Le jeu des plus beaux films à coucher dehors

Magnifique plan...

Visiblement peu de propositions alors comme le réalisateur a été trouvé je dévoile le titre : Les rêveurs, film que j'avais adoré à sa sortie (plus que Cours, Lola, cours)...
La main est au plus rapide si Lucien n'a rien à proposer...

Un facile pour que quelqu'un reprenne la main :

L'année du dragon ?

à toi la main, Rubato.

Puisque mes captures n'intéressent personne, je les ai supprimées.
...si quelqu'un veut prendre la suite.

zut alors ! pas d'idée, donc pas de proposition dans un 1er temps, surtout quand les rangs sont un peu clairsemés, ne veut pas dire pas d'intérêt. Comme pour les quizz musicaux, on peut aussi donner quelques indices à l'appui des captures de films, pour décanter un peu.

  je cherchais aussi... tant pis

Comme vous aviez commencé à chercher, voici à nouveau les captures!  





Indice: c'est britannique. 

C'est britannique mais cela se passe en France, non ?

C'est pas plutôt Londres ?

All Saints Church, Notting Hill ?

Le jour où la terre prit feu, de Val Guest , 1961 : ça sentait très fort le film de SF à la "Je suis une légende".

Yeux, tu n'aurais pas confondu avec la tour Saint-Jacques ?

Spoiler:

@alifie : non, non. L'église me rappelait celles de Rouen ; et l'appareil des murs des immeubles, celui des bâtiments néo-classsiques de Bordeaux. Après faut dire que nous sommes là* en terres anglaises…  

*à Bordeaux et Rouen

Alifie a écrit:

Le jour où  la terre prit feu, de Val Guest , 1961 : ça sentait très fort le film de SF à la "Je suis une légende".

Yeux, tu n'aurais pas confondu avec la tour Saint-Jacques ?

Spoiler:

The day the earth caught fire. Ça se passe principalement à Londres.
Bravo Alifie!

Je ne l'ai pas vu, en revanche "Quand les dinosaures dominaient le monde", oui, et ça c'est un vrai film à coucher dehors... (avec des créatures en tenue de peau légères poursuivies par des dinosaures...)

Tu aurais dû le garder pour le fil, surtout au regard de la précision que tu donnes.

Je ne suis pas certain d'avoir vu le film de Rubato, mais avec : film SF "Londres désert", gougueule donnait immédiatement la réponse.

Celui-ci n'est pas britannique :

C'est un montage, cette photo!?  

Spoiler:

Ah, je vois que tu joues depuis ton smartphone : non, il s'agit d'une affiche sur le mur (à l'époque on disait plutôt poster).

Deux autres acteurs du film (l'actrice est également une réalisatrice connue) :

  Je me suis fait avoir avec cette affiche!....bon je vais me coucher!!  

Tiens, ça redevient plus décent par ici, je vais peut-être voir des choses familières.

Un film avec Lupino, je suppose ?

DavidLeMarrec a écrit:

Un film avec Lupino, je suppose ?

il ne s'agit pas d'un film anglo-saxon.

Citation :

Tiens, ça redevient plus décent par ici

calbo ne va probablement pas être d'accord.

Z'êtes des obsédés, je n'y peux pas grand chose  . En Amérique du Nord ils utilisent un traitement chimique pour calmer les "ardeurs" des pervers dans votre genre, ça pourrait peut-être vous être utile  

CQFD : ça marche à tous les coups !

Le film devrait être plus facile à trouver avec cette capture-ci :

Alifie a écrit:

CQFD : ça marche à tous les coups !

T'as l'art de choisir les captures  

C'est gentil de penser aux admins qui doivent lire ce fil  

Alifie a écrit:

Le film devrait être plus facile à trouver avec cette capture-ci :

Fassbinder à gauche: le soldat américain ? (jamais vu ce film, je précise …).

Voilà !



Et si je ne me trompe pas (mon souvenir du film est assez lointain), Margarethe Von Trotta, une réalisatrice bien connue de Cololi, sur la capture qui a retenu son attention.

Ah merdre alors, Père Ubu, c'est donc à moi ?  
(j'aurais du réfléchir à 2 fois avant de répondre  )

Bon alorssse:

C'est Ron Perlman à gauche ?

La Cité des enfants perdus, puisque Roderick, qui a reconnu Ron Perlman, n'a a pas complété.

J'avais trouvé mais :
-  Caro et Jeunet    , je boycotte... même Delicatessen et l'Alien de Jeunet je peux pas...
- j'avais pas d'idée pour la suite...

