Playlist (21)

Pulcino a écrit:

jerome a écrit:

Franck : Quatuor

Dans quelle version ?

J'ai plus la pochette du disque, mais ça doit être les Pro Arte (1933).

Ah oui la date ! Ca doit fortement accentué le côté massif ! (même si je suis d'accord sur le côté "orgue" de l'oeuvre)

Ah oui nan... bon, c'est écoutable, mais ça n'est pas le meilleur moyen d'apprécier l'oeuvre tout le monde.
Les premiers accords je trouve qu'on dirait une guitare électrique plutôt qu'un quatuor.

Oui, il me faudrait une version plus moderne, je crois

Chausson : Symphonie - Munch

Et pour le quintette, tu as écouté les Capet de 1928??

Ah non, quand même !
J'ai Musique Oblique chez Alphée (2005), couplé avec l'op. 30 de Chausson.
Et justement, on note une différence d'épaisseur, d'une oeuvre à l'autre.

Dave a écrit:

Introduction (sextette) de Capriccio par Böhm.



Un peu tard peut être pour écouter l'opéra en entier mais ça va être dur de s'arrêter

Je vais m'arrêter là, à la scène 7
C'est vraiment superbe

Le plateau vocal de cette version est excellent (DFD, Troyanos, Janowitz, Prey, Schreier, Ridderbusch...) et l'orchestre vraiment magnifique. Cela dit, on sent que c'est un studio et je préfère Prêtre, pris sur le vif, et qui est assez idéal, avec Lott ( ), Kunde ( ) et Von Kannen ( )(dont je ne peux m'empêcher de penser à son Alberich lorsque je l'écoute, ce qui procure une sensation assez agréable )

War Requiem de Britten
Pears, DFD, Vishnevskaya, Britten...

Scriabine

Sonate n°9 Op 68 (Glemser)

Dave a écrit:

Le plateau vocal de cette version est excellent (DFD, Troyanos, Janowitz, Prey, Schreier, Ridderbusch...) et l'orchestre vraiment magnifique. Cela dit, on sent que c'est un studio et je préfère Prêtre, pris sur le vif, et qui est assez idéal, avec Lott ( ), Kunde ( ) et Von Kannen ( )(dont je ne peux m'empêcher de penser à son Alberich lorsque je l'écoute, ce qui procure une sensation assez agréable )

Puis-je me permettre de t'encourager à reprendre voire à développer cette comparaison Prêtre / Böhm dans le fil disco sur Capriccio?

Octavian a écrit:

Dave a écrit:

Le plateau vocal de cette version est excellent (DFD, Troyanos, Janowitz, Prey, Schreier, Ridderbusch...) et l'orchestre vraiment magnifique. Cela dit, on sent que c'est un studio et je préfère Prêtre, pris sur le vif, et qui est assez idéal, avec Lott ( ), Kunde ( ) et Von Kannen ( )(dont je ne peux m'empêcher de penser à son Alberich lorsque je l'écoute, ce qui procure une sensation assez agréable )

Puis-je me permettre de t'encourager à reprendre voire à développer cette comparaison Prêtre / Böhm dans le fil disco sur Capriccio?

Ca se résume pourtant en une phrase simple : David avait bien sûr raison.

--

Hier et ce matin :

=> Bréville et autres raretés françaises (musique de chambre et mélodies), je ne peux pas donner le détail publiquement.
De à

=> Gianni Raimondi dans Norma


=> Lalo, Fiesque, acte II (Altinoglu)


Le Lutin Chamber Burdigalensis dans :
- Beethoven - Fidelio - Air de Pizarro

- Schumann - Liederkreis Op.24 (Heine), première lecture

- Wolf - Auf ein altes Bild (Mörike)

- Schubert - Der Doppelgänger / Das Fischermädchen / Der Atlas

(Avec les tonalités originales de ténor, pour changer. Que Cololi se rassure, je suis sorti raisonnablement couvert. )

=> Ibert / Honegger - L'Aiglon (Marseille)


=> Zemlinsky - Die Seejungfrau - Chailly Berlin RSO

Suite à notre discussion de l'autre jour. C'est quand même vraiment chouette ! Mais ma version était moins détaillée (Langrée ??).

