Playlist (80)

Beethoven : Concerto pour piano n°5 "Empereur"

Bernard Haitink, Alfred Brendel et le London Philharmonic Orchestra, 1976.
.
En bonus track, la délicieuse Fantaisie pour piano, chœur et orchestre.
Vieux disque, lointains souvenirs et nouveaux plaisirs.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu penses à quelle oeuvre d'Ibert ? (je ne connais pas ce compositeur)

 

  On peut s'offrir une agréable iniation avec cet album :

http://www.amazon.fr/Ibert-Divertissement-Escales-Concerto-Symphonie/dp/B0013D8K78

Merci du conseil.   

J'oubliais:Shadows of Time c'est définitivement du grand Dutilleux!   

Wagner, Tannhäuser, version Haitink

1ere fois que j'entends cet opéra en entier. Cette version car celle présente dans le coffret que l'on m'a offert.

En dehors de Weikl, plutôt séduit par l'orchestre et les interprètes pour le moment. Le Tannhäuser est plutôt solide et a des qualités sur le plan expressif.

aurele a écrit:

Wagner, Tannhäuser, version Haitink

1ere fois que j'entends cet opéra en entier. Cette version car celle présente dans le coffret que l'on m'a offert.

En dehors de Weikl, plutôt séduit par l'orchestre et les interprètes pour le moment. Le Tannhäuser est plutôt solide et a des qualités sur le plan expressif.

Version un peu gentille, mais Popp est fort belle, et effectivement j'aime beaucoup Klaus König en Tannhäuser : voix allemande métallique sans qualité de timbre particulière, mais effectivement de très beaux détails dans le texte, ce qui n'est pas si fréquent dans ce répertoire.

J'ai le DVD de Bayreuth dirigé par Colin Davis avec une de mes sopranos wagnéro-straussiennes préférées à Nancy mais pas ici avec moi. Cet opéra recèle de beauté.

Je pense que notre opinion va plutôt se rejoindre sur la version Haitink cher David.

Après une version qui m'intéresse beaucoup sur le papier, c'est celle de Sawallisch avec Kollo, Janowitz, Brendel et Dunn. Après, Opéra d'Oro, je n'ai pas confiance car j'ai déjà eu un cd qui était défectueux. Je sais qu'en mp3 sur amazon, c'est bcp moins cher. Dommage car il doit être dispo en streaming sur spotify mais avec ma connexion internet de merde.

Parmi les belles versions il y a celle en studio de Solti avec Kollo et Ludwig ainsi que celle à Bayreuth de Cluytens avec Windgassen et DFD.   

arnaud bellemontagne a écrit:

Parmi les belles versions il y a celle en studio de Solti avec Kollo et Ludwig ainsi que celle à Bayreuth de Cluytens avec Windgassen et DFD.   

Je sais que ce sont des versions reconnues comme étant parmi les plus réussies de la discographie, avec Sinopoli pour une version plus récente. Je connais déjà des extraits de la version Solti et de la version Sinopoli d'ailleurs.

Mahler : Das Lied von der Erde



Ferrier/Walter/Patzak

Charles Ives : Decoration Day, Fourth of July, Thanksgiving.

James Sinclair, Symphony Orchestra and Chamber Chorus de Malmö, 2007-2008.
 
Eh bien, savez-vous qu'à la deuxième écoute, c'est tout à fait délicieux ?!?

Rimsky-Korsakov : Sadko - CD1 (Golovanov)
Duruflé : Requiem (Choeur du King's College, John Butt à l'orgue)

      

Ravel : Daphnis et Chloé ( version pour 2 pianos )

Yukie Nagai/Dag Achatz

(Astrée, septembre 1995)
 

Petrassi : Concerto pour flûte (Ancillotti/La Vecchia)

Christopher Simpson (1606-1669) :
 
The Seasons : The Winter
 
The Monthes : January, February, March
 
= Sophie Watillon, dessus & basse de viole
 
Friederike Heumann, Brian Franklin : basse de viole
Matthias Spaeter : théorbe & archiluth
Luca Guglielmi : orgue & clavecin à cordes de boyau
 
(Alpha, octobre 2004)
 
Ecoute dédiée à Polyeucte qui aime tant le consort...
 

