Vos disques favoris.

En voici 35
Certains m'ont grandement marqué mais je ne les écoute que rarement, d'autres au contraire sont écoutés très souvent encore aujourd'hui.
Il est toutefois difficile d'en sélectionner un nombre raisonnable, et puis ça changera dans quelques années, alors ceux-là ou d'autres...

Spoiler:

Très bons choix  

Oui il y a des choses disons familières.  

Beau choix, en effet. Dans ce créneau-là, on est sur des sommets.
Après, il manque les gens sérieux, comme Bach etc..

Certes - mais ce créneau correspond à ce que j'aime vraiment. Et puis il est de loin le plus riche et varié, difficile d'appeler ça un créneau !

Je plaisantais un peu... Et je partage tes choix en grande part.  

en fait ma réponse était aussi de l'ordre de la plaisanterie - après tout j'ignore réellement si les périodes classiques/baroques/etc. sont aussi riches  
J'ai bien essayé, je ne me sens pas réellement passionné.

fgero a écrit:

en fait ma réponse était aussi de l'ordre de la plaisanterie - après tout j'ignore réellement si les périodes classiques/baroques/etc. sont aussi riches  
J'ai bien essayé, je ne me sens pas réellement passionné.

Elles le sont !
Tu as essayé quoi ?

J'ai essayé ce que tout le monde essaye, rien d'original.
Beethoven (quatuors, symphonies), Berlioz (symphonique) : ça passe plutôt bien
Romantique en général : ça passe, sans plus, éventuellement Brahms
Même Mozart et Bach : je n'y arrive pas, même si quelques oeuvres isolées peuvent me faire lever un sourcil (requiem pour le 1er, violoncelle pour le second)
Renaissance, Baroque : ça ne passe pas du tout, ou alors en bruit de fond, et encore. Je m'arrête au bout de 5 minutes.

En gros tout commence fin XIXe pour moi  

Et Wagner?

Parce qu'en général quand on adore Bruckner, Mahler, Strauss, Chausson, Schoenberg et Debussy, on ne déteste pas...

 Suivant scrupuleusement les conseils de la section Ring de ce forum , j'ai emprunté à la médiathèque (ou acheté)  diverses versions du Ring, et je ne me sens pas passionné sur la longueur.

Dans un effort désespéré ( ), je me suis fait offrir le coffret Blu-Ray Met/Levine, pensant que l'image aiderait à entrer dans l'histoire, ça a presque marché.
En ce sens que j'ai écouté tout le cycle avec plaisir (beaucoup de longueurs quand même), mais je n'ai pas envie d'y revenir. Ce pourquoi je n'ai pas inclus Wagner dans ma liste.
De temps en temps je reviens sur des extraits (Meier) avec plaisir, toutefois.

Faut dire que Levine-Luisi-Lepage, ce n'est pas la meilleure version... (pas passionnante à regarder en plus)

Y a peut-être autre chose à essayer, soit d'autres versions, soit d'autres oeuvres, au moins Tristan et Parsifal!

fgero a écrit:

J'ai essayé ce que tout le monde essaye, rien d'original.
Beethoven (quatuors, symphonies), Berlioz (symphonique) : ça passe plutôt bien
Romantique en général : ça passe, sans plus, éventuellement Brahms
Même Mozart et Bach : je n'y arrive pas, même si quelques oeuvres isolées peuvent me faire lever un sourcil (requiem pour le 1er, violoncelle pour le second)
Renaissance, Baroque : ça ne passe pas du tout, ou alors en bruit de fond, et encore. Je m'arrête au bout de 5 minutes.

En gros tout commence fin XIXe pour moi  

Pour le XX°, quand on aime autant Debussy et Florentz, Messiaen et Dutilleux me semblent inmanquables.

Pour le reste tu es dur ! Je ne sais même pas quoi te proposer comme remède

Oui, Dutilleux plus que Messiaen, mais il faut bien se forcer à limiter la liste de disques.

Ne t'inquiète pas, Cololi, toutes les âmes finiront pas rayonner dans la splendeur céleste. Bach s'en charge.
Tu découvriras même qu'à la droite de Dieu, ce n'est pas Messiaen qui tient l'orgue.

