Playlist (58)

Dvorak : der Wassermann ( Neumann)

Beethoven, opus 111. Edwin Fischer (studio)
Beethoven, Pathétique / Rondo pour un sou perdu / opus 111. Grinberg mono
Quelle belle journée !

Bach: St. Matthew Passion / Elizabeth Schwartzkopf, Dietrich Fischer-Diskau, Etc.; Otto Klemperer: Philharmonia Orchestra & Chorus
Pour moi la plus belle des versions
Quelle belle journée

Raaaah DFD en Jesus ça déchire grave

Cololi a écrit:

Raaaah DFD en Jesus ça déchire grave

Quel sens de la formule Cololi !

Horatio a écrit:

Cololi a écrit:

Raaaah DFD en Jesus ça déchire grave

Quel sens de la formule Cololi !

Wagner : Die Meistersinger - Acte 3 Sc 1 (Solti / van Dam / Mattila / Heppner / Pape)

Liszt, Sonate / Rhapsodie hongroise / Fantasie über ungarische Volksmelodien. Maria Grinberg
J'aime toujours autant

Wagner, Walküre, Acte 3, Leinsdorf, 1962

Super génial mais je préfère Morris à London...

Puccini, Tosca. Callas, di Stefano, Gobbi. teatro alla Scala, de Sabata

Vierne : Symphonie pour orgue n°2 (http://www.contrebombarde.com/concerthall/playlist/listen/57)

Schoenberg : Pierrot Lunaire / Minton ; Boulez / Sony

YES !

Symphonie n°5; Dvorak - Kertesz, LSO
Symphonie n°6; Dvorak - Rowicki, LSO
Carnaval, op. 9; Schumann - Uchida

Schubert, Symphonie 9. RSO Stuttgart, Schuricht. Que c'est rasoir, cette musique…

Cololi a écrit:

Vierne : Symphonie pour orgue n°2 (http://www.contrebombarde.com/concerthall/playlist/listen/57)

Juste pour te dire que ce lien conduit à une page qui a été bloquée par mon pc pour malveillance.

Philippe VLB a écrit:

Cololi a écrit:

Vierne : Symphonie pour orgue n°2 (http://www.contrebombarde.com/concerthall/playlist/listen/57)

Juste pour te dire que ce lien conduit à une page qui a été bloquée par mon pc pour malveillance.

Et bien il a tort

Giacome Meyerbeer : Music for festive Occasions ...

Pompier mais diablement efficace et varié.

Cololi a écrit:

Philippe VLB a écrit:

Cololi a écrit:

Vierne : Symphonie pour orgue n°2 (http://www.contrebombarde.com/concerthall/playlist/listen/57)

Juste pour te dire que ce lien conduit à une page qui a été bloquée par mon pc pour malveillance.

Et bien il a tort

Énorme le message de sécurité :
"Que s'est-il passé lors de la visite de ce site par le robot Google ?

Sur les 9 pages du site que nous avons testées au cours des 90 derniers jours, un certain nombre (0) entraînait le téléchargement et l'installation de logiciels malveillants sans l'autorisation de l'utilisateur. La dernière visite effectuée par le robot Google sur ce site a eu lieu le 2012-08-24 et aucun contenu suspect n'a été détecté sur celui-ci au cours des 90 derniers jours."

C'est libre de droits tout ça Cololi?

Evidemment

Ben il est mort en 1937 Vierne, la même année que Ravel...

Mariefran a écrit:

Schubert, Symphonie 9. RSO Stuttgart, Schuricht. Que c'est rasoir, cette musique…

Grosse, grosse erreur d'appréciation

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Bach, Kunst der Fuge, Leonhardt II

Schubert, Lieder, Fink / Huber

Buxtehude, Membra Jesu nostri, Cantus Cölln

Désolée, mais je n'aime pas le Schubert symphonique J'essaie régulièrement pourtant…

Xavier a écrit:

Sur le site de Glyndebourne on peut voir les deux opéras de Ravel captés cet été.
Direction Ono et mise en scène de Pelly:
http://glyndebourne.com/production/ravel-double-bill#group-watch-online

J'ai regardé l'Enfant et les sortilèges. Du bonheur à l'état pur ! Quelle belle mise en scène ! Je pense que je vais bâtir une séquence là dessus pour mes élèves de 6°, c'est féérique !

Sibelius : 5e symphonie, Maazel/Vienne

Bernstein a quand même fait mieux avec le même orchestre...

Martinu : 3e symphonie, Neumann

Et voilà, j'ai regardé aussi l'Heure espagnole par Ono et Pelly. J'aime moins l'argument mais la musique est extra et quel abattage des chanteurs ! d'Oustrac est rayonnante ! J'ai passé un chouette moment. Merci pour le lien, Xavier

Mariefran a écrit:

Et voilà, j'ai regardé aussi l'Heure espagnole par Ono et Pelly. J'aime moins l'argument mais la musique est extra et quel abattage des chanteurs ! d'Oustrac est rayonnante ! J'ai passé un chouette moment. Merci pour le lien, Xavier

Pareil, ce fut un excellent moment J'ai juste été un peu frustré par la qualité de la prise de son, assez floue et lointaine.

