Playlist (71)

sebby a écrit:

Beethoven-Symphonies 1&3-Phil Vienne/Fürt

sebby a écrit:

Beethoven-Symphonies 5&7. Fürt

sebby a écrit:

Beethoven-Concerto violon. Menuhin/Fürt/

Très bonne chose d'écouter tout ça, mais pas d'umlaut sur le u s'il te plait. C'est Fourt(veingleur)

Oui ils sont sur le a. Au temps pour moi. J'espère que vous vous en remettrez.

Edit: j'ai édité

Messiaen: 3 petites liturgies de la présence divine (chung)

Pas mon Messiaen préféré... le côté "petit chanteurs à la croix de bois" m'irrite passablement.  

sebby a écrit:

Oui ils sont sur le a. Au temps pour moi. J'espère que vous vous en remettrez.

Edit: j'ai édité

Moi, assurément. J'en avais même rien à Furt.  

Haydn: concertos pour piano Hob. XVIII nos 11, 3 et 4. Marc-André Hamelin et Les Violons du Roy, dir. Bernard Labadie     .

Le no. 11 en Ré est celui que tout le monde connaît et joue. Ma version préférée a toujours été celle jouée au clavecin par Igor Kipnis et les London Strings sous Neville Marriner (couplé avec le 9ème de Mozart, également joué au clavecin.

Hamelin et Labadie enfoncent la compétition dans cette oeuvre ciselée par Haydn comme un œuf de Fabergé. La grâce et le pathos du mouvement lent m'ont laissé baba. Une partie de l'effet vient de la cacdence de Wanda Landowska. J'aurais aimé que le choix des cadences d eLandowska dans les deux premiers mouvements soit détaillé dans la notice explicative de Hyperion. Comme c'est souvent le cas, l'auteur des notes n'était probablement pas au courant de ces 'détails'.

Hamelin apporte ses propres cadences dans les deux autres concertos. Les Violons ont une sonorité pure (un vibrato très discret) mais pleine et charnue. Un disque remarquable. Fortement recommandé (ainsi que toute la série d'ailleurs, dont 6 disques sont parus).

Messiaen - Quatuor pour la fin du temps - Fernandez/Deplus/Neilz/Petit

     

arnaud bellemontagne a écrit:

Messiaen:Saint françois d'assise Acte 3

Grand.  

Le dernier acte est une des choses les plus hallucinantes que j'aie pu entendre jusqu'à présent !  

Zeno a écrit:

Tu te tortures l'esprit pour rien, Cololi.
Liturgique, oui, on connaît. Musique ayant une fonction.
Après, pour le côté religieux, je vais directement voir le titre, l'inspiration officielle, et puis voilà.

Oui oui je me prend la tête pour pas grand chose  
Je voulais dire par là que si on devait parler d'oeuvre religieuse à chaque fois qu'un compositeur se dit inspiré par sa foi ... alors on est pas sorti de l'auberge.

Copland - Appalachian Spring Suite - PacificSO-Clark

 

Schubert-D960-Schnabel

Rameau : prologue d'Hippolyte, je ne m'en lasse pas ; Ghedini : sonata da concerto per flauto e orchestra, vraiment un compositeur italien à redécouvrir d'urgence (musique pour orchestre prioritairement, j'ai jeté une oreille sur la musique pour piano : impression rapide d'une musiquette bien faite mais sans intérêt et qui s'oublie au fil de l'écoute ; Janacek : sur un sentier herbeux, par Firkusny, magnifique, j'ai commandé Tirimo qui est superbe aussi ; Ravel : musique pour piano, intégrale Decca (menuet antique, sonatine, pavane, etc.), décidément cette musique me glisse dessus comme de l'eau de pluie sur une toile cirée, cascades de notes, mélodies courtes, ne suscitant aucune émotion particulière... ; Alfano : symphonie No. 1, j'adore : musique touffue, généreuse et scintillante, le thème me rappelle toujours la fin de la première partie du Coeur du Moulin ; Walton : concerto pour violon, toujours aussi génial, Walton quoi ; Villa-Lobos : Chôros No. 6, vraiment très chouette, réécouté plusieurs fois déjà

