Playlist (39)

TragicSymph a écrit:

C'est de ma faute ça, non ?
En tous cas, je l'ai encore réécoutée cette cantate, et bah... c'est de l'archi grand...

Oui! ça faisait longtemps que je l'avais pas écouté! Mais bon, tu es pardonné

calbo a écrit:

Tu te dévergondes Polyeucte . Et tu ne me feras pas croire que ton imposante discothèque ne dispose pas d'un ou deux Wagner

Bien sûr que si... mais j'en cherchais un précis et je ne sais pas où je l'ai rangé... du coup voilà...

Polyeucte a écrit:

TragicSymph a écrit:

C'est de ma faute ça, non ?
En tous cas, je l'ai encore réécoutée cette cantate, et bah... c'est de l'archi grand...

Oui! ça faisait longtemps que je l'avais pas écouté! Mais bon, tu es pardonné

calbo a écrit:

Tu te dévergondes Polyeucte . Et tu ne me feras pas croire que ton imposante discothèque ne dispose pas d'un ou deux Wagner

Bien sûr que si... mais j'en cherchais un précis et je ne sais pas où je l'ai rangé... du coup voilà...

C'est ballot ça

Cello a écrit:

Scriabine: Le Poème du Feu

Alors ça, c'est fabuleux !!
Quelle interprétation ?

Carl Vine (né en 1954): Les deux sonates et les Préludes ''The Anne Landa''. Ce compositeur australien est selon mon avis, LE compositeur de l'heure. Ses constrastes rythmiques, ses couleurs harmoniques
sont géniaux. Son langage pas du tout aride, m'incite à faire le lien avec Debussy et surtout Ravel, mais en bien plus développé. Ses sonates suggèrent quelque-peu un pont de continuité avec certaines
études de Debussy, et le Scarbo de Gaspard de la nuit de Ravel.




Après recherches dans sites d'écoute, j'ai découvert une fort belle version de la première sonate par la médaillée d'argent du 12e concours Van Cliburn, Joyce Yang, que vous pouvez écouter sur We7

Pour écouter cette 1ère sonate ----- CARL VINE - SONATE

Poulenc : Dialogues des Carmélites
CD 1
Dervaux / Duval, Berton, Crespin, Scharley, Gorr, Finel, Depraz



Très beau texte, musique quasi-pelléassienne aux mélodies peu développées mais toujours très pénétrantes. La version que j'ai acquis est évidemment idéal, Scharley est impressionnante, je découvre Denise Duval.

Et maintenant :

Massenet : Werther
Sebastian / Juyol, Richard, Roux
(Opéra Comique 1951)

Scriabine : deuxième symphonie

kegue a écrit:

Scriabine : deuxième symphonie

La Nouvelle Bible, comme disait Vassily Safonoff...
Magnifique symphonie, j'adore aussi !

Guillaume a écrit:

Poulenc : Dialogues des Carmélites
CD 1
Dervaux / Duval, Berton, Crespin, Scharley, Gorr, Finel, Depraz



Très beau texte, musique quasi-pelléassienne aux mélodies peu développées mais toujours très pénétrantes. La version que j'ai acquis est évidemment idéal, Scharley est impressionnante, je découvre Denise Duval.

Oui, mais la musique est quand même plus intéressante que celle de Pelléas
Cours vite à la suite... c'est absolument magnifique d'un bout à l'autre!

Par contre, Werther, cette version est dans un français formidable, mais j'ai un peu de mal à rentrer dans le truc (j'en avais déja avec la version Etcheverry).

Je vais reprendre un peu d'oxygène, si vous le permettez :

LULLY : Atys
IV
Christie 2011

Beethoven symphonies 5 et 7 par Karajan (version 1954).

TragicSymph a écrit:

kegue a écrit:

Scriabine : deuxième symphonie

La Nouvelle Bible, comme disait Vassily Safonoff...
Magnifique symphonie, j'adore aussi !

Personnellement, je préfère la troisième symphonie (foisonnements luxuriants post-romantico-impressionisto-philosophico-divin !)

Histoire de revenir dans des terres plus "fréquentables" () :

Britten : The Canticles (Ian Bostridge, David Daniels, Christopher Maltman, Julius Drake, Timothy Brown, Aline Brewer)

Magic Fire Music - Wagner- Symphonic Syntheses. Stokowski (j'adore ! C'est tellement vaste, gigantesque comme une montagne sacrée ! )

Herman Goetz: Les concertos pour piano. Bon Dieu que c'est beau!

j'aime beaucoup!

Otello a écrit:

j'aime beaucoup!

C'est un pasticcio. Je ne connais personne dans ce cast.

Prokofiev / Symphonie n°4 (Weller)

Je suis dans une folie Prokofievienne en ce moment, vraiment un de mes compositeurs préférés !

Debussy : Jeux (Boulez)

Découverte. Surprenant de modernité. Boulez fait en plus sonner ça comme si on était un plein milieu du 20°.

Debussy : Images pour orchestre (Boulez)

Bruckner : Symphonie n°6 (Barenboïm)

Poursuite du cycle. Je trouve que c'est un Bruckner trop terre à terre. Qu'il reécoute Jochum.

