Playlist (27)

J'avoue que je trouve ça assez aride, mais pas non plus impossible à écouter.

CQFD

Evidemment que c'est de la musique complexe, mais elle est tout à fait intelligible.

Quintette de Jean Cras. Que c'est rafraîchissant !

arnaud bellemontagne a écrit:

CQFD

Evidemment que c'est de la musique complexe, mais elle est tout à fait intelligible.

Le souci c'est que ça va du génial (en gros les oeuvres de la 1° partie) à l'aridité totale (Variations).

Cololi a écrit:

Le souci c'est que ça va du génial (en gros les oeuvres de la 1° partie) à l'aridité totale (Variations).

Ça me semble un peu discutable comme dichotomie.

Cololi a écrit:

aridité totale (Variations).

Heuuu, il y a franchement pire.
A part cette cochonnerie de mandoline, je trouve que ces variations sont encore très écoutables.

Ça me semble très écoutable à moi aussi, mais c'est surtout l'opposition "génial" / "aride" qui prête à... sourire, disons.

Idem, j'ai du mal à saisir la portée de cette dichotomie.

@Jerome:je la trouve très belle pour ma part cette mandoline dans les Variations.

Sinon ici:
Mahler:Symphonie n°5 (Gielen)

Schumann : Symphonie n°4
Furtwängler et Sawallisch

Amusant, la comparaison a déja été développée dans le débat entre Scherzian et David. Je vais tenter une petite écoute comparative, juste pour le plaisir de réecouter cette symphonie sublime.

jerome a écrit:

Cololi a écrit:

aridité totale (Variations).

Heuuu, il y a franchement pire.
A part cette cochonnerie de mandoline, je trouve que ces variations sont encore très écoutables.

Octavian a écrit:

Ça me semble très écoutable à moi aussi, mais c'est surtout l'opposition "génial" / "aride" qui prête à... sourire, disons.

C'était juste manichéen et un peu provoc

Mais il me semble quand même qu'il y a un fond de vérité !
Et je n'attend pas d'une musique qu'elle soit juste "écoutable" (encore heureux qu'elle le soit !), mais qu'elle me transporte.

Débat qui continue

Trio de Cras. C'est sympa comme tout, sans prétention. de la musique joyeuse, en pleine santé.

Guillaume a écrit:

Schumann : Symphonie n°4
Furtwängler et Sawallisch

Amusant, la comparaison a déja été développée dans le débat entre Scherzian et David. Je vais tenter une petite écoute comparative, juste pour le plaisir de réecouter cette symphonie sublime.

Au final t'as aimé cette 8ème de Mahler?

Atterberg : symphonie n°4

En quoi une oeuvre aride ne serait-elle pas géniale ?...

Plus difficile à qualifier de géniale, je le conçois tout à fait, car ça s'applique tout à fait à mon cas...

Ben à la base une oeuvre aride c'est une oeuvre qui ne touche pas.
Donc je ne vois pas comment on pourrait la qualifier de géniale.
C'est pour cela que je m'insurge( ) lorsque l'on qualifie Moise et Aron d'oeuvre aride.
Difficile sans doute, aride non et geniale 100 fois oui.

arnaud bellemontagne a écrit:

Ben à la base une oeuvre aride c'est une oeuvre qui ne touche pas.
Donc je ne vois pas comment on pourrait la qualifier de géniale.
C'est pour cela que je m'insurge lorsque l'on qualifie Moise et Aron d'oeuvre aride.
Difficile sans doute, aride non et geniale 100 fois oui.

Ah, moi, je voyais aride comme vraiment difficile d'accès.

arnaud bellemontagne a écrit:

Ben à la base une oeuvre aride c'est une oeuvre qui ne touche pas.
Donc je ne vois pas comment on pourrait la qualifier de géniale.

Tout à fait.
Il s'agissait de s'entendre sur le mot.

@Elvira:Ah dans ce cas la on est d'accord.

Cololi a écrit:

C'était juste manichéen et un peu provoc

Mais il me semble quand même qu'il y a un fond de vérité !

Absolument pas, tu parles d'oeuvres que tu n'as pas écoutées il me semble...

Les oeuvres les plus géniales sont pour moi sont celles qui sont à la frontière de l'atonalité (Symphonie de chambre n°1, 2è quatuor) puis une grande partie de la période atonale. (les jardins suspendus, l'opus 16, Erwartung, Glückliche Hand, Pierrot lunaire...)
Je rajoute les Gurrelieder quand même.

Fauré: Pénélope, acte 1/Dutoit

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

C'était juste manichéen et un peu provoc

Mais il me semble quand même qu'il y a un fond de vérité !

Absolument pas, tu parles d'oeuvres que tu n'as pas écoutées il me semble...

Les oeuvres les plus géniales sont pour moi sont celles qui sont à la frontière de l'atonalité (Symphonie de chambre n°1, 2è quatuor) puis une grande partie de la période atonale. (les jardins suspendus, l'opus 16, Erwartung, Glückliche Hand, Pierrot lunaire...)
Je rajoute les Gurrelieder quand même.

Il te semble mal alors ...

J'ai écouté :

Verklärte Nacht Op. 4 (1899)
Gurre-Lieder (1901/11)
Pelleas und Melisande Op. 5 (1902/03)
Kammersymphonie no. 1, E major, Op. 9 (1906)
Fünf Orchesterstücke Op. 16 (1909)
Variations for Orchestra, Op. 31 (1926/28)

J'ai écouté aussi de façon très furtive son 1° quatuor ... et le mouvement proposé par Ophanin du concerto pour violon.