Schubert-Symphonies 1-8. Boehm/Phil Berlin

Ligeti: Atmosphères/Bernstein

    

Messiaen:3 petites liturgies de la présence divine (Bernstein)

Feldman: Out of Last Pieces/Bernstein

  

Messiaen: 3 petites liturgies de la présence divine/Bernstein

     

Beethoven-quintette opus 16
Mozart- quintette k452

Barenboïm&consort

Serge Prokofiev (1891-1953) :
 
Roméo et Juliette -ballet intégral
 
= Lorin Maazel, Cleveland Orchestra
 
(Decca, juin 1973)

Satie : Heures séculaires et instantanées / Tharaud

Retour aux fondamentaux :

=> Berwald - Symphonie n°2 - Kamu, Helsingborg SO


=> Hamerik - Symphonie n°1 - Dausgaard, Helsingborg SO

Asger Hamerik: les symphonies 1 et 2 (Dausgaard, sur DaCapo). Joli, mais pas beaucoup plus (August Lindblad et Ludwig Norman, sans parler de Berwald, ont fait aussi bien sinon mieux). Les autres symphonies sont probablement plus accomplies.    :Star:pour la production (orchestre, direction, prise de son)

Schubert: symphonies nos 8 et 9, Klemperer et le Philharmonia. Pas le meilleur Klemperer que j'aie entendu, mais d'un haut niveau tout du long. Ça reste fermement campé sous le couvert nuageux (le soleil ne perce pas).    1/2 . À noter le quasi diminuendo sur le dernier accord de 9:IV. Certains chefs le font 'all the way' (un désastre musical), d'autres ménagent la chèvre et le chou (et mécontentent tout le monde), d'autres nont rien à cirer de la controverse qui continue d'entourer la notation de cet accord final: c'est un do majeur fff, identique à celui de Beethoven 5:IV. C'est ce que font presque tous les 'vieux chefs'. Klemperer était un des premiers à interroger la partition et proposer une alternative.

Schubert toujours: les symphonies 1 et 2. Abbado et l'Orchestre de chambre d'Europe (DGG). Fort bien joué mais terriblement mal conçu. Une paire d'embryons desséchés. Voilà un Schubert qui s'affaire, se dépense, se donne beaucoup de mal, mais oublie de respirer pendant une demi-heure . C'est dynamique et pétulant sans jamais déboucher sur d'authentiques climaxes. Comparée à Böhm avec le LSO, cette interprétation de la deuxième a tout le charme d'Ute Lemper après une cure d'amaigrissement.   

André a écrit:

Asger Hamerik: les symphonies 1 et 2 (Dausgaard, sur DaCapo). Joli, mais pas beaucoup plus (August Lindblad et Ludwig Norman, sans parler de Berwald, ont fait aussi bien sinon mieux). Les autres symphonies sont probablement plus accomplies.    :Star:pour la production (orchestre, direction, prise de son)

Non, justement, les deux premières sont les deux meilleures à mon sens. Parce que le reste ne va pas très loin non plus (typiquement le genre de compositeur que je ne recommande pas d'écouter, sauf à avoir des goûts proches des miens), mais il y a dans ces deux-là un sens du climat (très mendelssohnien) que je trouve infiniment persuasif.

Mais musicalement, il n'y a rien de particulièrement singulier à aller entendre... Si on aime Czerny, Kalliwoda, Berwald et Mendelssohn, ça peut très bien faire l'affaire.

Je trouve Lindblad beaucoup plus inoffensif (expressivement, parce que musicalement, il va certes un peu plus loin). Ca me touche plus que Berwald aussi, mais Berwald est sans conteste un musicien plus important.

