Playlist (74)

Mamie Joan n'est plus ta copine ?  

calbo a écrit:

Mamie Joan n'est plus ta copine ?   

A qui???? A moi??
Euh... mise à part dans certains rôles (Esclarmonde, Sita, Lucia et quelques autres) non pas outre mesure... et elle est beaucoup plus vivante toujours avec Giulini mais en 1960 en direct à Glyndebourne (avec Ernest Blanc en Don Giovanni et Richard Lewis en Ottavio! )

Polyeucte a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mozart:Don Giovanni (Giulini)

Histoire de réessayer comme ça, pour voir.

Non mais pas Giulini! C'est pas possible là!!
Essaye Mitropoulos en 1956 ou Karajan en 1960... mais pas Giulini...  

ah!bon,c'est quoi le problème?J'avoue ne pas saisir.C'est Giulini,ou la distrib?Je n'ai pas écouté cette version depuis des lustres,mais j'en garde un souvenir exceptionnel.En tout cas,Giulini est l'un de mes conductors préférés.

Polyeucte a écrit:

calbo a écrit:

Quel cast avec Giulini ?

Commendatore: Gottlob Frick
Don Giovanni: Eberhard Wächter
Don Ottavio: Luigi Alva
Donna Anna: Joan Sutherland
Donna Elvira: Elisabeth Schwarzkopf
Leporello: Giuseppe Taddei
Masetto: Piero Cappuccilli
Zerlina: Graziella Sciutti

Ah, oui Alva en Ottavio; c'est vrai qu'y a nettement mieux. Par contre Sciutti ... C'est qui au juste ?

André a écrit:

Gesualdo a écrit:

F.Schubert:Symphonie n°2
L.V.Beethoven:Symphonie n°7

Berliner Philarmoniker

Karl Böhm

Une vieille bande,enregistrée en live sur France musique,le 8 octobre 1977.

Par tous les dieux,que c'est extraordinnaire!Böhm est fabuleux,le phrasé,l'accentuation,toujours de surprises en découvertes d'oeuvres tellement écoutées.Cela faisait un moment que je n'avais pas écouté les interprétations de Karli,et je suis stupéfait de le redécouvrir.

À la fin de sa vie Böhm reprenait incessemment les mêmes œuvres:Schubert 2, 8, 9. Beethoven 2-7, Bruckner 8, Brahms 1 et surtout 2 et quelques Strauss. Ce sont surtout ces dernières prestations qu'il faut écouter, plutôt que celles tirées des intégrales berlinoises ou viennoises. "Fabuleux" est le mot juste.  

Oui,Böhm,a toujours été plus imaginatif en concert qu'en studio.

Gesualdo a écrit:

ah!bon,c'est quoi le problème?J'avoue ne pas saisir.C'est Giulini,ou la distrib?Je n'ai pas écouté cette version depuis des lustres,mais j'en garde un souvenir exceptionnel.En tout cas,Giulini est l'un de mes conductors préférés.

Un peu de tout en fait... je trouve ça fade, sans tension...
Waechter j'aime pas des masses en Don Giovanni.
Sutherland est trop molle de chant.
Schwarzkopf dure comme je ne l'aime pas.
Alva très léger, et plutôt bien par contre.
Taddei ne m'a pas marqué...
Et Giulini, comme souvent je le trouve un peu trop lent par moments, sans grande tension...

Disons que pour Don Giovanni, je suis nourri à la noirceur de Mitropoulos ou de Furtwängler alors forcément!

Ce qui est marrant (enfin pas tant que ça...) c'est que :
Waechter m'est beaucoup plus écoutable un an après en direct avec Karajan (sûrement qu'il bénéficie de l'aura des autres chanteurs!)
Sutherland est beaucoup plus impliquée et même assez impressionnante un an après avec le même chef (Giulini en 1960) mais elle aussi en direct.
Schwarzkopf est une Elvira géniale en 1960 toujours avec Karajan, sans cette dureté de la voix qu'elle a ici...

