Playlist (74)

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Les Indes ce n'est pas une tragédie ... et c'est sublime !  

Un peu comme La Septième Compagnie au Clair de Lune, c'est vrai.

Ceci est une déclaration de guerre !

Luis de Pablo

___Danzas Secretas pour harpe et orchestre - 2007 - Frédérique Cambreling: harpe/Euskadiko Orkestra Sinfonikoa/Arturo Tamayo:    
Ma relation avec la musique de Luis de Pablo s'améliore d'écoute en écoute. Je commence à bien aimer son style. Rien de grandiose ni de grands élans lyriques dans ce concerto pour harpe, mais de belles trouvailles sonores et charmantes ambiances musicales.

___Frondoso Misterio pour violoncelle et orchestre - 2001-2002 - Asier Polo: violoncelle/EOS/Arturo Tamayo:   
Décidément, j'aime bien son style. Pas grandiose non plus mais attachant.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Les Indes ce n'est pas une tragédie ... et c'est sublime !  

Un peu comme La Septième Compagnie au Clair de Lune, c'est vrai.

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Wagner:Tristan Acte 3 (Barenboim)

Beethoven, Sonates 27 à 29. Richter (Praga)
Bartok, Concertos 1 et 2. Anda, Gielen / Fricsay (Audite)

DavidLeMarrec a écrit:

Ultra-stéréotypé, franchement, pour moi c'est du remplissage. Sans être un fanatique de seria, il y a des bijoux chez Haendel, Vivaldi, Hasse, Jommelli, Mozart... chez Gluck, vraiment, je ne vois pas.

Mais après, il ne faut pas oublier l'effet Bartoli sur moi hein... j'aime aussi pas mal de choses chez Vivaldi, mais tout comme le Gluck présent ici, je me vois mal écouter une oeuvre en entier...

Citation :

Tu as écouté quoi ?  

Essaie le Tarare de Malgoire (sans l'image ), ou une bonne version des Danaïdes.
/watch?v=awezdOUdXK0
Sinon, en seria, j'adore l'Europa Riconosciuta.

J'ai justement écoute Europa Riconosciuta (Rancatore/Damrau/Barcelona...) mais c'était il y a longtemps... et depuis j'ai pas mal évolué. Donc faut que je retente!

Joseph Suk

___Fairy Tale op. 16 - Czech Philharmonic Orchestra/Jiri Bèlohlàvek:     
Magnifique!

___Serenade for String in E flat op.6 -CPO/Jiri Bèlohlàvek:    
J'ai été bercé par cette musique d'un romantisme raffiné et élégant.

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Oui, mais ce sont de belles roucoulades non?

Ultra-stéréotypé, franchement, pour moi c'est du remplissage. Sans être un fanatique de seria, il y a des bijoux chez Haendel, Vivaldi, Hasse, Jommelli, Mozart... chez Gluck, vraiment, je ne vois pas.

chez Gluck, vraiment, je ne vois pas

Quasiment que des joyaux chez Gluck, que, de mémoire, vous ne considérez pas comme un compositeur majeur, même s'il effectue la transition vers un opéra moderne

charles.ogier a écrit:

Quasiment que des joyaux chez Gluck,

Artaserse ? Cleonice ? Demofoonte ? Tigrane ? Ipermestra ? Ippolito ? La Caduta de' Giganti ? Artamene ? Semiramide ? Le Cinesi ?  Tetide ?  L'ivrogne corrigé ? Le Cadi dupé ? Ezio ? Telemaco ?

Tous les goûts sont évidemment permis et défendables, mais vraiment, vu le grand nombre d'opéras non documentés (et le peu d'intérêt des opéras-comiques et opere serie qui constituent l'essentiel du fonds), je trouve que c'est une position difficile.

Citation :

que, de mémoire, vous ne considérez pas comme un compositeur majeur, même s'il effectue la transition vers un opéra moderne

Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit, je crois (ou ce n'est pas mon opinion sérieuse et actuelle, en tout cas) ; je dis surtout que Gluck n'est pas du tout un îlot isolé et qu'il y a d'autres compositeurs de qualité égale (et même, à mon sens, de qualité supérieure) qui ont écrit à la même époque le même type de choses.

Après, effectivement, personnellement, je ne suis pas particulièrement réceptif à son style propre, mais c'est clairement un compositeur intéressant et important.


