Playlist (46)

Oui mais pour nuancer voici un extrait Wikipedia: Fils d'un musicien allemand, il reçut ses premiers cours de musique de son père, et étudia plus tard avec Anton Stamitz. Il se fit remarquer dès l'âge de 13 ans en exécutant avec une rare perfection un concerto qu'il avait composé lui-même. Il voyagea ensuite en Italie, en Allemagne et se fixa en France.

Mariefran a écrit:

ysov a écrit:

Jadin: 3 Trios à cordes, op.2 par l'ensemble Les Adieux. Il fut si germanique de nature, de style, que cela étonne pas du fait qu'il ait dédié ces trios à Kreutzer!

Je ne comprends pas l'astuce… Kreutzer était français, non ?

Il était même professeur de violon au conservatoire de Paris.

C'est vrai, Ysov, que Jadin s'inspire clairement de Haydn mais son style, lui, est bien français. Il y a ce soupçon de mélancolie qu'on retrouve chez Mehul, Kreutzer et Gossec.

Ophanin a écrit:

Mariefran a écrit:

ysov a écrit:

Jadin: 3 Trios à cordes, op.2 par l'ensemble Les Adieux. Il fut si germanique de nature, de style, que cela étonne pas du fait qu'il ait dédié ces trios à Kreutzer!

Je ne comprends pas l'astuce… Kreutzer était français, non ?

Il était même professeur de violon au conservatoire de Paris.

C'est vrai, Ysov, que Jadin s'inspire clairement de Haydn mais son style, lui, est bien français. Il y a ce soupçon de mélancolie qu'on retrouve chez Mehul, Kreutzer et Gossec.

Pourtant son surnom est Schubert français! Dans le cas de Kreutzer, ilest français de naissance, mais allemand de nature. En tous cas, je sais bien que cela est pas simple. En musique,
la nationalité d'un musicien ne se limite pas à son lieu de naissance... C'est comme le cas de Mylène Farmer, elle est née au Québec, mais l'a quittée à l'âge de 7 ou 8 ans, pour la France.
Si vous lui posez la question, elle sera la première à vous affirmer, qu'elle est d'âme française!

Si vous voulez on vous la redonne. On peut essayer de s'en passer. (au prix de grand sacrifice)

Glinka : Ruslan et Ludmila (Samuel Samosoud, 1937 : Mark Reizen, Valeria Barsova, Elizavetha Antonova, Nikandr Khanaev, Solomon Khromchenko, Maksim Mikhailov,...)

Quand même!! C'est assez super bien cet enregistrement! Le Ruslan de Reizen est tout bonnement magique! Et le reste de la distribution à un très haut niveau! Et pour la date, c'est de très bonne qualité!

Ophanin a écrit:

Si vous voulez on vous la redonne. On peut essayer de s'en passer. (au prix de grand sacrifice)

Mais non, là n'est pas la question. C'est tout simplement un parallèle explicatif sur ce que j'affirme. Jadin, Kreutzer et cie, virent le jour en France, il en reste pas moins, qu'ils furent d'une autre nationalité
en matière d'âme ou de nature musicale. Le romantisme germanique, lieu du véritable courant évoqué, en sort jusqu'à leurs pores de peau!

atomlegend a écrit:

Gabriel Fauré: Le Papillon et la Fleur - Victor Hugo / François Le Roux, Jeff Cohen

C'est le plus bel air jamais composé.

Charlotte Corday a écrit:

Je déplore simplement et trouve assez malsaine la complaisance que tu affiches (frôlant le tressage de lauriers) envers le comportement de certains et, par ailleurs, trouve assez abjecte cette manière assez insidieuse – c’est une tendance lourde chez certains gauchistes, donc sur ce forum – de placer les victimes sur le banc des accusés, comme c’est le cas ici.

Sauf pour aurele évidemment, ce fragile-jeune-homme-qu’il-faut-à-tout-prix-protéger-des-très-grands-méchants-loups-de-feu-forum-opéra… S’il avait reçu ne serait-ce que le quart de ce qu’on m’a balancé dans la figure, les auteurs auraient été éjectés manu militari – certains ayant même été chassés comme des rats sur la seule base de rumeurs et autres procès d’intentions… ne nie pas, n’importe quelle personne de bonne foi ici le dira tout aussi bien que moi.