=> Zemlinsky - Psaumes

DavidLeMarrec a écrit:

(Avec les tonalités originales de ténor, pour changer. Que Cololi se rassure, je suis sorti raisonnablement couvert. )

Par curiosité, ça monte jusqu'où ?

Spoiler:

DavidLeMarrec a écrit:

Ca se résume pourtant en une phrase simple : David avait bien sûr raison.

Hum Ça me semble un peu plus subtil que ça, nan?

DavidLeMarrec a écrit:

=> Zemlinsky - Die Seejungfrau - Chailly Berlin RSO

Suite à notre discussion de l'autre jour. C'est quand même vraiment chouette ! Mais ma version était moins détaillée (Langrée ??).

=> Zemlinsky - Psaumes

Ah. Effectivement si ta version était moins détaillée, le côté mastoc indigeste devait être bien dur à avaler. Dans mon souvenir ce sont justement les "détails" qui donnaient sa valeur à cette partition (mais ça aussi on peut peut-être poursuivre la discussion dans le fil idoine?...).

jerome a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

(Avec les tonalités originales de ténor, pour changer. Que Cololi se rassure, je suis sorti raisonnablement couvert. )

Par curiosité, ça monte jusqu'où ?

Spoiler:

La bémol 3 tenu. Ce qui est plus bas dans l'absolu, tu en conviendras, qu'un sol dièse.

... que j'ai d'ailleurs tenté, j'ai des preuves.

DavidLeMarrec a écrit:

=> Gianni Raimondi dans Norma

Ca n'est pas le format de Pollione me semble t-il

DavidLeMarrec a écrit:

jerome a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

(Avec les tonalités originales de ténor, pour changer. Que Cololi se rassure, je suis sorti raisonnablement couvert. )

Par curiosité, ça monte jusqu'où ?

Spoiler:

La bémol 3 tenu. Ce qui est plus bas dans l'absolu, tu en conviendras, qu'un sol dièse.

... que j'ai d'ailleurs tenté, j'ai des preuves.

un sol# plus bas qu'un lab, j'ai du rater trop de cours de solfège (je confesse être toujours une catastrophe en la matière).

Pour ma part ça reste la même note

Tout dépend du tempérament que tu utilises. Le tempérament égal est une hérésie (les quintes sont fausses sur un piano), mais effectivement si tu chantes avec piano, c'est la même chose.

Avec un tempérament inégal traditionnel, le sol# est légèrement plus près du la et le lab légèrement plus près du sol.

DavidLeMarrec a écrit:

Tout dépend du tempérament que tu utilises. Le tempérament égal est une hérésie (les quintes sont fausses sur un piano), mais effectivement si tu chantes avec piano, c'est la même chose.

Avec un tempérament inégal traditionnel, le sol# est légèrement plus près du la et le lab légèrement plus près du sol.

Mais je croyais que tu rigolais moi.
Comment veux tu que ce soit pas les mêmes notes ?

DavidLeMarrec a écrit:

Tout dépend du tempérament que tu utilises. Le tempérament égal est une hérésie

Le clavier bien tempéré, c'est une hérésie?

Cololi a écrit:

Mais je croyais que tu rigolais moi.
Comment veux tu que ce soit pas les mêmes notes ?

Si, si c'est vrai, pour un violon par exemple, il ne joue pas pareil Sol# et Lab.

Je rigolais dans le sens où j'étais de mauvaise foi : je répétais avec un piano, donc c'étaient bien les mêmes notes.

Mais mon argumentation n'était pas fausse. Dans un intervalle d'un ton, les musiciens disent (mais c'est une approximation) qu'il y a neuf commas.

Pour faire simple : dans une 'vraie' gamme, un dièse ou un bémol n'est pas équidistant des deux notes qui l'encadrent. Sol dièse est plus proche de la que de sol, et la bémol plus proche de sol que de la.
Soit : sol - 4 commas - la bémol - 1 comma - sol dièse - 4 commas - la.

