Playlist (37)

Hidraot a écrit:

Tu fais mieux Sangaride que moi David

Je ne te croirai qu'avec des preuves.

Heureusement tout de même que j'ai retiré la première prise.

Polyeucte a écrit:

LULLY : Armide, Prologue et plus si affinité... (Christie, enregistrement de bonne qualité, mais pas le DVD)

C'est vraiment super aussi... Plus chantant je trouve que Atys, moins funèbre aussi faut bien le dire. Mais j'ai l'impression d'un orchestre plus imposant, et une plus grande part tenue par les vents et les bois là où on entend beaucoup plus le clavecin dans Atys. Volonté de Christie ou spécificité de la partition??

C'est qu'il y a plus de pièces orchestrales tout simplement. Pour les vents, ça ne m'a pas frappé, il y en avait énormément dans sa nouvelle version d'Atys.

DavidLeMarrec a écrit:

C'est qu'il y a plus de pièces orchestrales tout simplement. Pour les vents, ça ne m'a pas frappé, il y en avait énormément dans sa nouvelle version d'Atys.

Ah ben voilà! Donc c'est la partition qui veut ça! Merci!

Atys, c'est encore du jeune LULLY, il y a beaucoup de récitatifs "secs" par rapport à Roland et Armide...

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

Tu fais mieux Sangaride que moi David

Je ne te croirai qu'avec des preuves.

Heureusement tout de même que j'ai retiré la première prise.

Et ben tu peux toujours attendre !

Comme vous me cherchez tous :
LULLY : Armide, Christie, DVD 2008, actes II, III et IV.

Hidraot a écrit:

Comme vous me cherchez tous :

Mais pas du tout, moi j'écoute du Bach, des décadents allemands et des romantiques français, je ne te cherche pas du tout.

(Mais t'as raison, LULLY est Grand.)

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

Comme vous me cherchez tous :

Mais pas du tout, moi j'écoute du Bach, des décadents allemands et des romantiques français, je ne te cherche pas du tout.

(Mais t'as raison, lully est Grand.)

Chez les Stroumpfs…

Ce soir deux disques:

Ravel, Daphnis / Suite n°2, Boult / Monteux / Furtwängler / Markevitch live
Sans Furt je roupille (quoique Markevitch passe aussi).

Nono : Como una ola de fuerza y luz (1971-72) pour soprano, piano, orchestre et bande magnétique. Servi par Slavka Taskova, Pollini et Abbado

Mahler: Le Chant de la terre/Meier-Heppner-Maazel

Schumann
Sonates pour violon et piano - Argerich / Kremer
Symphonie n° 4 - Leinsdorf
Symphonie n° 3 - Sawallisch
Concerto pour violoncelle - Gutman / Abbado

Maintenant, le sublime Quatuor d'Hugo Wolf, avec le fameux Wihan Quartet:

Jaky a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

Comme vous me cherchez tous :

Mais pas du tout, moi j'écoute du Bach, des décadents allemands et des romantiques français, je ne te cherche pas du tout.

(Mais t'as raison, lully est Grand.)

Chez les Stroumpfs…

Heureusement qu'il reste ce bon vieux Jaky

Mahler - Symphonie n°5 par Bernstein et le Wiener
Dans la continuité d'hier soir, mes premiers pas dans Mahler, j'en ai pour 7 ans au moins... (facile)

LULLY : Armide, Acte I->IV (Christie)

(oui, en fait, j'ai commencé par le prologue et hop, la suite est arrivée tout naturellement

Chausson - le Roi Arthus - Callegari
Je retente ma chance avec une soprano potable

Jean Cras - Trio à cordes

Polyeucte a écrit:

LULLY : Armide, Acte I->IV (Christie)

(oui, en fait, j'ai commencé par le prologue et hop, la suite est arrivée tout naturellement

Il faut acheter le DVD, en plus il contient la preuve qu'Atys sera publié.

Guillaume a écrit:

Il faut acheter le DVD, en plus il contient la preuve qu'Atys sera publié.

