BT 3

 Ah mais je ne parlais pas de toi...

Emeryck a écrit:

Emeryck, in Playlist a écrit:

Liszt : Concerto pour piano n°1 / Berman - Giulini
Chopin : Nocturnes / Rubinstein
Chopin : Scherzi / Pogorelich
Chopin : Préludes / Arrau
Chopin : Impromptus / Arrau
Chopin : Ballades / Entremont
Chopin : Valses / Entremont
Chopin : Sonate pour violoncelle et piano / Demarquette - Engerer
Chopin : Concerto pour piano n°1 / Rubinstein - Barbirolli
Chopin : Barcarolle / Rubinstein
Chopin : Andante Spianato et grande polonaise brillante / Rubinstein

Exactement ça : que des horreurs...  

lerealisateur333 a écrit:

Exactement ça : que des horreurs...  

  

lerealisateur333 a écrit:

Emeryck a écrit:

Emeryck, in Playlist a écrit:

Liszt : Concerto pour piano n°1 / Berman - Giulini
Chopin : Nocturnes / Rubinstein
Chopin : Scherzi / Pogorelich
Chopin : Préludes / Arrau
Chopin : Impromptus / Arrau
Chopin : Ballades / Entremont
Chopin : Valses / Entremont
Chopin : Sonate pour violoncelle et piano / Demarquette - Engerer
Chopin : Concerto pour piano n°1 / Rubinstein - Barbirolli
Chopin : Barcarolle / Rubinstein
Chopin : Andante Spianato et grande polonaise brillante / Rubinstein

Exactement ça : que des horreurs...  

  

Emeryck a écrit:

 

  Le mot horreur est un peu extrême pour qualifier ces oeuvres...C'était pour la blague !

Mais décidément - Chopin tout particulièrement - je n'aime pas, c'est pas ma tasse de thé, ma madeleine, mon "kiff" comme disent les jeunes (  )...

Mais il y a plus de choses que je préfère dans ce BT que dans les oeuvres que tu as citées dans ta playlist ( et ouais, carrément, et même si je ne connais pas le nom des oeuvres du BT, sauf quelques unes...).

Tout ça pour dire :   , amicalement   .

Oui j'avais compris, mon message n'était pas méchant, hein   

lucien a écrit:

lerealisateur333 a écrit:

Exactement ça : que des horreurs...  

  

   BIS !!!

Je clos le BT ce soir

J'ai hâte de savoir qui a composé le 20 !

... et moi les 17 que je n'ai pas trouvés : il y a dans ce bt d'excellentes musiques pour chasser les intrus de chez soi.

lerealisateur333 a écrit:

J'ai hâte de savoir qui a composé le 20 !

Merci. Grâce à toi, je viens de le trouver !!   

Alifie a écrit:

Tout à fait !   

il suffisait d’être un peu attentif.  

Les yeux qui fascinent a écrit:

Merci. Grâce à toi, je viens de le trouver !!

   Bah, de rien. Mais je me demande par quel prodige j'e t'ai aidé ici ?   

Sinon, peut-on tenter de donner d'autres réponses ? Même si on est pas certain ?

lerealisateur333 a écrit:

Sinon, peut-on tenter de donner d'autres réponses ? Même si on est pas certain ?

certains sont même des spécialistes pour trouver des choses qu’ils ne connaissaient pas du tout.  

lucien a écrit:

lerealisateur333 a écrit:

Sinon, peut-on tenter de donner d'autres réponses ? Même si on est pas certain ?

certains sont même des spécialistes pour trouver des choses qu’ils ne connaissaient pas du tout.  

Alifie, tu es démasqué !   

@u realisateur333 : j'ai juste réécouté l'extrait en question, à froid, après ton message.   

Les yeux qui fascinent a écrit:

Alifie, tu es démasqué !   

cette fois, ce n’est même pas à lui que je pensais.  

...par contre, je sais ce qu’il a proposé pour l’extrait 17 et...  

Alifie a écrit:

... et moi les 17 que je n'ai pas trouvés : il y a dans ce bt d'excellentes musiques pour chasser les intrus de chez soi.