Le sol dièse a donc une vocation ascendante, et le la bémol une vocation descendante. Tout ça a des raisons physiques (on cherchait des 'accordages' qui permettent la pureté des tierces). Si on a adopté le tempérament égal, c'est pour éviter la "quinte du loup", généralement sol#-mib, une quinte très fausse qui résultait de ces 'accordages' "purs". On ne pouvait pas la jouer, et ça limitait considérablement les modulations. C'est pour cela d'ailleurs qu'on a adopté le tempérament égal, plus plat mais qui permet de moduler autant que voulu. Sans tempérament égal, pas de Wagner, pas de Scriabine. Et pas de Xavier.

Citation :

Si, si c'est vrai, pour un violon par exemple, il ne joue pas pareil Sol# et Lab.

Ca, c'est une légende, liée au fait qu'un violoniste ne joue jamais deux fois la même note.
Oui, parfaitement, je suis méchant.

Wolfgang a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Tout dépend du tempérament que tu utilises. Le tempérament égal est une hérésie

Le clavier bien tempéré, c'est une hérésie?

Le Clavier bien tempéré n'était pas un tempérament égal, attention ! Il affaiblissait la justesse des quintes, pour que tous les tons soient jouables, mais ils n'avaient pas tous une couleur égale, c'est ça qui était génial - et qui rend absurde de jouer ça sur piano, d'une certaine façon. On le fait quand même, parce que c'est le seul moyen de ne pas s'ennuyer.

Tout ce que vous dites est passionnant.

Cela ne devrait-il pas se retrouver dans un fil de théorie musicale pour ne pas être perdu

Stadler a écrit:

Tout ce que vous dites est passionnant.

Cela ne devrait-il pas se retrouver dans un fil de théorie musicale pour ne pas être perdu

+1


Sinon: Philidor - Carmen Saeculare (Malgoire) et ouvertures (Brenda). Je vous prépare le fil (oui je suis maso).

DavidLeMarrec a écrit:

Le Clavier bien tempéré n'était pas un tempérament égal, attention ! Il affaiblissait la justesse des quintes, pour que tous les tons soient jouables, mais ils n'avaient pas tous une couleur égale, c'est ça qui était génial - et qui rend absurde de jouer ça sur piano, d'une certaine façon. [size=7]On le fait quand même, parce que c'est le seul moyen de ne pas s'ennuyer.

Comme quoi, en faisant des jeux de mots pourris, je finis par m'instruire.

DavidLeMarrec a écrit:

Ca, c'est une légende, liée au fait qu'un violoniste ne joue jamais deux fois la même note.

Quid des altistes?

Octavian a écrit:

Dave a écrit:

Le plateau vocal de cette version est excellent (DFD, Troyanos, Janowitz, Prey, Schreier, Ridderbusch...) et l'orchestre vraiment magnifique. Cela dit, on sent que c'est un studio et je préfère Prêtre, pris sur le vif, et qui est assez idéal, avec Lott ( ), Kunde ( ) et Von Kannen ( )(dont je ne peux m'empêcher de penser à son Alberich lorsque je l'écoute, ce qui procure une sensation assez agréable )

Puis-je me permettre de t'encourager à reprendre voire à développer cette comparaison Prêtre / Böhm dans le fil disco sur Capriccio?

Ok ok, de toute façon cet opéra mérite que je me fasse chier à faire un commentaire plus fourni qu'à l'accoutumée

Par contre, aujourd'hui pas le temps, je pars en vacances demain, il va pas falloir être pressé

Et puis pour compléter, je crois que de toute façon la meilleure version, pour moi, serait le DVD Runnicles avec KTK qui me permet de ne pas avoir les yeux rivés sur ce foutu livret

DavidLeMarrec a écrit:

Je rigolais dans le sens où j'étais de mauvaise foi : je répétais avec un piano, donc c'étaient bien les mêmes notes.

Mais mon argumentation n'était pas fausse. Dans un intervalle d'un ton, les musiciens disent (mais c'est une approximation) qu'il y a neuf commas.

