Ça s'appelle comme ça parce que l'opéra est inspiré de sa Suite pour piano (oui, le procédé n'est pas commun) consacrée à Goya. Ça se trouve au disque, au moins trois versions : Noseda (mal distribué), Ros Marbá (la plus célèbre, avec Bayo et Vargas, très bien captée... mais chez Auvidis, donc vraisemblablement introuvable hors médiathèques), et une récente version chez Dynamic qui ressuscite Frühbeck de Burgos.
C'est une œuvre courte, elle est « souvent » programmée en couple avec La vida breve, forcément.