Playlist (67)

Maurice Ravel

Ma Mère l'Oye
Daphnis et Chloé/Inghelbrecht
La Valse/Markevitch
Le Tombeau de Couperin
Valses Nobles et Sentimentales/Cluytens
Introduction et Allegro/Laskine-Moyse-Delecruse-Quatuor Calvet
Quatuor en fa majeur/Calvet
Trio en la mineur/Heifetz-Piatigorsky-Rubinstein

kegue a écrit:

Dukas : Symphonie en ut. J'en suis au premier mouvement que je trouve assez chouette et surtout assez clair sur le plan de la forme

Dukas, ça fait longtemps que j'ai pas écouté sa symphonie.
Je m'y met ce week-end, j'en ai un bon souvenir


Aujourd'hui une découverte

L'Âge d'or, suite de ballet pour orchestre opus 22 de Chostakovitch

Chicago/Stokowski sur vinyle

Du Caurroy : Requiem pour les funérailles d'Henri IV

Mozart, Symphonies 39 et 40. Furtwängler
Mozart, Concerto K.466. Yvonne Lefébure, Furtwängler
Mozart, Concerto K.482 et Conc. pour deux pianos K.365. Dagmar Bella et Badura-Skoda, Furtwängler

Ravel : Concerto pour piano en sol majeur/Long-Ravel
Concerto en ré majeur pour la main gauche/Casadesus-Ormandy

Wagner: Wesendonck lieder/Kaufmann-Runnicles



Szymanowski: Stabat mater/Vänskä, Chants du muezzin passionné/Zagorzanka



Debussy: Chansons de Bilitis/Gens, Vourc'h, Danco

Cleme a écrit:

Du Caurroy : Requiem pour les funérailles d'Henri IV

Excellent!

Rachmaninoff: symphonie no 1 par Ashkenazy et le Concertgebouworkest d' Amsterdam (Decca). Musique superbe, interprétation magnifique, prise de son sublime! Les symphonies de Rachmaninoff par Ashkenazy sont un classique. Pour Sibelius et Beethoven c'est autre chose mais bon: je ne boude pas mon plaisir ici.

Smetana: poèmes symphoniques op. 11, 14 et 16. Rafael Kubelik et 'son' orchestre Philharmonique tchèque. Supraphon, 1947. Malgré l'âge de la prise de son (très pure) ça passe bien la rampe. Mais il faut bien le dire: l'oeuvre de Smetana n'a pas gardé sa fraîcheur et son caractère. Parfois décousu, pompier par endroits. Je ne vois pas ça dans une salle de concert en 2013.

Le disque est complété par la Suite de Bohème de Viteszlaf Novak (1870-1949). Novak fut, comme Suk, un compositeur important du début du vingtième.

Scriabine: Prométhée/Inbal

Bartok, Le Château de Barbe Bleue. Eva Marton, Samuel Ramey. Adam Fischer

Mariefran a écrit:

Bartok, Le Château de Barbe Bleue. Eva Marton, Samuel Ramey. Adam Fischer

Ah je l'ai aussi écouté deux fois hier, la deuxième fois version Iván Fischer

Chostakovitch, Symphonies 1 et 5. Ancerl

Strauss - Metamorphosen, Don Juan, Tod und Verklärung, Tanz der sieben Schleier, Till Eulenspiegels lustige Streiche - Philharmonia / Klemperer

Mariotte: Salomé/Layer

Max Bruch : symphonie N° 1 par J Colon

Je continue sur Roy Harris :
Sixième Symphonie "Gettysburg"

Beethoven, Sonates 13 à 15. Nikolaïeva le 25/01/1984

Xavier a écrit:

Mariotte: Salomé/Layer

Plagiat sympa, n'est-ce pas !

Oui enfin à part le texte ça n'a pas grand chose à voir.
Dommage que le son de l'enregistrement soit très gris et ne permette pas de se rendre bien compte des couleurs de l'orchestre.
En tout cas c'est pas mal, oui.

André a écrit:

Le disque est complété par la Suite de Bohème de Viteszlaf Novak (1870-1949). Novak fut, comme Suk, un compositeur important du début du vingtième.

Vraiment ? Par rapport à leurs contemporains anglais (Bax, Bliss), scandinaves (Nielsen, Hamerik, Alfvén, Atterberg) ou américains (Copland, Ives), sans même parler des célèbres "décadents" germaniques et post-wagnériens français (davantage célèbres, même si pas toujours abondamment joués), je ne trouve vraiment pas qu'ils soient prioritaires.

J'entends un peu du sous-Smetana chez eux (en tout cas je m'ennuie généralement un peu). Seule chose qui m'ait vraiment impressionné, la musique de chambre de Suk (Quatuor avec piano Op.1, et surtout le Trio Op.22).

Xavier a écrit:

Oui enfin à part le texte ça n'a pas grand chose à voir.

Toute la prosodie est fondée sur la même logique que l'oeuvre de Strauss, sans parler des couleurs dans des demi-teintes très proches.

