Playlist (57)

Horatio a écrit:

Sibelius : 5e symphonie, Karajan/Philharmonia

Mendelssohn : 6e quatuor, Ysaÿe Quartet

Alors, ce Sibelius?

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Sibelius : 5e symphonie, Karajan/Philharmonia

Alors, ce Sibelius?

Formidable, magnifique ! Même s'il m'est difficile d'oublier les couleurs incroyables de Bernstein/Vienne.

Horatio a écrit:

Sibelius : 5e symphonie, Karajan/Philharmonia

Mendelssohn : 6e quatuor, Ysaÿe Quartet

Ben. a écrit:

Lieutenant Kijé, suite symphonique op. 60; Prokofiev - Abaddo, Orchestre Symphonique de Chicago
Il faut juste dépasser le premier mouvement insupportable.

Vraiment ? Personnellement, j'adore cette suite dans son intégralité , en particulier la Troïka. Et la version d'Abbado est détaillée au possible, c'est un bonheur.

La naissance de Kijé ressemble plus à un concours de trompettes qu'à autre chose non?

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Sibelius : 5e symphonie, Karajan/Philharmonia

Alors, ce Sibelius?

Formidable, magnifique ! Même s'il m'est difficile d'oublier les couleurs incroyables de Bernstein/Vienne.

C'est très différent oui. Mais tu m'en vois ravi.

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Lieutenant Kijé, suite symphonique op. 60; Prokofiev - Abaddo, Orchestre Symphonique de Chicago
Il faut juste dépasser le premier mouvement insupportable.

Vraiment ? Personnellement, j'adore cette suite dans son intégralité , en particulier la Troïka. Et la version d'Abbado est détaillée au possible, c'est un bonheur.

La naissance de Kijé ressemble plus à un concours de trompettes qu'à autre chose non?

C'est pas comme ça qu'on qualifie la musique de film ?

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Lieutenant Kijé, suite symphonique op. 60; Prokofiev - Abaddo, Orchestre Symphonique de Chicago
Il faut juste dépasser le premier mouvement insupportable.

Vraiment ? Personnellement, j'adore cette suite dans son intégralité , en particulier la Troïka. Et la version d'Abbado est détaillée au possible, c'est un bonheur.

La naissance de Kijé ressemble plus à un concours de trompettes qu'à autre chose non?

C'est pas comme ça qu'on qualifie la musique de film ?

Je préfère tout Howard Shore à ce premier mouvement.

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Esquisses hongroises, pour orchestre, Sz 97; Bartók - I. Fischer, Budapest Festival Orchesra
C'est remarquable.

Brückner : Symphonie No6 ( Barenboim & Berliner)

@Horatio : J'ai écouté l'Arpeggione de Rostro et j'aime bien, toutefois, je trouve quand même qu'il manque de finesse dans le son et même si ce défaut peut devenir une qualité dans des oeuvres plus "expressives" comme le Elgar ou le 1er de Dvorak, cela le pénalise dans du répertoire de musique de chambre, je trouve.
Enfin j'écouterai plus de ses enregistrements dans les jours à venir.

Le Mandarin merveilleux; Bartók - I. Fischer, Budapest Festival Orchestra

Quatuor pour la fin du temps; Messiaen - Shaham, Meyer, Chung, Wang

Sambagnard a écrit:

@Horatio : J'ai écouté l'Arpeggione de Rostro et j'aime bien, toutefois, je trouve quand même qu'il manque de finesse dans le son et même si ce défaut peut devenir une qualité dans des oeuvres plus "expressives" comme le Elgar ou le 1er de Dvorak, cela le pénalise dans du répertoire de musique de chambre, je trouve.
Enfin j'écouterai plus de ses enregistrements dans les jours à venir.

Ah, la finesse du son ! C'est vrai que Rostropovitch y va parfois franco, mais j'y vois plutôt une autorité naturelle qui se traduit dans le jeu par une certaine robustesse ; si tu entends par "finesse" l'utilisation de sons plus éthérés, évocateurs et fuyants - ou des couleurs moins granitiques, comme celles de Mørk -, tu seras évidemment déçu.
Mais dans cette sonate de Schubert, je le trouve au contraire profondément touchant. Au lieu de chercher un discours "exquis" et tout en couleurs vives, il esquive la démonstration technique et préfère dialoguer avec Britten comme avec un ami ; c'est sans doute la seule fois qu'on le sent aussi fragile, aussi ému. Le début du premier mouvement, lorsqu'il répond à l'introduction du piano, est à pleurer.