Alifie a écrit:

La Cité des enfants perdus, puisque Roderick, qui a reconnu Ron Perlman, n'a a pas complété.

Oui   

Roderick_U a écrit:

J'avais trouvé mais :
-  Caro et Jeunet    , je boycotte... même Delicatessen et l'Alien de Jeunet je peux pas...
- j'avais pas d'idée pour la suite...

Je suis entièrement d'accord: esthétique glauque à souhait.

sebby a écrit:

Je suis entièrement d'accord: esthétique glauque à souhait.

et alors?
les films du duo n'en sont pas moins très bon  

Ces 2 films me font le même effet que les musiques de Xenakis sur woo. 

pas du tout client personnellement, mais par contre j'ai trouvé que l'Alien de Jeunet faisait une rupture divertissante dans la série.

"Delicatessen" qui m'avais intrigué à sa sortie est en réalité creux comme une bonne pub, et "La cité" m'ennuie à vouloir me divertir de force...

Blood on the moon ?

Roderick_U a écrit:

"Delicatessen" qui m'avais intrigué à sa sortie est en réalité creux comme une bonne pub

Delicatessen est un film tout a fait réussit dans les limites de ses ambitions: être un objet esthétique décalé a l'humour noir et absurde assez réjouissant et inventif. Il en est de même pour la Cité, sauf qu'ici s'ajoute également une poésie morbide qui possède une vrai puissance d'évocation (j'ai été notamment très marqué par le personnage de la pieuvre).
Bien sur ce ne sont pas des chefs d’œuvres impérissable, c'est beaucoup trop fourre tout pour cela, mais c'est un type de cinema suffisamment rare en France et suffisamment inventif pour être interessant.

Attention, je ne prétends pas que ces films ne sont pas "intéressants", en particulier par ce qu'ils proposaient de nouveau dans le paysage du cinéma français à l'époque de leur sortie... Ils ne me touchent juste pas du tout personnellement et pour des raisons différentes.
Je trouve que Delicatessen est le plus réussi des 2 mais supporte très mal un nouveau visionnage, parce que la surprise d'une esthétique nouvelle n'est plus là, parce que le scénario est tout de même assez bancal, parce que la galerie de "tronches" finit par lasser... reste la musique.
Avec moi La cité des enfants perdus ne marche pas (de même qu'Amélie Poulain) parce que si j'aime qu'un réalisateur me propose son imaginaire, je n'aime pas du tout que celui-ci se substitue totalement au mien. J'ai la sensation à la vue de ces films que le réalisateur me dit : contente-toi de regarder, ne pense à rien je le fais à ta place... Très désagréable

Une capture plus parlante, qui donne quasiment le titre du film (que logiquement David devrait trouver) :

Genre David il regarde des films où les femmes tirent au fusil et, pis, fument !

Comme j'ai bien sûr qui en douterait ? trouvé, je vous donne un indice : ce n'est pas une adaptation de Jane Austen des années 50.

Qu'est-ce qu'on dit ?

Spoiler:

DavidLeMarrec a écrit:

Genre David il regarde des films où les femmes tirent au fusil et, pis, fument !

Tu as oublié chantent "One for my baby" en s'accompagnant au piano et jouent au bowling, ce qui est je pense rare dans les adaptations de Jane Austen.

Road House de Negulesco. Pas vu, mais avec le titre de la chanson (même s'il y a des cartons de films qui l'ont utilisée...), ça devient plus facile.

Pour le titre, comme je me limite généralement aux originaux, je n'aurais pas été très aidé par La femme aux cigarettes.

A toi, pour une vieillerie de ton cru, avec Madeleine Barbulée ou autre.

Le film est une série B qui ne vaudrait pas tripette (Cornel Wilde est à peu près transparent) sans le charme d'Ida Lupino et Richard Widmark en méchant quasiment indestructible.

De toute façon j'aime pas les films avec des méchants. Avec des gentils, à la rigueur, mais pas avec des méchants.

Alifie a écrit:

A toi, pour une vieillerie de ton cru, avec Madeleine Barbulée ou autre.

:oTrop tard, j'ai préparé quelque chose.  


Mes excuses, je n'ai pas le film sous la main, donc j'ai utilisé ce que j'ai trouvé en ligne. Ce devrait être suffisant.

Ce n'est pas du tout une rareté absolue, mais ce sera sans doute trop difficile à cette première capture. En voici une autre beaucoup plus caractéristique :