Mahler- 8ème symphonie

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Si tu veux déplacer, ça ira dans Mahler 8 et basta.

Oui mais là je sens que ça part sur Bernstein en général et après ça se complique!...

Tu veux que je cite les messages dans les bons sujets, comme ça tu peux simplement supprimer tout ça ou le mettre en bloc dans la poubelle ?

Songeur a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Je pense que tu as dû peu écouter d'exécutions épouvantables pour dire ça.

Imparfait, sûrement.

Les enregistrements de Bernstein, tout le monde dit toujours que c’est extraordinaire, je trouve ça généralement vulgaire et à mourir d’ennui.

Justement, tu généralises à mort là…

DavidLeMarrec a écrit:

parce que le contre-ut est un peu tiré – mais justement, parce qu'à défaut d'être pp (parce qu'il faut être entendue, tout de même !) elle adopte une émission douce –, pas faux à mes oreilles (plutôt un effet de timbre, ou alors il manque vraiment très peu), et pour le décalage, elle traîne un peu sur le fa qui clôt la phrase précédente, accélère peut-être un peu trop pour l'ut, mais c'est vraiment véniel, dans l'absolu, et sur une œuvre aussi longue et difficile. Même en studio d'ailleurs.

Je ne trouve pas. Elle le lâche beaucoup trop tôt et dans une sorte de cri de douleur ce qui n’est pas trop le sujet ici.
Quand c’est bien fait, on entend la différence (à 2:13) dans la version Sinopoli qui est sublime. Ce passage par Solti est aussi très réussi aussi dans mon souvenir.

Ben écoute, moi ça me gâche rien du tout, et je suis sincèrement désolé que ça le fasse pour toi. On a tous notre zone de confort – mais lâcher du lest sur ces choses favorise le bonheur musical.

(J'ai aussi mes moments, par exemple le climax du mouvement lent du Quatuor de Debussy, quatre fois sur cinq je le trouve pas au niveau de ce qu'il peut être, et ça colore mon expérience… J'essaie de me soigner, je le gère mieux désormais.)