Playlist (73)

Oui il faut un peu de temps pour prendre ses marques dans ce Finale complexe.Une fois les premiers repérages effectués chaque réécoute est un bonheur.  


----------------------

Villa-Lobos:Erosao (Duarte)

Je ne sais pas pourquoi tout passe comme une lettre à la poste pour moi dans cette 6è, alors que j'ai tellement de mal avec les 2 et 3 par exemple.
Tout m'y paraît indispensable, cohérent, fort... sans que j'aie besoin de chercher quoi que soit.

Debussy, Pelléas et Mélisande. Levine 1983. J'ai détesté Duesing  

Mariefran a écrit:

Debussy, Pelléas et Mélisande. Levine 1983. J'ai détesté Duesing  

Il est vivant ?  

ça doit être pour ça  

Buxtehude: Suonate opus 1 n°1 et 2/Purcell quartet

   

En ce moment même :

=> « J'aimerais mieux avoir perdu tout ce que j'ai plutôt que d'avoir perdu cette bague. »
van Dam, Met, Levine 1983


Vous aussi, venez en parler sur mon forum :
http://melisandeonly.frbb.net/

 

 

Honegger:Symphonie n°3 (sur Youtube)

Bach - Messe en si mineur - Philharmonia / Klemperer

Berlioz/Liszt, Symphonie fantastique (Muraro).

Honegger:Symphonie n°5 (Youtube)

EDIT:C'est normal si les enchaînements harmoniques du 1er mouvement me font frissonner de bonheur?        

Taneïev - Quintette avec piano - Quatuor Beethoven / Yudina
Yudina, une femme qui en a.

arnaud bellemontagne a écrit:

Honegger:Symphonie n°5 (Youtube)

EDIT:C'est normal si les enchaînements harmoniques du 1er mouvement me font frissonner de bonheur?        

C'est normal, c'est Honegger!! ...bien que la Cinquième ne soit pas ma préférée. De toute façon, j'aime presque tout de ce compositeur dont je suis complètement fan! Mais bon, en même temps, je suis fan de beaucoup de compositeurs...Villa-Lobos, Lutoslawski, Messiaen...

Schubert - Lieder - Baker / Johnson / Isepp / Parsons (divers lives BBC)

Liszt: Ballades, Berceuse/Hough

  

Mahler :8te Symphonie
II. Teil : Schlussszene aus Goethes Faust
Bernstein (DG)

Superbe version romantique (exact opposé du Boulez récent assez analytique mais un peu sec) où je me surprends à trouver même Kenneth Riegel assez bon.

C'est une vision de la scène des anachorètes totalement différente de celle de Schumann : quantitativement plus de texte est mis en musique, mais l'ensemble est intégré dans un (sublime) tapis sonore et des thèmes proprement mahlériens entrant dans l'organisation globale de la symphonie aux dépens d'une attention spécifique au texte de Goethe. Chez Schumann, c'est un peu plus primesautier, parfois moins recueilli (cf le Chorus mysticus), mais jubilatoire et très varié.

Oui, Kenneth Riegel est étonnant ici, j'aime beaucoup, ce n'est pas très joli, mais c'est assurément électrique ! Quelle distance avec son Ottavio, son Faust ou son Salvago !

Je ne suis vraiment pas inconditionnel de cette seconde partie, beaucoup de texte, mais comme tu dis, surtout comme vague support d'inspiration. Et pourtant, le mouvement est structuré en « airs ». J'avoue que la contradiction me peine un peu.

Brossard : leçons des morts, Gens/Lesne   

Haydn: Nelsonmesse. Les choeurs et l'orchestre de l'Opérat d'État de Vienne, sous Hans Swarowsky.      

L'importante et redoutable partie de soprano est tenue par Teresa Stich-Randall, qui y surpasse toute la compétition les doigts dans le nez (c'était son troisième enregistrement de l'oeuvre). Le transcript en mp3 donne une image sonore floue. Les choeurs semblent en avant de l'orchestre. Un remastering réussi en ferait probablement la version de référence de ce chef-d'oeuvre.

Les concertos brandebourgeois 1 2 3 /Trévor Pinnock sur instruments d'époque, que c'est lourdingue comme interprètation, je me demande si la vision n'est pas d'époque elle aussi, pourtant j'aime bien Pinnock en général, pauvre Bach, lui reste toujours vivant mes ses interprètes passent et trépassent! 

Alfred Schnittke / concerto pour alto avec Bashmet et Concerto pour violoncelle par Gutman, le tout dirigé par Guénnadi, deux oeuvres superbes qui me confortent dans l'importance de ce compositeur génial , à écouter ses symphonies surtout qu'on les trouve complètes dans un coffret CPO ou Bis je ne sais plus leurs coffrets se ressemblent un peu à un prix abordable .

