Playlist (13)

jerome a écrit:

Reich : Different trains - music for 18 musicians - city life.
Découverte complète...
Je comprends mieux d'où viennent certains courants du jazz orchestral, on retrouve beaucoup de couleurs identiques. Mais je préfère quand il y a un petit groove de batterie avec.

Oh non pitié, pas de batterie!

ECJDLG -> Suites pour clavecin - Carole Cerasi

Rameau, les surprises de l'amour

Sibelius

4 pièces pour piano et violon Op 78.



Je suis vraiment séduit par la qualité et l'univers de la musique de chambre de Sibélius. C'est très beau.

tiens je ne connais pas du tout !
Je vais essayer de trouver ça !
Merci du conseil !

Olivier a écrit:

tiens je ne connais pas du tout !
Je vais essayer de trouver ça !
Merci du conseil !

Olivier, je te conseille fortement le Quintet pour piano en sol mineur. C'est de la très, très belle musique ! Avec une vraie identité sibélienne et des harmonies surprenantes.

Le trio en ré majeur est très bien aussi. Enfin tu peux y aller un peu au harsard...

Ernani live Met 16 janvier 1971, Schippers, Corelli, Arroyo, Milnes et Flagello

Xavier a écrit:

Oh non pitié, pas de batterie!

Ça peut être très subtil et même presque mélodique, une batterie.
C'est sûr, si tu imagines tout de suite un batteur de hard-rock, là ça ne colle pas.

Schulhoff : Symphonies 1, 2 et 3 - disque CPO reçu à l'instant

Giacinto Scelsi - Antifona, pour ténor et chœur d'hommes.



C'est heu..., c'est une plaisanterie ?

Pas du tout, c'est surtout inintéressant, de la musique pseudo grégorienne. Rien de bizarre ici

Mais je suis bien de ton avis. C'est juste que ça m'étonne de sa part.

jerome a écrit:

Xavier a écrit:

Oh non pitié, pas de batterie!

Ça peut être très subtil et même presque mélodique, une batterie.
C'est sûr, si tu imagines tout de suite un batteur de hard-rock, là ça ne colle pas.

Je sais bien, mais même en jazz je ne supporte pas, sauf si ça ne bat pas la mesure de façon régulière.

Cette semaine :

Wagner : Siegfried/Böhm
Wagner : Walküre/Böhm
Wagner : Götterdämmerung acte I : fin/Böhm
Verdi : Nabucco/1949/Callas
Verdi : Simon Bocc. disque I/Solti
Haydn : Les Saisons/Böhm
Verdi : Il Trovatore/Karajan
Debussy : Pélléas disque 1
Verdi : La forza del destino/Gardelli
Mozart : l'Enlèvement au Sérail/Fricsay
Bellini : La Somnanbula/Callas
Lehar : die Lustige Witwe/Schwarzkopf
Verdi : Don Carlos/Giulini
Puccini : Tosca/Sabata
Verdi : Un Ballo in Maschera/Votto
Rossini : le Barbier/Galliera

Guillaume a écrit:

Debussy : Pélléas disque 1

Ah, je vois que tu es reparti du début.
Quelle version?

Toujours la même (Cluytens) mais j'ai légèrement approfondi.

Mais bon, cette semaine n'a pas eu lieu beaucoup de découvertes....

Strauss: Elektra (Mitropoulos 57)

Avec le temps tu te fais mieux à ces vieux monos on dirait.

De toute façon le mono c'est formidable.

Rien de pire qu'une mauvaise stéréo, alors qu'un mauvais mono c'est émouvant.

natrav a écrit:

Avec le temps tu te fais mieux à ces vieux monos on dirait.

Oui mais là c'est plus que correct!
C'est comme les Bartok de Fricsay, même si on perd un peu en spectre sonore.

Xavier a écrit:

C'est comme les Bartok de Fricsay, même si on perd un peu en spectre sonore.

Ce sont les premiers que j'ai achetés, les Fricsay, merveilleux. Avec un vieux Dorati, j'avais du Bartok exclusivement soviétique et mono jusqu'il y a peu.

Bartok: Concerto pour piano n°1 (Donohoe/Rattle)



Dnas l'ensemble ça sonne beaucoup moins naturel et évident qu'Anda/Fricsay, mais le final est assez chouette.

Respighi : Concerto en mode mixolidien

Alfvén : Symphonie n°1

Mahler : Symphonie n°10

Bach, toccata en mi mineur par Clara Haskil

Clérambault : motets pour Saint-Sulpice

Monteverdi -> concerto spirituel

Adriana Lecouvreur de Cilea en direct du Met sur France Musique avec Guleghina, Domingo, Borodina et Frontali notamment sous la direction de Marco Armiliato.

Karl Aage Rasmussen - Movements on a Moving Line, Sinking Through the Dream Mirror (concerto pour violon), Three Friends
violon : Niels Christian Ollgaard
Esbjerg Ensemble dirigé par Ole Schmidt

bof...

Ca doit dépotter

Bartok: Concertos 2 et 3 (Donohoe/Rattle)



Dommage d'avoir pris un tel pianiste, le mouvement lent du 3è concerto est complètement gâché.
Rien à voir avec les phrasés de Geza Anda...
Le 2è concerto est pas mal sinon dans l'ensemble.

Elvira a écrit:

Ca doit dépotter

Qu'est-ce qui doit dépotter?