Bruckner: symphonie no 9. Air bête von Karajan, Pilharmonique de Berlin (DG 1975).       

sud273 a écrit:

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Dukas: La Péri (Jordan)

Marrant, la fanfare me fait penser au début de l'Ascension de Messiaen.   

Tout à fait ! C'est même frappant je trouve.

Frappant? Messiaen aurait ailleurs créé quelque chose d'original qui ne plagie pas ses contemporains plus avancés? dans le domaine de l'orgue sans doute?

Pourquoi parler de plagiat?
Quel musicien/artiste n'a subi absolument aucune influence et serait sorti de nulle part?

Si tu peux me dire qui est plagié dans les Liturgies, la Turangalîla, Saint-François, les Rechants ou Harawi, je serais curieux de ta réponse.

Messiaen: Préludes/Gloria Cheng

     

Saariaho: Prélude et Ballade pour piano/Cheng

    +

Xavier a écrit:

Si tu peux me dire qui est plagié dans les Liturgies,

Ferroud.

Citation :

la Turangalîla

Roussel.

Citation :

Saint-François

Pelléas (c'est pour ça que c'est si mauvais).

Citation :

les Rechants

Webern (en raté).


(Eh oui, j'ai lu mon bréviaire sudiste. )

Et Villa-Lobos dans Harawi, non?   

Et surtout Ferde Grofé dans Des Canyons aux Étoiles.

Xavier a écrit:

Et Villa-Lobos dans Harawi, non?   

Le côté Renouveau Charismatique de carnaval est quand même présent dans plus ou moins toutes ses œuvres, non ?

Saariaho: Je sens un deuxième coeur

    +

DavidLeMarrec a écrit:

Et surtout Ferde Grofé dans Des Canyons aux Étoiles.

Xavier a écrit:

Et Villa-Lobos dans Harawi, non?   

Le côté Renouveau Charismatique de carnaval est quand même présent dans plus ou moins toutes ses œuvres, non ?

Qu'est ce que tu as contre le Carnaval ?   

Henze

Fantaisie pour Cordes   
3 Tientos pour guitare   
Royal Winter Music pour guitare   
Double Concerto pour hautbois, harpe et cordes

Finnissy, Banumbirr pour flute, clarinette, violon, violoncelle et piano (1982–86).  Ensemble Phorminx

Bach : Prelude et Fugue en mi mineur ( BWV548) ( Kei Koito)

Bach :
Liebster Jesu, wir sind hier, BWV 731
Prelude et Fugue en La Majeur, BWV 536/536a
Ach, was ist doch unser leben, BWV 743
prelude et Fugue en la mineur, BWV 543

(Kei Koito)

Finnissy, Âwâz-e Niyâz.  Redgate, hautbois et lupophone / Finnissy, piano

Chausson:Poème de l'amour et de la mer (Dutoit)

Peter Maxwell Davies, String Quartet (1961).  Kreutzer Quartet

Roussel:Le festin de l'araignée (Dutoit)

EDIT:Quelle merveille!!!

DavidLeMarrec a écrit:

Et surtout Ferde Grofé dans Des Canyons aux Étoiles.

Toutafé! sans oublier la Elmer Bernstein et la musique de péplum pour Couleurs de la cité céleste...
Enfin plus sérieusement Obouhov, Wychnegradsky, Jolivet, Delvincourt

Tishchenko : Symphony No. 4 Op. 61 (1974)/Rozhdestvensky

5 fois !!!!

Voilà une musique digne des goûts post-romantiques d'Arnaud.  

Vraiment?

Ca t'evoque les Korngold et autres Schreker?   

Sinon ici:
Dukas:Sonate pour piano (Sur le tube par Duchable)

 
Johann Sebastian Bach (1685-1750) :
 
Passion selon Saint Mathieu : première partie
 
Christoph Prégardien, Evangéliste
Max van Egmond, Jésus
 
Christian Fliegner, soprano
Maximilian Kiener, soprano
René Jacobs, alto
David Cordier, alto
John Elwes, ténor
Marcus Schäfer, ténor
Klaus Mertens, basse
Peter Lika, basse
 
Choristes de Bad Tolz, Choeur masculin de La Petite Bande
 
Gustav Leonhardt, Orchestre de La Petite Bande
 
(DHM, mars 1989)
 

arnaud bellemontagne a écrit:

Vraiment?

