Chanson française-Playlist

Resigned a écrit:

David Rolland a écrit:

Resigned a écrit:

Deux nouveaux titres de Bertrand Belin ces temps-ci: Que dalle tout et Tambour Vision.
J'ai d'abord une réaction de rejet car c'est vraiment dans sa veine minimaliste. Et puis au fil des écoutes, ces deux titres commencent à sérieusement m'obséder.
Fascinant comme ce chanteur qui a commencé sa carrière dans le folk chaleureux (sous influence cajun) vire totalement cold wave...

Pour ma part, je ne peux pas. Je suis à l’encontre de tout ce qui a été dit sur ce fil au sujet de Belin (sur l’oiseau, notamment, d’ailleurs il fait vingt ans de plus que son âge en chantant ça). Avec ses références, Gainsbourg, Bashung, il fait, à mon sens, fausse route, et du tort à la chanson française. Ce que je n’aime pas, c’est l’attitude qui est la sienne d’ânonner, en pure répétition de l’inanité de son chant, des mantras confondants de stupeur vide. Surtout, sans aucun art du chant, aucun. Pure pose, et qu’importe les instruments, lorsqu’un pseudo-chanteur usurpe le nom de poésie et de chant, perd son temps à dégloser son esthétique ultraposeuse et factice, on n’a affaire, à mon avis, qu’à un produit commercial, une lubie de producteur-éditeur. Je ne veux pas qu’il arrête, mais quand je l’entends par erreur sur FIP, j’aimerais qu’il retourne dans son garage et parmi ses potes. Je hais de toutes mes forces esthétiques son esthétisme halluciné de soi. Je ne demande pas mieux qu’à devenir converti à sa présence, mais qu’il fasse un petit peu l’effort de chanter ! Même moi, dans mon HLM, après 15 ans de tabagisme, heureusement échus depuis 10 ans, je pourrais faire mieux au bout d’une heure, même en chantant Bach ou le dernier chanteur venu d’un caniveau. Sa fixette ultradandy est une insulte à tout ce qui s’appelle musique, chanson. Ses textes n’y feront rien, préférez les livres et tout tweet émanant d’une conscience à peu près consciencieuse.

Je voudrais prendre le temps de répondre et essayer de mieux comprendre ton antipathie vis a vis de Belin, mais déjà une question me vient: est-ce que tu connais aussi ses premiers disques?
Le gars ne sort pas de nulle part et il a un vrai parcours, une vraie évolution esthétique (que je déplore parfois), et en faire un pur produit commercial, je trouve ça assez fort vu le tout-venant.
Il écrit aussi des romans qui sont quand même restés assez confidentiels. Il a une vraie patte. Il parle des petites gens de manière tout sauf caricaturale. Bref je l'aime et ta sortie m'a fait comme une douche froide au réveil!

Je connais de lui Hypernuit et Parcs. Le problème que j'ai avec Belin est qu'il fait toujours la même chose et très typée.
Gainsbourg ou Bashung sont cités, deux artistes qui ont trés souvent fait des albums très différents.

Le commentaire de David Rolland est dans l'emphase comme Belin "faire du tort à la chanson française". La chanson française n'a que faire de Belin et le bussiness mainstream qu'il soit globish ou frenchy se fait assez de mal à lui même.

Pour David Rolland  un disque majeur

La voix et les intonations de Belin rapellent en effet Bashung et Gainsbourg mais ce ne sont pas ses influences premières. C'est vraiment le folk américain profond (Louisiane) et maintenant il prend un virage David Byrne. Mais dire qu'il fait tout le temps la même chose, là je tombe des nues... (encore une fois il faut voir son évolution au fil des albums qui est impressionnante, de La Perdue à Que dalle tout).

Resigned a écrit:

La voix et les intonations de Belin rapellent en effet Bashung et Gainsbourg mais ce ne sont pas ses influences premières. C'est vraiment le folk américain profond (Louisiane) […]

Si tu étais passé à côté : La radio de Bertrand Belin

https://www.franceinter.fr/emissions/la-radio-de/la-radio-de-du-samedi-09-octobre-2021

   Hubert-Félix Thiéfaine - Première descente aux enfers par la face nord
   Little Parker junior - Mystery train
   Alex Cameron - Happy ending
   Christophe - Cette chanson
   Chuck Berry - Havana moon
   Django Reinhardt feat. Coleman Hawkins - Blue moon
   Elvis Presley - Blue moon
   Dick Annegarn - La limonade
   Jeri southern - I thought of you last night
   Connan Mockasin - It’s choade my dear
   ARLT - Après quoi nous avons ri
   June Myake - Lista de Praia