D'accord avec toi pour le Concerto pour alto que je trouve particulièrement somptueux. Schnittke fait aussi partie de mes compositeurs préférés. Je possède et aime beaucoup d'oeuvres de lui. En revanche, j'ai un peu de mal avec son Concerto pour violoncelle. 

 

le concerto pour violoncelle de John Williams, Yo Yo Ma

c'est beau      

Beethoven - Symphonie n°2 - MPO-Celibidache

       

(je vais en dire une grosse mais écrite en petit : c'est ma symphonie préférée de Beethoven)

Charpentier : le massacre des Innocents, Schneebeli, la Simphonie du Marais
Delalande : De Profundis, Higginbottom
Rameau : Castor et Pollux, Christie

Cololi a écrit:

Roderick_U a écrit:

Beethoven - Symphonie n°2 - MPO-Celibidache

       

(je vais en dire une grosse mais écrite en petit : c'est ma symphonie préférée de Beethoven)

Et pour ma part c'est la 10°

   

-----------------------

Lutoslawski:Symphonie n°2 (Wit)

De la musique "contemporaine" comment on aimerait en entendre plus souvent.

Moussorgsky : Boris Godounov, Version 1896 (Valery Gergiev, 1997 : Nicolas Putilin, Yuri Laptev, Zlata Bulycheva, Viktor Lutsuk, Liubov Sokolova, Nikolai Gassiev, Evgeny Nikitin, Grigory Karassev, Evgenya Gorochovskaya, Nikolai Okhotnikov, Vassily Gerello, Konstantin Pluzhnikov, Evgeny Akimov, Fyodor Kuznetsov, Andreï Karabanov, Olga Trifonova)

Intéressant d'entendre cette première version...

Bartók: Quatuor à cordes n°4

Bruckner _ Symphonie n° 8
Sergiu Celibidache : Münchner Philharmoniker [ Live Tokyo 1990 ]

Nielsen _ Vingt-neuf petits préludes pour orgue
Friedhelm Flamme [ Orgue de Mühleisen à l'église collégiale St. Anastasius et St. Innocentius de Bad Gandersheim ]

Je ne m'y connais pas beaucoup en oeuvre pour orgue mais j'aime bien ces petites pièces, de vraies petites friandises minute qu'on peut grignoter à tout moment !  

Rav-phaël a écrit:

Bruckner _ Symphonie n° 8
Sergiu Celibidache : Münchner Philharmoniker [ Live Tokyo 1990 ]

[b]Bruckner[/b] _ Vingt-neuf petits préludes pour orgue
Friedhelm Flamme [ Orgue de Mühleisen à l'église collégiale St. Anastasius et St. Innocentius de Bad Gandersheim ]

Je ne m'y connais pas beaucoup en orgue mais ces petites pièces sont un régal, de vraies petites friandises minute qu'on peut grignoter à tout moment !  

Et ça se trouve ou ?

Haydn: symphonies 96 et 97, NYPO, Bernstein.    pour la 96ième et     pour l'extraordinaire 97ième (le meilleur finale de Haydn ?)

Cello a écrit:

Bartók: Quatuor à cordes n°4

Que oui!  

Son plus beau quatuor?  

André a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Nielsen _ Vingt-neuf petits préludes pour orgue
Friedhelm Flamme [ Orgue de Mühleisen à l'église collégiale St. Anastasius et St. Innocentius de Bad Gandersheim ]

Je ne m'y connais pas beaucoup en orgue mais ces petites pièces sont un régal, de vraies petites friandises minute qu'on peut grignoter à tout moment !  

Et ça se trouve ou ?

Pardon, ça m'arrive souvent de faire une mauvaise manipulation : pas de Bruckner ici mais plutôt Nielsen  ! Je sors 

Destouches : Callirhoé (Hervé Niquet, 2006 : Stéphanie d'Oustrac, Cyril Auvity, Joao Fernandes, Ingrid Perruche, Renaud Delaigue, Stéphanie Révidat)

Strauss: Lieder/Oelze

    

Rav-phaël a écrit:

André a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Nielsen _ Vingt-neuf petits préludes pour orgue
Friedhelm Flamme [ Orgue de Mühleisen à l'église collégiale St. Anastasius et St. Innocentius de Bad Gandersheim ]

Je ne m'y connais pas beaucoup en orgue mais ces petites pièces sont un régal, de vraies petites friandises minute qu'on peut grignoter à tout moment !  

Et ça se trouve ou ?

Pardon, ça m'arrive souvent de faire une mauvaise manipulation : pas de Bruckner ici mais plutôt Nielsen  ! Je sors 

C'est égal, je vais chercher ça. J'aime beaucoup ton alléchante description !  