Pour faire simple : dans une 'vraie' gamme, un dièse ou un bémol n'est pas équidistant des deux notes qui l'encadrent. Sol dièse est plus proche de la que de sol, et la bémol plus proche de sol que de la.
Soit : sol - 4 commas - la bémol - 1 comma - sol dièse - 4 commas - la.

Le sol dièse a donc une vocation ascendante, et le la bémol une vocation descendante. Tout ça a des raisons physiques (on cherchait des 'accordages' qui permettent la pureté des tierces). Si on a adopté le tempérament égal, c'est pour éviter la "quinte du loup", généralement sol#-mib, une quinte très fausse qui résultait de ces 'accordages' "purs". On ne pouvait pas la jouer, et ça limitait considérablement les modulations. C'est pour cela d'ailleurs qu'on a adopté le tempérament égal, plus plat mais qui permet de moduler autant que voulu. Sans tempérament égal, pas de Wagner, pas de Scriabine. Et pas de Xavier.

J'ignorais évidemment. Pour moi c'était clairement équidistant.
Mais bref, merci pour la théorie

Dave a écrit:

Ok ok, de toute façon cet opéra mérite que je me fasse chier à faire un commentaire plus fourni qu'à l'accoutumée

Par contre, aujourd'hui pas le temps, je pars en vacances demain, il va pas falloir être pressé

Compte sur moi pour te le rappeler à ton retour. Et bonnes vacances!

Octavian a écrit:

Compte sur moi pour te le rappeler à ton retour. Et bonnes vacances!

Tu feras bien, parce que j'ai une forte tendance à procrastiner. Mais j'aurai Internet sur mon lieu de vacances, par contre les cds...

Bonnes vacances à toi ausi Et n'oublie pas d'écouter les 4 derniers lieders de tu-sais-qui

Wolfgang a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Ca, c'est une légende, liée au fait qu'un violoniste ne joue jamais deux fois la même note.

Quid des altistes?

Les altistes n'ont pas ce problème, les altos sont vendus déjà accordés.

Lucia di Lammermoor, Molinari-Pradelli, 30 juin 1967, RAI Torino, Scotto, Pavarotti, Cappuccilli, ... (Acte I)

Elizabeth Shampooing
Schubert/Schumann/Strauss
Lieder

(avec Gerald Moore et Geoffrey Parsons)


EDIT : Bôf. Autant j'aime beaucoup Schwarzkopf dans l'opéra, autant là, je ne crois pas qu'elle soit faite pour le Lied. Sa voix est trop maniérée pour ça.
C'est même un peu désagréable à entendre.

Guillaume a écrit:

Elizabeth Shampooing
Schubert/Schumann/Strauss
Lieder

(avec Gerald Moore et Geoffrey Parsons)

Pourquoi l'appelles tu comme cela? C'est en tout cas original. Je n'aime pas Schwarzy.

Du coup, pour me rassurer, j'écoute Wunderlich. (3000e fois que j'écoute ce disque)

Et encore Ungeduld en plus.

aurele a écrit:

Guillaume a écrit:

Elizabeth Shampooing
Schubert/Schumann/Strauss
Lieder

(avec Gerald Moore et Geoffrey Parsons)

Pourquoi l'appelles tu comme cela? C'est en tout cas original. Je n'aime pas Schwarzy.

Tu ne dois pas trop regarder la tv

Guillaume a écrit:

Autant j'aime beaucoup Schwarzkopf dans l'opéra, autant là, je ne crois pas qu'elle soit faite pour le Lied.

Même constat.


Offenbach - Orphée aux Enfers - Dessay, Beuron, Fouchécourt... dir. Minkowski

Rosenkavalier
Acte II - première moitié
Ludwig, Troyanos, Mathis, Adam
Böhm 1969

Avec livret allemand/anglais, mais l'histoire reste compliquée. Cependant, de la trés belle musique, et ce, continuellement.

@Guillaume

N'oublie pas d'écouter Capriccio (livret indispensable) , tu devrais adorer


edit: ben jerome, je l'aimais bien ton post moi

Koechlin - Quintette op.80 (Antigone Quartet)




Disponible sur Musicme

Super nouvelle !
(Pour moi, c'est cinq tartelettes.)