Je veux bien... mais on va attendre un peu hein...
Ma planche à billet n'est pas encore tout à fait au point dans ma cave.

LULLY : Atys
acte IV et V (début)
Christie CD

Chausson - Viviane - Jordan
Bof bof. Les deux seules choses de Chausson que je n'ai pas spécialement aimée, je les ai écoutées sous la baguette de Jordan, coïncidence ?

Schoenberg: Verklärte Nacht

Zemlinsky : Quatuor à cordes n°3 (Artis)

aroldo a écrit:

Nono : Como una ola de fuerza y luz (1971-72) pour soprano, piano, orchestre et bande magnétique. Servi par Slavka Taskova, Pollini et Abbado

De loin la plus belle oeuvre de Nono, pour moi.

LULLY :Atys, acte V (Reyne)


Et hop, on change radicalement :
Dmitri Hvorostovsky : Airs de Verdi (Otello, Stifelio, Rigoletto, Un Ballo in Maschera, I Masnadieri, Ernani, Nabucco, Il Trovatore)

W.F. Bach - Concertos pour clavecin en ré majeur et sol mineur, Trios en sol majeur et si majeur

Toujours aussi surprenant ce W.F.

DavidLeMarrec a écrit:

aroldo a écrit:

Nono : Como una ola de fuerza y luz (1971-72) pour soprano, piano, orchestre et bande magnétique. Servi par Slavka Taskova, Pollini et Abbado

De loin la plus belle oeuvre de Nono, pour moi.

Je ne connais pas grand chose de Nono, je n'ai que deux cd, mais c'est vrai que c'est une belle réussite. Je la préfère à Sofferte Onde Serene qui figure sur le même cd et où la bande magnétique n'est pas d'un grand intérêt.

Jenkins, Consort Music, Fretwork

Jolivet: Concerto pour violon/Erlih-Constant

J'ai dû écouter 5 ou 6 fois l'opus 111 par Maria Grinberg aujourd'hui

Brahms, Quatuor avec piano n°1, Kremer - Bashmet - Maïsky - Argerich

Nono : "Hay que caminar" sonando 1989 : Gidon Kremer - Tatiana Grindenko Très belle pièce pour deux violons

Nono : "La lontananza nostalgica utopica futura" (1988-1989) Madrigal pour plusieurs "voyageurs" avec Gidon Kremer, violon solo, 8 bandes et 8 à 10 pupitres. L'une des dernières compositions de Nono décédé en 1990. Très belle musique contemplative.

Wagner, Lohengrin - Levine 74
Bartok, Le Château de Barbe-bleue - Kertész

Poulenc: Concert champêtre; Van Immerseel

En préparant l'écoute comparée de la 9éme de Mahler ( https://classik.forumactif.com/t5438-ecoute-comparee-mahler-symphonie-n9-inscriptions ), je découvre une version datant des années 2000 juste époustouflante. Absolument incroyable!

Nott ? Gielen ?

DavidLeMarrec a écrit:

Nott ? Gielen ?

Non pas Gielen, la neuvième quoique que de très bon niveau, n'a vraiment rien de mémorable sur le plan interprétatif. Pas le point fort de sa sublime intégrale.

Siegmund a écrit:

Non pas Gielen,

Donc Nott / Bamberg, qui est effectivement très beau.

La version Gielen est quand même super chouette.

DavidLeMarrec a écrit:

La version Gielen est quand même super chouette.

Oui, oui. Mais la discographie recèle de superbes choses, reste à trouver les perles rares. Pour les autres symphonies, Gielen me semble bien plus indispensable puisqu'il signe à mon sens la meilleure des intégrale que l'on puisse trouver (sauf en cas de glottophilie ).

Je ne l'ai pas encore écoutée en entier, mais ça me paraît bien parti pour être une référence assez absolue, oui.

Zinman, Chailly et Boulez sont aussi assez considérables, pour moi.