Deux poids, deux mesures, donc. Pourquoi ?

On peut m’insulter, me souiller, me lyncher même, sous l’œil bienveillant des administrateurs -- voilà le signal que tu donnes.

Car je l’ai bien cherché, sans doute ?

Je vais te rendre un grand service: tu ne pourras désormais plus ressentir la douleur de lire ce forum et d'y participer.
Ne me remercie pas.

Chausson: Symphonie en si bémol majeur/Munch

Prokofiev: Roméo et Juliette, Cinderella et L'amour des Trois Oranges, pour piano, par Tedd Joselson. Superbe version!

Bien d'accord. D'ailleurs, ça regorge de pochettes tartes dans le classique, mais comme disait si justement Alfred de Musset: ''Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse''.


Louis Lavoye (1877 - 1975): Quatuor à cordes no.2 et Sonate pour violon et piano No.2, avec le Quatuor de Liège et Charles Jongen (arrière petit-fils de Joseph Jongen) au violon et Juliette Poumay au piano.

Ce compositeur, entre autre organiste virtuose, ayant eu comme professeur Widor, serait à classer dans le genre d'un Franck, à cause de cette SALUTAIRE prédominance de couleurs organistiques
dans sa musique instrumentale autre que l'orgue. Un compositeur à connaître d'avantage.

Fauré - Mélodies de Venise - Souzay/Baldwin


Fauré - l'Horizon Chimérique - idem
(et puis, le texte fait partie de mes livres de chevet)

Beethoven: 5e Symphonie scrupuleusement transcrite par Liszt pour piano, par Badura-Skoda. Version aexe quo avec celle de Katsaris.

Badora-Skoda a bien raison quand il affirme '' De toute évidence, le piano ne pourra en aucune manière reproduire l'intégralité de la texture orchestrale, ne serais-ce que le jeu des doublures
par exemple. Liszt en était conscient , qui s'est appliqué à fournir une partition située techniquement aux limites du possible, mais dans laquelle l'objet pianistique lui-même cumule en quelque
sorte le rôle du sujet et de son double. Il fallait être Liszt pour le faire, mais il fallait aussi s'appeler Liszt pour oser le faire.''



Suivra une autre transcription de cette symphonie, mais cette fois pour orgue, par Ernst Erich Stender aux grandes orgues de Sainte-Marie de Lübeck. C'est également une belle réussite, mais le seul
bémol réside à la prise de son, dont les microphones furent mal situées, car trop près de l'instrument, ce qui eut pour effet de ne pas avoir tout capté de l'instrument. La prise de son cependant, pour
la première Symphonie interprété au même endroit, mais à l'orgue de la chapelle de la Danse Macabre, est nettement mieux réussie.

Abnegor a écrit:

WoO a écrit:

Le seul souci c'est que c'est Roj***ski ou Rozh***sky mais en aucun cas Rod***sky !

Même en trichant je n'arrive pas à écrire son nom

C'est quant même bien marrant cette histoire, le nom maudit que personne n'arrive à écrire ^^
C'est peux être le moment de vous en mettre plein les yeux
Rachmaninov : 1ere symphonie par Rojdestvenski

Xavier a écrit:

Je vais te rendre un grand service: tu ne pourras désormais plus ressentir la douleur de lire ce forum et d'y participer.
Ne me remercie pas.

Du Brahms de saison: Sextuor n°2 et Trio avec cor (CD Marlboro Recording Society)
Superbe découverte

Rach-phaël06 a écrit:

Abnegor a écrit:

WoO a écrit:

Le seul souci c'est que c'est Roj***ski ou Rozh***sky mais en aucun cas Rod***sky !

Même en trichant je n'arrive pas à écrire son nom

C'est quant même bien marrant cette histoire, le nom maudit que personne n'arrive à écrire ^^
C'est peux être le moment de vous en mettre plein les yeux
Rachmaninov : 1ere symphonie par Rojdestvenski

Ouais, sauf qu'on peut aussi écrire Rozhdestvensky ...