=> Zemlinsky, Quatuor 3, Artis SQ

=> Zemlinsky, Quatuor 4, Artis SQ

=> Zemlinsky, Quatuor Op.6, Artis SQ

... et je pèse mon citron !

=> Zemlinsky, Symphonie Lyrique, Conlon

Elle est magnifique dans cette version.

=> Zemlinsky, Préludes et Intermèdes, Conlon

Aussi beau que du Schreker, pour l'Interlude du König Kandaules...

Bien, il va falloir que je réévalue le cas Conlon... Il faut croire que son disque Schreker extrêmement frustrant a conforté une image de lui que j'avais déjà, et qui n'est pas toujours justifiée... C'est la première fois que j'apprécie cette Symphonie Lyrique, et pourtant il n'est pas exclu que j'aie entendu sa version, il y a quelques années, à la radio.


=> Beethoven, Fidelio, P. Schneider, MET / Bonde-Hansen, Meier, Salminen...

Ma version de chevet, Schneider qui est décrit parfois comme un routinier semble avoir pris corps dans Beethoven. Génial rythmiquement.

Dave a écrit:

@Guillaume

N'oublie pas d'écouter Capriccio (livret indispensable) , tu devrais adorer


edit: ben jerome, je l'aimais bien ton post moi

Je n'ai pas le livret, juste le synopsis. (version Böhm : ça a l'air géant au vu des noms )

Mais je suis un peu germanophone, et peut être que sur ODB...

Guillaume a écrit:

Mais je suis un peu germanophone, et peut être que sur ODB...

Non... Il est dans l'excellente version PrêtreII avec Lott, peut être dans la version PrêtreI (avec Wunderlich ) que je ne connais pas, les 2 DVD sont très bons et l'avant scène existe.

Dave a écrit:

Guillaume a écrit:

Mais je suis un peu germanophone, et peut être que sur ODB...

Non... Il est dans l'excellente version PrêtreII avec Lott, peut être dans la version PrêtreI (avec Wunderlich ) que je ne connais pas, les 2 DVD sont très bons et l'avant scène existe.

Non, il n'est pas dans Prêtre I (avec Wunderlich, mais le rôle est tout petit)

Je crois qu'il va me falloir l'ASO.


Mais j'écouterais avant, avec le synopsis en tête, ce doit être faisable.

Ca me rappelle un peu di Stefano par les aigus, Melchior par la domination technique, et un peu Corelli aussi.

En tous cas, c'est trés beau.

DavidLeMarrec a écrit:

Super nouvelle !
(Pour moi, c'est cinq tartelettes.)

J'aime beaucoup mais ça ne me fait pas encore l'effet escompté, surtout après tous les commentaires lus sur cette œuvre !
Enfin, je persévère et parfois, ici et là, je ressens une petite pointe d'émotion qui me fait espérer

Citation :

=> Beethoven, Fidelio, P. Schneider, MET / Bonde-Hansen, Meier, Salminen...

Ma version de chevet, Schneider qui est décrit parfois comme un routinier semble avoir pris corps dans Beethoven. Génial rythmiquement.

C'est proche du DVD Mehta sorti récemment (avec Meier, Seiffert et Salminen) ? Je pensais l'acheter pour découvrir l'œuvre.

Dave a écrit:

Tu ne dois pas trop regarder la tv

Je n'avais pas tilté. Je connais cette marque.

Dave a écrit:

C'est proche du DVD Mehta sorti récemment (avec Meier, Seiffert et Salminen) ? Je pensais l'acheter pour découvrir l'œuvre.

Mehta est un peu lent, mais au niveau de l'articulation orchestrale, c'est assez comparable, oui (et Meier est encore plus extraordinaire, je crois).

Lucia di Lammermoor, Molinari-Pradelli, 30 juin 1967, RAI Torino, Scotto, Pavarotti, Cappuccilli, ... (Acte II)

Koechlin, le livre de la jungle

Lindberg : Concerto pour piano : Ouille, ça pique !
Le concerto pour orchestre est plus agréable.

Frère Elustaphe a écrit:

Koechlin, le livre de la jungle

Alors c'est bien ?