que je peux exprimer ici. Ce sont les tréfonds de l'âme qu'on touche ici. C'est à peine supportable.

Je bisse...

Absent de tous les ouvrages de référence dont je dispose, un article wiki minuscule... Popov est oublié. Qu'il est triste de penser à tous ces talents énormes que la politique a brisés ! Quelle place aurait Popov dans le patrimoine musical s'il était né ailleurs ?...

Bravo et merci à Sud pour ce topic très riche que je découvre à l'instant.

Karel Berman (1919-1995) a t-il bien sa place ici? En tous cas j'ai écouté une très belle suite pour piano, Terezin, écrite par lui et c'est assez génial: très court, ramassé, fulgurant, mais d'une haute inspiration. Le premier mouvement, dissonant, est très scriabinien; les deux suivants sont harmoniquement plus conventionnels mais demeurent d'une haute visée expressive. C'est très évocateur, vraiment j'aime beaucoup.

sud273 a écrit:

Gavrill Popov*

Cette première symphonie de Popov trace la voie de toute la production symphonique des compositeurs soviétiques jusqu’à la fin des années 40. La résolution, le moyen d’en sortir se trouve dans la 6è de Shostakovich, dans Shebalin, dans les œuvres issues de la victoire sur les armées nazies après le spectaculaire retournement du pacte germano-soviétique.

Très intéressant... et on peut le en trouver une interprétation en vente libre ?

on doit trouver encore la version Leon Botstein chez Telarc avec le Theme et variation op2 de Chostakovich.
ici, chez Amazon
d'occasion à partir de 7 euros
je ne sais pas ce que ça vaut (le disque a été enregistré dans la foulée de la première américaine en 2002 je crois) n'ayant pas eu l'occasion d'entendre cette version. C'est pour l'instant absolument tout ce qu'il y a de disponible.

Une info qui va faire plaisir à Sud:

CPO va sortir les 4 symphonies de Kabalevsky par Eiji Oue...

Kia a écrit:

CPO va sortir les 4 symphonies de Kabalevsky par Eiji Oue...

Sud, tu nous recommandes cet interprète ?

Sinon ce disque doit sortir le 30 octobre prochain :



Au dos de la pochette on peut lire que c'est un élève de Chostakovitch marqué par son Azerbaidjan natal dont il inclua des éléments dans ses oeuvres. La Troisième symphonie date de 1964. Quelqu'un a-t-il déjà écouté la musique de ce compositeur ?

ah génial, enfin! trop bien! il n'en existait aucune version et c'est l'oeuvre majeure de Karayev, qui lui a attiré les pires ennuis malgré le soutien constant de Chostakovich. J'attends ça depuis très longtemps.
Bon, la suite de Leyla et Mejnun n'est pas du meilleur Karayev, il faut plutôt entendre le ballet "Le chemin du tonnerre" (entre autre la suite enregistrée par Svetlanov). Il existe une excellent enregistrement du concerto pour violon par Guidon Kremer, qui est ce que je préfère pour l'instant. Karaev est surtout connu pour sa musique de ballet (c'est ce qui est enregistré) entre autre les 7 beautés (disque Olympia disparu). Il a aussi beaucoup écrit de musique de cinéma et tardivement beaucoup de musique de feuilleton télé!
La 3ème de Karayev par Yablonsky en plus, quelle chance, peut-être le meilleur spécialiste de ce répertoire des années 50 à 80...

(Eiji oué, oui je recommande, excellentes symphonies de Krenek chez Cpo, concertos d'Antheil, forcément un très bon chef puisqu'il s'est fait chasser de Bayreuth)

Petite question, en passant, suite à ce que j'ai lu là :

Citation :

sous le label Olympia qui distribua tant de grands enregistrements de musique russe introuvable, mais ce label est malheureusement mort à son tour

Qu'est ce qui est arrivé à Olympia ? Le label a disparu quand ?

