Playlist (84)

Johannes Brahms (1833-1897) :
 
Quintette en fa mineur Op. 34
 
= Rudolf Serkin, piano ; Budapest String Quartet
 
(CBS, septembre 1963)
 

Mélomaniac a écrit:

Roderick a écrit:

Je me mets à l'orgue en suivant les conseils du Maître :

  Alors, que penses-tu de cette anthologie ?

Si tu veux explorer les origines du répertoire organistique de façon plus profonde et consistante, mieux vaut chercher des albums consacrés à Frescobaldi, Byrd, Sweelinck, Titelouze, ou Cabezon, joués sur des orgues plus typiques que celui qu'on entend dans ce disque...

En général quand je me lance dans ce genre de projet, je suis très scolaire : je vais suivre pas à pas tes propositions discographiques sur le fil "L'Orgue sous l'Ancien Régime"   

Cette anthologie me plais déjà assez, j'ai des sensations proches de celles que me procurent certaines polyphonies de la Renaissance  

Roderick a écrit:

En général quand je me lance dans ce genre de projet, je suis très scolaire : je vais suivre pas à pas tes propositions discographiques sur le fil "L'Orgue sous l'Ancien Régime"

Cette anthologie me plais déjà assez, j'ai des sensations proches de celles que me procurent certaines polyphonies de la Renaissance  

 
Si tu fais allusion au topic ci-dessous, il manque encore beaucoup de rubriques non renseignées. N'hésite donc pas à poser des questions en bout de fil si tu souhaites des conseils plus précis   
 
https://classik.forumactif.com/t6486-l-orgue-sous-l-ancien-regime-parcours-discographique#936429

Anton Dvorak (1841-1904) :
 
Quatuor n°2 en mi bémol majeur Op. 87
 
= Rudolf Firkusny, piano ; Juilliard String Quartet
 
(CBS, 1977)
 

DavidLeMarrec a écrit:

La comparaison du vin avec les plus grands plaisirs (dérisoires en comparaison) est vraiment un effet très commun dans cette littérature-là.

"Je ne bois guère plus qu'une éponge." Rabelais
Mais j'aime mieux...

Le Caffé
Cantate n° 4, à voix seulle, avec Simphonie & basse continue

Récitatif

Agréable Caffé, quels climats inconus
Ignorent les beaux feux que ta vapeur inspire ?
Ah ! tu contes dans ton empire
Des lieux rebelles à Bacchus.

Air, gracieusement

Favorable liqueur dont mon ame est ravie
Par tes enchantemens augmente nos beaux jours.
Nous domptons le sommeil par ton heureux secours
Tu nous rens les momens qu'il derobe à la vie.

Récitatif

L'Astre dont chaque nuit la clarté douce et pure
Vient du Soleil absent consoler la nature
Te doit souvent les regards des humains.
Les feux rivaux de sa lumiere
Aux yeux sçavants par toy devenus plus certains
Découvrent leur vaste carriere.
Que Minerve et ses favoris
De tes divins attraits connoissent bien le prix.

Air, gay

Caffé, du jus de la bouteille
Tu combats le fatal poison,
Tu ravis au Dieu de la treille
Le buveur que ton charme éveille.
Et tu le rends à la raison.
Le sage s'il s'amuse à boire
Ne se livre qu'à tes douceurs
Tu sers les filles de memoire
Qu'Apollon célebre ta gloire
La sienne a croist par tes faveurs.

Récitatif

Quand une habille main t'apreste
Quel plaisir est egal à celuy que tu fais ?
Ton odeur seullement te promet la conqueste
Des mortelles qui n'ont pas éprouvé tes attraits.

Air, gay

O toy liqueur que j'ayme
Regne, coule en tous lieux,
Bannis le nectar même
De la table des Dieux.
Fais sans cesse la guerre
Au jus delicieux,
Fais gouter à la terre
Le doux calme des Cieux.


J'aime beaucoup cette sorte de dérision de l'emphase... n'est-elle pas une forme d'humour finalement?

Au programme de ce soir :




Zwei Stücke für Klaviertrio (Lili Boulanger)
Sonate pour Violin et Piano en sol mineur, L. 140 (Claude Debussy)
Trois pièces pour Violoncelle et Piano (Nadia Boulanger)
Trio für Violine, Viola und Violoncello (1933) (Paul Hindemith)

Jolivet : Concerto pour piano / Entremont, Jolivet

Vissarion Shebalin : Russian Overture, Symphonies Nos. 2 & 4/Sergei Skripka Russian Cinematographic Symphony Orchestra

Mahler:Symphonie n°2 (Klemperer)

La séquence lyrique du scherzo est particulièrement réussie dans cette version.