Prokofiev / Symphonie n°6 (Weller)

La mal-aimée mahlérienne de Prokofiev...
Mais moi, je l'aime beaucoup cette symphonie, c'est la plus personnelle de son auteur, certaines pages sont vraiment élégiaques, très profondes.

Max Reger: Fantaisie sur le Choral ''Ein feste Burg ist unser Gott'' op.27, Prélude et Fugue en Fa dièse mineur (1912) et la Passacaille et Fugue en Ré mineur (1899).

Superbe enregistrement, un des tops absolu et à prix dérisoire...

Cololi a écrit:

Debussy : Jeux (Boulez)

Découverte. Surprenant de modernité. Boulez fait en plus sonner ça comme si on était un plein milieu du 20°.

Debussy : Images pour orchestre (Boulez)

Bruckner : Symphonie n°6 (Barenboïm)

Poursuite du cycle. Je trouve que c'est un Bruckner trop terre à terre. Qu'il reécoute Jochum.

Oui mon cher cololi, Images démontre une modernité efficacement rendu par Boulez, c'est ma version préférée.

J'ai eu du mal à réussir à me mettre sur la bonne webradio etc... mais je suis en train de les écouter :

Meyerbeer : les Huguenots
Minkowski / Delunsch, Cutler
sur Klara
acte IV

Je suis arrivé au moment de l'air de Valentine.

ysov a écrit:

Cololi a écrit:

Debussy : Jeux (Boulez)

Découverte. Surprenant de modernité. Boulez fait en plus sonner ça comme si on était un plein milieu du 20°.

Debussy : Images pour orchestre (Boulez)

Bruckner : Symphonie n°6 (Barenboïm)

Poursuite du cycle. Je trouve que c'est un Bruckner trop terre à terre. Qu'il reécoute Jochum.

Oui mon cher cololi, Images démontre une modernité efficacement rendu par Boulez, c'est ma version préférée.

Images est très moderne, mais là je parlais de Jeux, tout simplement hallucinant.

Du coup je n'ai pas pu réentendre les passages inédits qui étaient dans les trois premiers actes. J'espère que le marché parallèle fera son oeuvre pour que je puisse récupérer cette bande voire une avec Osborn...

Cololi a écrit:

ysov a écrit:

Cololi a écrit:

Debussy : Jeux (Boulez)

Découverte. Surprenant de modernité. Boulez fait en plus sonner ça comme si on était un plein milieu du 20°.

Debussy : Images pour orchestre (Boulez)

Bruckner : Symphonie n°6 (Barenboïm)

Poursuite du cycle. Je trouve que c'est un Bruckner trop terre à terre. Qu'il reécoute Jochum.

Oui mon cher cololi, Images démontre une modernité efficacement rendu par Boulez, c'est ma version préférée.

Images est très moderne, mais là je parlais de Jeux, tout simplement hallucinant.

Oups! un lapsus, je voulais écrire JEUX... Oui hallucinant en effet. Jeux et Images avec Boulez c'est le top. La Mer, c'est par contre Georges Prêtre. Tu me donnes envie d'écouter ces trois oeuvres
un peu plus tard.

Cutler, malgré quelques nasalités et une diction un peu précautionneuse, semble satisfaisant, il faudra attendre la strette et Nesle pour réellement juger. J'ai du mal à me faire un avis sur Delunsch pour l'instant.

Très émouvant duo, malgré les voyelles un peu fausses de Cutler : le [a] est prononcé plus proche du [è] que d'autre chose, ce qui donne "mes èmis, mes èmis vont m'attendre". Erreur de texte : il dit deux fois "Et je cours les défendre"
Delunsch donne une grande incarnation, il y a quelque chose de châtié et de combatif dans cette Valentine qui est assez neuf, là où Brimberg se plaçait du côté Pollet/Arroyo.

Maintenant, on passe à Nesle, et on prie pour que Cutler assure.

On comprend bien pourquoi Cutler ne voulait pas chanter Nesle au départ... c'est tout simplement trop timoré, presque raté, il manque plein d'aigus qui donnent à l'air tout son caractère spectaculaire, des erreurs textuelles vilaines ("marchons tous à la vengeance des martyrs" répété deux fois), deux aigus sortis péniblement... ça gâche quand même un peu l'ensemble. Osborn est cent coudées au dessus !

Bon désolé pour le doublonnage (triplonnage en fait) mais Varnier est proprement gigantesque, et Delunsch se lâche vraiment dans ce Ve acte...

Varnier... Osborn... supplice affreux ! Faut-il choisir ?

Ce ne serait vraiment pas possible pour Minkowski de faire un enregistrement (studio) avec Varnier, Delunsch ET Osborn ?

Ah ben tu vois que Delunsch et Varnier sont géniaux!! Et tu n'as pas entendu Petersen!
Pour Cutler, oui, dans Nesle il est tendu... manque des aigus? Pas par rapport aux versions que j'ai écouté le 19... maintenant, je ne doute pas que Osborn était beaucoup plus virtuose là dedans!