Il y a quelques années, j'achetais directement mes Cds Olympia chez eux en angleterre par correspondance, ça marchait super bien, j'en avais plein à acheter sur ma liste et puis pfuit... Plus de réponse...

je ne sais pas à quelle date exactement mais il y a une bonne dizaine d'années que ça n'existe plus. Olympia distribuait aussi en grande partie le fond Russian Disc qui a été revendu à Warner, d'où une suite de procès internationaux entre Canada-Russie-Allemagne-Angleterre qui se disputent les derniers restes, empêchant en partie l'accès à certains pans de ce répertoire.

sud273 a écrit:

Plaine ma plaine
La 4ème symphonie de Lev Knipper

Je viens de découvrir cette symphonie aujourd'hui ! Et c'est pas mal du tout ! Et dire que Knipper a écrit 19 autres symphonies, quel dommage que l'on ne puisse les entendre...

je viens d'aller sur amazon pour Karayev, j'ai trouvé l'album, mais pas moyen d'écouter des extraits, dommage !

pour Knipper, c'est souvent ça le drame de la musique soviétique, on nous sort 10% du répertoire, et encore pas toujours du meilleur, et le reste ne sort pas, c'est frustrant, il y a de la matière à faire découvrir, au lieu de la énième version des symphonies de Mozart, Beethoven ou les 4 saisons de Vivaldi !!! Combien encore d'autres œuvres de Glière ne sont pas enregistrées !

christophe21 a écrit:

je viens d'aller sur amazon pour Karayev, j'ai trouvé l'album, mais pas moyen d'écouter des extraits, dommage !

pour Knipper, c'est souvent ça le drame de la musique soviétique, on nous sort 10% du répertoire, et encore pas toujours du meilleur, et le reste ne sort pas, c'est frustrant, il y a de la matière à faire découvrir, au lieu de la énième version des symphonies de Mozart, Beethoven ou les 4 saisons de Vivaldi !!! Combien encore d'autres œuvres de Glière ne sont pas enregistrées !

Je suis bien d'accord, à quoi bon une enième version d'oeuvres déjà méga connues, alors que tant d'autres ne demandent qu'à être découvertes...

C'est le pari de Naxos ça d'ailleurs, de faire découvrir des répertoires inconnus.... Mais bon, ça avance pas bien vite côté soviétique...

comme tu dis, heureusement que Naxos est là, dernièrement j'ai acheté 7 cds chez eux de symphonies de compositeurs américains.

L'œuvre de Glière m'intéresse, car le peu que j'ai m'a beaucoup plu. Déjà rien que pour les symphonies, pour toutes les avoir c'est galère, mais il a composé aussi de nombreuses mélodies et pièces de piano.

En parlant de Glière, quelqu'un a t'il ce CD ?



Ou celui là ?

non, je n'ai pas ces 2 cds, je ne connais même pas ces œuvres.

le Cavalier de Bronze, je cherche depuis longtemps le ballet complet, et je ne savais pas qu'il existait un disque de la suite chez Marco polo, sans doute assez bon vu le chef. Le Chandos, j'ai, c'est épouvantablement mal dirigé, et déjà qu'il ne s'agit pas forcément d'oeuvres majeures de Glière, il vaut mieux s'en passer à mon avis.

J'hésitais entre les deux Cds, je sais maintenant lequel acheter, merci Sud

Je continue ma découverte des oeuvres de Lev Knipper :
- La Sinfonietta No. 2 pour orchestre à cordes (1944)
- Le Concerto monologue, pour violoncelle, sept cuivres et timbales (1962)
- Le Petit Concerto pour violon et orchestre à cordes (1963)
- Le Concerto pour basson et orchestre à cordes (1969)
- Le Poème-Concerto pour violoncelle et Orchestre de Chambre (1971)

C'est pas mal du tout

vincent.1976 a écrit:

Je continue ma découverte des oeuvres de Lev Knipper :
...
- Le Concerto monologue, pour violoncelle, sept cuivres et timbales (1962)
...
C'est pas mal du tout

C'est sur le CD The Russian Years de Rostropovich? Je voulais l'acheter il y a quelques années pour le concerto pour violoncelle de Vainberg au sujet duquel un membre du forum cello.org ne tarissait pas d'éloges. Selon lui, c'était le concerto pour violoncelle le plus injustement négligé de l'après-guerre.

J'ai trouvé un document fort interessant sur Lev Knipper.