Strauss:Salomé (Sinopoli)

Une bien belle version.

Liszt: Lieder/Kirchschlager

     

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

Domenico Scarlatti
Janne Rattya - Arrangement pour accordéon

Sonate K 22
Sonate K 11
Sonate  K 159
Sonate K 126
Sonate K 6
Sonate  K 386
Sonate K 19
Sonate  K 519
Sonate K 135
Sonate K 203
Sonate K 13
Sonate K 30
Sonate  K 12
Sonate  K 1
Sonate K 52
Sonate K 140

Label Ondine 2013

Intrigant.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.  

L'autre jour, j'écoutais les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare! Ça sonne très bien aussi.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.
car trop percussif?

les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare
Ah!Ah! avez-vous la référence?

Ryan Francis (1981–), Études (2006–2008) · Consolations (2002–2004) · Wind-up Bird Preludes (2005–2010) · Moonlight Fantasy (2000–2001)

Vicky Chow, piano

Tzadik, 2011

xoph a écrit:

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

Domenico Scarlatti
Janne Rattya - Arrangement pour accordéon

Sonate K 22
Sonate K 11
Sonate  K 159
Sonate K 126
Sonate K 6
Sonate  K 386
Sonate K 19
Sonate  K 519
Sonate K 135
Sonate K 203
Sonate K 13
Sonate K 30
Sonate  K 12
Sonate  K 1
Sonate K 52
Sonate K 140

Label Ondine 2013

Intrigant.

Intrigant c'est le mot: « Voilà * pourquoi les pianistes qui aiment et jouent Scarlatti, malgré leur culture inadaptée à la musique baroque , réussissent souvent mieux (ou les accordéonistes : écoutez Mie Miki ! » dixit P. Hantaï. Pas trouvé Mie Miki, mais voilà une bonne piste (pour moi), si on aime Scarlatti et l'accordéon.

* le texte de Pierre Hantaï en dit plus sur ce voilà: en voici un peu (pas trouvé le texte in extenso pour mettre un lien):  "il faut un effort de compréhension pour admettre l'inaptitude de Scarlatti à "vivre" dans son milieu **. Il leur faut pour commencer tout oublier de ce qu'ils savent et ressentir le rythme des phrases à l'aulne d'un nouveau système métrique. Voilà pourquoi.."

** le milieu c'est Bach, mais ensuite on peut entendre le texte autrement. Leur: les clavecinistes.

Pour les sources: le livret accompagnant le 1er des trois (zut pas d'intégrale, mais il a pris un parti net à ce sujet) volumes Scarlatti par Hantaï - ed. Mirare

le rythme des phrases
C'est exactement cela; un rythme très court que P.H joue "rapide", de mémoire dans son volume 3.

Pas trouvé Mie Miki,
Chez Brilliant Classics, 5 CD sur les sonates de D.Scarlatti (réf.BRIL94613) au clavecin, piano, guitare, harpe et accordéon, ce dernier joué donc par Mie Miki (dernier CD pour 71 mn)
Aussi un CD consacré à Grieg chez BIS

Bach
ce prochain WE les Goldberg par Janne Rattya

Poulenc, Voyage à Paris, Felicity Lott, Graham Johnson, members of The songmaker's almanac (Anthony Rolfe Johnson, Ann Murray, Richard Jackson), Hypérion

J'ai reçu ce disque aujourd'hui.

charles.ogier a écrit:

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

Domenico Scarlatti
Janne Rattya - Arrangement pour accordéon

Sonate K 22
Sonate K 11
Sonate  K 159
Sonate K 126
Sonate K 6
Sonate  K 386
Sonate K 19
Sonate  K 519
Sonate K 135
Sonate K 203
Sonate K 13
Sonate K 30
Sonate  K 12
Sonate  K 1
Sonate K 52
Sonate K 140

Label Ondine 2013

Intrigant.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.  

L'autre jour, j'écoutais les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare! Ça sonne très bien aussi.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.
car trop percussif?

les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare
Ah!Ah! avez-vous la référence?