Il manque des aigus par rapport à Osborn qui les fait tous. J'aime moins la texture vocale aussi.

Guillaume a écrit:

Il manque des aigus par rapport à Osborn qui les fait tous. J'aime moins la texture vocale aussi.

Espèce de glotto va!
Oui, c'est un peu moins direct comme voix... mais plus poétique je trouve dans d'autres passages... Pour moi ça reste vraiment du grand niveau son Raoul...

C'est pas de ma faute si je me complais dans les pires penchants meyerbeero-glottophiliens. Je ne considère Nesle comme le sommet du rôle que depuis que j'y ai vu Osborn, en fait.

Tu verras, Cutler dans "Plus blanche" est superbe...

Osborn aussi.

De toute façon, on s'amuse à débattre "Osborn VS Cutler" mais dans moins d'un an, Kunde va tous les dépasser, je le sens.

Au non, je me bat pas, j'essaye de te montrer les bons côté de Cutler, que tu sois pas trop déçu de pas avoir Osborn!
Pour Kunde, ce sera encore différent, la voix étant totalement différentes des deux là!

Mozart : Cosi fan tutte, Harnoncourt, Bartoli, Nikiteanu, Widmer, Sacca Chausson

Schoenberg: Gurrelieder/Chailly



Et oui, encore.

Wagner : Tristan et Isolde, Acte I (Runnicles, 2002 : Christine Brewer, John Treleaven, Dagmar ëclova, Daniel Boaz...)
Elle est vraiment impressionnante Brewer... la stature d'une Isolde vocalement, sans les duretés ou acidité qu'on a souvent dans le rôle. La voix s déploie, large, libre, superbe... sans pour autant que ce soit juste vocale... Magnifique!

Schoenberg :Gurre Lieder, Chant de la Colombe (Janet Baker, Norman del Mar, 7 Novembre 1963)

Strauss : Die Liebe der Danae (Acte I)
Balakirev : Tamara (Ecoute comparée)
Honegger : Symphonie n°2 (Munch)

Schoenberg, Lied der Waldtaube - Baker / Ferencsik, Fassbaender / Chailly, Norman / Boulez

Toutes les trois sublimes.

Une fois je m'étais réécouté mes préférées à la suite, Minton, Troyanos, Fassbaender et Meier... impossible de les départager!
Je crois que c'est un rôle très payant.

Schönberg
Pièces pour piano par Pollini… et au lit

Jean Françaix: Les Demoiselles de la nuit.

Schoenberg: Gurrelieder (Chailly)
Jerusalem, ça c'est du ténor
Et Fassbaender....

Wagner : Passages orchestraux (Mravinsky : Die Meistersinger von Nürnberg, Lohengrin, Tannhäuser, Tristan, le Crépuscule, La Walkyrie)

Xavier a écrit:

Une fois je m'étais réécouté mes préférées à la suite, Minton, Troyanos, Fassbaender et Meier... impossible de les départager!
Je crois que c'est un rôle très payant.

Oui, il est génial ce Lied.

TragicSymph a écrit:

Prokofiev / Symphonie n°6 (Weller)

La mal-aimée mahlérienne de Prokofiev...
Mais moi, je l'aime beaucoup cette symphonie, c'est la plus personnelle de son auteur, certaines pages sont vraiment élégiaques, très profondes.

Je vois que tu es imbibé de ces sonorités post-romantiques du Largo. Exactement, c'est une symphonie "élégiaque et très profonde".
Personnellement, la symphonie qui me touche le plus de Prokofiev, c'est bien la cinquième (en particulier l'Adagio, mon dieux, c'est émouvant ; Je ne puis trouver d'autres mots pour décrire ce que je ressens...). Voilà, C'est le Génie de Prokofiev !

Vinogradovsky a écrit:

TragicSymph a écrit:

Prokofiev / Symphonie n°6 (Weller)

La mal-aimée mahlérienne de Prokofiev...
Mais moi, je l'aime beaucoup cette symphonie, c'est la plus personnelle de son auteur, certaines pages sont vraiment élégiaques, très profondes.

Je vois que tu es imbibé de ces sonorités post-romantiques du Largo. Exactement, c'est une symphonie "élégiaque et très profonde".
Personnellement, la symphonie qui me touche le plus de Prokofiev, c'est bien la cinquième (en particulier l'Adagio, mon dieux, c'est émouvant ; Je ne puis trouver d'autres mots pour décrire ce que je ressens...). Voilà, C'est le Génie de Prokofiev !

Oui, la 5° bien-sûr, c'est un de ses très grands chefs-d'oeuvre, et effectivement, l'adagio est diablement émouvant , impossible de ne pas être profondément touché par ce mouvement quand on l'écoute.
Merci Sergeï !

J'écoute en ce moment L'Amour des trois Oranges dans la version Gergiev, encore du très très grand Prokofiev !
(Ahlala, cette marche... , je suis en train de la bosser au piano !)

Honegger : Symphonie n°1 (Munch)
Balakirev : Tamara (Ecoute comparée)
Séverac : Le Coeur du moulin
Bruneau : L'attaque du moulin - Suite