Playlist (45)

Feinberg: Sonates pour piano n°7 et 8



A écouter, très original, malgré le Scriabine et le Prokofiev qu'on peut y trouver!

Hector Berlioz: Chant des chemins de fer / Plasson.

Tu aurais pas été influencé par France Musique ?

Brahms: Sonate pour violon n°1 en sol majeur Op 78

György Pauk, Stradivari 1714 / Roger Vignoles, piano

Bach - Die Kunst der Fugue et transcriptions - Phantasm


Beethoven - Quatuor n14 - Italiano

Brahms : 1868. Op 45, Un Requiem Allemand (VPO, Giulini)



Quel Requiem !! J'ai l'impression que Guilini excelle dans les Requiem, après celui de verdi sublime, il fait des merveilles avec celui-ci de Brahms

Ravel: Cinq mélodies populaires grecques; Kolassi/Bonneau

discobole a écrit:

Mozart : Requiem (Böhm, pas le disque mais la vidéo avec Janowitz, Schreier...).

Il y a des trucs parfois... C'est plein de pains et de fausses notes, la direction de Böhm est mécanique et lourde, la réalisation vidéo est absolument affreuse (je me demande sérieusement si ce n'est pas le même réalisateur que celui de Derrick), le chœur est certes beau vocalement mais ces visages livides et tendus font penser à des personnages psychotiques sortis d'un film de Polanski... et pourtant je regarde en entier. Quelqu'un a-t-il une explication ?

Bah, si tu y prends du plaisir, même malsain, et si aucun choriste n'a été maltraité durant le tournage, tu ne fais de mal à personne.

Borodine: Danses polovtsiennes; Markevitch

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

discobole a écrit:

Horatio a écrit:

Prokofiev : Symphonies 1/5, Rozhdestvensky (maintenant j'arrive à écrire son nom en une traite ...)

Manque de bol tu l'écris dans la transcription anglo-saxonne, tout est à refaire.

Ca donne quoi en version originale ?

C'est pas une raison pour me la proposer en cyrillique, hein ...

Ben pour un français la transcription française donnera un meilleur résultat du point de vu phonétique : Rojdestvenski.

Je suis assez opposé à cette transcription française : le "j" est très ambigu, dans toutes les langues slaves il exprime un yod. Le "zh", à défaut d'être intuitif, n'est pas équivoque.

Quant au "i" final : le "y" esthétique est une vieille tradition française à laquelle je cède volontiers lorsque j'écris les noms russes. De toute façon, va trouver un disque de Tchaïkovski !

Bref : Horatio, je suis avec toi.

atomlegend a écrit:

Tu aurais pas été influencé par France Musique ?

Brahms: Sonate pour violon n°1 en sol majeur Op 78

György Pauk, Stradivari 1714 / Roger Vignoles, piano

Moi? Non, mais par l'arrivée de l'automne certainement.

Schoenberg: Variations pour orchestre

Borodine: Dans les steppes d'Asie centrale; Sanderling
Suivi avec le programme

Borodine: Quatuor No.1; Quatuor Borodine

Brahms: requiem / Klempi.
Quelle que soit la version, je m'y fais chier à mourir. Et pourtant j'aime beaucoup ce compositeur

atomlegend a écrit:

Brahms: requiem / Klempi.
Quelle que soit la version, je m'y fais chier à mourir. Et pourtant j'aime beaucoup ce compositeur

Parce que tu n'écoutes que des versions pourries. Et pourtant, il n'y en a pas beaucoup !

Déja Klemperer c'est l'assurance d'avoir un truc bien lourd et amorphe... Ecoute plutôt Kempe ou Furtwängler, ces chefs-là ne s'endorment pas au pupitre.

Percy Bysshe a écrit:

Borodine: Dans les steppes d'Asie centrale; Sanderling
Suivi avec le programme

Génial Mais il y a un programme ? Je croyez que ce n'était qu'une "image", celle d'une caravane qui passe dans le désert chaud et infini avec ses dromadaire et les soldats russes qui l'escortent.

Oui c'est bien cela, si tu veux savoir le détail: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dans_les_steppes_de_l%27Asie_centrale_(Alexandre_Borodine)

Ravel: La Valse; Gould
Un peu fouillis je trouve, il y a pas mal de passages confus.