    

lucien a écrit:

...par contre, je sais ce qu’il [alifie] a proposé pour l’extrait 17 et...  

Et c'est quoi ?   

Lucien : 100/100 (Hors Classement   )


1er : Ovni --> 85/100  
2ème : Yeux --> 40/100  
3ème : Xavier --> 25/100
3ème : lerealisateur --> 25/100
4ème : Draffin --> 17/100
5ème : Alifie --> 15/100  

Les yeux qui fascinent a écrit:

lucien a écrit:

...par contre, je sais ce qu’il [alifie] a proposé pour l’extrait 17 et...  

Et c'est quoi ?   

  

Les yeux qui fascinent a écrit:

lucien a écrit:

lerealisateur333 a écrit:

Sinon, peut-on tenter de donner d'autres réponses ? Même si on est pas certain ?

certains sont même des spécialistes pour trouver des choses qu’ils ne connaissaient pas du tout.

Alifie, tu es démasqué !

uniquement dans les bt de Vino, trop faciles : carton plein, interprétations comprises, dans le dernier en date, après avoir aisément remporté le 1er

Mais oui, bien sur   . Allez alifie assume   

lucien a écrit:

lerealisateur333 a écrit:

Sinon, peut-on tenter de donner d'autres réponses ? Même si on est pas certain ?

certains sont même des spécialistes pour trouver des choses qu’ils ne connaissaient pas du tout.  

Oui mais c'est l'aboutissement de nombreuses recherches   

calbo a écrit:

Mais oui, bien sur   . Allez alifie assume   

Et toi calbo, tu ne t'es pas essayée à ce magnifique BT    ?

calbo a écrit:

Mais oui, bien sur . Allez alifie assume

C'est exactement ce que je viens de faire, ma bonne amie.

Je n'aime pas suffisamment la musique contemporaine pour tenter le coup  

calbo a écrit:

Je n'aime pas suffisamment la musique contemporaine pour tenter le coup  

Ahah, bah alors tu n'as bien fait de pas le faire, car c'est pas les morceaux présents dans ce BT qui te l'aurait fait aimé. Enfin certains t'auraient peut-être fait rire   

Lucien : 100/100 (Hors Classement   )


1er : Ovni --> 85/100
2ème : Yeux --> 40/100
3ème : Xavier --> 25/100
3ème : lerealisateur --> 25/100
4ème : Draffin --> 17/100
5ème : Alifie --> 15/100

Bravo à tous, et une attention toute particulière pour Tod qui m'a envoyé des propositions très drôles   
Merci à tout ceux qui ont participé

Le 10 c'est Messiaen !   

Et bah...On en apprend tous les jours ! C'était bien sympa ce cocktail contemporain !   

zut, je me suis un peu embrouillé dans mes 3 mp, j'aurais pu laisser la dernière place à draffin. merci pour ce joli bt, emeryck (à vrai dire, il a fallu que je me force un peu pour écouter certains extraits).

Sur les 20, j'en connais seulement 10 de nom. Les 7 derniers me sont notoirement inconnus... Qui sont ces gens ? (question avec des vrais morceaux de curiosité à l'intérieur !)  

lerealisateur333 a écrit:

Le 10 c'est Messiaen !   

Et bah...On en apprend tous les jours ! C'était bien sympa ce cocktail contemporain !   

Ah oui c'est étonnant hein ?

j’avais l’intention de faire un mini-commentaire sur chacune des œuvres, mais maintenant que je vois la liste... j’avoue que je manque d’inspiration pour beaucoup d’entre elles. 

@draffin. dans les sept derniers, il faut IMPÉRATIVEMENT () connaitre Wyschnegradsky et Tichtchenko (dont les extraits sont extraits d’œuvres géniales, à savoir les Vingt-quatre préludes et la Sonate nº7).

lucien a écrit:

j’avais l’intention de faire un mini-commentaire sur chacune des œuvres, mais maintenant que je vois la liste... j’avoue que je manque d’inspiration pour beaucoup d’entre elles. 

@draffin. dans les sept derniers, il faut IMPÉRATIVEMENT () connaitre Wyschnegradsky et Tichtchenko (dont les extraits sont extraits d’œuvres géniales, à savoir les Vingt-quatre préludes et la Sonate nº7).

