Playlist (53)

Symphonie n°4, Sibelius - Berglund, Helsinki, un des sommets de la discographie pour cette oeuvre, ( )

Symphonie n°2, Nielsen - Bernstein, NYP, ( )

arnaud bellemontagne a écrit:

Avec Berlin ou avec Vienne?

Vienne

Khatchatourian, Danse du sabre, Mravinsky

Je ne savais pas qu'il avait osé toucher à ce truc, en tout cas c'est délirant (et il est bien possible que ce soit Mravinsky étant donné le tempo) : /watch?v=3HbunC5nqxo

Les Mravinsky qu'écoute Alexandre sur youtube. Je suis dubitative sur la Danse du sabre, est-ce vraiment par Mravinsky ?

Mariefran a écrit:

Les Mravinsky qu'écoute Alexandre sur youtube. Je suis dubitative sur la Danse du sabre, est-ce vraiment par Mravinsky ?

Oui, moi aussi je trouve ça douteux. C'est bizarre comme enregistrement tout de même, le tempo est assez délirant, mais il était capable de jouer extrêmement vite et il a enregistré des trucs un peu louches (comme la 3ème de Khatchatourian ou les Salmanov) donc pourquoi pas.

Là j'ai lancé sa 8ème Bruckner, et c'est fabuleux : /watch?v=G_IwOZMbn6c

Froberger a écrit:

Guillaume a écrit:

Charpentier : Médée
Christie II

Tourne en boucle aussi bien dans ma tête que sur ma platine depuis.... longtemps (presque un an), et j'ai du mal à m'en lasser. Parce que cet opéra est un des dix meilleurs jamais écrits et que ses qualités dramaturgiques rejoignent la volupté musicale qu'il procure. En plus c'est quand même le meilleur studio de Christie, lui qui est parfois un peu à la limite du sachet plastique (sa Didon avec Gens, ou son Atys 87).

La différence est simple : les studios « sachet plastique » (tu exagères quand même) ont été enregistrés avant les représentations, et les studios de qualités ont été donné après la tournée, ou du moins quelques représentations. Comme c'est le cas pour cette deuxième Médée.

C'est vrai que c'est une grande constante en fait de l'histoire de l'enregistrement tous répertoires confondus (je n'y avais jamais pensé mais à la réflexion c'est un critère basique mais probant) et c'est pour ça que les équipes artificielles d'amoncellement d'étoiles alla Decca du type Ring de Solti n'ont que rarement produit des choses réellement incarnées.

Citation :

Malheureusement, enregistrer en studio est tellement compliqué que l'on ne contrôle pas vraiment quand ça peut se faire, si ça peut se faire. Et de nos jours, un ensemble comme les Arts Florissants coûte trop cher pour être enregistré en studio, malheureusement.

Parfois je regrette quand même qu'on ne dispose pas d'un Atys avec la distribe de l'année dernière en SACD hybride, parce que la bande son du direct est - parfois - un peu limitée. Mais c'est une illusion de croire de toute manière qu'une quelconque reproduction nous rendra le hic et nunc de ces représentations d'Atys, certes.

L'idéal serait un enregistrement en direct devant un petit public de gens non tousseurs et bons applaudisseurs, mais ça ne serait pas rentable. [mode=je veux des représentations privées avec moi seul dans la salle off]

alexandre. a écrit:

Là j'ai lancé sa 8ème Bruckner, et c'est fabuleux : /watch?v=G_IwOZMbn6c

Enfin, ça , ça existe en CD… Le son est quand même meilleur sur une chaîne
Le finale de la Quatrième de Brahms en 1974 : /watch?v=DwNZXJlTMww&feature=related

Guillaume a écrit:

L'idéal serait un enregistrement en direct devant un petit public de gens non tousseurs et bons applaudisseurs, mais ça ne serait pas rentable. [mode=je veux des représentations privées avec moi seul dans la salle off]

Je ne sais pas si ça existe pour l'opéra, mais il m'est déjà arrivé de faire partie de ce type de publics pour de la musique de chambre. Généralement c'est fait sous forme de longues prises filées avec l'ensemble du programme qui doit être enregistré. C'est une bonne idée, qui permet aussi d'avoir une meilleure acoustique comparée à une salle vide. En URSS, presque tous les studios étaient réalisés avec public.