DavidLeMarrec a écrit:

atomlegend a écrit:

Brahms: requiem / Klempi.
Quelle que soit la version, je m'y fais chier à mourir. Et pourtant j'aime beaucoup ce compositeur

Parce que tu n'écoutes que des versions pourries. Et pourtant, il n'y en a pas beaucoup !

J'ai essayé :
1) Philippe Herreweghe: Orchestre Des Champs-Elysées, La Chapelle Royale, Collegium Vocale Gent
2) Alexander Rahbari: Slovak Radio Symphony Orchestra, Slovak Philharmonic Chorus , Miriam Gauci, Eduard Tumagian;
3 ) La version intégrale Brillant: Helmutt Koch / Rundfunk sinfonieorchester berlin.

Guillaume a écrit:

Déja Klemperer c'est l'assurance d'avoir un truc bien lourd et amorphe... Ecoute plutôt Kempe ou Furtwängler, ces chefs-là ne s'endorment pas au pupitre.

C'est le seul disque de Kempe que je trouve moyen.

Ok, Furtwängler est gigantesque dans ses différents témoignages, mais Atom voudra sans doute, pour commencer, un meilleur son.

Ce ne sont pas les bonnes versions qui manquent : Maazel (son magnifique !), Nézet-Séguin, Tennstedt, Janowski, Solti, Previn...

Evite peut-être le Giulini épais et tout mou suggéré par Rach-phaël , ainsi que Gardiner un peu froid, Karajan un peu hédoniste...

atomlegend a écrit:

1) Philippe Herreweghe: Orchestre Des Champs-Elysées, La Chapelle Royale, Collegium Vocale Gent

Ca en principe ce devrait être très bien pourtant, mais c'est peut-être un peu rond, ce qui te donne cette impression, au début, de mollesse.

En revanche :

Citation :

2) Alexander Rahbari: Slovak Radio Symphony Orchestra, Slovak Philharmonic Chorus , Miriam Gauci, Eduard Tumagian;

Beurk.

Citation :

3 ) La version intégrale Brillant: Helmutt Koch / Rundfunk sinfonieorchester berlin.

Pas écouté, mais Koch, c'est effectivement souvent...

Oui Quelle belle image pour un poème symphonique c'est dommage qu'il soit le seul à l'avoir traité, à ma connaissance bien sûr.

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Rimski-Korsakov : 1888. Shéhérazade (Ernest Ansermet - Orchestre de la Suisse Romande)



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Ravel: La valse (version orchestrale)
Strauss: Kaiserwalzer; Wiener Blut

Gounod: Faust/DVD Pappano

Pas mais presque, pour l'instant je préfère ça à la plupart des Verdi.

Xavier a écrit:

Gounod: Faust/DVD Pappano

Pas mais presque, pour l'instant je préfère ça à la plupart des Verdi.

Normal, c'est Gounod!

(bon, à partir de maintenant, je ne lis plus les avis de Xavier pendant un petit moment... je veux rester sur une bonne impression! )

Et musicalement, c'est encore en dessous de Meyerbeer en termes d'harmonie, d'innovations, de construction...

Xavier a écrit:

Gounod: Faust/DVD Pappano

Pas mais presque, pour l'instant je préfère ça à la plupart des Verdi.

Nicolas Formé - Le Voeu de Louis XIII. De belles oeuvres vocales et je confirme que cet enregistrement mérita vraiment le niveau 5 du Monde de la Musique.

Shtoharenko: Partizan Pictures

Tchaïkovsky / Symphonie n°5 (Karajan)

Je crois que je préfère quand même ses 2 voisines (les 4° et 6°).
Je les trouve plus sincères.

Guillaume a écrit:

Et musicalement, c'est encore en dessous de Meyerbeer en termes d'harmonie, d'innovations, de construction...

Tatatatata! C'est tout simplement différent! Cherche les beautés mélodiques de Faust dans Meyerbeer, la délicatesse du troisième acte... Question innovations, ça a fait assez de chamboulements à l'époque!