Ravel: Sonatine / Kaasa
    

Polyeucte a écrit:

Gesualdo a écrit:

ah!bon,c'est quoi le problème?J'avoue ne pas saisir.C'est Giulini,ou la distrib?Je n'ai pas écouté cette version depuis des lustres,mais j'en garde un souvenir exceptionnel.En tout cas,Giulini est l'un de mes conductors préférés.

Un peu de tout en fait... je trouve ça fade, sans tension...
Waechter j'aime pas des masses en Don Giovanni.
Sutherland est trop molle de chant.
Schwarzkopf dure comme je ne l'aime pas.
Alva très léger, et plutôt bien par contre.
Taddei ne m'a pas marqué...
Et Giulini, comme souvent je le trouve un peu trop lent par moments, sans grande tension...

Disons que pour Don Giovanni, je suis nourri à la noirceur de Mitropoulos ou de Furtwängler alors forcément!

Ce qui est marrant (enfin pas tant que ça...) c'est que :
Waechter m'est beaucoup plus écoutable un an après en direct avec Karajan (sûrement qu'il bénéficie de l'aura des autres chanteurs!)
Sutherland est beaucoup plus impliquée et même assez impressionnante un an après avec le même chef (Giulini en 1960) mais elle aussi en direct.
Schwarzkopf est une Elvira géniale en 1960 toujours avec Karajan, sans cette dureté de la voix qu'elle a ici...

Ah? Tiens c'est ce qui me ferait fuir; J'aurais tendance à le voir plutot dans Rossini que dans Mozart

Richard Strauss (1864-1949) :

Sinfonia domestica Op. 53

= Herbert von Karajan, Orchestre philharmonique de Berlin

(Emi, 23-25 juin 1973)

André a écrit:

À la fin de sa vie Böhm reprenait incessemment les mêmes œuvres:Schubert 2, 8, 9. Beethoven 2-7, Bruckner 8, Brahms 1 et surtout 2 et quelques Strauss. Ce sont surtout ces dernières prestations qu'il faut écouter, plutôt que celles tirées des intégrales berlinoises ou viennoises. "Fabuleux" est le mot juste.  

Oui,enfin,Böhm n'a pas attendu les dernières années de son existence pour être ce qu'il a été.Entre la "Frau" de 1955, le "Tristan" et le "Ring" de Bayreuth(1966),on a quand même pas mal de témoignages pour l'apprécier à sa juste valeur.

Bach: Sonates pour flûte BWV 1034 et 1030/See

   

Bartok: Concerto pour piano n°3/Argerich-Flor

    

Dallapiccola: Liriche greche pour soprano et groupes instrumentaux/Shelton, De Leeuw

   +

Messiaen: 3 petites liturgies de la présence divine/Hamelin, Dutoit (RCO 1994)

     

Richard Strauss (1864-1949) :

Don Juan Op. 20

= Herbert von Karajan, Philharmonia Orchestra

(Columbia, 3 décembre 1951)

Bartok: Le Château de Barbe-Bleue/I.Fischer RCO 1990

     

Anthology of the Royal Concertgebow orchestra (1980-1990)
Quel merveilleux outil que ce Concertgebow,entre les mains de certains chefs, et les live (surtout pour les concertos sont souvent passionnants) ainsi ce CD 6, avec un 2ème concerto de Beethoven de haute qualité musicale ( j'avais pas regardé l'interprète et je vois après que c'est Argérich et je suis plus du tout étonné,c'est  très bon)ensuite une superbe Pathétique dirigée par Dorati qui prend son temps,dans le premier mouvement et qui subitement galvanise l'orchestre et fonce, mais c'est toujours beau musicalement à tous les niveaux , c'est dingue comme il cisèle l'orchestre ( je comprends de moins en moins la réflexion d'Alexandre écrivant que ça baissait niveau interprètation par rapport aux coffrets précédents?bref pour ne pas m'étaler une interprètation assez étirée mais qui ne manque pas d'originalité ni de panache , les dernières minutes sont pleines d'émotion,bien sûr on peut ne pas aimer ce parti-pris et en préfèrer d'autres plus russes ou plus rapides  comme moi, mais je demande à réécouter plusieurs fois avant de me prononcer sérieusement ?
Un détail ce sont des live mais on entend presque jamais le public sur les 3 cd écoutés sauf à la fin des oeuvres , ensuite chaque Cd est assez fourni question temps presque tous dépassent les 70 minutes ce dont on ne va pas se plaindre ?