Mariefran a écrit:

alexandre. a écrit:

Là j'ai lancé sa 8ème Bruckner, et c'est fabuleux : /watch?v=G_IwOZMbn6c

Enfin, ça , ça existe en CD… Le son est quand même meilleur sur une chaîne

Elle est horriblement chère cette 8ème de Bruckner, donc pour l'instant j'attends que Melodiya ressorte un peu de Mravinsky (dans dix ans quoi ).

Elle est libre de droits (1959) et je l'ai

Quelles sont les règles pour savoir si un enregistrement est libre de droit ?

En gros, le compositeur doit être mort depuis 70 ans et l'enregistrement dater de + de 50 ans.

alexandre. a écrit:

Je ne sais pas si ça existe pour l'opéra, mais il m'est déjà arrivé de faire partie de ce type de publics pour de la musique de chambre. Généralement c'est fait sous forme de longues prises filées avec l'ensemble du programme qui doit être enregistré. C'est une bonne idée, qui permet aussi d'avoir une meilleure acoustique comparée à une salle vide. En URSS, presque tous les studios étaient réalisés avec public.

Et la fameuse FROSCH des 55 dirigée par Böhm est aussi de ce genre!
Après, un vrai studio apporte aussi d'autre chose. Une clarté de prise de son qui est difficile à rendre dans une salle avec public...

Guillaume a écrit:

Parfois je regrette quand même qu'on ne dispose pas d'un Atys avec la distribe de l'année dernière en SACD hybride, parce que la bande son du direct est - parfois - un peu limitée. Mais c'est une illusion de croire de toute manière qu'une quelconque reproduction nous rendra le hic et nunc de ces représentations d'Atys, certes.

Pas vraiment de regrets à avoir, j'ai déjà dû raconter cette anecdote : quand quelqu'un s'est plaint auprès de Christie qu'Atys s'est fini, il a dit, « Mais non, ce n'est que le début ! »

Vu l'engouement suscité par la resurrection de 2011, et étant donné que tout (décors, costumes) est disponible maintenant, il n'en faudrait pas beaucoup pour qu'une nouvelle tournée se fasse, s'il y a un intérêt (par exemple en Asie). Et que dans la foulée un studio soit fait...

Guillaume a écrit:

L'idéal serait un enregistrement en direct devant un petit public de gens non tousseurs et bons applaudisseurs, mais ça ne serait pas rentable. [mode=je veux des représentations privées avec moi seul dans la salle off]

Je pense que rien que de faire une représentation en version de concert serait mieux pour l'œuvre. C'est tous les avantages du direct — tension, cohérence de la prise, etc. — et tout les avantages du studio — pas de bruitages de la mise en scène, et comme les micros n'ont pas besoin de capter large (car les chanteurs se baladent pas tout au travers de la scène) on peut régler suffisamment faiblement pour éviter de capter la majorité des bruits des spectateurs.

L'autre solution pas mauvaise, c'est de faire plusieurs captations de live, et de faire un patchwork (c'est ce qui a été fait pour Atys, malheureusement, les cons, des trois entrées de Cybèle qu'ils avaient, ils ont pris la moins bien !!!).

Mariefran a écrit:

En gros, le compositeur doit être mort depuis 70 ans et l'enregistrement dater de + de 50 ans.

Ahhh bennn je dois avoir pas mal de trucs libres alors, par exemple une Suite lyrique par le Juilliard enregistrée en 1950...

faut pas oublier non plus les années de guerre. (il y a plein de compositeurs qui sont pas libre rien qu'à cause de ça)

Cololi a écrit:

faut pas oublier non plus les années de guerre. (il y a plein de compositeurs qui sont pas libre rien qu'à cause de ça)

Hélas, c'est bien vrai.

oBlazeo a écrit:

Mariefran a écrit:

En gros, le compositeur doit être mort depuis 70 ans et l'enregistrement dater de + de 50 ans.

Ahhh bennn je dois avoir pas mal de trucs libres alors, par exemple une Suite lyrique par le Juilliard enregistrée en 1950...

