Playlist (60)

Brahms, Concerto pour piano n° 2 - Emil Guilels / Chicago Symphony Orchestra / Fritz Reiner

Mahler, symphonie 6, Rafael Kubelik, Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks, décembre 1968

Chostakovitch : Rayok, Symphonie 4

Debussy - Prélude à l'apres midi d'un faune

Wagner : L'Or du Rhin (Daniel Barenboïm, Harry Kupfer)

Chostakovitch:Symphonie n°4 (Haitink)

Mouais...

Hier soir,
Schubert : Symphonie 4 "tragique". Peut être plus mozartienne, mais très chouette quand même.

kegue a écrit:

Hier soir,
Schubert : Symphonie 4 "tragique". Peut être plus mozartienne, mais très chouette quand même.

Tiens, moi c'est plutôt la 5ème que j'aurais qualifiée de mozartienne.

Beethoven ~ Quatuors Op18-6 & 59-1;2 (Vlach)

Brahms

Sonates pour violon 1-3
Scherzo F-A-E

(Ferras - Barbizet)

*Niko a écrit:

kegue a écrit:

Hier soir,
Schubert : Symphonie 4 "tragique". Peut être plus mozartienne, mais très chouette quand même.

Tiens, moi c'est plutôt la 5ème que j'aurais qualifiée de mozartienne.

Je ne connais pas encore la cinquième (mais ça ne saurait tarder). Mais j'ai trouvé dans les mélodies et certains détails d'orchestration, quelques petits trucs à la Wolfy (peut être est-ce aussi la direction d'Harnoncourt qui me fait penser à ça )

En ce moment,
Schubert : Sixième Symphonie

beethoven hammerklavier guilels DG
mvt I : il a bu ou quoi ?

808 a écrit:

beethoven hammerklavier guilels DG
mvt I : il a bu ou quoi ?

ou alors c'est moi. hips.

Schoenberg : Moses und Aron, Kegel

Dukas ~ Symphonie en Ut (A.Jordan)

Schubert : Symphonie inachevée

beethoven : op2 no 2, guilels (DGG)
je crois que je vais faire amende honorable et proclamer à la face du monde : guilels, je le trouvais fastidieux, mais là présentement j'aime ton beethoven.

Ludwig van Beethoven : Sonate pour piano n°15 en ré majeur, opus 28 -- Alicia de Larrocha.

Lalo : Symphonie espagnole par Isaac Stern

beethoven : hammerklavier, schnabel
ah non quoi. sérieusement je suis incapable d'écouter ça.

Brahms : 1e symphonie, Karajan (version années 80)

Leclair : Sonates pour violon livre premier, butterfield

Milhaud : Le boeuf sur le toit, Capuçon

Ravel : Tzigane, Capuçon

Saint-Saëns : Danse macabre, Valse-Caprice, Capuçon

Le boeuf sur le toi !

Mozart, Concertos pour piano n° 11 et 20 - Murray Perahia / E.C.O.

frere elustaphe a écrit:

Le boeuf sur le toi !

Et oui ça y est je fais partie des convaincues !

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.
R.I.P.

Horatio a écrit:

Schoenberg : Moses und Aron, Kegel

Je ne connais pas cette version.
Elle est comment par rapport à Gielen, Solti ou Boulez?


Ici:
Mahler:Symphonie n°7 (Gielen)

Ca commence bien.

Beethoven - variations Diabelli - Sokolov
C'est long.

Ysaye - Sonates pour violon - Kavakos

Schubert : Der Doppelgänger, Der Tod und das Mädchen, par Chaliapine en version orchestrale - 1930.

Qui a entendu ça, parmi vous ?
C'est hallucinant. Tout Boris est là, une force incroyable, tellurique, des diamants d'âme noire qui brasillent dan un volcan en forme de trachée artère.
Expérience unique, extrême.
Suis curieux d'avoir des avis.

Ophanin a écrit:

Beethoven - [b]variations Diabelli - Sokolov
C'est long.