Citation :

Dommage que le son de l'enregistrement soit très gris et ne permette pas de se rendre bien compte des couleurs de l'orchestre.

Oui. Sans parler des chanteurs.

Oui, j'ai dû suivre avec le livret en plus.

Scarlatti, choix de sonates. Pogorelich

Mariefran a écrit:

Scarlatti, choix de sonates. Pogorelich

J'adore cette version

Mozart - Don Giovanni - Philharmonia / Klemperer
C'est bien, donc j'y reviens.

Schumann, Kreisleriana / Chopin, Nocturne op.27-2 et Sonate 2. Natan Brand
Mozart, Concertos K. 271 et 466. Haskil, Sacher / Paumgartner

Marie-Nicole Lemieux: airs d'opéras de Gluck, Haydn, Graun et Mozart. Petite tricherie: un des Haydn est extrait de l'oratorio Le Retour de Tobie. Très bon, mais Lemieux n'est pas ma préférée dans ce répertoire.

Jake Heggie, Dead Man Walking (opéra).

Strauss dirigé par Charles Munch, avec le BSO: Don Quichotte et Till l'espiègle. Le premier a été enregistré en mono en 1953, le second en stéréo en 61. La prise de son mono de 53 est spectaculaire. En fait je n'ai même pas remarqué que j'écoutais un enregistrement monophonique. L'orchestre joue avec une virtuosité folle. La variation II (bataille avec les moutons) est absolument effrayante. À côté de ce pandemonium sonore la version de Szell est d'une politesse exquise. Totalement surprenant. Je ne m'attendais pas à tant de personnalité d'une section à l'autre. Seul reproche: les micros sont très près des instruments et l'effet est un peu agressant à la longue.

Till l'espiègle est plus sage et la prise de son semble un peu plate. L'interprétation aussi manque de relief. Solti à Chicago demeure ma version préférée. Dans ce cas particulier c'est Chicago qui fait entendre une démonstration de virtuosité instrumentale hors du commun. Et Sir Georg est particulièrement en verve, ce qui est la qualité première dans cette oeuvre.

Je fini d'écouter en podcast "le Jardin des Critiques" du 23 décembre sur des Mélodies de Ravel.
Ecoute commencée à 10h30 pour accompagner une mise-bas ; et donc 13 fois interrompue.
La suite et le détail depuis mon cher bureau "bonheur du jour".

BACH Partita N° 6 P Anderszewski

André a écrit:

Strauss dirigé par Charles Munch, avec le BSO: Don Quichotte et Till l'espiègle. Le premier a été enregistré en mono en 1953, le second en stéréo en 61. La prise de son mono de 53 est spectaculaire. En fait je n'ai même pas remarqué que j'écoutais un enregistrement monophonique. L'orchestre joue avec une virtuosité folle. La variation II (bataille avec les moutons) est absolument effrayante. À côté de ce pandemonium sonore la version de Szell est d'une politesse exquise. Totalement surprenant. Je ne m'attendais pas à tant de personnalité d'une section à l'autre. Seul reproche: les micros sont très près des instruments et l'effet est un peu agressant à la longue.

Tout à fait d'accord. La prise de son est un peu bizarre, mais c'est un enregistrement totalement délirant, je me souviens d'une chevauchée dans les airs où l'on sent le vent sur les joues.

Georg Frideric Handel (1685-1759) :

Water Music -Suites en fa majeur, ré majeur, sol majeur

= Trevor Pinnock, The English Concert

(Archiv Produktion, avril 1983)

Beethoven

Quatuor n°14, Op131 (Végh II)

Beethoven - Concertos pour piano - Panenka / Smetacek

Bach - Cantates BWV 182, 54 & 1 - Gardiner

Hier soir j'ai réécouté la très belle Symphonie en ut majeur de Paul Dukas. J'ai bien aimé l'aspect romantique de l’œuvre moins la "charge de cavalerie" dans le final du premier mouvement notamment . Je n'ai pas pu m’empêcher de faire la comparaison avec la Symphonie n°4 d'Alberic Magnard que j'écoute beaucoup en ce moment. Je trouve cette dernière plus fine mais c'est peut être du à l'orchestre de Malmö et son chef Thomas Sanderling

Schubert, Sonate D845 - Maurizio Pollini

Schumann, Sonate op. 11 - Catherine Collard (1988)

Franck, Debussy, Sonates pour violon. Fauré, Sonate 1 pour violon. Chausson, Concert. Cortot et Thibaud
Mozart, Concertos 20, 21, 22 et 23. Geza Anda, Silvestri / Keilberth

F. Liszt, Missa solemnis « Gran ». János Ferencsik.

tiens, c’est dans le domaine public, ça.