Berg n'est pas libre de droits - j'avais oublié les années de guerre

Ben il est pas français Berg

Bruckner, Symphonie 8. Mravinsky 1959

Quintette pour piano, en sol mineur; Sibelius - Roscoe, The Coull Quartet

Difficile de juger de l'interprétation d'une oeuvre quasiment pas jouée et gravée par ailleurs. Mais c'est intéressant.

Ben. a écrit:

Quintette pour piano, en sol mineur; Sibelius

(...) une oeuvre quasiment pas jouée et gravée par ailleurs.

Et pour cause...

Je plaisante, hein, je plaisante...

arnaud bellemontagne a écrit:

Xavier a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Chostakovitch:Symphonie n°11 (Haitink)

Début très envoûtant.

Ah tiens c'est pas l'adjectif que j'aurais utilisé. (ils vont se faire tirer dessus dans le 2è mouvement quand même)

Il y a pourtant une atmosphère de recueillement (ces cordes en nappes) qui confine au mysticisme dans ce premier mouvement, du moins c'est comme cela que je le perçois.

Recueillement ça je veux bien.

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune, Jeux/Tilson-Thomas

discobole a écrit:

Ben il est pas français Berg

Ca ne change rien, si tous les compositeurs étrangers étaient libres de droits ça serait chouette, mais non.

oBlazeo a écrit:

Ben. a écrit:

Quintette pour piano, en sol mineur; Sibelius

(...) une oeuvre quasiment pas jouée et gravée par ailleurs.

Et pour cause...

Je plaisante, hein, je plaisante...

Ah mais tu as le droit !

C'est quand même anecdotique, ces oeuvres de jeunesse, même si parfois très émouvant.

Much ado about nothing, Korngold - Prévin, Shaham ( )

Pour le plaisir d'écouter Prévin au piano, parce que sinon...

Webern: Passacaille opus 1, 6 pièces opus 6/Dohnanyi

arnaud bellemontagne a écrit:

Peut-on imaginer une vie sans Mahler ?

Non ; et c'est pourquoi j'écoute

Tchaikovsky : 6e symphonie, Talich


Au passage j'aime beaucoup l'interprétation du chef tchèque, très sobre, un rien noir .

Ben. a écrit:

Symphonie n°4, Sibelius - Berglund, Helsinki, un des sommets de la discographie pour cette oeuvre, ( )

Son cycle avec Helsinki en vaut-il la peine ? C'est le plus facilement trouvable, mais certains disent que Berglund a fait mieux auparavant...

Horatio a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Peut-on imaginer une vie sans Mahler ?

Non ; et c'est pourquoi j'écoute

Tchaikovsky : 6e symphonie, Talich


Au passage j'aime beaucoup l'interprétation du chef tchèque, très sobre, un rien noir .

Ben. a écrit:

Symphonie n°4, Sibelius - Berglund, Helsinki, un des sommets de la discographie pour cette oeuvre, ( )

Son cycle avec Helsinki en vaut-il la peine ? C'est le plus facilement trouvable, mais certains disent que Berglund a fait mieux auparavant...

La 4è est très bien, donc. Le reste est plus moyen, et vraiment pas indispensable, même pour découvrir ce chef (il y a en effet mieux auparavant).
Mais la 4è est gigantesque...

Brendon Hill, mélodies; Buutterworth - Burnside, Williams ( )

Vivaldi, Sonates pour violoncelle, Cocset

Schubert, Die schöne Müllerin, Kaufmann/Deutsch

Bruckner, Symphonie n°8, Klemperer live
Le mouvement lent est fabuleux, et par chance c'est libre de droits : https://www.youtube.com/watch?v=G2vwsPh9rW8

Holst: I love my love
Vaughan-Williams: The turtle dove
Gabrieli: A Venetian Coronation
Dupré: Symphonie pour orchestre et orgue Op.25
C. Schumann: Concerto pour piano Op.7
Tallis: If Ye Love Me; A New Commandment
Duruflé: Suite pour orgue Op.5

Wagner : Parsifal (Hans Knappertsbusch, Bayreuth 1951 : Wolfgang Windgassen, Martha Mödl, Ludwig Weber, George London, Arnold van Mill, Hermann Uhde)
J'ai déjà écouté plusieurs fois l'édition Teldec et j'ai l'impression que l'édition Naxos est encore meilleure en qualité de son! Plus claire et moins étouffée...
En tout cas, enregistrement toujours aussi mythique!!