CD 7/Franz Schreker /ouverture pour un drame composée en 1914, très belle interprètation et très belle oeuvre surtout, Friedérich Cerha a fait des Varèse remarquables, pas assez enregistré à mon avis.Programme copieux après le Poème de l'extase dirigé par Dorati, Varèse et deux oeuvres de Rudolf Escher (1912-1980) compositeur inconnu pour moi dont une à un titre allèchant Univers de Rimbaud, à l'écoute!
Belle version du Poème de l'extase, pas très russe selon moi , mais toutes les versions tendent à s'européaniser je trouve et sont de moins en moins tributaires de leur pays d'origine , peut être surtout aussi le modernisme de l'écriture ?
Univers de Rimbaud /Rudolf Escher, une oeuvre qui se laisse écouter agréablement, différentes influences à noter, Dieu merci les poèmes sont toujours en français, imaginons le Pierrot lunaire en français ,bon ça déjà été fait! c'est vrai  pas ininteressante comme oeuvre j'irais voir s'il a été enregistré ce compositeur?

Morton Feldman, Three Voices
 

Joan La Barbara, voix³

New Albion Records, 1989

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°36 en ut majeur K. 425

= Thomas Beecham, Royal Philharmonic Orchestra

(Philips, 30 avril-01er mai 1954)

Lucien a écrit:

Chtchédrine, Concerto pour piano nº1 (Schidrin / Svitlanv*).  à  
*j’invente une nouvelle translittération, haha.

Mais tu es malade ?!  

Lucien a écrit:

Chtchédrine, Menuhin-Sonata (Sitkovetski / Chtchédrine).  

Tiens, j'ai mis cette sonate dans la première version de mon bt Yamawulu. Cela te plaît à ce que je vois.  

Vino-Lobosvsky a écrit:

Lucien a écrit:

Chtchédrine, Concerto pour piano nº1 (Schidrin / Svitlanv*).  à  
*j’invente une nouvelle translittération, haha.

Mais tu es malade ?!  

quoi, c’est pas bien ?

Lucien a écrit:

Vino-Lobosvsky a écrit:

Lucien a écrit:

Chtchédrine, Concerto pour piano nº1 (Schidrin / Svitlanv*).  à  
*j’invente une nouvelle translittération, haha.

Mais tu es malade ?!  

quoi, c’est pas bien ?

C'est blasphématoire !!!

bon, bon... et comme ça, ça va ?

Щедрин, Концерт для фортепиано №1 (Щедрин / Светланов)

Lucien a écrit:

bon, bon... et comme ça, ça va ?

Щедрин, Концерт для фортепиано № 1 (Щедрин / Светланов)

Je me sens revivre ! Merci.  

Polyeucte a écrit:

calbo a écrit:

Mamie Joan n'est plus ta copine ?   

A qui???? A moi??
Euh... mise à part dans certains rôles (Esclarmonde, Sita, Lucia et quelques autres) non pas outre mesure... et elle est beaucoup plus vivante toujours avec Giulini mais en 1960 en direct à Glyndebourne (avec Ernest Blanc en Don Giovanni et Richard Lewis en Ottavio! )

A la base je répondais à Guillaume. Mais comme tu as posté en meme temps que moi, mon post s'est retrouvé juste après le tien  

Alfonso Ferrabosco (1543–1588), Psaume 103 · Dolci ire · Auprès de vous · In nomine I · Peccantem me quotidie · Bruna sei tu, ma bella · Domine, non secundum peccata nostra · Quel sempre acerbo
 