Boulez

Dialogue de l'Ombre Double - version pour clarinette et électronique
Messagesquisse pour 7 violoncelles
Anthèmes pour violon seul

Ce dernier avec la partition; ça aide un peu a voir ce qui se passe.

ysov a écrit:

Ah ce label aussi fait des merveilles !!
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Rachmaninov : 1893. Op 9, Trio élégiaque N°1, ré mineur (Trio Elegiaque) /

Oui tout à fait, tu peux l'ajouter sans hésitation avec les autres labels que tu as mentionné.

Polyeucte a écrit:

Guillaume a écrit:

Et musicalement, c'est encore en dessous de Meyerbeer en termes d'harmonie, d'innovations, de construction...

Tatatatata! C'est tout simplement différent! Cherche les beautés mélodiques de Faust dans Meyerbeer, la délicatesse du troisième acte... Question innovations, ça a fait assez de chamboulements à l'époque!

J'aime Gounod, et je vois sa gloire avec plaisir, mais franchement, il n'y a rien chez Meyerbeer d'aussi pompier que Gloire immortelle, par exemple, et les beautés mélodiques, je les vois aussi chez Meyerbeer, bien qu'elles soient d'un autre type (mais ça c'est juste parce que ce sont les airs de Faust qui sont devenus des tubes et pas Nobles seigneurs salut) ; si tu veux mon avis, je pense que les Huguenots ont potentiellement plus de chances de plaire à Xavier que Faust, qui est bourré de tubes et d'un traitement dramatique assez évolué mais en deçà des Huguenots.
En plus, cherche un moment comme Savez vous qu'en joignant dans Faust.

Bref pour moi Faust, très bon opéra de Gounod (Saba et Mireille aussi) pâlit face à ce chef d'oeuvre fondateur du XIXe siècle qu'est les Huguenots, et là, je parle objectivement, surtout que Gounod s'inspire très largement du Grand Opéra, Faust échappant de justesse à ce qualificatif, devenu honteux par la faute d'un compositeur germanique mégalomane et de générations de critiques imbéciles n'ayant jamais mis le CD Bonynge des Huguenots dans leur platine.
D'ailleurs, jamais compris pourquoi on excluait Faust du Grand Opéra, alors qu'il a 5 actes, un ballet, pas beaucoup de personnages certes, mais des scènes de genre, un sujet relativement épique et presque historique...
En fait, c'est juste parce que Faust est connu qu'on n'emploie pas cet abominable qualificatif synonyme pour tout critique de "choucroute meyerbeerienne", c'est vrai, suis-je bête.

Guillaume a écrit:

J'aime Gounod, et je vois sa gloire avec plaisir, mais franchement, il n'y a rien chez Meyerbeer d'aussi pompier que Gloire immortelle, par exemple, et les beautés mélodiques, je les vois aussi chez Meyerbeer, bien qu'elles soient d'un autre type (mais ça c'est juste parce que ce sont les airs de Faust qui sont devenus des tubes et pas Nobles seigneurs salut) ; si tu veux mon avis, je pense que les Huguenots ont potentiellement plus de chances de plaire à Xavier que Faust, qui est bourré de tubes et d'un traitement dramatique assez évolué mais en deçà des Huguenots.
En plus, cherche un moment comme Savez vous qu'en joignant dans Faust.

Cherche aussi un moment comme l'air de la chambre de Marguerite, comme la cavatine de Faust...
Non, je pense sérieusement, qu'avec des moyens tout autre, on face à deux grands compositeurs!

Citation :

Bref pour moi Faust, très bon opéra de Gounod (Saba et Mireille aussi) pâlit face à ce chef d'oeuvre fondateur du XIXe siècle qu'est les Huguenots, et là, je parle objectivement, surtout que Gounod s'inspire très largement du Grand Opéra, Faust échappant de justesse à ce qualificatif, devenu honteux par la faute d'un compositeur germanique mégalomane et de générations de critiques imbéciles n'ayant jamais mis le CD Bonynge des Huguenots dans leur platine.
D'ailleurs, jamais compris pourquoi on excluait Faust du Grand Opéra, alors qu'il a 5 actes, un ballet, pas beaucoup de personnages certes, mais des scènes de genre, un sujet relativement épique et presque historique...
En fait, c'est juste parce que Faust est connu qu'on n'emploie pas cet abominable qualificatif synonyme pour tout critique de "choucroute meyerbeerienne", c'est vrai, suis-je bête.