Symphonie n°8, Bruckner - Celibidache, Philarmonique de Munich.

Vespro della Beata Vergine, Monteverdi - Savall

Schubert, Messe n°6, D.950. Eipperle, Willer, Dermota. Clemens Krauss 1944.

Mahler, Symphonie n°2 (Neumann - Czech Philharmonic)

Debussy, La Mer (Celibidache - Munich)

Dubois :
(l'objet du délit )
Koechlin : Chant Funèbre à la Mémoire des Jeunes Femmes Défuntes - Juliane Banse, soprano - SWR Vokalensemble Stuttgart, Radio-Sunfonieorchester Stuttgart des SWR : Heinz Holliger

LULLY : Persée, Niquet
LULLY : Persée, Rousset, prologue.
LULLY : Acis et Galatée, Minkowski, Gens, Fouchécourt, Crook.

Schubert, "Grand Duo" D.812 transposé pour orchestre. Krauss. Ch… comme pas possible…
Mozart, Concerto pour violon n°4, K.218. Wiener Philarmoniker, Clemens Krauss et le violon magique de Walter Barylli

Poème de l'amour et de la mer, op. 19; Chausson - Ferrier, Barbirolli, Halle Orchestra


Concerto pour piano n°9, K271, "Jeunehomme"; Mozart - Ashkenazy, Kertész, LSO

Le son est remarquable, l'interprétation vole très haut.

Webern: Pièces opus 10, Im Sommerwind/Dohnanyi

Beethoven, quatuor opus 131 / Smetana quartet (ehhh oui, j'ai craqué...).

Très beau mais peut-être un peu sec.

Tchaïkovsky: Concerto pour piano No.1 (Farnadi - Scherchen)

L'ascension, Eclairs sur l'Au-Delà - Messiaen; Chung, Orchestre de l'Opera Bastille
Magnifique.

oBlazeo a écrit:

Beethoven, quatuor opus 131 / Smetana quartet (ehhh oui, j'ai craqué...).

Très beau mais peut-être un peu sec.

Dans l'opus 131, les Vlach Tu connais ?

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Bartok, Quatuors 1 à 4. Tokyo String Quartet. Une bien heureuse surprise

Cavalli : "Moglie mie sconsolata", air de Junon (Véronique Gens) issu de La Calisto.

C'est vraiment un air magnifique qui m'était un peu passé inaperçu à l'époque... C'est vraiment étrange et magnifique... Écoutez et dites moi !

Mariefran a écrit:

Dans l'opus 131, les Vlach Tu connais ?

Vade retro satanas

Non pourquoi ?

@ Froberger : C'est où exactement ? Non, je n'ai pas découpé mon enregistrement en pistes

Edit : non en fait je vois très bien où c'est, c'est un de mes airs préférés, donc tu as ta réponse ! C'est un air que je trouve très moderne. L'accompagnement est particulièrement réussi en plus de cela. Sans compter sur le livret tellement vrai et actuel.

Bartok, Quatuors 5 et 6. Tokyo SQ
Vivaldi, les 4 saisons. Reinhold Barchet, Südwestdeutsche Kammerorchester, Tilegant
Debussy, Prélude à l'après midi d'un faune. Camille ChevillardConcerts Lamoureux. 1922, un son très pourri mais une bien belle interprétation
Beethoven, Variations opus 66 / Schubert Sonate Arpeggione / Brahms Sonate pour violoncelle n°2 / Debussy, Sonate pour violoncelle. Mainardi et Zecchi

Bach, Magnificat - Herreweghe

Beethoven, Symphonie n° 6 - Giulini / New Philharmonia

Schubert, Sonate D664, Klavierstücke D946 - Virsaladze

Tchaïkovski, La Dame de pique - Gergiev

Debussy: Jeux/Baudo

Chopin: Ballade No.4; Grande valse brillante Op.34 No.1; Valse Op.64 No.1; Andante spianato et Grande polonaise brillante Op.22 (Hofmann)
Pfiou, quel déchaînement dans l'acmé de la Ballade.