A mon goût personnel, le son du piano moderne, romantique et moderne par excellence, appauvrit quelque-peu et si on ajoute
une truffade de nuances ça sonne boite à musique et beaucoup de pianistes s'énervent avec les tempis. Je préfère le son du
clavecin pour le répertoire ancien, car à mon oreille, beaucoup plus satisfait de par sa richesse harmonique perceptible, qui est
beaucoup plus étouffé, c'est le cas de le dire, par le marteau très feutré du piano moderne. Bien-sûr pour Scarlatti en particulier,
le pianoforte tant qu'à lui, du fait que sa facture incluant des marteaux beaucoup moins feutrés, conserve la dynamique en partie
du son, ce qui est un compromis acceptable.

Pour Buxtehude à la guitare, il y a ce très bel album du guitariste Dybro Sorensen du label Classico qui est une réussite:



Disponible à l'écoute en streaming via Qobuz: http://www.qobuz.com/album/dieterich-buxtehude-per-dybro-sorensen-buxtehude-6-suites/5709644046119

Déodat de Séverac

Jordi Maso (piano)

Baigneuses au soleil
Les naïades et le faune indiscret
Sous les lauriers roses
En vacances (I & II)

Label Naxos

Les Tuyaux de la Nuit...



Au programme ce soir : Guilmant - Franck - Cochereau
 
 
1) Alexandre Guilmant (1837-1911) :
 
Sonate n°4 en ré mineur Op. 61
 
= Joris Verdin, harmonium Mustel (1891)
 
(Gallo, mai 1996)
 

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

plenum a écrit:

charles.ogier a écrit:

Domenico Scarlatti
Janne Rattya - Arrangement pour accordéon


Label Ondine 2013

Intrigant.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.  

L'autre jour, j'écoutais les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare! Ça sonne très bien aussi.

J'aime mieux ça qu'au piano moderne.
car trop percussif?

les six suites pour clavecin de Buxtehude, mais arrangées pour guitare
Ah!Ah! avez-vous la référence?

A mon goût personnel, le son du piano moderne, romantique et moderne par excellence, appauvrit quelque-peu et si on ajoute
une truffade de nuances ça sonne boite à musique et beaucoup de pianistes s'énervent avec les tempis. Je préfère le son du
clavecin pour le répertoire ancien, car à mon oreille, beaucoup plus satisfait de par sa richesse harmonique perceptible, qui est
beaucoup plus étouffé, c'est le cas de le dire, par le marteau très feutré du piano moderne. Bien-sûr pour Scarlatti en particulier,
le pianoforte tant qu'à lui, du fait que sa facture incluant des marteaux beaucoup moins feutrés, conserve la dynamique en partie
du son, ce qui est un compromis acceptable.

Pour Buxtehude à la guitare, il y a ce très bel album du guitariste Dybro Sorensen du label Classico qui est une réussite:



Disponible à l'écoute en streaming via Qobuz: http://www.qobuz.com/album/dieterich-buxtehude-per-dybro-sorensen-buxtehude-6-suites/5709644046119

le son du clavecin pour le répertoire ancien

J'ai l'impression de mieux percevoir la structure de la pièce au clavecin.Bon, après, c'est subjectif, et il faut avoir la "chance" d'avoir un clavecin qui délivre un bon son

Pour Buxtehude à la guitare
OK et merci. La guitare est un magnifique instrument.

Ce cd est une véritable réussite de la musique pour piano de Séverac par Maso.  Donc aucune crainte d'être maso à l'écouter en entier. 

Pour le clavecin, une pléiade de facteurs depuis 40 ans est réelle. Beaucoup de versions au clavecin sont excellents pour le choix de l'instrument. Ce que je ne peux supporter encore moins au piano moderne la musique ancienne, c'est quand il s'agit du répertoire baroque
français, Couperin, Rameau, Marchand et cie.  

[quote="plenum"]Ce cd est une véritable réussite de la musique pour piano de Séverac par Maso.  Donc aucune crainte d'être maso à l'écouter en entier. 