En l'occurrence, je parlais de ses opéras italiens, qui sont vraiment, pour ceux que j'ai pu consulter d'une manière ou d'une autre, sans grand intérêt. Ils ne seraient pas de lui, on ne songerait vraiment pas à les jouer. Je ne nie pas l'importance de documenter l'ensemble de la carrière de Gluck (surtout qu'il a commencé sa réforme en italien !), mais je ne présenterais pas les opéras du disque Bartoli comme des réussites.


(Je vais transférer ça sur le fil adéquat.)

Ferruccio Busoni (1866-1924) :

Concerto pour piano Op. 39

= John Ogdon ; Daniell Revenaugh, Royal Philharmonic Orchestra, Choeurs d'hommes du John Alldis Choir

(Emi, juin 1967)

Cher Mélomaniac, corrige-moi vite ce titre   !

____________________
Un peu de tout et beaucoup de belles choses au sein de l'œuvre de Schreker - le prélude des Stigmatisés, un acte du Schatzgräber, la première moitié de Christophorus, la symphonie de chambre,...

J'ai parcouru le fil qui lui est consacré, l'on y parle avant tout des Stigmatisés ; des avis sur ses autres opéras ?

Milos Forman : Amadeus en DVD. Je découvre ce soir la version intégrale, sans les coupures pratiquées pour la première sortie du film.
Un pur moment de magie  

Horatio a écrit:

Cher Mélomaniac, corrige-moi vite ce titre  

J'ai cherché la rime, mais je me suis autocensuré, la licence orthographique a ses limites...

Ravel, Miroirs - Marcelle Meyer

Quelle merveille !

Michael Tippett (1905-1998) :

Concerto pour piano

= John Ogdon ; Colin Davis, Philharmonia Orchestra

(HMV, 23-24 décembre 1963)

Edmund Rubbra (1901-1986) :

Concerto pour piano en sol Op. 55

= Denis Matthews ; Malcolm Sargent, BBC Symphony Orchestra

(HMV, 30 août 1956)

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Quasiment que des joyaux chez Gluck,

Artaserse ? Cleonice ? Demofoonte ? Tigrane ? Ipermestra ? Ippolito ? La Caduta de' Giganti ? Artamene ? Semiramide ? Le Cinesi ?  Tetide ?  L'ivrogne corrigé ? Le Cadi dupé ? Ezio ? Telemaco ?

Tous les goûts sont évidemment permis et défendables, mais vraiment, vu le grand nombre d'opéras non documentés (et le peu d'intérêt des opéras-comiques et opere serie qui constituent l'essentiel du fonds), je trouve que c'est une position difficile.

Citation :

que, de mémoire, vous ne considérez pas comme un compositeur majeur, même s'il effectue la transition vers un opéra moderne

Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit, je crois (ou ce n'est pas mon opinion sérieuse et actuelle, en tout cas) ; je dis surtout que Gluck n'est pas du tout un îlot isolé et qu'il y a d'autres compositeurs de qualité égale (et même, à mon sens, de qualité supérieure) qui ont écrit à la même époque le même type de choses.

Après, effectivement, personnellement, je ne suis pas particulièrement réceptif à son style propre, mais c'est clairement un compositeur intéressant et important.


En l'occurrence, je parlais de ses opéras italiens, qui sont vraiment, pour ceux que j'ai pu consulter d'une manière ou d'une autre, sans grand intérêt. Ils ne seraient pas de lui, on ne songerait vraiment pas à les jouer. Je ne nie pas l'importance de documenter l'ensemble de la carrière de Gluck (surtout qu'il a commencé sa réforme en italien !), mais je ne présenterais pas les opéras du disque Bartoli comme des réussites.


(Je vais transférer ça sur le fil adéquat.)

Artaserse ? Cleonice ? ...
Oui, ceux-là ?
Par contre ceux-ci: Orfeo, Alceste, Armide (livret de P.Quinault, que vous appréciez à raison), les deux Iphigénies, surtout en Aulide.

il y a d'autres compositeurs de qualité égale (et même, à mon sens, de qualité supérieure)
La liste est disponible chez vous?

