Pollini, mardi dernier 14 février 2012 : une urgence transcendante par refus de toute sentimentalité, tout effet superfétatoire. Une perspective réussie : des sonates de Beethoven qui avaient l'air d'avoir été composées la veille, puis une phénoménale interprétation des Klavierstucke de Stockhausen. Renversant !
(Il ne semble pas que Pollini ait besoin de sonorisation...)...