Rasmussen pardi!

des quatuors joués par le quatuor Arditti
- Karl Aage Rasmussen : Solos and Shadows, Surrounded by Scales
- Bent Sorensen : Alman, Adieu, Angel's music

Xavier a écrit:

Rasmussen pardi!

ben, ce n'est pas laid mais ça ressemble un peu beaucoup (excusez l'expression) à de la masturbation intellectuelle, je n'ai absolument rien ressenti à l'écoute de ces oeuvres

j'vais essayer les quatuors pour voir ce que ça donne

¡ Vacaciones !

Je vais pouvoir faire plein de projets de lectures et d'écoutes que j'abandonnerai dès mardi ! En attendant:

CHOSTAKOVITCH: Lady Macbeth de Mtensk (Janssons/Kušej)

Saint Saens - Africa

J'ai commencé à regarder The Fairy Queen (Purcell) dans une production de l'opéra national anglais, eh bien c'est totalement délirant, tellement délirant qu'on est au milieu du premier acte et je comprends toujours rien... ça danse et chante des contredanses de partout mais j'ai rien compris à l'intrigue, ça m'énerve, j'arrête

Zip a écrit:

¡ Vacaciones !

Je vais pouvoir faire plein de projets de lectures et d'écoutes que j'abandonnerai dès mardi ! En attendant:

CHOSTAKOVITCH: Lady Macbeth de Mtensk (Janssons/Kušej)

Tiens ! As-tu pu écouter Nabucco en entier ?

Era a écrit:

ça danse et chante des contredanses de partout mais j'ai rien compris à l'intrigue, ça m'énerve, j'arrête

L'intrigue chez Purcell c'est secondaire.

Moi j'ai pu entendre Nabucco, du fond de la salle du San Carlo en 49'.

C'est un trés bel opéra, mais bon...ça ne vaut pas ceux postérieurs à 1851.

En même temps, Verdi a une petit vingtaine d'années, il faut replacer la création dans son contexte.

Oui, évidemment, Nabucco ne fait pas le poids face à Aïda, Otello, Falstaff, Don Carlos etc.
Pour la trilogie, pas si sûre...

La Trilogie ce sont quasiment les chefs d'oeuvres de Verdi ! Le Trouvère, la Traviata et Rigoletto sont infiniment supérieurs à Nabucco, de part la diversité de leurs écritures, et la sève mélodique importante qui y coule.
La Traviata l'emporte évidemment sur Nabucco qui est tout de même assez peu précis et raffiné...Le Trouvère je le concède....Rigoletto peut étre...encore que la cohésion dramatique...

Siegfried : acte I
Boulez/Chéreau

C'est carrément mieux que dans mon souvenir ! Jung est vraiment trés faible (il y a qu'à écouter son "Aus dem Wald fort..." c'est catastrophique), mais Zednik est trés bon et McIntyre finalement bon, la voix meilleure que dans mon souvenir.
La mes est un peu triste, toute cette industrie, où est la nature ?

Guillaume a écrit:

Siegfried : acte I
Boulez/Chéreau

C'est carrément mieux que dans mon souvenir ! Jung est vraiment trés faible (il y a qu'à écouter son "Aus dem Wald fort..." c'est catastrophique), mais Zednik est trés bon et McIntyre finalement bon, la voix meilleure que dans mon souvenir.
La mes est un peu triste, toute cette industrie, où est la nature ?

Justement, la nature est violée et détruite par les hommes, Wotan en tête, je pense que c'est un des parti-pris de Chéreau de montrer cela.
Maintenant, sur la longueur, c'est un peu laid en effet, ça me fait le même effet.

Adriana Lecouvreur est terminé mais ils passent le 3e acte d'Andrea Chénier de Giordano dans la version de studio de Levine avec Domingo, Scotto et Milnes. J'écoute bien entendu.

"Vicino a te" d'Andrea Chenier par Scotto et Domingo. Ils sont merveilleux dans ce duo.

Citation :

La Trilogie ce sont quasiment les chefs d'oeuvres de Verdi ! Le Trouvère, la Traviata et Rigoletto sont infiniment supérieurs à Nabucco, de part la diversité de leurs écritures, et la sève mélodique importante qui y coule.
La Traviata l'emporte évidemment sur Nabucco qui est tout de même assez peu précis et raffiné...Le Trouvère je le concède....Rigoletto peut étre...encore que la cohésion dramatique...

Ah oui, pratiquemment les chefs d'oeuvres de Verdi, et c'est justement ce pratiquemment qui fait toute la différence.

Infiniment supérieur ? Non, non, il y a certes des points qui lui sont supérieurs, mais je le répète, c'est un opéra de jeunesse, très ancré dans l'ère belcantiste.
Diversité de leurs écritures ? Tu trouves vraiment ? Je trouve au contraire que leur style sont très très proches. Il faut dire que la date de création est aussi très proche.
Non, je persiste, Nabucco pour la première période de Verdi est très très bon. La scène II de l'acte II est un avant goût du grand air de Filippo... La scène d'Abigaille est très belle, l'andante certes très bellinienne, est très raffinée (bon, on zappe la cabalette -que j'adore- évidemment zim boum boum)...
Et le duo Nabucco/Abigaille !

Non, je n'ai pas encore écouté en entier Nabucco.

Mais c'est prévu dès demain.

Ce n'est pas pour te presser non plus!

En fait je n'ai pas tellement le choix, je dois le rendre à la médiathèque dans trois jours. (au dernier moment, toujours au dernier moment)

Rautavaara: Sonate pour piano n°1 "Le Christ et les Pêcheurs"



Un peu de Ravel, un peu de Bartok, un peu de Messiaen, à l'arrivée c'est pas mal du tout.

Sonate n°2 "Le Sermon de feu"



On reconnaît plus le Rautaavara habituel, mais ça me plaît un peu moins.