Citation :

Schubert toujours: les symphonies 1 et 2. Abbado et l'Orchestre de chambre d'Europe (DGG). Fort bien joué mais terriblement mal conçu. Une paire d'embryons desséchés. Voilà un Schubert qui s'affaire, se dépense, se donne beaucoup de mal, mais oublie de respirer pendant une demi-heure . C'est dynamique et pétulant sans jamais déboucher sur d'authentiques climaxes. Comparée à Böhm avec le LSO, cette interprétation de la deuxième a tout le charme d'Ute Lemper après une cure d'amaigrissement.   

J'ai eu très peur, j'ai cru que tu parlais des oeuvres.

Guillaume a écrit:

Boito :Mefistofele
Prologo im Himmel
Ramey / Arena (SFSO)

J'ai chez moi la version Siepi/del Monaco, mais je n'avais pas dû l'écouter assez sérieusement, ce que j'entends est tout à fait séduisant. Ramey de par ses activités méphistophéliques parisiennes bénéficie d'un préjugé bien plus favorable que Siepi à mes yeux.

Siepi est vocalement beaucoup plus impressionnant (et avenant) que Ramey, et ça s'entend très bien en comparant les disques.

Mais avec l'image, Ramey offre une telle totalité (et bien davantage diable que n'importe quel autre).

Citation :

Il y a des choses que j'ai l'impression d'avoir déjà lu quelque part  

Arrigo Boito a traduit/ a écrit:

CHORUS MYSTICUS [interno]
T' è noto Faust?

Spoiler:

En même temps ça paraît assez logique que dans un Méphisto il reste un peu de Faust, non ?  Certains passages sont librement adaptés, mais il reste pas mal de bouts de Goethe là-dedans. Beaucoup plus que chez Gounod évidemment, le projet étant de rendre justice à la totalité des deux Faust.

Je trouve très dommage que personne n'ait jamais exhumé la version de la création, qui durait le double à ce qu'on peut lire...

DavidLeMarrec a écrit:

Retour aux fondamentaux :

Le trollage c'est le mal  

Berwald je trouve ça ennuyeux à mourir, je ne sais pas ce qui coince mais à chaque tentative je décroche...  
Hamerik c'est très sympathique (l'allegro moderato de la 4ème  ), mais on devrait arrêter de le rapprocher de Berlioz, ça le dessert plus qu'autre chose. C'est plus un compositeur de la trempe de Parry (que j'aime bien aussi).

Liszt - 1ère année de pèlerinage - Berman

Weckmann - Concertos / Cantates - Ricercar Consort / Philippe Pierlot

Bach - Cantates BWV 56 & 82 - Van Egmond / Brüggen

Barbara Strozzi
Il primo Libro de madrigali
      Priego ad amore
      Silentio nocivo
      Vecchio amante
      L'usignuolo
      L'amante modesto
Arie a voce sola
      Che si può fare
Cantate e ariette a voce sola
      Lagrime mie
Claudio Monteverdi
Madrigali guerrieri ed amorosi
      Hor che 'l ciel e la terra
Il quarto Libro de madrigali
      Si ch'io vorrei morire
Sigismondo d'India
Il terzo libro de madrigali
      Dispietata pietate

Cappella Mediterranea-Alarcón

        De quoi réconcilier même les plus réfractaires avec l'art du madrigal... et quelle soprane...

Oui, une merveille.
Comme tout ce que fait Alarcón.
Quant à Mariana Flores, pour ce répertoire, je n'ai pas trouvé mieux dans ce qui se fait actuellement.

Messiaen:Turangalila Symphonie (Chung)

Du grand spectacle.
( à la fois grandiose et un peu irritant)

Certains preferent Yves Duteil parait-il...

arnaud bellemontagne a écrit:

Certains preferent Yves Duteil parait-il...

Oui mais que la partie profane de son oeuvre

 

DavidLeMarrec a écrit:

Citation :

Schubert toujours: les symphonies 1 et 2. Abbado et l'Orchestre de chambre d'Europe (DGG). Fort bien joué mais terriblement mal conçu. Une paire d'embryons desséchés. Voilà un Schubert qui s'affaire, se dépense, se donne beaucoup de mal, mais oublie de respirer pendant une demi-heure . C'est dynamique et pétulant sans jamais déboucher sur d'authentiques climaxes. Comparée à Böhm avec le LSO, cette interprétation de la deuxième a tout le charme d'Ute Lemper après une cure d'amaigrissement.   