Je ne connaissais pas du tout Bertrand Belin avant de lire les échanges qui précèdent ( ), mais j'avoue que ça rend curieux.

je te l'avais personnellement conseillé (tout début de la page 13), mais cela t'avait sans doute échappé.
A mon avis, l'album Persona pourrait te plaire (ou Concert at Saint-Quentin avec les Percussions Claviers de Lyon, peut-être trop joli pour toi, mais aimé par pas mal de monde ici, moi compris)

PS : je trouve que la critique ci-après rend assez bien compte du disque (Persona), et de la figure de Bertrand Belin.
https://addict-culture.com/persona-album-bertrand-belin-2019/


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Sinon, tout le monde le sait sans doute, mais l'album Tambour Vision dont est tiré la chanson (et clip) Que Dalle Tout, sort début mai

Emeryck a écrit:

Resigned a écrit:

David Rolland a écrit:

Resigned a écrit:

Deux nouveaux titres de Bertrand Belin ces temps-ci: Que dalle tout et Tambour Vision.
J'ai d'abord une réaction de rejet car c'est vraiment dans sa veine minimaliste. Et puis au fil des écoutes, ces deux titres commencent à sérieusement m'obséder.
Fascinant comme ce chanteur qui a commencé sa carrière dans le folk chaleureux (sous influence cajun) vire totalement cold wave...

Pour ma part, je ne peux pas. Je suis à l’encontre de tout ce qui a été dit sur ce fil au sujet de Belin (sur l’oiseau, notamment, d’ailleurs il fait vingt ans de plus que son âge en chantant ça). Avec ses références, Gainsbourg, Bashung, il fait, à mon sens, fausse route, et du tort à la chanson française. Ce que je n’aime pas, c’est l’attitude qui est la sienne d’ânonner, en pure répétition de l’inanité de son chant, des mantras confondants de stupeur vide. Surtout, sans aucun art du chant, aucun. Pure pose, et qu’importe les instruments, lorsqu’un pseudo-chanteur usurpe le nom de poésie et de chant, perd son temps à dégloser son esthétique ultraposeuse et factice, on n’a affaire, à mon avis, qu’à un produit commercial, une lubie de producteur-éditeur. Je ne veux pas qu’il arrête, mais quand je l’entends par erreur sur FIP, j’aimerais qu’il retourne dans son garage et parmi ses potes. Je hais de toutes mes forces esthétiques son esthétisme halluciné de soi. Je ne demande pas mieux qu’à devenir converti à sa présence, mais qu’il fasse un petit peu l’effort de chanter ! Même moi, dans mon HLM, après 15 ans de tabagisme, heureusement échus depuis 10 ans, je pourrais faire mieux au bout d’une heure, même en chantant Bach ou le dernier chanteur venu d’un caniveau. Sa fixette ultradandy est une insulte à tout ce qui s’appelle musique, chanson. Ses textes n’y feront rien, préférez les livres et tout tweet émanant d’une conscience à peu près consciencieuse.

Je voudrais prendre le temps de répondre et essayer de mieux comprendre ton antipathie vis a vis de Belin, mais déjà une question me vient: est-ce que tu connais aussi ses premiers disques?
Le gars ne sort pas de nulle part et il a un vrai parcours, une vraie évolution esthétique (que je déplore parfois), et en faire un pur produit commercial, je trouve ça assez fort vu le tout-venant.
Il écrit aussi des romans qui sont quand même restés assez confidentiels. Il a une vraie patte. Il parle des petites gens de manière tout sauf caricaturale. Bref je l'aime et ta sortie m'a fait comme une douche froide au réveil!

mais c'est un compte troll, non ? 

@Emerick Tout d’abord je te réponds : mon compte n’est pas un compte troll dans la mesure où c’est mon vrai nom, ma véritable identité. Je comprends l’humour, ta pointe, puisque j’ai proposé une critique féroce de Bertand Belin. C’est mon choix de ne pas vouer toujours la critique qu’à une forme d’encensoir, comme on en lit trop. Je n’exerce pas ici mon métier, ma fonction sociale, je ne suis pas rémunéré, ce n’est que l’expression de mon attrait pour la musique et aussi mon dégoût parfois. Mais c’est encore une autre forme de gratuité que tu as pensé lire dans ma critique, une forme de méchanceté de ma part, qui t’a fait écrire : « compte troll ». Tu peux reprendre tous les messages de mon compte, tu trouveras bien plus de volonté constructive et dialoguante que de destruction et de « troll ». Et quand j’attaque l’esthétique de Bertrand Belin, je le fais donc en amateur. Ce n’est pas à moi d’encenser Bertand Belin pour que plus de public achète ses albums et lui permette de s’acheter une maison, parce que ce n’est pas mon métier. Je n’ajouterai plus rien sur lui, surtout pas pour dézinguer son art, je ne m’acharne pas et je serais fou, sous ma véritable identité, de m’obstiner. Mais avant de crier au « troll », avisez-vous de vérifier si ledit troll respecte généralement la liberté d’expression des autres.