Je dirais plutôt Strauss, Mahler, le Schoenberg de Pelleas ou des Gurre-Lieder.

Toi tu sais me prendre par les sentiments!     

Bruch. 8 pièces op.83
Schumann. 4 pièces op.132
Uhl. Kleines Konzert
G. Swierc, clarinette; E. Biro, alto; M. Hofmeyr, piano. BNL, 1994.
Un joli programme, résolument intimiste.

Et ça existe quelque part?
Je veux dire à part sur un label russe pour initiés.   


Sinon ici:
Roussel:Symphonie n°3 (Bernstein)

arnaud bellemontagne a écrit:

Et ça existe quelque part?
Je veux dire à part sur un label russe pour initiés.  

Sur tontube, ça n'a jamais été reporté au compact disc si je ne m'abuse.

Mozart : Concerto pour clarinette

la grâce, l'équilibre, la profondeur du sentiment

Kokkonen : Symphonie No. 1

changement d'ambiance !

ovni231 a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Toi tu sais me prendre par les sentiments!     

À première vue, les 6 premiers accords peuvent très bien être de la main du Schoenberg dodécaphonique. Le reste du mouvement peut être de la main du meilleur Chostakovitch : symphonies 4 et 8.

Le second mouvement est un tour de force surhumain, tentative expansionniste qui prend sa source depuis l'allegro misterioso de la Suite Lyrique de Berg. Les percussions et les cris stridents de l'orchestre sont hallucinogènes, à l'instar des vociférations d'Elektra.

Le troisième mouvement est plus neutre, mais transcende la religiosité des symphonies de Bruckner, une forme de pause paisible et étrange à la fois. La dernière partie est plus véhémente avec, dans la coda, un chant de sauterelles à l'orgue.

Le quatrième mouvement est le summum de l’œuvre : champs de batailles apocalyptiques, visions de l'amen ; un narrateur fait son apparition, petits ruisseaux et rossignol de Tourgueniev, orgue naturaliste alla Webern, flûte stravinksienne et violon solo glissant dans l'escalier et, puis, apothéose-zen tibétain rappelant certaines influences lointaines des moments extatiques de la troisième symphonie de Mahler, un autre monstre de la symphonie. Ainsi, c'est le déclin de la cruauté présenté par un orgue effrayant et des clusters fugitifs du reste de l'orchestre.

Le cinquième mouvement est un épilogue serein, deux-trois moments plus déstabilisants aux cuivres et c'est l'accord d'ut tenu aux cordes avec des arabesques divines à la flûte, aux glockenspiels et au célesta. Paix à son âme.

  

Dépêche toi de copier-coller ça dans le bon fil !!!

Messiaen, des canyons aux étoiles
Xenakis, Erikhton
Paul Desenne, jaguar song (JS Bach au Carnaval !   ).
Stockhausen, refrain
Stockhausen, solo (pour saxophone).
Messiaen, des canyons aux étoiles (suite et fin)
Stockhausen, refrain
Xenakis, Dmaathen
Janis Christou, mysterion

À vos ordres !  

hymnes extraits du Piae Cantiones (Finlande, 1582)

Zefiro Torna (ensemble)
Antwerp Cathedral Choir
Timo Väänänen, kantele

Etcetera, 2007 (enregistrement juin 2007)

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Passion selon Saint Mathieu : seconde partie

Christoph Prégardien, Evangéliste
Max van Egmond, Jésus

Christian Fliegner, soprano
Maximilian Kiener, soprano
René Jacobs, alto
David Cordier, alto
John Elwes, ténor
Marcus Schäfer, ténor
Klaus Mertens, basse
Peter Lika, basse

Choristes de Bad Tolz, Choeur masculin de La Petite Bande

Gustav Leonhardt, Orchestre de La Petite Bande

(DHM, mars 1989)

WoO a écrit:

Mozart : Concerto pour clarinette

la grâce, l'équilibre, la profondeur du sentiment

Quelle version ?  

@Lucien : Ah ! Tu en penses quoi alors ? Ta médiathèque est pleine de ressources.