J'ai eu très peur, j'ai cru que tu parlais des oeuvres.

Non, mes étoiles sont toujours pour le disque lui-même. Les symphonies de jeunesse de Schubert sont parmi mes préférées - surtout la deuxième, géniale. L'approche "machine à coudre" d' Abbado est particulièrement déplaisante ici. Même Karajan et le Bazooka Philharmonic font nettement mieux.

=> Madetoja - Symphonie n°2 - Storgårds, Helsinki PO

Contre toute attente, bien meilleure version que Sakari / Islande SO, plus nette et différenciée.

Je n'avais jamais remarqué le moment de l'Andante où le cor anglais joue le même thème que celui de Tiefland.

Kalliwoda annonce donc Tristan, et en plus beau pour ce qui est du thème anglé.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Retour aux fondamentaux :

Le trollage c'est le mal  

Ce n'est pas du trollage, c'est vrai : j'écoute régulièrement ça, infiniment plus souvent que le Clavier bien Tempéré, les Variations Diabelli, le Concerto en sol ou les symphonies de Scriabine.

Après, tu aimerais beaucoup ces musiques, mais tu te sentirais obligé, dans ta quête au génie pur, de faire la fine bouche.  Donc mon conseil : n'écoute pas.

WoO a écrit:

Berwald je trouve ça ennuyeux à mourir, je ne sais pas ce qui coince mais à chaque tentative je décroche...  

Ce n'est pas très mélodique, c'est un peu abstrait par moment. Clairement, dans les noms que j'ai cités, c'est celui qui me passionne le moins. Mais c'est musicalement le plus original.

Citation :

Hamerik c'est très sympathique (l'allegro moderato de la 4ème  ), mais on devrait arrêter de le rapprocher de Berlioz, ça le dessert plus qu'autre chose.

Je ne vois vraiment pas la rapport avec Berlioz, qui dit ça ?  

C'est du Mendelssohn, ni plus ni moins : vraiment une musique typique du jeune (malgré la date) romantisme germanique, et dans une veine pas trop paroxystique.

arnaud bellemontagne a écrit:

Messiaen:Turangalila Symphonie (Chung)

Du grand spectacle.

Certains preferent Yves Duteil parait-il...

Oh, ça, ça doit être de moi.  En tout cas ça correspond à ce que je pourrais dire en toute sincérité (je crois que ce serait valable même à durée égale ).

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Retour aux fondamentaux :

Le trollage c'est le mal  

Ce n'est pas du trollage, c'est vrai : j'écoute régulièrement ça, infiniment plus souvent que le Clavier bien Tempéré, les Variations Diabelli, le Concerto en sol ou les symphonies de Scriabine.

Après, tu aimerais beaucoup ces musiques, mais tu te sentirais obligé, dans ta quête au génie pur, de faire la fine bouche.  Donc mon conseil : n'écoute pas.

 
C'est simplement que dans ta quête du "génie que personne ne connait" tu y vas un peu fort non ? Je ne les connais même pas de nom !

DavidLeMarrec a écrit:

(je crois que ce serait valable même à durée égale ).

Tu vas loin, là.  

Cololi a écrit:

C'est simplement que dans ta quête du "génie que personne ne connait" tu y vas un peu fort non ? Je ne les connais même pas de nom !

Ca, je n'y peux rien si tu ne les as pas écoutés !

Mais je n'ai jamais parlé de génie... Hamerik écrit du Mendelssohn (un peu moins audacieux, même !) en 1890, on ne peut pas dire qu'il ait inventé le fil à couper le beurre.

Ce sont des symphonistes nordiques, qui ont davantage de réputation auprès des mélomanes anglophones ou germaniques, il y a même beaucoup de versions de Berwald (qui lui, est plutôt célèbre) et Madetoja.

