Playlist (65)

Hippolyte a écrit:

Tchaïkovski, Eugène Onéguine
- Khaïkine / Vichnevskaïa / Belov / Lemechev / Avdeïeva

Seul défaut de cette version géniale : l'air de Triquet est en russe.

C'était souvent le cas à l'époque en russie... mais je crois qu'ils chantaient cet air dans un mauvais russe...

Oui c'est surtout le finale qui m'a vraiment mis à mal, pourtant le 4ème mouvement est de loin mon préféré (pour le moment)

Après oui il faut l'apprivoiser, mais pour un jeune étudiant comme moi (étude qui restreignent énormément mon temps libre) les symphonies de Mahler qui sont assez longues et qui ont l'air de demander une attention toute particulière c'est peut être pas le meilleur moment pour s'y attaquer! (j'ai acheté une intégrale)


Bach: passacaille BWV 585, Richter

On se sent tout petit

Blestheme a écrit:

Après oui il faut l'apprivoiser, mais pour un jeune étudiant comme moi (étude qui restreignent énormément mon temps libre) les symphonies de Mahler qui sont assez longues et qui ont l'air de demander une attention toute particulière c'est peut être pas le meilleur moment pour s'y attaquer! (j'ai acheté une intégrale)

C'est sûr que des symphonies comme celles de Bruckner et Mahler demandent un disponibilité de temps et d'esprit pour qu'on en appréhende le vaste format.

Mieux vaut peut-être alors commencer un parcours d'initiation par les Classiques (Haydn, Mozart, Beethoven...) qui permettent déjà de s'initier à une forme-sonate plus conventionnelle et ramassée.

C'est certainement l'intégrale Tennstedt que tu as achetée ? Une bonne version, que j'aime particulièrement dans les Symphonies 2, 3, 4, 6 et 8.

Dutilleux: Timbres, espace, mouvement/Baudo

Mélomaniac a écrit:

Blestheme a écrit:

Après oui il faut l'apprivoiser, mais pour un jeune étudiant comme moi (étude qui restreignent énormément mon temps libre) les symphonies de Mahler qui sont assez longues et qui ont l'air de demander une attention toute particulière c'est peut être pas le meilleur moment pour s'y attaquer! (j'ai acheté une intégrale)

C'est sûr que des symphonies comme celles de Bruckner et Mahler demandent un disponibilité de temps et d'esprit pour qu'on en appréhende le vaste format.

Mieux vaut peut-être alors commencer un parcours d'initiation par les Classiques (Haydn, Mozart, Beethoven...) qui permettent déjà de s'initier à une forme-sonate plus conventionnelle et ramassée.

C'est certainement l'intégrale Tennstedt que tu as achetée ? Une bonne version, que j'aime particulièrement dans les Symphonies 2, 3, 4, 6 et 8.

Bruckner j'ai facilement réussi à rentrer dedans, (beaucoup plus que Mahler en tout cas ^^) maintenant il m'accompagne partout (même s'il faudrait que j'écoute la 1 2 3 & 4 )

Oui c'est bien cette intégrale!

Robert Schumann (1810-1856) :

Sonate n°1 en fa bémol mineur Op. 11

Carnaval Op. 9

= Evgeny Kissin

(RCA, 2001)

Hikari Kiyama, [i]V.A.S.K[i]

Je crois que j'aime de plus en plus ce compositeur

Blestheme a écrit:

Oui c'est surtout le finale qui m'a vraiment mis à mal, pourtant le 4ème mouvement est de loin mon préféré (pour le moment)

Après oui il faut l'apprivoiser, mais pour un jeune étudiant comme moi (étude qui restreignent énormément mon temps libre) les symphonies de Mahler qui sont assez longues et qui ont l'air de demander une attention toute particulière c'est peut être pas le meilleur moment pour s'y attaquer! (j'ai acheté une intégrale)


Bach: passacaille BWV 585, Richter

On se sent tout petit

Cette passacaille est superbe et inexorable comme un coup de billard en 5 bandes... Je ne la connais que par l'Orgue. Cela doit prendre une dimension toute autre au piano.
Je m'y attèle dés que je reviens à la médiathèque.
Quant à la 2éme de Mahler, le Todtenfeier initial me parait bien plus difficile d'accès que le final, assez conventionnel finalement dans sa construction (mais c'est une symphonie que j'adore d'un compositeur que je vénère).
Je stope ici avant le carton rouge...
Pour ma modeste part, je retourne vers Adams :


Je m'en passerai bientôt, je vous promets...

Blestheme a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Blestheme a écrit:

Après oui il faut l'apprivoiser, mais pour un jeune étudiant comme moi (étude qui restreignent énormément mon temps libre) les symphonies de Mahler qui sont assez longues et qui ont l'air de demander une attention toute particulière c'est peut être pas le meilleur moment pour s'y attaquer! (j'ai acheté une intégrale)

C'est sûr que des symphonies comme celles de Bruckner et Mahler demandent un disponibilité de temps et d'esprit pour qu'on en appréhende le vaste format.