Martin: Concerto pour 7 instruments à vents, timbales, percussion et cordes/Chailly

   +

Dutilleux: Concerto pour violon/Isabelle van Keulen, Charles Dutoit

     

Benjamin Britten (1913-1976) :

Concerto pour piano en ré majeur Op. 13

= Jacques Abram ; Herbert Menges, Philharmonia Orchestra

(HMV, 25 janvier 1956)


Le pianiste américain
Jacques Abram (1915-1998)

Villa-Lobos:Symphonie n°10 (St.Clair)

   

Arnord Schoenberg, Drei Klavierstücke op.11 (1908) · Sechs kleine Klaviestücke op.19 (1911) · Fünf Klavierstücke op.23 (1920–23) · Suite für Klavier op.25 (1923) · Klavierstück op.33a (1928) · Klavierstück op.33b (1931)
 

Yuji Takahashi, piano

Denon/Nippon Columbia, 1986 (enregistrement 1977)



(cd 1/2)

Martin: Concerto pour violoncelle/Poltera, Hannikainen

   

Le mouvement lent est superbe, le reste m'a moins passionné.

Liszt/Gounod, Faust-Waltz

Schumann, Waldszenen

- Elisso Virsaladze

Constant Lambert (1905-1951) :

Concerto for solo pianoforte and nine players

= Richard Rodney Bennett ; Neville Dilkes, English Sinfonia

(Emi, décembre 1975)

Chopin, Sonate pour piano n° 3 - Virsaladze

Schoenberg: Gurrelieder, 2è et 3è parties/Kegel

    +

Szymanowski: Métopes/Sinae Lee

     

charles.ogier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Quasiment que des joyaux chez Gluck,

Artaserse ? Cleonice ? Demofoonte ? Tigrane ? Ipermestra ? Ippolito ? La Caduta de' Giganti ? Artamene ? Semiramide ? Le Cinesi ?  Tetide ?  L'ivrogne corrigé ? Le Cadi dupé ? Ezio ? Telemaco ?

Tous les goûts sont évidemment permis et défendables, mais vraiment, vu le grand nombre d'opéras non documentés (et le peu d'intérêt des opéras-comiques et opere serie qui constituent l'essentiel du fonds), je trouve que c'est une position difficile.

Citation :

que, de mémoire, vous ne considérez pas comme un compositeur majeur, même s'il effectue la transition vers un opéra moderne

Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit, je crois (ou ce n'est pas mon opinion sérieuse et actuelle, en tout cas) ; je dis surtout que Gluck n'est pas du tout un îlot isolé et qu'il y a d'autres compositeurs de qualité égale (et même, à mon sens, de qualité supérieure) qui ont écrit à la même époque le même type de choses.

Après, effectivement, personnellement, je ne suis pas particulièrement réceptif à son style propre, mais c'est clairement un compositeur intéressant et important.


En l'occurrence, je parlais de ses opéras italiens, qui sont vraiment, pour ceux que j'ai pu consulter d'une manière ou d'une autre, sans grand intérêt. Ils ne seraient pas de lui, on ne songerait vraiment pas à les jouer. Je ne nie pas l'importance de documenter l'ensemble de la carrière de Gluck (surtout qu'il a commencé sa réforme en italien !), mais je ne présenterais pas les opéras du disque Bartoli comme des réussites.


(Je vais transférer ça sur le fil adéquat.)

Artaserse ? Cleonice ? ...
Oui, ceux-là ?
Par contre ceux-ci: Orfeo, Alceste, Armide (livret de P.Quinault, que vous appréciez à raison), les deux Iphigénies, surtout en Aulide.

il y a d'autres compositeurs de qualité égale (et même, à mon sens, de qualité supérieure)
La liste est disponible chez vous?

Je vous ai répondu sur le fil Gluck, comme convenu.

Messiaen: 3è liturgie/Kulinsky

     

Wagner:Parsifal Acte I et II (Kna 51)

Windgassen...   

Wagner: Rienzi, ouverture/Jansons

    

Schulhoff: Sextuor à cordes/Quatuor Petersen

    

Pfff... c'est génial.

Schulhoff: Duo pour violon et violoncelle/Quatuor Petersen

   

Peut-être pas aux mêmes hauteurs mais quand même admirable.

Feinberg, Sonate nº3 (Sirodeau).  à  

cela reste quand même la troisième que je préfère, moi.