Sonates et trios de Telemann - Dan Laurin

John Dowland - Galliards (Luth seul)
Paul O'dette

Visiblement tu n'as pas aimé du tout

Trio, op. 120; Fauré - Salque, Le Sage, Meyer

calbo a écrit:

Visiblement tu n'as pas aimé du tout

La rencontre entre l'un des grands maîtres de la renaissance anglaise (Dowland), le maître absolu du Luth O'dette, et le choix d'oeuvres dansantes alternant tempi presque festifs et moments plus tendres... Franchement un disque magnifique de bout en bout.

Je ne connais rien au luth, je te crois donc sur parole . Quand j'aurai n peu plus de temps j'irai y jeter une oreille.

Concerto en Sol; Ravel - Perlemuter, Horenstein, Orchestre Colonne
Une versions tout à fait incroyable.

Ballades n°3 et 4; Chopin - Perlemuter
Tout à fait remarquable également. Peut-être ma version préférée de la quatrième.

Patricia Petibon, airs baroques français, Les Folies françoises, Patrick Cohen-Akenine

Très mitigé.

Véronique Gens, Tragédiennes 2, Christophe Rousset, les Talents Lyriques

Réécoute, j'ai acheté le disque cet aprem car je l'avais écouté sur spotify jusqu'à présent. Un peu trop d'extraits purement orchestraux (Orphée et Eurydice en trop) et pas assez d'airs très développés.

(pour les raisons exposées)

Wagner : Parsifal ( live sur Arte, je n'aime pas trop l'orchestre)

@Horatio : Cela se défend, après c'est vraiment une question de goût personnel, je ne pense pas que cette fois-ci on puisse établir une hiérarchie d'interprétation. A vrai dire, pour moi, le violoncelliste doit dépasser cette facilité qu'il a à faire sonner son instrument ( ou la robustesse que tu évoquais plus tôt) et donc je préfère le son délicat d'un Mork, d'un Gendron à celui de Rostopovich pour certaines pièces.

Mendelssohn : symphonie n°5 par L Bernstein et orchestre d’Israël

Ben. a écrit:

Concerto en Sol; Ravel - Perlemuter, Horenstein, Orchestre Colonne
Une versions tout à fait incroyable.

Ballades n°3 et 4; Chopin - Perlemuter
Tout à fait remarquable également. Peut-être ma version préférée de la quatrième.

Je suis en train d'écouter le deuxième mouvement ( j'ai honteusement lâché Parsifal ), le piano est très très bon (meilleure que j'ai entendue, devant celle d'Argerich que j'aimais beaucoup pourtant), en revanche les interventions des vents sont déplorables, ce qui gâche quand même l'enregistrement...

Il est drôlement théâtrale Jordan pour une fois

Faut dire qu'avec un mes de cette qualité ...

Ben. a écrit:

Vinomaorinsky a écrit:

Nikolaï Miaskovsky

Symphonies nos. 12-14-18 (c'est définitif)
Symphonies nos. 8-10-11 (8ème : Merveilleux, quoique le final me paraît toujours fade à certains moments/10ème : C'est définitif aussi /11ème : Le premier mouvement est agréable à écouter, mais ce côté "Boum-Boum" me dérange quelque peu à la fin... Le mouvement lent est magnifique et quelle subtilité d'écriture ! Le final est un peu pareil que celui de la huitième, généralement ennuyeux).

Il faudrait n'écouter que les mouvements lents, de Miaskovsky !

C juste !

Horatio a écrit:

Ben. a écrit:

Lieutenant Kijé, suite symphonique op. 60; Prokofiev - Abaddo, Orchestre Symphonique de Chicago
Il faut juste dépasser le premier mouvement insupportable.

Vraiment ? Personnellement, j'adore cette suite dans son intégralité , en particulier la Troïka. Et la version d'Abbado est détaillée au possible, c'est un bonheur.

Mouaih, enfin c'est mieux de voir le film...