Mieux vaut peut-être alors commencer un parcours d'initiation par les Classiques (Haydn, Mozart, Beethoven...) qui permettent déjà de s'initier à une forme-sonate plus conventionnelle et ramassée.

C'est certainement l'intégrale Tennstedt que tu as achetée ? Une bonne version, que j'aime particulièrement dans les Symphonies 2, 3, 4, 6 et 8.

Bruckner j'ai facilement réussi à rentrer dedans, (beaucoup plus que Mahler en tout cas ^^) maintenant il m'accompagne partout (même s'il faudrait que j'écoute la 1 2 3 & 4 )

Oui c'est bien cette intégrale!

Mais oui !!! Il est très aisé d'entrer chez Bruckner, même pas besoin de s'essuyer les pieds....
Et il est encore plus facile d'en sortir (mais là, il faut frotter ses semelles au paillasson...)



Rôôôôôôôô !!!!
je plaisante.... je floode pour flooder !!!!!

ttod a écrit:

[Mais oui !!! Il est très aisé d'entrer chez Bruckner, même pas besoin de s'essuyer les pieds....
Et il est encore plus facile d'en sortir (mais là, il faut frotter ses semelles au paillasson...)

Haendel : Ariodante (Minkowski / von Otter / Dawson / Podles / Croft)

Cette oeuvre ne m'avait que moyennement convaincu avec la version Curtis ... et là je découvrer une oeuvre géniale

Boris Lyatoshinsky (1895-1968) :

Symphonie n° 4 en si bémol mineur Op. 63

Symphonie n° 5 en ut majeur Op. 67

= Theodore Kuchar, Orchestre Symphonique d'Etat d'Ukraine

(Marco Polo, décembre 1993)

Bartok : Le château de Barbe-bleue - Troyanos, Nimgsern, Kubelik, live 1981.



Merci, merci, merci !

Beethoven
Sonates n°15 + 21
Brahms
2 Intermezzi
Haydn
Sonate pour piano Hob.XVI/46

Ernst Levy

Je n'ai pas été emballé par les 2 sonates de Beethoven, surtout la Waldstein prise à un tempo bien rapide. Avec me semble-t-il beaucoup de pédale tout est un peu noyé et le discours s'en ressent d'autant. Les 2 intermezzi de Brahms ne me convainquent pas plus.
Par contre la sonate de Haydn est magnifique.

jerome a écrit:

Bartok : Le château de Barbe-bleue - Troyanos, Nimgsern, Kubelik, live 1981.



Merci, merci, merci !

Oui, merci Bartok!!

Wagner : Parsifal (Jaap van Zweden, 2011 : Falk Struckmann, Robert Holl, Klaus Florian Vogt, Katarina Dalayman, Krister St. Hill, Ante Jerkunica)

Oui, j'étais en manque de Parsifal

Au secours...

Soirée piano sur grand écran

Frédéric Chopin : Sonate n°2 en si bémol mineur Op. 35

Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Sonate n°32 en ut mineur Op. 111

= Ivo Pogorelich

(DVD Unitel, filmé à la Villa Contarini, Piazzola sul Brenta, en août 1987)

Bartok : Le Château de Barbe-Bleue/Kubelik

Xavier a écrit:

Bartok : Le Château de Barbe-Bleue/Kubelik

Idem

J'ai l'impression que c'est le premier live que j'entends qui tienne autant la route!

Wagner: Tristan et Isolde, acte 1/Cluytens 56

Bartok : Le Château de Barbe-Bleue/Salonen 2011 (Tomlinson, De Young)

J Ibert : concerto pour flute, E Pahud

Mozart : Quatuor à cordes n°23

Ah ! Cette fois ça y est ! J’ai trouvé — comment ils font pour écouter tant de choses : il suffit d’écouter plusieurs choses en même temps ! C’est facile — et efficace.

Par exemple : en ce moment, par une superbe compétition de contingences — j’écoute Schubert dans mon oreille gauche, Satie dans mon oreille droite... ; et la sonate de Vino au casque (ouvert) !

:

.

Mahler : 7e symphonie, Sinopoli

Bach - Cantates BWV 22, 23, 127 & 159 - Herreweghe

Yamaw a écrit:

Ah ! Cette fois ça y est ! J’ai trouvé — comment ils font pour écouter tant de choses : il suffit d’écouter plusieurs choses en même temps ! C’est facile — et efficace.

Par exemple : en ce moment, par une superbe compétition de contingences — j’écoute Schubert dans mon oreille gauche, Satie dans mon oreille droite... ; et la sonate de Vino au casque (ouvert) !

:

.

Tu as juste oublié de préciser ce que tu lisais comme partition pendant ce temps

Mélomaniac a écrit:

Boris Lyatoshinsky (1895-1968) :

Symphonie n° 4 en si bémol mineur Op. 63

Symphonie n° 5 en ut majeur Op. 67

= Theodore Kuchar, Orchestre Symphonique d'Etat d'Ukraine

(Marco Polo, décembre 1993)

Magnifique ! J'adore sa quatrième symphonie.