Zeno a écrit:

Ne t'inquiète pas, Cololi, toutes les âmes finiront pas rayonner dans la splendeur céleste. Bach s'en charge.
Tu découvriras même qu'à la droite de Dieu, ce n'est pas Messiaen qui tient l'orgue.

Ah c'est Tournemire donc !  

Ce qui confirmerait l'adage selon lequel on s'ennuie au Paradis.

Zeno a écrit:

Ce qui confirmerait l'adage selon lequel on s'ennuie au Paradis.

Tu auras tout le temps d'apprendre à l'apprécier arrivé en un tel lieu !  

En effet, au Paradis, on entend la musique de Tournemire.  

En Enfer, ils diffusent plutôt celle de Tournebroche.   

Zeno a écrit:

En effet, au Paradis, on entend la musique de Tournemire.  

En Enfer, ils diffusent plutôt celle de Tournebroche.   

 

En fait non ... on vient de me communiquer :

Purgatoire : Meyerbeer
Enfer "le moins infernal" : lully
Enfer "des plus grandes cruautés" : Glass

Mais attention rien n'est irrémédiable ... le condamné au purgatoire peut, si il est bon élément évoluer vers Wagner, et donc accéder aux plus hautes sphères.
Quand aux lullystes ... les meilleurs d'entre eux pourront accéder à Rameau, avec une bonne formation musicale pour leur expliquer.
Quand à ceux condamnés à écouter Glass ... il n'est rien de faisable pour leur salut  

 

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Ne t'inquiète pas, Cololi, toutes les âmes finiront pas rayonner dans la splendeur céleste. Bach s'en charge.
Tu découvriras même qu'à la droite de Dieu, ce n'est pas Messiaen qui tient l'orgue.

Ah c'est Tournemire donc !  

...ou Florentz...

fgero a écrit:

Cololi a écrit:

Zeno a écrit:

Ne t'inquiète pas, Cololi, toutes les âmes finiront pas rayonner dans la splendeur céleste. Bach s'en charge.
Tu découvriras même qu'à la droite de Dieu, ce n'est pas Messiaen qui tient l'orgue.

Ah c'est Tournemire donc !  

...ou Florentz...

Oui oui, moi les deux me vont  

fgero a écrit:

En voici 35
Certains m'ont grandement marqué mais je ne les écoute que rarement, d'autres au contraire sont écoutés très souvent encore aujourd'hui.
Il est toutefois difficile d'en sélectionner un nombre raisonnable, et puis ça changera dans quelques années, alors ceux-là ou d'autres...

Énormément de disques majeurissimes :

Spoiler:

ou pas loin :

Spoiler:

Et puis beaucoup de bonnes choses.

Je vois quand même UNE faute de goût :

Spoiler:

Cololi a écrit:

Quand à ceux condamnés à écouter Glass ... il n'est rien de faisable pour leur salut  

J'ai la conviction inverse : Matthieu 5,3 (non, c'est méchant).

En bonne logique, ayant vécu l'enfer sur terre, ils devraient être dispensés du Purgatoire.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

uand à ceux condamnés à écouter Glass ... il n'est rien de faisable pour leur salut

J'ai la conviction inverse : Matthieu 5,3 (non, c'est méchant).

Heureux les pauvres de coeur : le Royaume des cieux est à eux !  


Honnêtement, je ne crois pas avoir jamais entendu du Glass, ce qui en dit long sur mes lacunes en musique contemporaine. Je vais aller voir dans le Fil concerné pour en savoir un peu plus sur ce compositeur et ses oeuvres.

Mélomaniac a écrit:

Heureux les pauvres de coeur : le Royaume des cieux est à eux !  

Non, ça c'est plutôt 5;4, je crois.

Citation :

Honnêtement, je ne crois pas avoir jamais entendu du Glass

Heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme heureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux homme bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être bienheureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être ô heureux être

(chaque boucle peut être répétée, en conservant les proportions, entre 24 et 722 fois).

Mélomaniac a écrit:

Honnêtement, je ne crois pas avoir jamais entendu du Glass, ce qui en dit long sur mes lacunes en musique contemporaine.

Ce n'est pas une lacune ... c'est une chance  

DavidLeMarrec a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Heureux les pauvres de coeur : le Royaume des cieux est à eux !