Howard Shore c'est de la soupe de ficelle comparé à Poledouris

Wagner: Parsifal/Jordan-Herheim



Bacewicz: Trio pour hautbois, harpe et percussion

Joseph Haydn

Symphonies nos. 1-2-3-4-5 : Il s'inspire beaucoup de la forme italienne de la Sinfonia et l'orchestration en est des plus concises...
Symphonies nos. 6-7-8 "Le Matin, Le Midi, Le Soir..." : Plus d'originalité dans le propos musical, c'est presque enchanteur, vraiment pastoral. Il y a pas mal de passage qui me rappelle le jeune Beethoven (Le Soir en particulier).

Haydn : Symphonie 88 (Furtwaengler, Berliner)

Beethoven : Ouverture "Egmont", Leibowitz

Brahms : 4e symphonie, Reiner

Génial de bout en bout. Pas mécontent d'être tombé sur ce disque, vendu une misère .

Medtner: Sonate pour piano n°1/Hamelin

Xavier a écrit:

Medtner: Sonate pour piano n°1/Hamelin

C'est si moche que ça ?

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Joseph Haydn

Symphonies nos. 9-10-11-12

L'orchestration reste toujours stationnaire.

Vinomaorinsky a écrit:

Xavier a écrit:

Medtner: Sonate pour piano n°1/Hamelin

C'est si moche que ça ?

Non si c'était moche j'aurais pas mis de sourires.
Mais c'est pas hyper palpitant et inspiré.

Nikolaï Medtner

Piano Sonata no. 1 Op. 5

Effectivement, elle est certes jolie mais ça me donne la même impression que d'écouter un Nocturne de Balakirev...

Sergueï Rachmaninoff

Piano Sonata no. 2 Op. 36

WOUAHOO ! La différence !

Schoenberg: Lied der Waldtaube/Bampton-Schoenberg



Bon on n'entend pas grand chose quand même.

Hier :

Bach : Suite n°1 (Pinnock)
Villa-Lobos : Messe pour saint Sébastien
Takemitsu : Spirit Garden (Alsop)
Takemitsu : A Flock Descends Into The Pentagonal Garden (Alsop)

ce matin :

Wagner : Die Meistersinger von Nürnberg - Acte 3 Sc 1 (Solti / van Dam / Mattila / Heppner / Pape)

Honegger : 2e symphonie, Ansermet

Holst : Les Planètes, Karajan/Vienne

Concerto pour piano n°3; Beethoven - Katchen, Gamba, LSO

Six lieder, op. 13; Clara Schumann - Ashkenazy, Bonney

5 esquisses pour piano, op. 114; Sibelius - Gimse

Dutilleux:Symphonie n°1 (Tortelier)

Mendelssohn : 3e et 4e symphonies, Dohnanyi/Vienne

Pécou: Les sacrifiées



Pas pu aller jusqu'au bout.

Xavier a écrit:

Pécou: Les sacrifiées



Pas pu aller jusqu'au bout.

J'avais essayé d'écouter Outre-mémoire, j'ai eu l'impression d'être pris pour un c*n, j'ai passé mon chemin.

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Aujourd'hui,

Parsifal; Wagner - Jordan

Trios pour piano 1-3; Brahms - Katchen, Suk, Starker

Sambagnard a écrit:

@Horatio : Cela se défend, après c'est vraiment une question de goût personnel, je ne pense pas que cette fois-ci on puisse établir une hiérarchie d'interprétation. A vrai dire, pour moi, le violoncelliste doit dépasser cette facilité qu'il a à faire sonner son instrument ( ou la robustesse que tu évoquais plus tôt) et donc je préfère le son délicat d'un Mork, d'un Gendron à celui de Rostopovich pour certaines pièces.

Je doute sincèrement que Rostropovitch cède à cette facilité ; au contraire, la puissance et la l'amplitude des sons qu'il produit n'ont rien à envier aux violoncellistes actuels (ça se discute plus si on le compare à l'école française, dont les représentants savaient aussi allier puissance, raffinement et couleurs ; mais on a là deux sensibilités aussi différentes que pertinentes). Ce qu'il réussit à tirer de son instrument n'a rien de "facile", je te l'assure ; et je pense que les notions de raffinement, de couleurs et de délicatesse trouve un nouveau paradigme qui intègre en premier lieu une virilité que n'ont plus vraiment les musiciens actuels. Là où Mørk patauge pour sortir du son à la fin de la Symphonie Concertante de Prokofiev, Rostropovitch sort ses tripes.