Edit : Désolé Mélo, je connaissais ce compositeur Ukrainien de génie.

Cololi a écrit:

Haendel : Ariodante (Minkowski / von Otter / Dawson / Podles / Croft)

Cette oeuvre ne m'avait que moyennement convaincu avec la version Curtis ... et là je découvrer une oeuvre géniale

Mais Ariodante est épatant en effet. Dans les opéras, c'est à mon avis le meilleur que tu aies écouté de Haendel (avec Rinaldo). Evidemment, ça n'atteint pas le niveau du Messie ou d'Israël, mais quand même.

Minko a aussi fait un très bel Amadigi di Gaula - l'oeuvre est moins remarquable, mais les récitatifs sont fantastiquement servis.

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Songe d'une Nuit d'Eté -musique de scène

= Hanneke van Bork, Alfreda Hodgson ; Ambrosian Singers

Rafael Frühbeck de Burgos, New Philharmonia Orchestra

(Decca, 28-29 février 1968)

Moussorgski, Chants et danses de la mort
Tchaïkovski, Mélodies
Prokofiev, Cinq Poèmes d'Anna Akhmatova
- Galina Vichnevskaïa / Mstislav Rostropovitch

Bartok, Le Château de Barbe-Bleue
- Kubelik / Troyanos / Nimsgern

Bartok, Le Château de Barbe Bleue / Musique pour cordes… Troyanos, Nimsgern / Kubelik
Une version bouleversante…

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Ouvertures : Les Hébrides Op. 26 ; Ruy Blas Op. 95 ; La Belle Mélusine Op. 32

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, novembre 1964)

Vaughan Williams : Quatrième Symphonie
Je vais rester en Angleterre avec la deuxième de Bax

Liszt, Troisième année de pèlerinage (Berman).

Mariefran a écrit:

Bartok, Le Château de Barbe Bleue. Troyanos, Nimsgern / Kubelik

Une deuxième fois…

Robert Schumann (1810-1856) :

Le Pélerinage de la Rose Op. 112

= Helen Donath, Kari Lövaas, Julia Hamari, Theo Altmeyer, Bruno Pola, Hans Sotin

Choeur de la Ville de Düsseldorf, dir. Hartmut Schmidt

Rafael Frühbeck de Burgos, Orchestre symphonique de Düsseldorf

(Electrola, septembre 1974)

Miaskovsky : Symphonies n°s 6 à 8/Svetlanov

Maurice Ravel (1875-1937) :

Daphnis et Chloé

= Lorin Maazel, Cleveland Orchestra & Chorus

(Decca, 15-17 juillet 1974)

Vieuxtemps : Concerto pour violon n°4 en Ré mineur, opus 31 (Yehudi Menuhin, Walter Süsskind, 1951)
Elgar : Concerto pour violon en Si mineur, opus 61 (Yehudi Menuhin, Eward Elgar, 1932)

@Mélo : Un vrai fan de Cleveland.

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Milhaud : Symphonies n°s 9-10-11/Francis (CPO)

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

@Mélo : Un vrai fan de Cleveland.

J'ai pas bien saisi pourquoi tu dis ça, oui je suis fan de Cleveland, comme de quelques autres orchestres de la même excellence, et il n'apparaît pas si fréquemment que ça dans ma playlist.

Cette version de Daphnis est vraiment épatante. Virtuose, suave, fignolée... Et une renversante prise de son (Colin Moorfoot of course)...

Mélomaniac a écrit:

Robert Schumann (1810-1856) :

Le Pélerinage de la Rose Op. 112

= Helen Donath, Kari Lövaas, Julia Hamari, Theo Altmeyer, Bruno Pola, Hans Sotin

Choeur de la Ville de Düsseldorf, dir. Hartmut Schmidt

Rafael Frühbeck de Burgos, Orchestre symphonique de Düsseldorf

(Electrola, septembre 1974)

De quoi s'agit-il? Je n'ai aucun souvenir de cet ouvrage.

Mélomaniac a écrit:

Vinocuakosecomeakikinsky a écrit:

@Mélo : Un vrai fan de Cleveland.

J'ai pas bien saisi pourquoi tu dis ça.

Depuis nôtre brouille sur LA version de Cendrillon de Proko.

Gabriel Fauré (1845-1924) :

Pelléas et Mélisande (musique de scène)

= Ernest Ansermet, Orchestre de la Suisse romande

(Decca, 22-24 février 1961)

Bruckner, Symphonie 5. Wiener Philarmoniker, Karajan à Salzburg en 1969.

Mariefran a écrit:

Bruckner, Symphonie 5. Wiener Philarmoniker, Karajan à Salzburg en 1969.

C'est comment ?

Je trouve l'œuvre bien bof bof mais belle interprétation

Arthur Honegger (1892-1955) :

Nicolas de Flue, légende dramatique en trois actes

= Jean Davy (récitant) ; Petits chanteurs de Versailles ; Chorale Elisabeth Brasseur

Georges Tzipine, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire

(Columbia, mars 1953)