@resigned et @frgirard, vous m’invitez à écouter plus de Bertand Belin, notamment ses premiers albums. C’est légitime, et je le ferai peut-être, au calme. Au sujet de Diabologum, je connais un album des années 90, je l’écoutais souvent à l’époque, mais ça m’a lassé avec le temps.

Pour essayer de te répondre

David Rolland a écrit:

Pour ma part, je ne peux pas. Je suis à l’encontre de tout ce qui a été dit sur ce fil au sujet de Belin

Ce "tout" ce qui a été dit sur Belin dans ce fil est pourtant très loin d'être dans l’idolâtrie, et fait même souvent la part belle à la crispation que peut susciter le personnage ("quel crâneur"). Ensuite, je vois, quant à moi pas mal de cran (et de résistance), justement, à son attitude obstinément monotone, et pourtant complexe et ouverte aux expériences.

David Rolland a écrit:

il fait, à mon sens, fausse route, et du tort à la chanson française.

C'est plutôt une attitude exigeante, dont la séduction n'est pas le ressort le plus immédiat, apte à ouvrir des pistes, créer des liens, hors des minauderies post pop et post disco qui fleurissent…

David Rolland a écrit:

l’inanité de son chant, des mantras confondants de stupeur vide

Pourtant parfois très émouvant, à certain·e·s tout au moins ("choses nouvelles"), et très loin d'être déconnecté de questions actuelles ("sur le cul"), etc.
Désenchanté mais pas du tout égocentré, si l'on prend la peine de relier ces textes à leurs arrière-plans

David Rolland a écrit:

mais qu’il fasse un petit peu l’effort de chanter ! […]

Comme il le dit dans un interview à propos de Malik Djoudi, mais à ça peut s'appliquer à Bertand Belin : "il cultive les creux et les bosses". Et ce fond grisâtre est, à contrario, le terreau de traits lumineux et très musicaux. Je crois que j'avais parlé de monochromes, oui, il faut un effort pour y sentir les vibrations.

xoph a écrit:

je te l'avais personnellement conseillé (tout début de la page 13), mais cela t'avait sans doute échappé.
A mon avis, l'album Persona pourrait te plaire (ou Concert at Saint-Quentin avec les Percussions Claviers de Lyon, peut-être trop joli pour toi, mais aimé par pas mal de monde ici, moi compris)

Re-, du coup:
En fait, si: j'avais effectivement effectivement écouté cet album Concert à Saint-Quentin en streaming (peut-être pas en entier, cela dit), après ta recommandation.
Je l'avais en revanche complètement oublié - ce qu'on peut interpréter à la façon du verre à moitié vide ou à moitié plein (les trucs que j'aime vraiment pas, je m'en souviens bien, en règle générale.)

La Tête de Veau

(J. Lacroix - M. Larcange)

= Pierre Provence ; Maurice Larcange et son orchestre

(Decca, 1968)

Mélo!

(En plus, ça a l'air super! Mais où est-ce qu'on peut l'écouter?)

Benedictus a écrit:

où est-ce qu'on peut l'écouter?

Au Champ de Mars Sur Bide & Musique : https://www.bide-et-musique.com/song/8036.html

La chanson n'y est pas donnée en entier!

La ressemblance est étonnante...

Ben alors, personne pour parler de ces très belles (et si classiques, et si musicales, et pas tant du côté de l'influence revendiquée Talking Heads / Martin Rev / Alan Vega) chansons, que sont Marguerite, La Comédie, de cet album, dont la première écoute m'a l'air loin d'épuiser charmes
[edit] (mais dont il faut baisser les basses, un peu soûlantes à mon goût, à la seconde écoute).

Bertrand Belin
Tambour Vision

Gros coups de coeur pour Carnaval (dont l'attaque m'a projeté dans Blade Runner), Alleluia, Marguerite, La Comédie... et petit à petit pour l'ensemble. Il n'y a guère que National qui m'ennuie, mais bon c'est le thème qui veut ça...
C'est d'une telle délicatesse, c'en est presque intimidant...