Non, ça c'est plutôt 5;4, je crois.

Non mais dis donc !

On ose me corriger !

Spoiler:

Cololi a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Honnêtement, je ne crois pas avoir jamais entendu du Glass, ce qui en dit long sur mes lacunes en musique contemporaine.

Ce n'est pas une lacune ... c'est une chance

 Je connais très peu la musique répétitive. Le seul disque que j'ai à la maison, ce sont des extraits de Nixon in China, et ça me plaît beaucoup.

Nixon c'est beaucoup plus supportable que Glass je trouve.

Mélomaniac a écrit:

:tutut:Non mais dis donc !

On ose me corriger !

Et puis c'est bien 5:3

Dans ce cas, pardon, mais quelle est cette traduction pourrie ?

Dans le verset d'origine, le mot utilisé est dérivé de πνεῦμα, qui désigne le souffle, et par extension l'esprit. C'est même le mot consacré ( ), dans les Écritures, pour désigner l'Esprit-Saint.

On le traduit habituellement par Heureux les pauvres en esprit. Et je viens de vérifier dans les éditions les plus courantes (Jérusalem, TOB) et mes chouchoutes (Segond, Martin), c'est bien ce mot-là qui est utilisé. Ce ne peut pas être non plus Chouraqui, c'est beaucoup trop loin de la littéralité. Et je doute qu'une vénérable Crampon ose ce genre de facétie avec le sens grec !


EDIT : Ah, je l'ai trouvé, c'est dans Parole de Vie.
Ca va, j'ai bien fait de dire ce que j'ai dit.  

DavidLeMarrec a écrit:

Je vois quand même UNE faute de goût :

Spoiler:

Des fautes de goût, il aurait du y en avoir bien plus, je me suis retenu  

Sinon pour Abbado/ravel, en fait je l'ai pris pour 2 raisons : avec l'idée de réduire le total des disques du Ravel orchestral (celui-ci englobe tout pour l'île déserte), et aussi pour son Daphnis que j'aime beaucoup (pas mou !). Et puis parce que j'ai un faible pour ce monsieur, j'avoue (je l'ai entendu 2 fois en concert Mahler, je m'en souviens encore)

J'ai "enfin" déniché le CD objet de tous mes "fantasmes" depuis de nombreuses années.
Je possédais déjà 3 cd de ces œuvres.

Mais celui-ci est simplement magnifique

Le topic est un peu intimidant ; apparemment il s'agit plus de commenter le choix des autres que de parler des siens   

J'essaye une petite compilation, rien d'absolu et d'éternel, juste les disques que j'aime beaucoup en ce moment :

Spoiler:

Soyez sûrs que dans une semaine ma liste sera complètement différente  
Non plus sérieusement, ces quelques disques, c'est ce qui me touche le plus en musique, j'en ai oublié plein mais ceux-là je les garde près de mon cœur jusqu'à la tombe

ouannier a écrit:

Parmi votre discothèque incommensurable, parmi les plusieurs milliers de disques de musique classique qui la compose, quels sont ceux qui vous paraissent être de la meilleure qualité ? Quels sont ceux que vous auriez le plus tendance à offrir à un ami mélomane qui ne l'aurait pas par exemple, ou que vous écoutez très régulièrement ? Quels sont ceux qui sont en tous points parfaits ? Aussi bien pour le choix des oeuvres qui s'y trouvent (et donc le couplage du disque), que l'interprétation, que l'enregistrement, que la pochette, que le livret, que le prix si vous voulez (sachant qu'il peut être différent selon les endroits où on l'achète), etc... En bref, quels sont vos diques favoris ? Il ne peut n'y avoir qu'un seul disque comme il peut y en avoir 25.