Leur langage reste très traditionnel, et c'est justement ce qui me plaît : ils sont davantage dans la recherche de couleurs émotives, dans l'évocation de climats, que dans la recherche musicale.

Le Sacre, c'est magistral musicalement, mais me touche infinitésimalement par rapport à ce type de musique très conservatrice, qui cherche simplement à produire dans un langage déjà familier des oeuvres qui ont une qualité d'atmosphère.

C'est pour ça qu'à l'aune de l'histoire-bataille des Histoires de la Musique, il n'ont bien sûr aucune place.

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

(je crois que ce serait valable même à durée égale ).

Tu vas loin, là.  

Pas du tout, je dis simplement mon sentiment (et je ne suis pas particulièrement inconditionnel de Duteil, mais ça a l'avantage de faire beaucoup moins de bruit et de me prodiguer un peu plus d'émotions).

Après, je n'irais certainement pas à un concert de Duteil, alors que je tenterai probablement d'aller voir la Turangalîla un jour, parce que ça n'a pas non plus la même ambition, et que je suis sûr qu'il y a au moins des passages auxquels je pourrais adhérer plus fortement.

DavidLeMarrec a écrit:

Je ne vois vraiment pas la rapport avec Berlioz, qui dit ça ?

J.-L. Caron qui le situe entre Gade et Berlioz + toutes les notices sur lui qui évoquent Berlioz et laissent parfois penser que sa musique ressemble à celle de son professeur.

Chostakovitch - Trio No.2 - Argerich/Kremer/Maisky

WoO a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Je ne vois vraiment pas la rapport avec Berlioz, qui dit ça ?

J.-L. Caron qui le situe entre Gade et Berlioz + toutes les notices sur lui qui évoquent Berlioz et laissent parfois penser que sa musique ressemble à celle de son professeur.

C'est un peu n'importe quoi... Gade est infiniment plus lisse, sans la composante quasiment Sturm und Drang de Hamerik, et Berlioz est à des années-lumières de la simplicité de ces deux-là.

Si tu le croises, tu lui diras de me part.


C'est pour ça que je n'abuse pas des notices, généralement une écoute pas trop vague permet de se faire une représentation beaucoup plus juste de ce qu'on écoute... le nombre de clichés dont j'ai dû me départir parce qu'autrefois je les lisais avec avidité.

Chostakovitch - Quatuor n°8 - Quatuor Borodine

Beethoven - Variations op.35 "Eroica" - Schnabel, Richter (studio), Brendel (studio Vox), Guilels (studio)

André a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Citation :

Schubert toujours: les symphonies 1 et 2. Abbado et l'Orchestre de chambre d'Europe (DGG). Fort bien joué mais terriblement mal conçu. Une paire d'embryons desséchés. Voilà un Schubert qui s'affaire, se dépense, se donne beaucoup de mal, mais oublie de respirer pendant une demi-heure . C'est dynamique et pétulant sans jamais déboucher sur d'authentiques climaxes. Comparée à Böhm avec le LSO, cette interprétation de la deuxième a tout le charme d'Ute Lemper après une cure d'amaigrissement.   

J'ai eu très peur, j'ai cru que tu parlais des oeuvres.

Non, mes étoiles sont toujours pour le disque lui-même.

Mais le disque, il propose des oeuvres quand même, non?  


Revueltas: Itinerarios/Ben-Dor

  

Colorines/Ben-Dor

    

Ginastera: Milena pour soprano et orchestre/Curtin, Priestman

    

Weber, Oberon, CD 2, Gardiner, Kaufmann, Martinpelto, Davislim, etc.

Messiaen: 3 petites liturgies de la présence divine/Couraud

     

Dutilleux - The Shadows of Times - OPRF-Salonen

   A chaque écoute c'est pareil  

Beethoven- triple concerto-karajan/phil de Ber

Haendel - Solomon - EBS / Gardiner

alexandre. a écrit:

Beethoven - Variations op.35 "Eroica" - Schnabel, Richter (studio), Brendel (studio Vox), Guilels (studio)

Quelle est la plus sympa? Moi je ne connais que celle de Brendel.