Nikolaï Rimsky-Korsakov

Symphonies nos 1-3 Opp. 1-9-32
Sinfonietta sur des thèmes russes Op. 31
Ouverture sur des thèmes russes Op. 28
From Homer, Prélude-Cantate Op. 60
Sadko, poème symphonique Op. 5
Fantaisie sur des thèmes serbes Op. 6
At the Tomb Op. 61
Dubinushka Op. 62/Evgeny Svetlanov

Suites d'opéra :

The Tale of Tsar Saltan Op. 57
Christmas Eve (1895)/Ernest Ansermet
Pan Voyevoda Op. 59 (1903)
Snegourochka (1880)
Le Coq d'Or (1907;1913)/Svetlanov

Je sais ce que pense Polyeucte, j'irai acheter la plupart de ses opéras lundi !

Brahms, Concerto pour piano n°1, Graffman / Munch

Scarlatti, Sonates #1, Hantaï

Sibelius : 4e et 5e symphonies, Karajan/Berlin (DG)

C'est étonnant, je ne m'étonne plus de lire que tu n'écoutes soit du Sibelius, soit du Dvorak.

Par contre, Max Reger... J'vois pas trop le rapport ?

Vinopathe a écrit:

C'est étonnant, je ne m'étonne plus de lire que tu n'écoutes soit du Sibelius, soit du Dvorak.

Par contre, Max Reger... J'vois pas trop le rapport ?

Une fixation sur le symphonique, ce qui ne serait pas étonnant outre mesure . Quant à Reger, j'en entends souvent parler, mais je n'ai encore jamais pris le temps de m'y intéresser sérieusement ; alors je tâte le terrain.

______________
Martinù : 5e quatuor, Panocha Quartet

alexandre. a écrit:

Brahms, Concerto pour piano n°1, Graffman / Munch

C'est bien Graffman?

C'est assez typé "steinway brillant", pas trop mon type de piano. Assez proche de Cliburn et Janis, dans la même génération américaine je préfère nettement Katchen. C'est plus axé sur la motricité que sur la densité sonore, mais ça reste un piano maîtrisé, peu de duretés ou de détimbrages.
Pour le 1er de Brahms, il faut écouter, c'est tout de même Munch et Boston, et dans ce concerto ça compte.

alexandre. a écrit:

C'est assez typé "steinway brillant", pas trop mon type de piano. Assez proche de Cliburn et Janis, dans la même génération américaine je préfère nettement Katchen. C'est plus axé sur la motricité que sur la densité sonore, mais ça reste un piano maîtrisé, peu de duretés ou de détimbrages.

Oui, je vois.
Les Etats-Unis ont assurément vu naître de très grands pianistes, mais pas nécessairement classiques. Dans les classiques, mis à part les naturalisés, il n'y en a pas un qui rivalise avec les monuments soviétiques.

Citation :

Pour le 1er de Brahms, il faut écouter, c'est tout de même Munch et Boston, et dans ce concerto ça compte.

Oui, d'ailleurs c'est ce qui a attisé ma curiosité sur cette interprétation et donc sur le niveau de Graffman sur lequel pèse de manière a priori le lourd préjugé d'être le professeur de Lang Lang et de Yuja Wang.

Percy Bysshe a écrit:

alexandre. a écrit:

C'est assez typé "steinway brillant", pas trop mon type de piano. Assez proche de Cliburn et Janis, dans la même génération américaine je préfère nettement Katchen. C'est plus axé sur la motricité que sur la densité sonore, mais ça reste un piano maîtrisé, peu de duretés ou de détimbrages.

Oui, je vois.
Les Etats-Unis ont assurément vu naître de très grands pianistes, mais pas nécessairement classiques. Dans les classiques, mis à part les naturalisés, il n'y en a pas un qui rivalise avec les monuments soviétiques.

C'est sûr, Katchen, Janis, Cliburn, Graffman, Browning, Fleisher, Kappell, Levant ce ne sont pas du tout de mauvais pianistes. Mais, à part chez Katchen et Fleisher, je trouve qu'il y a souvent un léger côté "sportif" à leurs interprétations, ce sont des pianistes chez lesquels il y a relativement peu d'abandon. Et c'est tout à fait conforme à l'évolution de la facture instrumentale aux Etats-Unis à la même époque. Plus récemment il y a tout de même Earl Wild qui a enregistré de bien belles choses.

Il faut dire que ce n'est pas le même terreau, dès la fin du XIXème en Russie il y a une véritable philosophie de l'enseignement pianistique avec des figures extrêmement puissantes et un répartition de l'héritage on ne peut plus généreuse et féconde (l'arbre généalogique prend vite des allures d'annuaire de pianistes géniaux si on le tient jusqu'au XXème siècle), ce qui n'est pas du tout le cas aux Etats-Unis ou finalement il n'y a guère cette tradition spirituelle - que l'on retrouve plutôt chez les musiciens de Jazz de la même période.
La pensée esthétique est vraiment différente.