Peut-être Ferneyhough pour les quatuors, quoi que, c'est assez difficile d'accès   

bien ;
(commentaires personnels, évidemment.)


1. Karlheinz STOCKHAUSEN (1928–2007), Klavierstück X (1961)
Les dix-huit Klavierstücke retracent (partiellement) l’évolution (assez radicale) du langage musical de Stockhausen, évolution sur laquelle je dois encore me pencher… Ce que je peux dire, c’est qu’avant la bombe du Klavierstück XI (aléatoire/combinatoire), le dixième semble une sorte d’aboutissement de la pensée (post-)sérielle de Stockhausen.

2. Pierre BOULEZ (1925–), Sonate pour piano nº2 (1948)
La seconde sonate, c’est la grande œuvre du premier Boulez, de l’élève de Leibowitz et de Messiaen. Avant donc le sérialisme intégral des années 50, avant sa prise de distance avec le dodécaphonisme, etc. On peut trouver cette œuvre stupidement intellectuelle, mais l’ivresse sonore de Boulez est déjà là, particulièrement dans ce premier mouvement, relativement facile à suivre au demeurant.

3. Iannis XENAKIS (1922–2001), Metastasis (1953–54)
Je vous avoue que je connais fort mal Xenakis. Metastasis est la première œuvre « officielle », son opus primum. Donc déjà la critique du dodécaphonisme/sérialisme, la musique « massique » et l’utilisation des mathématiques.

4. Henri POUSSEUR (1929–2009), Huit études paraboliques (1972)
L’un des grands compositeurs de l’école de Darmstadt, Pousseur est belge, mais né dans communauté germanophone, à Malmédy. Il a travaillé au Studio de Cologne avec Eimert et Stockausen, et a composé beaucoup de musique électronique, notamment ces Huit études paraboliques (chacune durant environ une demi-heure ). Icare semble être chez Pousseur l’équivalent de La Mort de Virgile chez Barraqué.

5. Pierre HENRY (1927–), Messe de Liverpool (1967–70)
Mmh… demandez à Emeryck.

6. Michael FINNISSY (1946–), English Country-Tunes (1977)
Bon… je n’essaie plus de défendre cette œuvre, mais… Elle est composée de huit sections aux titres évocateurs. Y alternent (avec des transitions) des passages très calmes, étrangement tonals, aux mélodies vaguement traditionnelles, avec des valeurs rythmiques inhabituelles ; et d’autres où Finnissy fait un usage expressionniste de mini-clusters ou autres agrégats apparemment aléatoires, dans une rythmique totalement désagrégée.

7. John CAGE (1912–1992), 4′33″ (1952)
    

8. György LIGETI (1923–2006), Continuum (1968)
Des notes au clavecin jouées le plus rapidement et le plus indistinctement possible, dont les lignes se modifient par variations successives, les deux mains (qui se superposent) étant tantôt en phase, tantôt décalées, tantôt contradictoires, etc. L’œuvre est un des plus clairs exemple de la micropolyphonie de Ligeti (sans encore la polyrythmie) : par-dessus le flot ininterrompu des notes se dégage un « chant » qui semble surgir de nulle part.

9. Steve REICH (1936–), Different Trains (1988)
Je connais trop peu.

10. Olivier MESSIAEN (1908–1992), Timbres-durées (1952)
Messiaen a toujours défendu l’innovation, la liberté, et soutenu les recherches de ses illustres élèves. Mais quelquefois, c’est l’élève qui influence le maitre, et Messiaen s’essayera à la musique concrète avec cette œuvre, réalisée en collaboration avec Pierre Henry. Messiaen en reconnaitra lui-même l’échec.

11. Mauricio KAGEL (1931–2008), Quatuor à cordes nº1 (1965–1967)
Encore un compositeur que je ne connais pas.

12. Helmut LACHENMANN (1935–), …got lost… (2008)
Ici encore je connais très mal. Mais je dois dire que je trouve cette pièce intimiste assez séduisante.