(m'est avis qu'il fera rager les récalcitrants et se pâmer les convertis)

Le titre Que Dalle Tout est aussi très réussi, mais on le connaissait déjà…

PS : pour les récalcitrants (@ David Rolland), quand même : Marguerite, La Comédie, on entend chanter Bertrand Belin et on sent du coup toute la puissance musicale-mélodique contenue qu'il peut y avoir sur d'autres titres plus psalmodiés…

A propos de Bertrand Belin, il participe à ça



que je recommande hautement, H'art Songs c'est vachement bien. J'ai vu une version de ce spectacle il y a 2 ans à Toulouse, avec une partie du même personnel, c'est à voir si vous êtes sur Lyon.

Moondog… Depuis que j'ai vu qu'Yves Rechsteiner ( ) ne jurait que par lui (la fin du documentaire de Foccroulle ( )) sur le fil Orgues instruments*, ça fait envie ! Avec Bertrand Belin, qui plus est !

* https://classik.forumactif.com/t5593p300-les-orgues-instruments#1215711
https://www.arte.tv/fr/videos/101407-000-A/chercheurs-d-orgues/

autour de 1h17'30"

Delphine Seyrig
Francis Seyrig*, musique
Jean-Claude Carrière, paroles

*Compositeur de la musique de l'Année dernière à Marienbad (et frère de Delphine)

• Une fourmi et moi
https://www.youtube.com/watch?v=KdxtF0Kt_bg
• Quoi de plus beau qu'une marche militaire
https://www.youtube.com/watch?v=7Cl-a2m4tOY

Danyèl Waro
monmon

Je connaissais Danyèl Waro, par sa reprise en créole de la Mauvaise Réputation (incluse dans le disque monmon), et par la trop rare et si grande Ann O'aro (qui s'inscrit dans son legs). Figure importante de La Réunion et de la musique maloya.

Le disque aurait pu être en Musiques du Monde, mais comme il comprend un lexique, et comme Danyèl Waro écrit et dit :
Mère a dit : "mon enfant, mange la mangue
mais ne jette pas le noyau."
pour moi qu'importe la langue
l'émotion est le cadeau.

Ann O'Aro et Danyel Waro : deux voix du Maloya

https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/ann-o-aro-danyel-waro-deux-voix-du-maloya-941305.html
documentaire-concert

Nana Mouskouri
Les yeux pour pleurer
Texte et musique : Gainsbourg

On l'entend dans le film Playlist de Nine Antico ; la voix du narrateur est par ailleurs celle de Bertrand Belin.

(Je ne serais pas étonné que Lhasa ait écouté cette chanson)

Quatre chansons d'Adamo que j'aime écouter au début de chaque été:
* J’avais oublié que les roses sont roses
* Petit Bonheur
* Sois heureuse Rose
* Les belles Dames

Renaud
* Fatigué
* Cent ans

Deux chansons faisant suite au visionnement d'un documentaire sur Renaud ...

Les Rita Mitsouko
Les amants*

*du Pont-Neuf, au générique de fin du film de Leos Carax (chanson composée à l'occasion).

Ici clip de Jean-Baptiste Mondino.

Quant à Georges Aperghis, s'il joue dans les Amants du Pont-neuf, il n'y chante pas.

Les Rita Mitsouko

La Vie du Rail Film

"Bombay, 1989, durant les 12 jours de préparation et tournage du clip du « Petit Train »
Fred, Rolland Allard, Emmanuel de Buretel et Catherine Ringer, utilisaient tous les creux dans l’emploi du temps pour faire ce second film « La Vie du Rail » "

Où l'on peut voir Fred Chichin sourire.

Allain Leprest - Je Viens Vous Voir (en concert)



Enfin pouvoir se poser tranquillement avec de la musique après mon déménagement, quel pied  

JL Murat - Taormina

Vincent Delerm : À présent        2016
.

J'aime le son étouffé du piano - qui m'avait beaucoup plu en tant qu'accompagnement du film La vie très privée de Monsieur Sim et m'avait semblé tout à fait correspondre à l'ambiance flottante du film ; je n'ai par contre pas été très intéressé par sa voix que j'ai trouvée assez générique.

Ah, pour moi c'est le seul à chanter comme ça, à ce point-là collé au micro en parlant-susurrant de façon aussi maniérée et agaçante, pour rester poli.