Pour le clavecin, une pléiade de facteurs depuis 40 ans est réelle. Beaucoup de versions au clavecin sont excellents pour le choix de l'instrument. Ce que je ne peux supporter encore moins au piano moderne la musique ancienne, c'est quand il s'agit du répertoire baroque
français, Couperin, Rameau, Marchand et cie.  [/quote

Couperin, Rameau,
Les aficionados de Alexandre Tharaud ne vont pas tarder à se manifester  

Jehan Alain

Trois Danses
Choral Phrygien
Choral Dorien
Lamento
Intermezzo
Climat
2e Fantaisie

Christophe Mantoux, aux célèbres grandes orgues de Saint-Ouen à Rouen.

charles.ogier a écrit:

plenum a écrit:

Ce cd est une véritable réussite de la musique pour piano de Séverac par Maso.  Donc aucune crainte d'être maso à l'écouter en entier. 

Pour le clavecin, une pléiade de facteurs depuis 40 ans est réelle. Beaucoup de versions au clavecin sont excellents pour le choix de l'instrument. Ce que je ne peux supporter encore moins au piano moderne la musique ancienne, c'est quand il s'agit du répertoire baroque
français, Couperin, Rameau, Marchand et cie.  

Couperin, Rameau,
Les aficionados de Alexandre Tharaud ne vont pas tarder à se manifester  

Eh bien, pour achever de les faire venir, j'ajouterais que les Goldberg de Bach par Ross, oui, mais Gould, j-a-m-a-i-s. 

Chopin
Ballade 1. S. François puis W. Horowitz.
Baraqué
Sonate pour piano

'Explorer les rapports entre la musique et l'histoire - Sebby'

 

Mélomaniac a écrit:

Roderick a écrit:

En général quand je me lance dans ce genre de projet, je suis très scolaire : je vais suivre pas à pas tes propositions discographiques sur le fil "L'Orgue sous l'Ancien Régime"

Cette anthologie me plais déjà assez, j'ai des sensations proches de celles que me procurent certaines polyphonies de la Renaissance  

 
Si tu fais allusion au topic ci-dessous, il manque encore beaucoup de rubriques non renseignées. N'hésite donc pas à poser des questions en bout de fil si tu souhaites des conseils plus précis   
 
https://classik.forumactif.com/t6486-l-orgue-sous-l-ancien-regime-parcours-discographique#936429

Merci bien ! (2ème écoute de l'anthologie d'Isoir : cette fois je prends presque goût à l'orgue régale. La première fois j'avais vérifié mes branchements...)

 Lucien
Jolie signature ....

Oui la régale est ''Cruchant'' de son.

Autre très beau disque sur Pierre Atteignant, est avec Jean Patrice Brosse au très bel orgue de
Saint-Savin en Lavedan.


Je viens de vérifié sur Qobuz et il est dispo:http://www.qobuz.com/album/pierre-attaingnant-jeux-dorgue-et-de-voix-prludes-magnificat-et-motets-du-16me-sicle/3760173760169

Vyacheslav Ovchinikov : Symphony No. 1 (1956)/Maxim Shostakovich Grand Radio Television Soviet Symphony Orchestra

2) Alexandre Guilmant (1837-1911) :
 
Pièces dans différents styles, Livre III Op. 17 :
 
Marche funèbre et chant séraphique
 
= James Hammann, orgue Farrand & Votey de l'église Saint-Martin de Tours de Louisville
 
(OHS, juillet 1993)
 
  Les timbres râpeux et melliflus, la viscosité de cet orgue du Kentucky offrent une parfaite transition avec l'harmonium que je viens d'écouter.

Excellente interprétation.

Le premier qui ose venir me parler de cannes sucrées...   
 

Kurtàg-Stele

´Si vous y êtes préparé, la poésie dévastatrice de Stele peut s'introduire dans votre âme.'

Bach : Magnificat (J. E. Gardiner, Philips -1983)

J'adore cette oeuvre, qui claque comme du Haendel au meilleur de sa forme et qui nous éloigne de l'image austère que nous donne Bach dans Les variations Goldberg par exemple.

Une version qui allie la finesse à la virtuosité, ce qui ne va pas toujours ensemble. Un vrai moment de grâce où l'orchestre joue en parfaite osmose. Les solistes sont eux aussi parfaits, à commencer par la soprano Patrizia Kwella. Une référence incontournable !!   

Ce Magnificat est ma version préférée et le sera toujours je crois bien, depuis que je l'ai acheté à sa parution.  

Mélomaniac a écrit:

2) Alexandre Guilmant (1837-1911) :
 
Pièces dans différents styles, Livre III Op. 17 :
 
Marche funèbre et chant séraphique
 
= James Hammann, orgue Farrand & Votey de l'église Saint-Martin de Tours de Louisville
 
(OHS, juillet 1993)
 
  Les timbres râpeux et melliflus, la viscosité de cet orgue du Kentucky offrent une parfaite transition avec l'harmonium que je viens d'écouter.