13. La Monte YOUNG (1935–), X for Henry Flynt (1960)
Mmh… demandez aux Yeux.

14. Henry FLYNT (1940–), Violin strobe (1978)
Mmh… demandez aux Yeux.

15. Paul WHITTY (1970–), Seven pages
Seule œuvre que je connais de ce compositeur nord-irlandais, et par erreur présente en entier dans ce BT. Il s’agit en fait d’une sorte de (double) remix de Continuum, par hasard présent également dans ce BT. L’électronique mêlée au son du clavecin donne un résultat à la fois drôle et fascinant, je trouve.

16. Boris TICHTCHENKO (1939–2010), Sonate pour piano nº7 avec cloches (1982)
Tichtchenko est l’un des plus grands représentants du postmodernisme en Union soviétique. Il mélange avec le plus grand talent un certain néoclassicisme, une grande clarté (typiquement soviétique), le modernisme d’Oustvolskaïa (l’influence de cette dernière est particulièrement sensible dans cet extrait), mais aussi du dodécaphonisme/sérialisme et d’autres recherches parallèles, quelques fois du minimalisme américain, etc. Un génie mélodique (hérité de Chostakovitch et d’Oustvolskaïa), des orchestrations hallucinantes, etc. Bon, inutile de multiplier les éloges, c’est l’un de mes compositeurs préférés (je ne suis pas le seul sur le forum… suivez mon regard). Et cette sonate est une œuvre que j’apprécie particulièrement.

17. Ivan WYSCHNEGRADSKY (1893–1979), Vingt-quatre préludes (1934)
Après quelques œuvres dans la pure lignée de Scriabine (à retenir : La Journée de l’existence), Wyschnegradsky consacre la quasi-intégralité de son œuvre aux micro-intervalles, en commençant (comme ici) par les quarts de tons. Les quarts de tons sont une idée à la mode à l’époque en Russie, puisque Kulbin, Lourié, Rimski-Korsakov et Avraamov s’y intéressent à la même époque. Les Vingt-quatre préludes de 1934 (plusieurs fois révisés ensuite) constituent un premier aboutissement de son système. En fait, Wyschengradsky recrée entièrement un système tonal en quarts de tons (d’abord), avec des équivalents à chaque accord, intervalle, harmonies, etc. (cf. le titre complet : les « treize sons » remplacent les sept de la gamme naturelle). Il s’agit donc de vingt-quatre préludes tonals (mais pas simplement : l’influence de Scriabine est toujours là), dans les vingt-quatre tonalité (les vingt-quatre quarts de tons).

18. Brian FERNEYHOUGH (1943–), Unity Capsule (1975–76)
L’un des grands représentants de l’English New Complexity. C’est loin d’être mon compositeur préféré ; je lui préfère de loin Finnissy, plus organique et plus syncrétique. Il y a notamment chez Ferneyhough une recherche sur l’attitude de l’interprète devant une partition injouable, ainsi qu’une recherche sur le « vide » musical. Je n’en sais pas vraiment plus. Et je suis rarement convaincu.

19. Salvatore SCIARRINO (1947–), Sonate pour piano nº4 (1991–92)
Je n’ai rien contre les clusters, mais si c’est pour en faire quelque chose d’aussi fade…

20. Carola BAUCKHOLT (1957–), Zugvögel (2011–2012)
Seule œuvre que je connais de cette compositrice allemande. Un ensemble de cinq vents imite de façon tout à fait figurative et très peu esthétisée/sublimée chants et battements d’ailes de divers oiseaux, avec beaucoup d’invention. Je trouve ça vraiment très amusant.

Pour LA MONTE YOUNG ( Oui parce qu'il n'y a pas que Lully qu'on peut écrire en majuscule    ), le principe de X for Henry Flynt serait de produire un son très fort pendant une durée X.
Pour Ferneyhough, le silence est assez important dans sa musique, on le voit notamment dans son 2ème quatuor. Je trouve que les Quatuors de Ferneyhough sont ses oeuvres principales.

lucien a écrit:

2. Pierre BOULEZ (1925–), Sonate pour piano nº2 (1948)
La seconde sonate, c’est la grande œuvre du premier Boulez, de l’élève de Leibowitz et de Messiaen. Avant donc le sérialisme intégral des années 50, avant sa prise de distance avec le dodécaphonisme, etc. On peut trouver cette œuvre stupidement intellectuelle, mais l’ivresse sonore de Boulez est déjà là, particulièrement dans ce premier mouvement, relativement facile à suivre au demeurant.