Hippolyte a écrit:

C'est curieux, ce récital de Fink et Maistre n'apparaît plus dans le calendrier de Favart.

Pourvu qu'ils n'annulent pas...

@Cololi:Excellent!!!

Tu peux continuer avec la Serenade (Version Caft), le Concerto pour Violon( en entier version Hahn/Salonen) puis Moise et Aron(version Gielen).

Mais il vaudrait peut être mieux assimiler auparavant les oeuvres qu'a cité Xavier.

arnaud bellemontagne a écrit:

@Jerome:je la trouve très belle pour ma part cette mandoline dans les Variations.

Ecoutez-la dans la Sérénade, vous aurez comme cela à la fois mandoline écoutable et chef-d'oeuvre.

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

C'était juste manichéen et un peu provoc

Mais il me semble quand même qu'il y a un fond de vérité !

Absolument pas, tu parles d'oeuvres que tu n'as pas écoutées il me semble...

Les oeuvres les plus géniales sont pour moi sont celles qui sont à la frontière de l'atonalité (Symphonie de chambre n°1, 2è quatuor) puis une grande partie de la période atonale. (les jardins suspendus, l'opus 16, Erwartung, Glückliche Hand, Pierrot lunaire...)
Je rajoute les Gurrelieder quand même.

Il te semble mal alors ...

J'ai écouté :

Verklärte Nacht Op. 4 (1899)
Gurre-Lieder (1901/11)
Pelleas und Melisande Op. 5 (1902/03)
Kammersymphonie no. 1, E major, Op. 9 (1906)
Fünf Orchesterstücke Op. 16 (1909)
Variations for Orchestra, Op. 31 (1926/28)

C'est ce que je dis, tu as écouté une oeuvre atonale et une oeuvre sérielle... ça fait peu pour généraliser, non?
J'aimerais bien tes impressions sur l'opus 16!

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

@Jerome:je la trouve très belle pour ma part cette mandoline dans les Variations.

Ecoutez-la dans la Sérénade, vous aurez comme cela à la fois mandoline écoutable et chef-d'oeuvre.

Non non, Cololi, si tu veux du Schoenberg expressif, la Sérénade n'est surement pas le premier choix...

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

Xavier a écrit:

Cololi a écrit:

C'était juste manichéen et un peu provoc

Mais il me semble quand même qu'il y a un fond de vérité !

Absolument pas, tu parles d'oeuvres que tu n'as pas écoutées il me semble...

Les oeuvres les plus géniales sont pour moi sont celles qui sont à la frontière de l'atonalité (Symphonie de chambre n°1, 2è quatuor) puis une grande partie de la période atonale. (les jardins suspendus, l'opus 16, Erwartung, Glückliche Hand, Pierrot lunaire...)
Je rajoute les Gurrelieder quand même.

Il te semble mal alors ...

J'ai écouté :

Verklärte Nacht Op. 4 (1899)
Gurre-Lieder (1901/11)
Pelleas und Melisande Op. 5 (1902/03)
Kammersymphonie no. 1, E major, Op. 9 (1906)
Fünf Orchesterstücke Op. 16 (1909)
Variations for Orchestra, Op. 31 (1926/28)

C'est ce que je dis, tu as écouté une oeuvre atonale et une oeuvre sérielle... ça fait peu pour généraliser, non?
J'aimerais bien tes impressions sur l'opus 16!

Certes (et surtout 1 seule vraie écoute ... mais les Variations ... c'est pas demain que remet ça dans le lecteur )
Pour les impressions, j'en donnerai ... promis ... mais après plus d'écoute que ça.

@Cololi:Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle?

Et tu peux y aller sur la Serenade (pas par Boulez), comme le dit David c'est une merveille avec une instrumentation fabuleuse sur le plan de l'imagination sonore.

Xavier a écrit:

Non non, Cololi, si tu veux du Schoenberg expressif, la Sérénade n'est surement pas le premier choix...

Je pense que David faisait une double allusion ... il parlait de celle de Don Gio

Non on parle de la Serenade de Schoenberg il me semble.

arnaud bellemontagne a écrit:

Non on parle de la Serenade de Schoenberg il me semble.

Il jouait sur le fait que ça désigne 2 oeuvres il me semble.

C'est un grand joueur notre

Tu crois?
Peut être....

Chausson : Poème de la mer et de l'amour Orchestre philarmonique du Luxembourg Krivine/Koch sur FM

Dvořák :

~ Sérénade pour cordes op.22
~ Sérénade pour vents op.44

(Chung)

calbo a écrit:

Chausson : Poème de la mer et de la mer Orchestre philarmonique du Luxembourg Krivine/Koch sur FM

Mais calbo... ce n'est pas du belcanto !

Elvira a écrit:

calbo a écrit:

Chausson : Poème de la mer et de la mer Orchestre philarmonique du Luxembourg Krivine/Koch sur FM

Mais calbo... ce n'est pas du belcanto !

Ça doit être des chants de marins.

En effet . Depuis qu'un certain Arnaud est arrivé j'ai tendance à me dévergonder . Va falloir que je me calme un peu

Schönberg, Verklärte Nacht. La Salle Q.

ça, c'est vraiment bien !

♫ a écrit:

Elvira a écrit:

calbo a écrit:

Chausson : Poème de la mer et de la mer Orchestre philarmonique du Luxembourg Krivine/Koch sur FM

Mais calbo... ce n'est pas du belcanto !

Ça doit être des chants de marins.

J'ai édité

Sauf que c'est encore pas ça.

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