Garnement, va !

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.
R.I.P.

Bartok, Le Château de Barbe bleue. Ludwig, Berry, Kertesz
Bartok, Le Mandarin merveilleux, Concerto pour piano 1 / Kodaly, Peacock Variations. Serkin, New York PO, Reiner
Beethoven, de l'Appassionata aux Adieux. Grinberg
Beethoven, opus 109 à 111. Grinberg

Excellente cette 7 ème de Mahler par Gielen.
Sevère et âpre.

Le finale est toujours aussi insupportable

Mariefran a écrit:

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.
R.I.P.

c'est pas ce qu'il a fait de mieux

Schubert : Neuvième Symphonie "La grande" (Harnoncourt). Un pur bonheur

arnaud bellemontagne a écrit:

Horatio a écrit:

Schoenberg : Moses und Aron, Kegel

Je ne connais pas cette version.
Elle est comment par rapport à Gielen, Solti ou Boulez?

Difficile de répondre, parce que je ne connais aucune des versions que tu cites . Dans l'absolu (et même si je découvre l'œuvre), j'aurais tendance à louer Kegel, comme partout dans la Second Ecole de Vienne : un mélange rare d'intensité et de lisibilité. Très belles couleurs à l'orchestre, chœurs au poil (l'interlude ouvrant le second acte), un Moïse terriblement bien campé par W. Haseleu (Aaaaron ! Was hast du getaaan ?).

Franz Schubert : Sonate pour piano n°20 en la majeur, D959 -- Wilhelm Kempff.
Pff, en effet.

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°20 en la majeur, D959 -- Wilhelm Kempff.
Pff, en effet.

ah non elle est bien celle-là !

Zeno a écrit:

Ophanin a écrit:

Beethoven - variations Diabelli - Sokolov
C'est long.

Garnement, va !

C'est vrai que Grigory Sokolov adopte des tempos en général très amples qui peuvent dérouter. Sviatoslav Richter à Prague en mai 1986 (Praga 254023) ou à Amsterdam un mois plus tard (un nouveau CD Olympia*). Ou alors la belle version de Rudolf Serkin éditée par BBC Legends BBCL 4211 (25 avril 1969). Et aussi celle d'Artur Schnabel, prodigieuse.

* Voir ICI par exemple.

Horatio a écrit:

Schoenberg : Moses und Aron, Kegel

Humm, tu crois que c'est de ton âge ça ? C'est la phase d'ado rebelle ?

J'ai vu que tu as aussi récemment écouté le Violinkonzert de Berg par Kegel. Tu as acheté ce gros coffret ?

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.
R.I.P.

Franz Schubert : Sonate pour piano en sol majeur, D894 -- Wilhelm Kempff.
De Charybde en Scylla...

Aujourd'hui :

Dans le cadre de la Question du jour qui porte sur le sérialisme intégral, j'ai cru bon me mithridatiser en me replongant dans l'esthétique de la Seconde Ecole de Vienne :

Webern : Passacaille
Berg : Suite Lyrique
Berg : Trois pièces op.6
Schoenberg : Variations op.31
=> Herbert von Karajan / Berliner Philharmoniker (DG)
Ce n'est pas ma version préférée des Orchesterstücke, trop végétale, trop ornementale Jugenstil, mais pour le reste du programme la virtuosité et la somptuosité du résultat me laissent toujours aussi pantois. Il n'y avait que ce chef pour réussir de telles prouesses hédonistes.

Schoenberg : Six pièces op.16
=> Rafael Kubelik / Chicago Symphony Orchestra (Mercury)
Un seul micro pour capter la dynamique extrême et les jeux de couleurs de ces miniatures, mais quel relief, qui met à nu les timbres de l'orchestre américain. Et quelle discipline !

Mariefran a écrit:

Bartok, Le Mandarin merveilleux, Concerto pour piano 1 / Kodaly, Peacock Variations. Serkin, New York PO, Reiner

Reiner a enregistré le Mandarin?
C'est la suite ou le ballet?