Oh oui, très facile à suivre.



  

Xavier a écrit:

lucien a écrit:

2. Pierre BOULEZ (1925–), Sonate pour piano nº2 (1948)
La seconde sonate, c’est la grande œuvre du premier Boulez, de l’élève de Leibowitz et de Messiaen. Avant donc le sérialisme intégral des années 50, avant sa prise de distance avec le dodécaphonisme, etc. On peut trouver cette œuvre stupidement intellectuelle, mais l’ivresse sonore de Boulez est déjà là, particulièrement dans ce premier mouvement, relativement facile à suivre au demeurant.

Oh oui, très facile à suivre.



  

Bah, bizarrement, cette sonate je la trouve pas trop mal, je ne saurais pas expliquer pourquoi   

emeryck a écrit:

Bah, bizarrement, cette sonate je la trouve pas trop mal, je ne saurais pas expliquer pourquoi  

Je suis au moins rassuré sur ce point-là.   

Xavier a écrit:

Oh oui, très facile à suivre.

relativement facile, j’ai dit...
mais oui, je trouve que les développements thématiques sont compréhensibles au moins intuitivement (et Boulez privilégie la compréhension intuitive).  

Xavier a écrit:

Je suis au moins rassuré sur ce point-là.   

tu peux être sarcastique si ça t’amuse, mais je ne vois pas en quoi cela est rassurant... 

Parce que moi je n'y comprends rien, et vu le temps que j'ai passé à écouter et étudier la musique, je me dis que si vous (sous-entendu "vous les jeunes"), vous comprenez, et pas moi, c'est que je suis vraiment nul.

Et la "compréhension intuitive" chez Boulez... là encore, je dois avoir une intuition proche du néant.

Xavier a écrit:

Parce que moi je n'y comprends rien, et vu le temps que j'ai passé à étudier la musique, je me dis que si vous (sous-entendu "vous les jeunes"), vous comprenez, et pas moi, c'est que je suis vraiment nul.

Et la "compréhension intuitive" chez Boulez... là encore, je dois avoir une intuition proche du néant.

Moi je pense que c'est une question d'habitude.

C'est sûr que je n'ai pas écouté cette sonate 20 fois, ça je dois le reconnaître... (ceci dit, s'il faut l'écouter 20 fois pour la comprendre, on est loin de la "compréhension intuitive"...)

 Bon, je n'ai aucun remords.

A part la Sonate n°2 de Boulez, entendue quand j'étais jeune et aventurier, je n'ai jamais écouté ces oeuvres et n'aurais donc pu les identifier.

Et je connais le nom des autres compositeurs par la seule entremise des playlist de Lucien...  

Xavier a écrit:

C'est sûr que je n'ai pas écouté cette sonate 20 fois, ça je dois le reconnaître...

Mais c'est sur que ce n'est pas esthétique... Cependant il y a des oeuvres comme ça, qu'on aime bien, et on ne sait pas pourquoi   

Mélomaniac a écrit:

quand j'étais jeune et aventurier,

...dommage qu’Armand a quelque peu changé ses habitudes de fréquentation de ce forum...  

lucien a écrit:

Mélomaniac a écrit:

quand j'étais jeune et aventurier,

...dommage qu’Armand a quelque peu changé ses habitudes de fréquentation de ce forum...  

Si si, j'écoutais du Nono, Ligeti, Manzoni, Maderna, Henze... Rien ne me faisait peur   

Mélomaniac a écrit:

lucien a écrit:

Mélomaniac a écrit:

quand j'étais jeune et aventurier,

...dommage qu’Armand a quelque peu changé ses habitudes de fréquentation de ce forum...  

Si si, j'écoutais du Nono, Ligeti, Manzoni, Maderna, Henze... Rien ne me faisait peur   

Même du Stockhausen et du LA MONTE YOUNG ?