DavidLeMarrec a écrit:

Je ne l'ai pas encore écoutée en entier, mais ça me paraît bien parti pour être une référence assez absolue, oui.

Zinman, Chailly et Boulez sont aussi assez considérables, pour moi.

Pour le premier, je ne sais ; pour le second je n'y trouve pas grand chose au delà d'une mise en place impeccable, pour le troisième, oui de formidables réussites pouvant faire références.

Siegmund a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Je ne l'ai pas encore écoutée en entier, mais ça me paraît bien parti pour être une référence assez absolue, oui.

Zinman, Chailly et Boulez sont aussi assez considérables, pour moi.

Pour le premier, je ne sais ; pour le second je n'y trouve pas grand chose au delà d'une mise en place impeccable, pour le troisième, oui de formidables réussites pouvant faire référence.

C'est le premier que je trouve le plus exceptionnel, du niveau de Gielen dans un genre très différent.

Chailly, c'est quand même parfait dans l'esprit ; il y a un côté papier glacé, mais j'attends encore de trouver une Troisième aussi réussie... donc ça ne se limite pas à la mise en place et la brillance.

Boulez est typé comme choix, mais les dernières qu'il a gravées sont particulièrement abouties.

Chausson - Trio - Trio Arcadis

DavidLeMarrec a écrit:

Chailly, c'est quand même parfait dans l'esprit ; il y a un côté papier glacé, mais j'attends encore de trouver une Troisième aussi réussie... donc ça ne se limite pas à la mise en place et la brillance.

Pour la troisième : Justement : Gielen et Boulez ; chacun avec sa personnalité mais avec un certain nombre de points communs. J'y rajouterai Haitink / BPO dans un genre très différent : une cathédrale.

Je te renvoie à cet article (qui aurait pas endroit besoin d'une mise à jour) : https://classik.forumactif.com/t5176-mahler-votre-integrale-ideale-autres-considerations

D'accord, Gielen est le seul à s'approcher de cette réussite pour moi, avec Litton et Abbado / Lucerne.

En revanche Boulez / Vienne, je trouve ça très glaçant, je n'ai jamais adhéré.

Passacaille et Fugue de Bach, le Psaume XIII de Liszt arrangés pour piano par Junichi Steven Sato, interprétés par lui-même, incluant la Sonate pour violon et piano de C. Franck, arrangé pour piano seul par Alfred Cortot!

DavidLeMarrec a écrit:

D'accord, Gielen est le seul à s'approcher de cette réussite pour moi, avec Litton et Abbado / Lucerne.

En revanche Boulez / Vienne, je trouve ça très glaçant, je n'ai jamais adhéré.

Au contraire, c'est extrêmement rythmique et monumental, une grande arche implacable ; et Vienne, orchestre si spécial (pas toujours dans le bon sens du terme), y cale avec brio des sonorités rêvées. Je vois ce que tu veux dire avec glaçant, mais c'est peut-être que tu ne l'a pas appréhendé avec la bonne optique, ou humeur (critère indéfinissable, volatile et primordial).

Concernant Chailly et la troisième, son dernier mouvement m'a je crois durablement traumatisé. Et pour le reste, de ce que je m'en souviens, cela semblait amère et tiède malgré la beauté plastique convenue, car déjà habitué auparavant à des choses beaucoup plus marquées, auxquelles l'on se brûle.

Siegmund a écrit:

Au contraire, c'est extrêmement rythmique et monumental, une grande arche implacable

C'est pas spécialement le but de la Troisième, et c'est précisément ce que je n'aime pas y entendre.

Citation :

Concernant Chailly et la troisième, son dernier mouvement m'a je crois durablement traumatisé.

Pourtant, personne ne donne l'impression de la première à la dernière minute de ménager ainsi un crescendo continu. C'est un petit miracle. Pour moi, ce serait même le sommet de la maîtrise dans l'interprétation mahlérienne (avec, à l'autre bout du spectre, les microclimats d'Abbado / Lucerne dans cette même symphonie).