Brahms : 1e symphonie, Dorati

Xavier a écrit:

Je vais te rendre un grand service...

Sa signature était donc prémonitoire.

Sinon, ce matin:

Gens, Tragédiennes, Vol. 3 (Virgin)
Berlioz, Harold en Italie (Toscanini, Naxos)
Fried, Die Auswanderer (et tout le reste) (Foremny, Capriccio)

J.S. Bach: Les six sonates en trio pour orgue arrangées pour cordes et clavecin. Une version très plaisante et cela sonne bien.

Stravinsky : Symphonie en mi bémol (1905-07, rev. 1913)/Les Noces (version orchestrale, 1917)/Renard (1916)/l'Histoire du Soldat-Suite (1918)/Deux Suites pour orchestre de chambre (1917-25)/Symphonies pour instruments à vent/Mavra, Opéra (1922)/Octuor (1922-23)/Concerto pour deux pianos (1932-35)/Scherzo à la russe (1943)/Tango ! (1940)/Pastorale (1907, version pour saxophone soprano et ensemble instrumental)/Circus Polka ! (1942)/Le Roi des Étoiles (1912)/Threni (1958)/Movements (1959)/The Flood (1962) and THE Requiem Canticle (1966).

Et puisqu'il fut question d'Erinyes. Je commence:

Taneyev, Oresteya: Overture and Interlude (Sanderling, Naxos)
Milhaud, Les Euménides. Prélude (Monteux, WHRA) (découverte)
Gluck, Ifigenia in Tauride (Sanzogno, EMI)

Mahler, Le Chant de la terre - Krips/DFD/Wunderlich

Beethoven, Sonates n° 3 et 29 - Richter à Aldeburgh

Smetana: Ma Patrie, version pour piano à quatre mains. Ce duo est d'une perfection d'osmose jamais entendu, sauf peut-être avec les Vronsky et Babin, ou les soeurs Pekinel. Cette version est un total
plaisir du début à la fin et quel équilibre du son!

Dvorak : Stabat Mater, Kubelik

Brahms : Double Concerto, Mork/Repin/Chailly

Destouches : Callirhoé (Hervé Niquet, 2006 : Stéphanie d’Oustrac, Cyril Auvity, Joao Fernandes, Ingrid Perruche, Renaud Delaigue, Stéphanie Revidat)
C'est presque aussi beau qu'Atys ou Armide!

Mais pourquoi je suis jamais arrivé à l'écouter en entier ? Niquet prend tout à 300 à l'heure et D'Oustrac a une patate chaude dans la bouche....

Schumann: Les trois quatuors à cordes op. 41 (Therpsycordes)

Turandot (Mehta, London Philharmonic Orchestra) avec Sutherland, Pavarotti, Caballé

Era a écrit:

Mais pourquoi je suis jamais arrivé à l'écouter en entier ? Niquet prend tout à 300 à l'heure et D'Oustrac a une patate chaude dans la bouche....

Et encore niveau vitesse c'est plan-plan comparé à Andromaque

Still : Suite for violin and piano
Brahms : Danses hongroises

OYO TOHO a écrit:

Turandot (Mehta, London Philharmonic Orchestra) avec Sutherland, Pavarotti, Caballé

Vraiment, j'ai jamais peu avec cette version... Sutherland distante sans pour autant être tranchante ou glaciale, Pavarotti qui chante tout sans vrai punch et Caballé... Une Liu totalement sans caractère et sans vertèbre... Et je ne garde vraiment pas un grand souvenir de l'orchestre...
Nilsson, Corelli, Vishnevskaya et Gavazzeni à la direction, c'est d'une autre dimension je trouve!

Brahms : Concerto pour violon, Repin/Chailly


Bon, quand même, le premier mouvement de 19 minutes, il a légèrement abusé l'ami Johannes ...

le 1er mouvement de celui de Beethoven, regarde combien de temps il dure

OYO TOHO a écrit:

le 1er mouvement de celui de Beethoven, regarde combien de temps il dure

J'ai le souvenir d'une belle sieste .