Huelgas-Ensemble
Paul Van Nevel, direction

HM, 2005 (enregistrement septembre 2004)

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°38 en ré majeur K. 504

= Thomas Beecham, Royal Philharmonic Orchestra

(Columbia, 18 avril 1950)

calbo a écrit:

A la base je répondais à Guillaume. Mais comme tu as posté en meme temps que  moi, mon post s'est retrouvé juste après le tien  

Ah ok... mais au final, je pense que pour le coup on est assez d'accord sur la dame avec Guillaume (sauf que lui aime sa Lakmé et ses héroïnes des Contes d'Hoffmann!! Et là je dis non!! )


Bon, revenons aux choses sérieuses :

Meyerbeer : Les Huguenots (Marc Minkowski, 2011 : Marlis Petersen, Mireille Delunsch, Yulia Lezhneva, Eric Cutler, Philippe Rouillon, Jean-François Lapointe, Jérôme Varnier, Arnaud Rouillon, Xavier Rouillon, Avi Klemberg, Marc Labonnette, Frédéric Caton, Camille Merckx, Tineke Van Ingelgem, Ronan Collett, Olivier Dumait, Marc Coulon, Marta Beretta, Françoise Renson, Jacques Does, Alain-Pierre Wingelinckx, Charles Dekeyser, Bernard Giovani, Pascal Macou)

Toujours aussi génial et grand!!!!     

Z'etes intoxiqués aux memes choses avec Guillaume  . Il est ou le club des meyebeerodingues  

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°39 en mi bémol majeur K. 543

= Thomas Beecham, Royal Philharmonic Orchestra

(Philips, novembre-décembre 1955)

=> Berlioz - Symphonie fantastique - Bernstein, NYPO
La scène aux champs est remarquablement intéressante. Deux premiers mouvements extrêmement beaux aussi. Et comme souvent dans ces cas, j'ai trouvé les deux derniers mouvements moins originaux.

=> Berlioz - Symphonie fantastique - Paray, Detroit SO

=> Dvořák - Concerto pour violoncelle - Queyras, Bělohlávek

=> Egk - Die Zaubergeige (Spagnola) - Egk, Berlin RSO
=> Egk - Circe - Egk, Berlin RSO
=> Egk - Tango de Peer Gynt - Egk, Berlin RSO

=> Fortner - Bluthochzeit

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Sinfonia concertante en mi bémol majeur K. 297b

= Karl Steins, hautbois ; Herbert Stahr, clarinette ; Norbert Hauptmann, cor ; Manfred Braun, basson

Herbert von Karajan, Orchestre philharmonique de Berlin

(Emi, 17-23 août 1971)

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°38 en ré majeur K. 504

= Herbert von Karajan, Philharmonia Orchestra

(Columbia, 16-17 septembre 1958)

Un truc qui plairait sûrement à Xavier : /watch?feature=endscreen&v=i_RubZ50YPY&NR=1 !  

Rameau, les surprises de l'amour

Johannes Brahms (1833-1897) :

Concerto pour violon en ré majeur Op. 77

= Gidon Kremer ; Herbert von Karajan, Orchestre philharmonique de Berlin

(Emi, 6-7 mars 1976)

Les yeux qui fascinent a écrit:

Un truc qui plairait sûrement à Xavier : /watch?feature=endscreen&v=i_RubZ50YPY&NR=1 !  

Oh oui, du bruitisme en majeur, tout à fait son genre.

Moi j'aime bien en revanche, c'est amusant.

Hidraot a écrit:

Rameau, les surprises de l'amour

ça vaut quoi ?

=> Egk - Abraxas - Mark Mast, Landeskapelle Eisenach.
Un peu long.

=> Egk - Peer Gynt - Sawallisch
Super.
Avec Studer, Varnay, Hiestermann et Becht !

Cololi a écrit:

Hidraot a écrit:

Rameau, les surprises de l'amour

ça vaut quoi ?