Des musiques qui seraient de parfaits substituts aux médicaments que l'on donne en ordinaire, aux esprits dérangés et autres pauvres diables, cloîtrés dans des établissements psychiatriques

Récemment le Requiem de Mozart/Currentzis a rejoint ma troupe d'élites.
Ces disques/œuvres happy few sont ceux qui me font le plus de mal. Je ne les écoute pas si souvent, ou bien des bouts, dans la douleur, car en entier ils m'impressionnent énormément. Pourtant quand je les écoute vraiment, je suis heureux. Mais tout recommence et ils redeviennent difficiles d'accès, je ne tiens plus qu'à les visiter furtivement ou à les jouer dans mon esprit, en attendant de retrouver la chance de les entendre. Principalement : JS Bach, Messe en si mineur/Suzuki ; Ravel, Concerto en sol/Argerich. Je pense qu'ils correspondent à mon sentiment du sublime en musique.
Dans une moindre mesure, Liszt, Concertos/Katchen/Argenta.

Je dois citer mon cultissime disque car fondateur de ma passion pour le classique : JS Bach, Variations Goldberg/Gould (1981).

Mais encore récemment un enregistrement s'est distingué d'entre mes goûts : F. Couperin, Les goûts-réunis, nouveaux concerts/Brandis, Holliger, Nicolet, Ulsamer, Strehl, Sax, Jacottet. (Archiv)
Il s'est distingué aussi parmi les autres précédemment cités, car si je l'écoute avec parcimonie, c'est sans entrave, rien que selon ma convenance et mon goût. La forme de ces concertos est variée, mais d'un goût constant, ils sont courts mais s'enchaînent bien. Le son en est délicat, doux, notamment le hautbois et tout le continuo. Ils me procurent une grande sensation d'apaisement, sans tension. J'y vois une lente évolution de mes goûts vers moins de démonstratif. En parallèle, les Leçons de ténèbres, le motet pour le jour de Pâques et le Magnificat du même Couperin (Boulay chez Erato) m'ont transporté, mais plus selon mon ancienne mode.

Après une absence de longue durée, tout en consultant fréquemment la discographie (pour repérer et m'offrir les plus belles versions de mes musiques préférées), je dirai pour ma part :

Furtwängler conducts Beethoven (années de guerre) - Music and Arts
Symphonie N° 9 de Beethoven via Furtwängler (Berlin, 19.4.1942) - Archipel
Sonate 29 Hammerklavier de Beethoven via Yudina - Vista Vera
Sonate 27 de Beethoven via Yudina - Vista Vera
Der ring des Nibelungen de Wagner via Furtwängler, Scala 1950
Haskil spielt Mozart - Deutsche Grammophon (eloquence) argh le concerto 9 (je viens de commander le même concerto par Haskil et Casals)
L'intégrale Beethoven par Yves Nat - argh la 17, la 29, la 32... - Emi
"Les plus belles symphonies" de Mozart via Nikolaus Harnoncourt argh la Jupiter... - Teldec Classics
La grande messe de Mozart via Christopher Hogwood - Decca
Cosi fan tutte de Mozart via Karajan - Emi classics
Les inventions à deux et trois voix de Bach via Marcelle Meyer "les rarissimes de Marcelle Meyer" - Emi classics
La symphonie 4 de Bruckner via Celibidache - Emi classics
Furtwängler conducts Bruckner argh la 9 à Berlin en 44 - Music and Arts
Peer Gynt d'Edvard Grieg via Tourniaire et l'Orchestre Suisse Romande - aeon
L'intégrale Mahler via Tennstedt - Emi classics
Otello de Verdi via Carlos Kleiber, Domingo, Freni - Opera Doro
Don Giovanni de Mozart via Furtwängler - Opera Doro
L'intégrale des oeuvres pour piano de Bartok via Zoltan Kocsis - Decca
La partita 6 de Bach via Lefebure - Solstice

et bientôt sans aucun doute, en attente de reception :
Don Carlo de Verdi via Caballé, Domingo, Giulini - Emi studio

Dans le désordre... (mais avec une adoration pour les Gurrelieder d'Osawa) :


Voila, ça ira comme ça... )

Pourquoi les Gurrelieder d'Ozawa en particulier? (j'aime beaucoup, mais je préfère Chailly ou Gielen, et il y a des détails qu'on n'entend pas du tout chez Ozawa dans le prélude)

Xavier a écrit:

Pourquoi les Gurrelieder d'Ozawa en particulier? (j'aime beaucoup, mais je préfère Chailly ou Gielen, et il y a des détails qu'on n'entend pas du tout chez Ozawa dans le prélude)