Non non... Les personnages sont traités de manière différentes (plus sensibles, moins héroïques) et on est loin de l'opéra à effet qui reste une marque de fabrique Meyerbeer (ceci n'est pas une injure!). Faust reste fortement marqué par son style "opéra-comique" et ce qu'on entend est un hybride entre l'opéra-comique tel qu'il fut créé et le grand opéra qu'il a fallu approcher pour pouvoir monter sur la scène de l'Opéra de Paris à l'époque. Et tu peux me croire que cela a couté beaucoup à Gounod d'être obligé de remanier sa partition pour qu'elle monte sur ses planches.

Pour "Gloire immortelle", ce n'est pas à l'origine dans la partition. Choeur écrit pour "Ivan le Terrible" (jamais terminé pour cause d'attentat contre le chef d'état en place), Carvalho le trouva fort intéressant et le plaça là... alors qu'on avait un air de Valentin si je me souviens bien (et du coup, quelques temps plus tard, un autre air pour Valentin, à Londres, fut rajouté "Avant de quitter ces lieux" que Gounod trouvait mal a sa place et ne voulait pas entendre en France...)

Oui oui, on sait, rien ne vaut Meyerbeer... tu vas encore nous en tartiner trois pages?

Messiaen: Quatuor pour la fin du temps; Schellhorn/Clark/Robson/Cohen

Polyeucte a écrit:

Guillaume a écrit:

J'aime Gounod, et je vois sa gloire avec plaisir, mais franchement, il n'y a rien chez Meyerbeer d'aussi pompier que Gloire immortelle, par exemple, et les beautés mélodiques, je les vois aussi chez Meyerbeer, bien qu'elles soient d'un autre type (mais ça c'est juste parce que ce sont les airs de Faust qui sont devenus des tubes et pas Nobles seigneurs salut) ; si tu veux mon avis, je pense que les Huguenots ont potentiellement plus de chances de plaire à Xavier que Faust, qui est bourré de tubes et d'un traitement dramatique assez évolué mais en deçà des Huguenots.
En plus, cherche un moment comme Savez vous qu'en joignant dans Faust.

Cherche aussi un moment comme l'air de la chambre de Marguerite, comme la cavatine de Faust...
Non, je pense sérieusement, qu'avec des moyens tout autre, on face à deux grands compositeurs!

En poussant un peu, on pourrait trouver un aussi bel air de ténor avec Plus blanche... mais la cavatine de Faust est un très grand moment, il est vrai !
Ceci dit, je ne suis pas en désaccord avec toi sur l'ensemble, je suis prêt à monter au créneau pour défendre Gounod, mais j'affirme juste que je trouve Faust moins fulgurant que LH pour un tas de raisons qui me sont propres.

Citation :

Citation :

Bref pour moi Faust, très bon opéra de Gounod (Saba et Mireille aussi) pâlit face à ce chef d'oeuvre fondateur du XIXe siècle qu'est les Huguenots, et là, je parle objectivement, surtout que Gounod s'inspire très largement du Grand Opéra, Faust échappant de justesse à ce qualificatif, devenu honteux par la faute d'un compositeur germanique mégalomane et de générations de critiques imbéciles n'ayant jamais mis le CD Bonynge des Huguenots dans leur platine.
D'ailleurs, jamais compris pourquoi on excluait Faust du Grand Opéra, alors qu'il a 5 actes, un ballet, pas beaucoup de personnages certes, mais des scènes de genre, un sujet relativement épique et presque historique...
En fait, c'est juste parce que Faust est connu qu'on n'emploie pas cet abominable qualificatif synonyme pour tout critique de "choucroute meyerbeerienne", c'est vrai, suis-je bête.

Non non... Les personnages sont traités de manière différentes (plus sensibles, moins héroïques) et on est loin de l'opéra à effet qui reste une marque de fabrique Meyerbeer (ceci n'est pas une injure!). Faust reste fortement marqué par son style "opéra-comique" et ce qu'on entend est un hybride entre l'opéra-comique tel qu'il fut créé et le grand opéra qu'il a fallu approcher pour pouvoir monter sur la scène de l'Opéra de Paris à l'époque. Et tu peux me croire que cela a couté beaucoup à Gounod d'être obligé de remanier sa partition pour qu'elle monte sur ses planches.