Xavier a écrit:

Reiner a enregistré le Mandarin?
C'est la suite ou le ballet?

Faut croire...

Suite seulement, captée en mars 1960 avec le New York Philharmonic.

Dommage, 3/4 des enregistrements de cette oeuvre ne concernent que la suite... bon, ça doit dépoter quand même j'imagine.

Mélomaniac a écrit:

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.

Scherzian a écrit:

R.I.P.

Ne te réjouis pas trop vite... Je réécoute ces disques pour la première fois depuis...? Je comprends pourquoi je ne les ai plus écoutés ; il n'est même pas nécessaire de convoquer Sviatoslav Richter (D894, D958) ni Rudolf Serkin (D959) ni personne d'autre. Pour moi, ce jeu est quasi inécoutable. On dirait qu'il ne parvient à penser la musique que dans une seule dimension à la fois (D958 et ailleurs), une sorte de mélodie accompagnée permanente. Parfois, pianissimo et mignon dans l'aigu, c'est vrai que le jeu parvient à faire illusion pendant quelques secondes, mais il n'y a aucune construction, aucune structure, pas de continuité. Dans le finale de la D959, l'immense fugato, qui est pourtant le sommet absolu de cette sonate, à mon avis, si prodigieux et tendu avec Rudolf Serkin, en devient insignifiant en raison d'une très grande faiblesse dans la continuité et la cohérence des lignes (certaines lignes s'évanouissent, on se demanderait bien pourquoi, puis quelques-unes de leurs notes reviennent au premier plan, jouées quasi sforzando, etc.). Dans la section centrale du mouvement lent de la D959 et dans le « développement » du I de la D894, c'est assourdissant et incohérent. Du bruit. Et laid en plus, percussif et ferraillant. Dès que la nuance dépasse mezzo-forte ou que le tempo s'emballe un peu, la sonorité devient cassante, hachée. J'ai l'impression qu'il fait ce qu'il peut pour respecter les indications de nuances, de phrasés, d'accentuation (j'ai tout réécouté avec la partition), mais son jeu vole souvent en éclats sous la charge que ça représente, je trouve, et il s'éparpille, avec des incohérences par wagons entiers. Je me rends bien compte que je fais beaucoup de peine en écrivant ça, mais pour moi c'est quasi impossible à écouter.

Scherzian a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Scherzian a écrit:

Franz Schubert : Sonate pour piano n°19 en do mineur, D958 -- Wilhelm Kempff.

Scherzian a écrit:

R.I.P.

Ne te réjouis pas trop vite... Je réécoute ces disques pour la première fois depuis...? [...] Je me rends bien compte que je fais beaucoup de peine en écrivant ça, mais pour moi c'est quasi impossible à écouter.

Oh, je ne me faisais guère d'illusion. Nos avis ont le mérite de la constance.
C'est amusant : en te lisant, j'ai l'impression d'écouter Kempff, preuve que ton ressenti est fidèle aux qualités que j'attribue aussi à son jeu. Ces notes qui saillissent inopinément du discours le caractérisent si bien que j'ai l'impression de l'entendre rien qu'en te lisant. Je me faisais encore cette réflexion en écoutant son Empereur (avec Kempen) dimanche dernier.

Je comprends ce que tu penses, j'entends la même chose, mais je perçois son interprétation différemment que toi. Pour l'exactitude, la tension de la forme, on trouvera effectivement de meilleurs pianistes. Mais pour la liberté agogique, la licence expressive, je reconnais en tes lignes honnêtes le Kempff que j'aime.
Même si redisons-le je n'adore pas tout ce qu'il a fait, et que j'admets bien d'autres approches que la sienne...

Wagner: Rienzi, ouverture/Welser-Möst

Lourié: Le chapelet/Gerassimova



La voix de la muse/Gerassimova

Bartok: 3 scènes de village/Fischer