Il s'agit d'extraits d'une biographie, avec des citations de Knipper lui même disponible sur le site du chant du monde.

http://www.chantdumonde.com/Publisheditions/catalog/3/Knipperbrochure36p.pdf

Exemple :

Citation :

La Suite pour grand orchestre symphonique “ Les Contes de l'idole en plâtre ” est sa meilleure œuvre de l’époque. Elle est composée de six parties formant trois cycles. Le premier relate l’histoire de Bouddha qui, par sa fausse puissance et sa soi-disant beauté, guérit les gens en dansant. Le second cycle est dédié aux souffrances des hommes et à l’impuissance de la divinité face à ces souffrances. Le dernier cycle affirme la puissance de l’homme ayant détrôné l’idole.
La première des “ Contes de l'idole en plâtre ” eut lieu le 8 mars 1925, sous la direction du chef d’orchestre K. Saradjev.

J'invite ceux qui s'intéressent à ce compositeur à lire ce document.

En tout cas, cela donne vraiment envie de connaitre plus sa musique...

merci pour ce lien sur l'un des plus mystérieux compositeurs soviétiques. Espérons qu'il y ait au moins un label pour reprendre le peu qui existe.

Effectivement, merci Vincent pour toutes ces infos. Ca fait mal au coeur de voir qu'il n'existe quasiment rien quand on lit le catalogue de ses oeuvres qui tient quand même sur 7 pages ! (page 30-36) On voit qu'il s'est illustré dans absolument tous les genres.

Weinberg ou Vainberg: le quatuors n° 7 est une petite merveille, tout de simplicité, mais très évocateur. Gravité et tendresse exprimée par des airs populaires d'Europe centrale, yiddish sans doute.
le quatuor n° 11: encore plus dépouillé que le 7°, presque aphone, lent, les cordes souvent en soliste ou plutôt esseulées, sourdine fréquente, pas sinistre non plus, des thèmes mélodiques simples et méditatifs à l'harmonie peu tourmentée.
Et le n° 13 en un seul mouvement d'un quart d'heure, lui aussi perdu dans des lenteurs marécageuses (un long et beau solo d'alto) et qui devient de loin en loin plus dramatique voire déchirant avec des effets rares de frottements et de clusters sur lesquels on finit.

On ne se lasse pas de ces pièces. Bien qu'elles s'intitulent 'quatuor', je crois que Weinberg ne souhaitait pas se placer dans la continuité du quatuor romantique à l'écriture polyphonique complexe. On est face à des constructions très moderne où sont privilégiés le timbre et les climats désolés, les instruments se rencontrent peu.

sud273 a écrit:

Son 2ème concerto pour piano, élaboré de 1943 à 1945, montre un tout autre tempérament. Ce morceau de 18 minutes évoque à la fois la construction rhapsodique et cyclique du premier concerto de Liszt : le discours officiel tend à faire croire qu’il s’agit d’un commentaire sur la guerre, dont le passage centrale serait une déploration sur les soldats victimes de la brutale attaque contre l’Union Soviétique, auxquels se mêlent quelques commentaires héroïques sur fond de mélodies tatares, le tout se résolvant dans un point de vue optimiste : « la vie continue ».
C’est en fait une « rhapsodie in black » construite sur un thème de valse qui évoque Rachmaninov et Barber, non sans faire penser au passage à quelques modernes plus radicaux (voir l’ostinato d’accords frappés qui n’a rien à envier à l’étude d’attaque de Stockhausen)

Zara Levina, Concerto pour piano n°2 en un mouvement. Très très beau concerto. Sans prétention novatrice si appuyée que ça, passionné, avec un très bel accompagnement orchestral original qui met en avant les pupitres des percussionnistes, qui laisse la virtuosité du piano au second plan, de belles envolées lyriques presque ravéliennes dans les passages lents et tout ça en 1943 en plein milieu de l'horreur. Très loin des tonnes sucrées et romantiques de certains concertos soviétiques. A découvrir +++.

ça a l'air bien !

natrav a écrit:

Très loin des tonnes sucrées et romantiques de certains concertos soviétiques.

tu penses à quoi précisément ?

Abus de langage pour romantique. Je pense aux lourdeurs de Khatchaturian par exemple, à la musique Disney des grosses symphonies...
Avec Levina on croirait retrouver la fluidité de la musique française dans ce concerto. Tu le connais ?