D'abord parce que c'est avec cette version que j'ai découvert l'œuvre, c'est vrai... Et aussi parce que, si Norman est une Tove bien peu convaincante à mon gout, en revanche Mc Cracken EST Waldemar. Il n'a peut-être pas le plus beau timbre du plateau, mais il habite son personnage, c'est un Waldemar qui souffre, qui se révolte et qui est déchiré, à l'opposé d'autres interprêtes (suivez mon regard du côté d'Inbal), qui chantent ce rôle comme s'ils récitaient leur liste de supermarché... Enfin, Troyanos est un ramier qui m'arrache des larmes, et même si la prise de son date maintenant, elle n'est quand même pas pénalisante. Je ne connais pas la version Gielen, mais j'ai du entendre celle de Chailly, qui ne m'a pas laissé de souvenir impérissable.

OK.

D'accord avec toi pour Troyanos (même si Meier chez Levine et Fassbaender chez Chailly m'émeuvent encore plus), mais j'aime aussi beaucoup Norman.
Quant à McCracken, je le trouve très très bien mais je préfère encore Heppner je crois. (Levine aussi)
Evidemment chez Inbal c'est peut-être le pire Waldemar, avec Jess Thomas. (Boulez)
Mais surtout pour l'orchestre et le choeur, chez Ozawa je suis légèrement frustré face à l'excellence des versions Chailly et Gielen.

Pour aller plus loin: https://classik.forumactif.com/t2134-schoenberg-operas-et-oratorios

Bon, alors faudra vraiment que j'écoute la version de Gielen !
C'est vrai que c'est une ouvre qui bénéficie beaucoup d'une belle prise de son, forcément, et la version d'Osawa n'est plus toute jeune. Et depuis cette version, que j'avais achetée à la fin des années 80 il me semble bien, beaucoup d'autres sont sorties.... Mais entre Mc Cracken et Troyanos, j'ai trouvé mon bonheur, même s'il faudrait à l'occasion que j'en écoute parmi les plus récentes.

Allez, je me lance moi aussi. Je m'en suis tenu à une petite vingtaine.

   

   

   

   

   

 

Pour le Mozart, il s'agit des symphonies que Harnoncourt a enregistré avec le Concertgebouw.

Drosselbart a écrit:

Allez, je me lance moi aussi. Je m'en suis tenu à une petite vingtaine.



Pour le Mozart, il s'agit des symphonies que Harnoncourt a enregistré avec le Concertgebouw.

+ 10.000 pour Verklärte Nacht par Karajan, d'une sensualité enivrante. C'est un des 10 que j'emporterais sur l'ile déserte, sans hésitation.
Pour les 4 derniers lieder, je reste fidèle à Schwarzkopf et Szell )

Je m'essaie à l'exercice mais je recule devant l'ajout d'images, je n'ai peut-être pas trouvé la manière la plus ergonomique de faire...
La sélection fut difficile c'est dans un relatif désordre (ile déserte, ok, mais avec une connexion internet et un abonnement qobuz)...

Ah oui, et il y a du Glass dedans...


Période médiévale et Renaissance

- "La Vision de Tondal", Ensemble dialogos, Arcana
- G. de Machaut, Motets, Ensemble Musica Nova, Zig Zag Territoires
- C. De morales, "Morales en Toledo", Ensemble Plus Ultra, Glossa
- T-L. de Victoria, "Tenebrae", Tallis Scholars, Gimell
- "Il cantar moderno", Ensemble Daedalus, Accent

Période baroque

- Monteverdi : Ottavo libro dei Madrigali, La Venexiana, Glossa
- Giacomo Frescobaldi et Louis Couperin, Gustav Leonhardt, Alpha
- Sainte-Colombe : concerts à deux violes égales, Jordi Savall et Wieland Kuijken, Astrée
- Marais : Pièces de viole du IVe livre, Jordi Savall, Ton Koopman, Hopkinson Smith, Astrée
- Delalande : Tenebrae, Dumestre, Alpha
- F. Couperin, Leçons des Ténèbres, C. Rousset, Decca
- Purcell : Didon et Enée, Currentzis, Alpha
- Bach : Sonates et Partitas pour violon seul, Carmignola, DG
- Bach : Passion selon St Jean, Gardiner, NDR Kultur
- D. Scarlatti, Stabat mater a dieci voici, Alessandrini, Naïve