Nour
L'élégance des mots crus

"De mystère, la belle Nour ne manque pas, elle qui se livre toute crue dans ses disques. Notre chanteuse aime les mots concrets, il semble que pour elle, ils captent mieux la poésie. C’est un véritable exercice de funambule auquel elle se livre dans son écriture, comme dans sa voix d’ailleurs, jonglant entre le prosaïsme des mots du quotidien et l’élégance de leurs assonances." in
https://mandolino.fr/nour-lelegance-des-mots-crus/

belle découverte, et voix très très élégante

Nour
Après l'orage

J'aime moins à première écoute que l'élégance des mots crus. On a affaire à une virtuose, en pleine maîtrise de ses moyens. Les influences, jazz particulièrement, sont plus présentes (parfois très réussies "la lumière bleue"), mais font paraître l'album du coup moins singulier

https://lesoreillescurieuses.com/2017/11/08/nour-apres-lorage/

Pelouse
Xavier Machault, chant
Valentin Ceccaldi*, violoncelle
Quentin Biardeau, saxophone, clavier
Bowling

* On a pu le croiser sur Constantine (le disque) avec son frère Théo, connu des jazzophiles (jazz sous les pommiers par exemple) et auquel participaient :
https://classik.forumactif.com/t5475p250-musiques-du-monde-playlist#1194002

On peut aussi croiser Laura Cahen sur Oostende (la chanson)


https://www.radiofrance.fr/fip/tout-etait-orchestre-le-son-de-la-revolte-de-pelouse-1586999
https://www.musicngre.fr/pelouse-rock-acoustique-noirceur-lumiere/

Je sais pas encore, mais oui certainement, c'est bien

PS: je connaissais pas le carnet de Dominique A (auquel Xavier Machault fait parfois penser).

Invité : Pelouse

https://www.commentcertainsvivent.com/allons-voir-ailleurs/allons-voir-ailleurs-3-pelouse

Philippe Katerine
Les Créatures

Entre Henri Salvador (Chambre avec Vue - ici sur le cimetière) et Brigitte Fontaine, pour le mieux. Pas d'Art Ensemble of Chicago (Comme à la Radio), mais François Ripoche* aux arrangements

* https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ripoche

Je comprends mieux ce que Dominique A trouve à Philippe Katerine

JL Murat - Live à la Coopé 2010 (bonus de l'album "Grand Lièvre")

Signalé par David Rolland sur le fil Camille Chanteuse française

Mandalà (douze)  

https://classik.forumactif.com/t8727-camille-chanteuse-francaise?highlight=camille

Rubato a écrit:

Dominique A

Le monde réel / 2022

+1

Du Monde réel aux réalités il n'y a qu'un pas, que franchira Lise - Liz - Cherhal, qui ayant fait la connerie de l'année alors que l'année n'était pas encore finie, nous a délivré quelques titres, et déjà des succès, de son prochain album Les réalités, tels « Amoureux de moi » ou « L’hôpital qui se fout de la chatte ».

https://lizcherhal.over-blog.com/2022/10/j-avais-fait-la-connerie-de-l-annee-alors-que-l-annee-n-etait-pas-encore-finie.html

Après un précédent opus intitulé Verlaine Gisant John Greaves fait un choix de textes provenant du recueil de Guillaume Apollinaire Alcools. Pour cette célébration poétique et musicale il convie ses complices de longue date : Jeanne Added, Himiko Paganotti, Olivier Mellano, Vincent Courtois, Sylvain Lemaitre et Bertrand Belin. Après un précédent opus intitulé Verlaine Gisant John Greaves fait un choix de textes provenant du recueil de Guillaume Apollinaire Alcools.

Certes, John Greaves est gallois, mais là il chante en français.

Puisque Mathieu Boogaerts s'est mis à l'anglais, validé

Comme mes petits camarades précédemment :

Dominique A - Le Monde Réel

Alexis HK
Bobo Playground

La plume incisive et drôle d'Alexis HK est généreuse, peu de cibles lui échappent (Bobo Playground, Qui l'eût cru, Comme un rappeur). Et quelques chansons très émouvantes (Elle te kiffe, Fille de l'air).

https://www.alexishk.com/

Maxime Le Forestier
"Mon Frère" - 1971

Le genre d'écoute qui fait remonter pas mal de souvenirs!

xoph a écrit:

Alexis HK

Un artiste intéressant et attachant. J'aime beaucoup son album Le dernier présent.

Oui, Comme un ours est très bien aussi. Et sa façon de se réapproprier le legs Brassens (sans parler du très drôle Georges & moi) touche juste.

Dominique A : Le monde réel        2022


Comme avec son album précédent, je ne déteste pas mais ça me laisse assez indifférent - même si les parties instrumentales de celui-ci sont plus intéressantes.

Arthur H
Amour chien fou / 2018 (double album)

On retrouve un peu certaines choses du père.