Tchaikovsky : Iolanta (Valery Gergiev, 2013 : Anna Netrebko, Sergei Skorokhodov, Sergei Aleksashkin, Alexander Gergalov, Yuri Vorobiev, Edam Umerov, Andrei Zorin, Natalia Yevstafieva, Eleonora Vindau, Anna Kiknadze)

      

Bruckner - Symphonie n°7 - Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks / Böhm (live)
Formidable, comme tous les concerts de Böhm avec cet orchestre  

André a écrit:

Citation :

Spoiler:

C'est égal, je vais chercher ça. J'aime beaucoup ton alléchante description !

Ca se trouve chez CPO chez moi  . 
__________________

Ravel _ Integral pour piano
Angela Hewitt [ piano ]    . . .

Milhaud
 _ Suite française
 _ Concerto pour marimba et vibraphone
Sergiu Celibidache : Münchner Philharmoniker

le Martyre de Saint-Sébastien (Sophie Marceau, Simon Rattle) sur le site de David : cette musique est d'une beauté incroyable et j'oublie souvent de l'écouter alors quand j'y reviens c'est toujours avec un plaisir de retrouvailles très intense. Je vous conseille cette musique, même si vous n'aimez pas les musiques avec récitant car là c'est un tout et ça passe tout seul.

Hasger Hamerik: symphonies no 5     et 6    1/2 . Le mouvement lent de cette dernière est étonnant.

Schumann: symphonies no 3 et 4, et extrait des Scènes de Faust de Schumann. Otto Klemperer et le Philharmonia Orchestra (EMI). Pour les symphonies c'est     et       respectivement.

La Rhénane est surprenante. Lente et impétueuse tout à la fois. Dans le cas de la quatrième (de loin ma préférée, une des Grandes Symphonies Romantiques), je crois que c'est le meilleur enregistrement jamais fait (je tiens compte de beaucoup de versions, mais bien entendu pas toutes). Le Faust je ne connaissais pas. L'éditeur aurait dû mettre ça en début de disque, pas à la fin. Ces compléments de fin de disque ont un côté 'remplissage' qui fait croire que c'est du superflu ajouté pour faire bonne mesure. Question marketing c'est pas très brillant.

Berlioz: Symphonie fantastique. À nouveau Klemperer et les Phlharmonia (EMI). Une fantastique pas vraiment folle, mais tout de même très musicale, avec quelques bonnes idées.    1/2 . C'est le finale (Songe d'une nuit de sabbat) qui est le meilleur moment. La lisibilité des textures est remarquable.

Prokofiev - Symphonie n°5 - Berliner Philharmoniker-Karajan

Honegger:Symphonie n°2 (sur YouTube)

Haydn - Symphonie n°101 - Berlin / Karajan (EMI), LPO / Jochum (live), New York / Bernstein, Philharmonia / Klemperer

Qu'elle est sombre cette 2ème d'Honegger. 
La fin triomphale ne fait guère illusion.Funèbre.

--------------

Martinu:Symphonie n°1 (Thomson)

Quel bonheur d'entendre enfin une section de cordes avec une définition et un relief qui sied à cette oeuvre.  
Merci Chandos!


EDIT:vraiment une petite perle nacrée cette symphonie. 

Franck: symphonie en ré mineur. Klemperer et le Philharmonia Orchestra    et 1/2. Le dernier mouvement tombe à plat . Malheureusement Klemperer adhère trop fidèlement au 'non troppo' de la partition. Il dépasse de 30 à 90 secondes (5 à 15%) les autres versions que j'ai. Mais dans I et II c'est superbe.

Dvorak: symphonie du Nouveau Monde: toujours Klemperer (pour ceux qui n'auraient pas réalisé que j'épluche le coffret Symphonies romantiques ). Bon, même chose:    et 1/2. Pas assez sauvage dans I. Böhm avec les WP dégage un bouillonnement de locomotive emballée qui laisse pantois. Avec Klemperer ce Nouveau Monde ressemble à l'Amérique de Truman ou d'Eisenhower. C'est quand même fort beau.

=> Ives, Symphonies 2,3,4 (Bernstein, Serebrier).
Quels mouvements lents, bon sang.

=> Williams, The Pit of Carkoon, Williams.
Qu'est-ce que ça bouge musicalement !  Ça tient remarquablement l'écoute seule.

=> Verdi, Don Carlo (duo Carlo-Eboli), Levine studio
Sylvester superbe comme toujours, Zajick assez pâteuse.

=> Verdi, Don Carlo (déploration sur le corps de Posa), avec Neill et Furlanetto.
Jamais entendu aussi bien chanté, jusqu'à présent je n'avais pas été comblé sur ce point : tout est tellement artificiel chez Abbado, avec Pappano van Dam est un peu asséché, chez Hold-Garrido Rundgren n'est vraiment pas gracieux, sans parler de l'assez redoutable version de Salzbourg avec Salminen qui se bat pour rester juste.
En revanche ils font un truc très bizarre, ils conservent les récitatifs des versions post-Naples (post-1871, dont Milan et Modène), et ils enchaînent sur le Lacrymosa. Pas très heureux.