C'est vraiment pas mal, mais on est loin de l'intensité dramatique de Castor et Pollux par exemple. En même temps ce n'est pas une tragédie en musique.

Cecilia Bartoli : Gluck, Italian Arias (La Clemenza di Tito, Il Parnaso Confuso, Ezio, La Semiramide Riconosciuta, La Corona, Antigono)
Ah... Cecilia......  (et en plus dans un Gluck un peu baroqueux donc elle est parfaite!! Et les compositions sont plutôt belle... Notament l'air "Se mai senti spirarti" de La Clemenza... repris dans une Iphigénie, mais que c'est beau ici aussi!! )

Hidraot a écrit:

Cololi a écrit:

Hidraot a écrit:

Rameau, les surprises de l'amour

ça vaut quoi ?

C'est vraiment pas mal, mais on est loin de l'intensité dramatique de Castor et Pollux par exemple. En même temps ce n'est pas une tragédie en musique.

Traduction : écoute plutôt du LULLY.

Polyeucte a écrit:

Et les compositions sont plutôt belle...

Dans le genre superficiel à roucoulades, quand même...

Sans changer de style, Lucio Silla ou Armida de Haydn (et même la Clemenza de Galuppi...), c'est autre chose. Et puis Bach et Salieri bien sûr, mais on va encore se moquer de moi.

P.I. Tchaikovsky (1840-1893) :

Ouverture solennelle 1812 Op. 49

= Herbert von Karajan, Philharmonia Orchestra

(Columbia, 17-18 janvier 1958)

DavidLeMarrec a écrit:

Hidraot a écrit:

Cololi a écrit:

Hidraot a écrit:

Rameau, les surprises de l'amour

ça vaut quoi ?

C'est vraiment pas mal, mais on est loin de l'intensité dramatique de Castor et Pollux par exemple. En même temps ce n'est pas une tragédie en musique.

Traduction : écoute plutôt du LULLY.

Les Indes ce n'est pas une tragédie ... et c'est sublime !  

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Et les compositions sont plutôt belle...

:|Dans le genre superficiel à roucoulades, quand même...

Sans changer de style, Lucio Silla ou Armida de Haydn (et même la Clemenza de Galuppi...), c'est autre chose. Et puis Bach et Salieri bien sûr, mais on va encore se moquer de moi.

Oui, mais ce sont de belles roucoulades non?

Ah oui... faudrait que je tente l'Armida de Haydn (et que je redonne une chance à Salieri...)

Cololi a écrit:

Les Indes ce n'est pas une tragédie ... et c'est sublime !  

Un peu comme La Septième Compagnie au Clair de Lune, c'est vrai.

Polyeucte a écrit:

Oui, mais ce sont de belles roucoulades non?

Ultra-stéréotypé, franchement, pour moi c'est du remplissage. Sans être un fanatique de seria, il y a des bijoux chez Haendel, Vivaldi, Hasse, Jommelli, Mozart... chez Gluck, vraiment, je ne vois pas.

Citation :

Ah oui... faudrait que je tente l'Armida de Haydn

Ça devrait te plaire, c'est assez pré-rossinien dans le genre vocalisation di forza.

Citation :

(et que je redonne une chance à Salieri...)

Tu as écouté quoi ?  

Essaie le Tarare de Malgoire (sans l'image ), ou une bonne version des Danaïdes.
/watch?v=awezdOUdXK0
Sinon, en seria, j'adore l'Europa Riconosciuta.

DavidLeMarrec a écrit:

Les yeux qui fascinent a écrit:

Un truc qui plairait sûrement à Xavier : /watch?feature=endscreen&v=i_RubZ50YPY&NR=1 !  

Oh oui, du bruitisme en majeur, tout à fait son genre.

Moi j'aime bien en revanche, c'est amusant.

Est-ce qu'on ne dit pas simplement "du bruit"?  

Feldman, Triadic memories (Hinterhäuser).  à