Période Classique

- Mozart, Requiem, Hogwood, L'Oiseau lyre
- Mozart, Concertos pour Piano 16 et 20, Serkin et Abbado, DG
- Boccherini, Stabat Mater, Mellon et Banchini, Harmonia Mundi
- Beethoven, derniers quatuors, Quatuor A. Berg, EMI
- Beethoven, Symphonie n°7, C. Kleiber, DG
- Beethoven, Sonates pour piano, Gulda, Brillant Classics

XIXe siècle

- Schubert, Winterreise, DFK et Demus, DG
- Schubert, Der Tod und das Madchen, Quatuor Terpsycordes, Ricercar
- Schubert, Sonate D. 960, Richter, Praga
- Liszt, Sonate en si mineur, Brendel, Philips
- Liszt, Transcriptions de lieder de Schubert, Idil Biret, IBA
- Chopin, Nocturnes, S. François, EMI
- Brahms, 4e Symphonie, C. Kleiber, DG
- Bizet, Carmen, Beecham, EMI
- Verdi, Don Carlos, Pappano, EMI
- Verdi, Requiem, Gardiner, Philips
- Wagner, Lohengrin, Abbado, DG
- Moussorgski, Boris Godounov, Abbado, Sony
- Mahler, Symphonie n°1 "Titan", Bernstein, Sony
- Mahler, Symphonie n°5, Dudamel, DG
- Elgar, Concerto pour violoncelle, Queyras et Belohlavek, Harmonia Mundi

XXe siècle

- Rachmaninov, concertos 2 et 3, Janis et Dorati, Mercury
- Schoenberg, Moïse et Aaron, Boulez, DG
- Ligeti, Musica ricercata, Aimard, Sony
- Stravinsky, Symphonie des psaumes, Nelsons, Orfeo
- Jolivet, oeuvre opur flûte, Wiesler, Bis
- Schnittke, Concerto Grosso 1, Kremer, DG
- Schnittke, Psaumes de repentance, Kaljuste, ECM
- Penderecki, Dies Irae, Czyz, Philips
- Honegger, Le roi David, Dutoit, Erato
- Glass, Two pages, Nonesuch
- Reich, Proverb & City life, Nonesuch

C'est une jolie sélection, Titon_du_Tillet. Il y a beaucoup de diversité dans tes choix, mais on devine malgré tout une certaine cohérence.

(Après, honnêtement, je ne suis d'accord sur rien   )

docteur mabuse a écrit:

C'est une jolie sélection, Titon_du_Tillet. Il y a beaucoup de diversité dans tes choix, mais on devine malgré tout une certaine cohérence.

(Après, honnêtement, je ne suis d'accord sur rien   )

Merci pour ta réaction ... Au vu de ce que j'ai parcouru du forum, je crois que peu ici seront d'accord sur un des disques de cette sélection ...

Après avoir parcouru en diagonale les pages précédentes de ce topic, j'ai l'impression qu'il n'y a pas vraiment de règles ou de contraintes: nombre de disques, précisions sur les attendus (des œuvres / interprétations qui nous touchent personnellement? ou bien qu'on considère comme importantes? des objets discographiques qui nous plaisent particulièrement - par exemple, à cause de leur jolie pochette...)

Du coup, à moins que quelqu'un se dévoue pour préciser tout ça, je ne vois pas trop comment je pourrais y participer (à moins de finir par proposer une short list de 750 disques... )

(Si possible en trouvant une formule qui permette de découvrir des choses plutôt que de retrouver les mêmes disques encensées par tout le monde depuis qu'il existent, façon Das Lied von der Erde Walter / Ferrier ou Beethoven et Brahms par Carlos Kleiber.)

Spontanément, je comprends: des disques qui ont compté pour toi et auxquels tu reviens régulièrement.

Benedictus a écrit:

des objets discographiques qui nous plaisent particulièrement - par exemple, à cause de leur jolie pochette...

Ce ne saurait constituer l'unique critère.
Très tentant ce topic mais dans la mesure où j'ai déjà eu du mal à établir une short list de 250 Mélomaniac d'Or rien qu'en catégorie "orchestre"...