Anthology of the Concertgebow Orchestra (1980-1990)
Programme toujours très copieux mais varié avec ce CD 8, au programme le 24 ème concerto de Mozart avec un Brendel toujours aussi performant et modèré , une symphonie de psaumes de Stravinski dirigée par Colin Davis et même si  c'est pas vraiment religieux, mais ça reste très beau et parfaitement clair aussi bien les choeurs que l'orchestre, je me demande si je vais pas préferer Davis dans le contemporain maintenant à part ses Berlioz magnifiques et enfin une  belle 3ème symphonie de Roussel par Hans Vonk ou l'orchestre s'en donne à coeur joie ,trompettes et cordes , une symphonie parfaite pour mettre en relief les qualités d'un tel orchestre,Hans Vonk s'en sort très très bien , c'est ma surprise du chef de ce disque il va falloir que j'écoute d'autres disques de ce chef.Dans l'ensemble un très beau disque à ne pas bouder son plaisir sauf pour les grincheux bien sûr?
PS.Je rajouterai que rien ne vaut les Live , c'est toujours bien plus vivant que les bandes studio le plus souvent et ici c'est vraiment le cas depuis que j'écoute ce coffret.

Hippolyte a écrit:

Ravel, Miroirs - Marcelle Meyer

Quelle merveille !

Hippolyte , tu as tout à fait raison et c'est vrai qu'elle n'est pas souvent cité ici, merci de le rappeler pour ceux qui ne la connaîtraient pas , que de trésors dans son intégrale en dehors des Miroirs!

Liszt, Deux légendes (Kempff)

Liszt, Unstern (Fiorentino).

Liszt, Variations « Weinen, etc. » (Yudina).  

Arnord Schoenberg, Drei Klavierstücke (1894) · Sechs Stücke für Klavier zu vier Händen* (1894)
Anton Webern, Variationen op.27 (1936) · Kinderstück (1924) · Klavierstück op.post. (1925) · Sonatensatz für Klavier (1906) · Satz für Klavier (1906)
Alban Berg, Sonata für Klavier op.1 (1907)
  à  

Yuji Takahashi, piano
*Ryuichi Sakamoto, piano

Denon/Nippon Columbia, 1986 (enregistrement 1977)



(cd 2/2)

Gustav Mahler (1860-1911) :

Das klagende Lied

= Susan Dunn, Brigitte Fassbaender, Markus Baur, Werner Hollweg, Andreas Schmidt

Riccardo Chailly, Orchestre symphonique de la Radio de Berlin ; Städtischer Musikverein Düsseldorf

(Decca, mars 1989)

Bull - Oeuvres pour clavecin - van Asperen

Weckmann - Cantates - Ricercar Consort / Pierlot II

Alkan, Grande sonate op.33 (Hamelin)

Alkan, Ouverture op.39/11 (Gibbons)

Wagner:Parsifal Acte 3 (Kna 51)

Edward Elgar (1857-1934) :

The black Knight, cantate Op. 25

= Charles Groves, Liverpool Philharmonic Choir & Orchestra

(EMI, 27-28 avril 1984)

Schoenberg /oeuvres pour piano /Elisabeth Klein .Très particulier comme version, pas le Schoenberg habituel, plus étiré,plus lent, pourtant je pense bien connaître ces oeuvres mais elle en fait autre chose, quoi? quelque chose de moins lyrique, plus statique, bon faut que je réécoute ça plusieurs fois pour me faire une idée plus précise? ça semble scolaire et sans concession de premier abord, aucune place au lyrisme et à la démonstration  pianistique  , ces allemands de l'est voyaient vraiment la musique différemment que ceux de l'ouest on dirait? Par contre la suite opus 25 et l'opus 33 semblent à l'écoute ,réunir un summum de difficultés dont elle rend très bien la complexité, sûrement une version qu'on apprend à aimer et découvrir au fil de ses écoutes ?

Edward Elgar (1857-1934) :

Scenes from the Saga of King Olaf Op. 30

= Teresa Cahill, Philip Langridge, Brian Rayner Cook

Vernon Handley, London Philharmonic Orchestra & Choir

(Emi, 16-20 décembre 1985)

Szymanowski: Stabat mater/Gardner

     

Vivaldi: Cessate omai cessate
- Andreas Scholl / Chiara Banchini : la voix de Scholl est belle et ronde, mais elle a l'intensité dramatique d'une huître.
- Anne-Sofie von Otter / Reinhardt Goebel : Otter en fait des tonnes dans l'expression, c'est fatigant.
- Gérard Lesne / Il Seminario musicale : on a l'équilibre parfait entre la grâce et l'engagement dramatique. Pour moi, la plus belle version des trois, de loin.

Corelli - Concerti grossi op.6 - Ensemble 415 / Banchini