Ah mais Khatchaturian c'est un monde à part

natrav a écrit:

Levina [...] Tu le connais ?

Hélas, non

natrav a écrit:

on croirait retrouver la fluidité de la musique française

Ca n'est pas forcément vendeur pour moi mais je ne demande qu'à entendre

"Ravel" , "russe", "percussions" ... c'est tentant !

WoO a écrit:

natrav a écrit:

on croirait retrouver la fluidité de la musique française

Ca n'est pas forcément vendeur pour moi mais je ne demande qu'à entendre

Tu n'aimes pas Lully?

Sinon, tu n'arrêtes pas par des mots à droite à gauche de faire sentir que tu détestes Debussy, mais tu ne développes jamais, j'aimerais bien en savoir plus.

Ah si il avait bien développé, comme quoi c'était une musique qui n'était pas assez horizontale, sans argument défini et précis je crois... un peu maladroit comme résumé certainement mais je me souviens que WoO s'était expliqué.

Ah alors autant pour moi, j'ai dû passer à côté. (en plus je suis un peu HS)

oui, il y a des topics spécifiques pour les mauvais compositeurs français
Bon, patience j'arrive sur Levina: malheureusement on ne trouve rien d'autre que le concerto et le magnifique poème pour alto et piano.

Northern Flowers s'est lancé dans l'enregistrement d'oeuvres soviétiques composées durant la seconde guerre mondiale soit entre 1941 et 1945 avec l'orchestre Symphonique de Saint Petersbourg sous la direction d'Alexander Titov .

Les trois premiers volumes sont parus au début de l'année, à savoir :

- Volume 1 : Symphonies No. 22 et No. 23 de Nikolai Myaskovsky



- Volume 2 : Symphonie No. 5 et suite "The Tobacco Captain" de Vladimir Scherbachov



- Volume 3 : Symphonies No. 24 et No. 25 de Nikolai Myaskovsky



La parution continue avec :

- Volume 4 : Symphonie No.3 pour cordes et Aria Symphonique pour violoncelle et cordes de Gavril Popov.



- Volume 5 : Symphonie No.1 et Concerto pour violoncelle et orchestre de Mieczyslaw Weinberg.



- Volume 6 : Concerto pour violon et orchestre, Symphonie No.8 de Lev Knipper



- Volume 7 : Symphonie No. 9 et "music for theatralized programs Russian River and Native Leningrad" de Dmitry Chostakovich



- Volume 8 : Symphonie No.2 ("Motherland"), soundtrack to the film The Turning Point, and Red Cavalry Campaign, a symphonic poster de Gavriil Popov



Si le Cd Chostakovitch n'est pas d'une grande "originalité", certains, comme les CD Popov, ou le CD Knipper (avec une 8ème symphonie complètement inédite) me semblent mériter le détour !

De GAVRIIL POPOV,j'avoue avoir bien accroché à sa Symphonie de
chambre in C Major op.2,oeuvre qu'il a composée à l'âge de 22/23 ans.
Par le Bolshoi Theatre Soloists Ensemble et sous la baguette d'Alexander
Lazarev,il se dégage de cette oeuvre,une vraie fraîcheur,quelque chose qui,il
me semble ne pas avoir vieilli d'un poil. De cet enthousiasme est ressorti un
besoin de découvrir d'autres opus,seulement voilà,les éditions,si il en existe,
sont introuvables.
Je connais et apprécie certaines oeuvres de WEINBERG mais les cd sont déjà plus faciles à dénicher.

C'est une formidable nouvelle

De nouveaux achats en perspective

Pour les titres déjà parus les Miaskovsky sont très bien, mais les enregistrements de Svetlanov l'étaient déjà, donc ces nouveautés ne sont pas d'un intérêt primordial ; la symphonie de Scherbachov m'a plutôt déçu par contre.

Mais ce coup-ci avec un Knipper, un Weinberg et deux Popov nous sommes vraiment gâtés

Et quelqu'un connait le chef ? Ca m'intéresse aussi.

vincent.1976 a écrit:

l'orchestre Symphonique de Saint Petersbourg sous la direction d'Alexander Titov .