Euh, quand même, le II, certains passages du V...etc. on est quand même dans l'effet pur. Et puis ce qui compte n'est pas la volonté de faire des effets ou pas, mais la réalisation musicale de l'ensemble.
Par ailleurs, style opéra comique, cela sous-entend dialogues, et les récitatifs me paraissent trop bien imbriqués dans l'ensemble pour n'être qu'une réalisation a posteriori. Enfin je me trompe peut-être...

Citation :

Pour "Gloire immortelle", ce n'est pas à l'origine dans la partition. Choeur écrit pour "Ivan le Terrible" (jamais terminé pour cause d'attentat contre le chef d'état en place), Carvalho le trouva fort intéressant et le plaça là... alors qu'on avait un air de Valentin si je me souviens bien (et du coup, quelques temps plus tard, un autre air pour Valentin, à Londres, fut rajouté "Avant de quitter ces lieux" que Gounod trouvait mal a sa place et ne voulait pas entendre en France...)

C'est l'attentat d'Orsini de 58 ? Effectivement, dans ce contexte, faire un opéra sur Ivan le Terrible... il aurait pu quand même attendre quelques années, l'Empire libéral arrivait bientôt.

Citation :

Oui oui, on sait, rien ne vaut Meyerbeer... tu vas encore nous en tartiner trois pages?

Est ce un grand mal de trop aimer ce que l'on trouve aimable ?

En plus, je remarque une constante, ceux qui disent que j'en fait trop sont ceux... qui n'ont jamais entendu de Meyerbeer de leur vie.

Rautavaara / Symphonie n°7 (Segerstam)

J'accroche vraiment de plus en plus !

Brahms: Horn trio In E Flat, Op. 40 / The Nash Ensemble

Super !!!!! .

Guillaume a écrit:

Bref pour moi Faust, très bon opéra de Gounod (Saba et Mireille aussi) pâlit face à ce chef d'oeuvre fondateur du XIXe siècle qu'est les Huguenots, et là, je parle objectivement, surtout que Gounod s'inspire très largement du Grand Opéra, Faust échappant de justesse à ce qualificatif, devenu honteux par la faute d'un compositeur germanique mégalomane et de générations de critiques imbéciles n'ayant jamais mis le CD Bonynge des Huguenots dans leur platine.

Comme le souligne Polyeucte, c'est aussi lié à l'origine de l'oeuvre. Il y a quelque chose de plus moelleux et intimiste dans Faust, qui dans son état final est un Grand Opéra à la française, mais qui n'a pas l'aspect "totalisant" (scènes populaires, scènes patriotiques...) des oeuvres emblématiques du genre. La Reine de Saba y est bien davantage apparentée.

Sergei Taneyev : Quintette avec piano en Sol mineur, op.30 par l'excellent S.I. Taneyev Quartet.

Gounod: Faust Acte III (Plasson, Studer, Leech, van Dam, Hampson, Capitole de Toulouse) (disc 2)

Enfin, ça décolle et devient intéressant.

C'est à se demander si Gounod n'a pas fait le choix d'intensifier sa musique l'intrigue et le drame s'amplifiant. On passe d'une viennoiserie presque douteuse à une musique de + en + charmante et développée.

"Prenez mon bras un moment! "

Plasson est excellent je trouve

Elgar: Symphonie No. 1 en La bémol majeur, Op. 55, transcrite pour piano solo par Karg-Elert. C'est une réduction totalement réussi et fort bien interprété par le pianiste Mark Bebbington.

Il est possible d'écouter des extraits ---- ICI

DavidLeMarrec a écrit:

Bref : Horatio, je suis avec toi.

Celle-là, je l'encadre et je ne la lâche plus !

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Prokofiev : 5e symphonie, Rozhdestvensky
Brahms : 4e symphonie, Dorati

Rimsky-Korsakov: Capriccio espagnol; Kondrashin

Schubert / Messe n°6 (Sawallisch)

Une des plus belles choses qui soient...

Nielsen: Den Luciferiska Op.45

Percy Bysshe a écrit:

Nielsen: Den Luciferiska Op.45

Je ne suis pas très fan de sa musique pour piano, mais j'aime beaucoup le 5° mouvement (que j'ai joué) de cette suite.

Tchaikovski : La dame de pique

J'aime assez, je me tate pour aller le voir à Bastille.