Maurice Ravel

Boléro/Barenboim (DG)
Sonate pour violon et piano en sol majeur
Kaddish
Tzigane/Pasquier-Engerer (HM)
Berceuse sur le nom de Gabriel Fauré
Sonate pour violon en violoncelle*
Pièce en forme d'Habanera
Sonate posthume pour violon et piano/S.Rozhdestvensky-Marfurt-Kanka* (DP)
Trio avec Piano en la mineur/Beaux Arts Trio (DG)
Quatuor en fa majeur/Melos (DG)
Tombeau de Couperin/Cluytens (T)

Beethoven. Sonates pour violon et piano op. 30 avec les excellents Christian Ferras et Pierre Barbizet. Il y a beaucoup de façons d'aborder ces oeuvres. Avec eux le résultat est lumineux, élégant et toujours vivant.

L'écoute des oeuvres pour mandoline et clavecin constituait pour moi une première. Et fort probablement une dernière aussi. Beaucoup de scories dans ces WoO...

Ravel

Histoires Naturelles*
Don Quichotte à Dulcinée/Souzay-Lindenberg-Bonneau*
L'Enfant et les Sortilèges/Ansermet

Bach - Johannes-Passion - EBS / Gardiner I

Rachmaninov, Liturgie de saint Jean Chrysostome, op.31. Polianski.

/watch?v=1PUy3-j5CAw

quelques œuvres sacrées de Mendelssohn : Psaume 100 · 3 psaumes op.78 · Choralmotette op.23 nº3 · Motette op.69 · Missa Breve · Zum Abendsegen. Marcus Creed.

Bartok, Concertos 1 et 2. Contrastes. Suite opus 14. Sonate pour deux pianos et percussion. Anda, Blöcher, Varga, Solti (au piano). Gielen / Fricsay
Schumann, Kreisleriana, Etudes symphoniques, Carnaval, Romance op. 28-2. Anda

Tchaïkovski, Mélodies - Olga Borodina / Larissa Gergieva

=> Virgil Thomson, Symphonie n°2, Sedares / NZSO


=> Tichtchenko, Symphonie n°6, Rozhdestvensky / Culture URSS

Dans le genre symphonie-poésie, c'est autre chose que la Quatorzième de Chosta !

=> Bruckner, Symphonie n°3, Jochum / Dresde

Magnifiquement phrasé, cordes sublimes, très beau mouvement lent, scherzo qui claque idéalement. Seule réserve, les cuivres extrêmement acides qui rendent les tutti des mouvements extrêmes réellement douloureux.

=> Carmen en allemand : extraits de Stein (avec Ludwig complètement exaltée) et Patané (un des plus beaux disques de Fassbaender ET de Dresde !)

(Je serais bien tenté d'aller jusqu'à 4, j'aime beaucoup les versions de Carmen en allemand...)

Mélomaniac a écrit:

C'est un peu grâce au film "tous les matins du monde" que je me suis ouvert au classique mais bon j'ai vite abandonné le baroque.

Cette après midi, j'ai ressorti ce coffret :
K. 515 pour débuter

Deux sonates de Clementi, opus 24 no 2 et opus 26 no 2. Très rarement joué en concert, il est beaucoup plus présent au disque. Clementi est souvent négligé, voire même méprisé de l'intelligentsia musicale. Pourtant ses sonates sont magnifiques. Je n'ai pas fini de les explorer, mais chaque nouveau disque constitue une découverte.

Mahler: symphonie no 2, "Résurrection". Zubin Mehta dirige le Philharmonique de New-York. Les solistes sont Kathleen Battle et Maureen Forrester. Mehta galvanise choeurs et orchestre dans une prestation d'une grande intensité. J'ai écrit ailleurs que cette prise de son était plutôt ingrate. Il n'y a rien comme une nouvelle écoute pour remettre les pendules à l'heure: la prise de son est très bonne, avec une excellente palette dynamique. Sauf qu'elle est pris d'un tout petit peu loin, ce qui demande presque un quart de tour de plus au potentiomètre. Une fois le son réglé au bon niveau, tout baigne.

J'ai entrepris l'écoute de la troisième journée du Ring dans la version de Levine au Met. Les Nornes sont Helga Dernesch, Tatiana Troyanos et Andrea Gruber. Ce trio est souvent le refuge d'importantes chanteuses sur le retour. Ça leur permet de garder le contact avec la scène et aux producteurs de proposer des noms prestigieux pour mousser une affiche toujours très difficile. Brünnhilde est chantée par Hildegard Behrens et Siegfried par Reiner Goldberg. Tous deux sont une ou deux pointures en-dessous des exigences de leur rôle.

Comme toujours avec Levine, c'est lent, "signifiant", somptueux (l'orchestre est superbe) et sans grand relief. Magnifique illustration sonore de la partition, mais Levine laisse l'expression dramatique aux soins des chanteurs. Ça fonctionne bien avec des chanteurs d'expérience qui dominent leur instrument et habitent leur personnage (Nilsson, Domingo, Moll, Price, Scotto, Milnes, etc). Ici les protagonistes n'habitent pas leurs rôles. Ils en revêtent les costumes et se déplacent selon les instructions du metteur en scène - bref des marionettes au lieu de vrais personnages. Le grand avantage de ce Götterdämmerung est de nous épargner le Wotan de banlieue de James Morris.

Haendel - Suites n°2, n°3, n°5, n°6, n°9, n°12, n°14 & n°16 - Richter