Debussy: Mazurka; différentes versions, dont Haas, Février, Cassard...
On sent l'influence Chopin dans ces rebonds scherzando... vraiment savoureux avec le lyrisme et la couleur de Debussy.

Ravel: L'Enfant et les sortilèges/Ono-Pelly



Mantovani: Le Sette Chiese/Mälkki

Vinopathe a écrit:

C'est étonnant, je ne m'étonne plus de lire que tu n'écoutes soit du Sibelius, soit du Dvorak.

Par contre, Max Reger... J'vois pas trop le rapport ?

C'est pas le seul.

Mantovani: Streets



Je crois qu'une heure de Mantovani c'est un peu trop pour moi, je commence à trouver ça longuet...

Ce matin, j'ai entendu une petite pièce de Chopin que je ne connaissais absolument pas, Souvenirs de Paganini, et la beauté de cette courte page était rehaussée par l'interprétation tout en grâce, en charme et en subtilité de Nikita Magaloff.

Est-ce que vous savez si son intégrale Chopin est eventuellement encore disponible, chez Philips?

Merci beaucoup d'avance

Wagner, Walküre, Acte 1, Leinsdorf 62


Wagner, Rheingold, Lévine/Schenck DVD

(très très bonne soirée!)

olivier le normand a écrit:

Nikita Magaloff.
Est-ce que vous savez si son intégrale Chopin est eventuellement encore disponible, chez Philips?

http://www.amazon.com/Chopin-Complete-Piano-Nikita-Magaloff/dp/B000025W1F

Ou alors http://www.amazon.fr/Int%C3%A9grale-loeuvre-pour-piano-seul/dp/B0053FRFS2/ref=sr_1_1?s=music&ie=UTF8&qid=1345929054&sr=1-1 , c'est mieux non?

Comment tu m'as cassée…

Robert Schumann : Carnaval, opus 9 -- « Vladimir Sofronitsky (18/11/1959) ».

Je ne sais pas qui joue sur le repiquage, mais en tout cas Pierrot n'est à coup sûr pas celui joué par Sofronitsky le 18 novembre 1959.

Comment cela est-il possible, le fichier est d'un seul tenant ?
Quelle mémoire auditive…

Chopin, Brahms, Prokofiev, Ravel et la Sonate de Liszt. Les "débuts" de Martha Argerich. Quand même impressionnante, sa sonate, une telle maîtrise dans de si jeunes doigts, ce n'est pas fréquent…

Mozart :
- Symphonie #35, 40 et 41 - Fritz Reiner, Chicago Symhony Orchestra
- Sonate pour piano #11 - Edwin Fischer

Mariefran a écrit:

Comment cela est-il possible, le fichier est d'un seul tenant ?

Je ne pourrai pas répondre de façon formelle dès aujourd'hui soir, mais je commence à douter même que ce Carnaval ait quoi que ce soit à voir, dans son entièreté, avec celui que Sofronitsky a joué le 18 novembre 1959. Déjà, il dure 31'06'', alors que celui du 18/11/1959 dure 25'05'' selon mes notes (versions Denon et Vista Vera). Je ne trouve pas non plus que le fichier soit vraiment d'un seul tenant : écoute le collage assez énorme, à 26'53,5'', juste avant Pause (suivie de la Marche des Davidsbündler) ; ce collage dure à peu près un dixième de seconde et on l'entend très bien.

Pour Pierrot : au casque, on entend très bien la jonction à 2'30,1'' ; elle ne dure qu'un dixième de seconde, mais c'est très audible. Si tu commences l'écoute de Pierrot à cet endroit-là du fichier, vers 2'30'', et si tu compares avec la plage n°2 du second disque du boîtier Denon COCQ-83673/4 (ou avec le disque Vista Vera), tu verras 1) que les tempos n'ont rien à voir (le tempo de la version Denon est bien plus vif), 2) que Sofronitsky (Denon) a une manière de phraser au début qui est ici plus proche du staccato, alors que le pianiste mystère du fichier est plus proche du portamento (c'est flagrant sur les six premiers accords de la première phrase, par exemple), et 3) que les rapports de nuances (piano en staccato ou portamento, puis forte en legato), déjà dans les trois premières mesures de Pierrot plus la levée, sont beaucoup plus importants avec Sofronitsky en 1959 qu'avec le pianiste du fichier.

J'écouterai tout ça demain, en comparant le fichier aux versions que j'ai -- 4/3/1947, 1951 en studio, 10/10/1952, les extraits de 1954 et 18/11/1959. Franchement, je suis certain que ce n'est ni 1947 ni 1954. Ça m'étonnerait beaucoup que ce soit 1952. Si ce n'est pas 1959 (je commence à en douter, au moins pour ce que j'ai écouté jusqu'ici) et si ce n'est pas non plus le studio de 1951 (là, la porte reste ouverte, déjà parce que les timings semblent plus compatibles), alors... le pianiste du fichier n'est pas Sofronitsky. Ou alors c'est la découverte d'un enregistrement inconnu...

Boulez : Repons

Schubert : lieder / Bostridge ; Drake / EMI

Comment dire.... : plus que conquis.