La cantate Alexandre Nevski de Prokofiev, Jarvi



Quel merveille, ça fait une éternité que je n'ai pas vu le film (pas mon préféré d'Eisenstein d'ailleurs), mais la musique de Prokofiev est sublime!!!

Manuel de Falla : Fantasía Bética -- Alicia de Larrocha.

Un respect faramineux des nuances et excellent des textures et accentuations.

Ben. a écrit:

Xavier a écrit:

Pécou: Les sacrifiées



Pas pu aller jusqu'au bout.

J'avais essayé d'écouter Outre-mémoire, j'ai eu l'impression d'être pris pour un c*n, j'ai passé mon chemin.

Y a un peu de ça oui... ça n'est pas tout à fait inintéressant musicalement tout de même, mais bon, ça m'a saoulé.

Citation :

Parsifal; Wagner - Jordan

Maintenant il va falloir préciser si on parle d'Armin ou de Philippe!

Manuel de Falla : Noches en los Jardines de España -- Otto Klemperer, Willem Andriessen, Concertgebouw d'Amsterdam (1951).

J'adore cette version complètement cintrée, cinglante, glacée et tranchante des Noches, surtout à l'orchestre qui est ici chauffé à blanc (paradoxe à part). Quand je pense qu'on ose dire de Klemperer qu'il est lent et opaque, c'est à mourir de rire (dans un rictus nerveux).

Parsifal a écrit:

La cantate Alexandre Nevski de Prokofiev, Jarvi



Quel merveille, ça fait une éternité que je n'ai pas vu le film (pas mon préféré d'Eisenstein d'ailleurs), mais la musique de Prokofiev est sublime!!!

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Joseph Haydn

Symphonies nos. 13-14-15-16-17

Enfin j'ai pu entendre pour la première fois quelques coups de timbales depuis le début de son corpus instrumental. Par contre, cela ne tient compte d'une seule symphonie (je vous laisse la devinette...). Il n'utilise guère davantage les flûtes traversières, pourtant elles ont apporté dans les symphonies 6-7-8 une touche scintillante, quasi stellaire que j'aime beaucoup.

Sergueï Prokofiev

Le Pas d'Acier Op. 41
Symphonie no. 2 en ré mineur Op. 40

Edit : Pécou peut remplacer le PQ ???

Manuel de Falla : Fantasía Bética -- Esteban Sánchez.

Le respect des nuances est sans doute parfois moindre qu'avec Alicia de Larrocha, mais les textures déployées, la variété de l'accentuation et, d'une manière générale, la qualité de la sonorité me semblent bien plus riches. La sonorité, moins sèche voire rêche, autorise des lignes plus pleines, au sommet desquelles les traits en glissando semblent des rivières de lumière (avec, là, un très grand respect des nuances). La polyphonie du magnifique Intermezzo « central(*) » (Andantino) est, en tout cas, beaucoup plus complexe et travaillée, avec ces notes de l'« accompagnement » qui sont discrètement intégrées au chant avant de sombrer à nouveau, un peu comme dans la musique pour piano de Gabriel Fauré.

(*) En fait, je me suis amusé à calculer les proportions : le cœur de cet Intermezzo n'est pas au centre de la pièce, mais arrive assez précisément à la sectio aurea.

Manuel de Falla : El amor brujo -- Rafael Frühbeck de Burgos, Nati Mistral (ms), Orchestre New Philharmonia (1966).

Burlesques, Sz 47, Op. 8c; Quatre pièces pour piano, BB 27; Suite, BB 70, Sz 62, op. 14; Sonate pour piano, BB 88, Sz. 80; Bartók - Z. Kocsis
C'est immense.

Les Cyprès, B. 152; Dvořák - Quatuor Hagen

Trio pour piano n°2; Chostakovich - O. Kagan, N. Gutman, S. Richter

Gabriel Fauré : Impromptus n°1, n°2 et n°3, opus 25, 31 et 34 ; Barcarolles n°1 et n°3, opus 26 et 42 ; Nocturnes n°1 et n°6, opus 33 n°1 et 63 ; Valse-caprice n°2, opus 38 -- Esteban Sánchez.

C'est dommage qu'on n'ait que cette anthologie du piano solo de Fauré par Sánchez. Ces huit œuvres sont proprement miraculeuses. Comment se refaire l'oreille au jeu invertébré, doucereux et pseudo-ondoyant de tant d'autres après une telle leçon ?