Puccini : Tosca (Ricciarelli, Carreras, Raimondi... / Karajan)

Horatio a écrit:

OYO TOHO a écrit:

le 1er mouvement de celui de Beethoven, regarde combien de temps il dure

J'ai le souvenir d'une belle sieste .

c'est mon mouvement de concerto pour violon préféré (même si j'avoue que le 1er de Prokofiev est plutôt pas mal aussi)

Prokofiev, Concertos pour piano n°1 à n°3, Krainev / Kitaenko

J'ai de plus en plus l'impression que c'est la meilleure intégrale.

Très bonne version en effet, quoique celle de Kun Wo Paik sur Naxos est bien difficile à surpasser.

Et pourtant Krainev est meilleur.

Faudra bien que je compare les deux très bientôt.

Constant Lambert: Concerto pour piano.

aucune comparaison possible, s'il y a bien un genre dans lequel Beethoven a donné d'emblée le modèle absolu, et avec une seule oeuvre, c'est bien le concerto pour violon. Au point que pour un siècle durant personne ne s'en est rendu compte, jusqu'à Schumann et Dvorak qui fondent le concerto romantique. Brahms c'est de la petite bière, passe encore le premier mouvement, mais le ridicule achevé de ce final hongrois, beaucoup moins bon que les trois concertos de Joachim réunis: une vulgarité que n'égale que Korngold. Pitoyable! et l'origine d'un certain rejet du genre, alors que d'autres aux Etats-Unis ou en Russie sont parvenus à tellement mieux, sans parler de Lalo et des belges. Les symphonies avec violon de Wieniawski! Même Tchaïkovsky est en comparaison d'un raffinement féérique.
Y a-t-il plus raté que le concerto de Brahms?

Bax : Spring Fire

Scriabine, Poème de l'extase, Boulez, New York Philarmonic, 1976

Mahler/Neumann (Supraphon) :

10e symphonie (Adagio)
7e symphonie

Philharmonique tchèque

Arvo Pärt - Fratres (version violon et piano)
Arvo Pärt - Summa
Arvo Pärt - Spiegel im spiegel
Arvo Pärt - Festina Lente
Arvo Pärt - Tabula Rasa
Scelsi - Natura Renovatur

Edit : Arvo Pärt - Te Deum
Il avait déjà tout dit avec Tabula Rasa

Gustave Charpentier : Impression d'Italie (Niquet)
Mais que c'est beau, plein de touches de couleurs, d'impressions locales sans pour autant en devenir exotique. Vraiment, l'ambiance très différenciée entre les différents tableaux me plait beaucoup. Magnifique!

sud273 a écrit:

aucune comparaison possible, s'il y a bien un genre dans lequel Beethoven a donné d'emblée le modèle absolu, et avec une seule oeuvre, c'est bien le concerto pour violon. Au point que pour un siècle durant personne ne s'en est rendu compte, jusqu'à Schumann et Dvorak qui fondent le concerto romantique. Brahms c'est de la petite bière, passe encore le premier mouvement, mais le ridicule achevé de ce final hongrois, beaucoup moins bon que les trois concertos de Joachim réunis: une vulgarité que n'égale que Korngold. Pitoyable! et l'origine d'un certain rejet du genre, alors que d'autres aux Etats-Unis ou en Russie sont parvenus à tellement mieux, sans parler de Lalo et des belges. Les symphonies avec violon de Wieniawski! Même Tchaïkovsky est en comparaison d'un raffinement féérique.
Y a-t-il plus raté que le concerto de Brahms?

Ben celui de Stravinsky ????

En ce moment, TIENS !... du Stravinsky : - Scènes de Ballet (version Haitink)

Quintette K.515 de Mozart par les Leipziger. Très bien pour des vivants…

Spoiler:

Stravinsky : Persephone (1934)

Wouahooo ! Une vraie claque musicale !

Dix milles fois mieux qu'Oedipus Rex, dix milles fois moins donné au concert...

Mendelssohn, Sonate pour violoncelle n°1 - Leroy et Moubarak
Popov, Symphonie n°3 - Titov
Popov, Symphonic aria - Titov
Popov, Septuor
Nielsen, Symphonie n°2 - Bernstein NY

Abnegor a écrit:

Popov, Symphonie n°3 - Titov
Popov, Symphonic aria - Titov
Popov, Septuor