Excellente interprétation.

Le premier qui ose venir me parler de cannes sucrées...   
 

Tu en parles indirectement des cannes sucrées, puisque tu soulignes l'aspect ''visqueux'' ou viscosité comme tu dis de cet instrument, résultat de trop de sucres dilués. Il y en a beaucoup en montre d'ailleurs. 

C'est vrai que le son de cet orgue, c'est élastique, sucré et ça colle aux dents...   
 
Je me le suis réécouté deux-trois fois, j'adore... Et c'est très bien joué. Un délice !  

Mais comme c'est surtout des pièces mineures donc sucrées de Guilmant, ça passe oui. 

Mais pour la marche funèbre et chant séraphique, un de ses musts, connais-tu la sublime version de Brooks à Saint-Ouen?
A faire dresser les poils des avant-bras. 

A y penser, ayant quasiment terminé le Jehan Alain à Ce sublime orgue de Saint-Ouen, je vais écouter ce fameux disque de Brooks.
Tout est superbe là dedans.
Oeuvres de Commette, Ibert, Philip, Guilmant et Dallier.



http://www.deezer.com/album/2050371  

Tu es un fanatique de Saint-Ouen on dirait...
 
L'acoustique est un peu top longue pour moi.
 
Et je réserve cet orgue pour des oeuvres hautes et graves comme Tournemire, ou Franck, les symphonies de Vierne...
 
Je trouve que le type de tableaux de genre un brin désuets de Guilmant passe mieux à l'harmonium, ou sur des turbines à mélasse comme l'orgue de Louisville que je viens d'écouter...  

Mais sa Marche funèbre et chant séraphique, mérite amplement Saint-Ouen, un des dix orgues les plus prestigieux.  

 Bon, revenons aux choses sérieuses...

 
3) César Franck (1822-1890) : 
 
Trois Chorals :
 
n°1 en mi majeur, à Monsieur Eugène Gigout
n°2 en si mineur, à Monsieur Auguste Durand
n°3 en la mineur, à mon élève Augusta Holmès
 
= Olivier Latry, orgue Cavaillé-Coll de la Cathédrale Notre-Dame de paris
 
(DG, novembre-décembre 2003)
 

Ouf, le danger de diabète est enfin écarté.  

Berlioz : Symphonie Fantastique / Münch
  

=> Graun – Oratorio de Pâques

 Et pour conclure ce magnifique programme commencé dans l'intimisme : une création énorme...
 
 
4) Pierre Cochereau (1924-1984) :
 
Boléro improvisé sur un thème de Charles Racquet
 
= Michel Cals, Michel Castaud, percussion ; Pierre Cochereau, orgue Cavaillé-Coll de la Cathédrale Notre-Dame de Paris
 
(Philips, mai 1973)
 

Buxtehude : Cantates sacrées
Cantus Cölln
Konrad Junghänel

  Émerveillé je suis devant tant de beautés. Merveilleux Buxtehude si bien joué et chanté, aux cantates si bien choisies.
Je conseille ce disque sans problème pour découvrir sa musique vocale, c'est totalement réussi. 

Mahler:Symphonie n°2 (Metha)

Version de luxe (prise de son Decca, Philarmonique de Vienne ,choeur superlatif, Christa Ludwig...) pour amateurs de cinémascope.

Dans cette optique spectaculaire c'est difficilement surpassable.   

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°2 (Metha)

Version de luxe (prise de son Decca, Philarmonique de Vienne ,choeur superlatif, Christa Ludwig...) pour amateurs de cinémascope.

Dans cette optique spectaculaire c'est difficilement surpassable.   

Avec un commentaire précédent sur la n°2 de Mahler par Bernstein tu m'as donné envie de lui donner une seconde chance. Il vaut mieux Bernstein ou Mehta ?

Vyacheslav Ovchinikov : Suite No. 6 (1972)/Vyacheslav Ovchinikov Grand Radio Television Soviet Symphony Orchestra

 [/quote

Couperin, Rameau,
Les aficionados de Alexandre Tharaud ne vont pas tarder à se manifester  [/quote]
[/quote]

Ah oui certainement: comme c'est beau (surtout Rameau), même mieux que Marcelle Meyer (et presque aussi bien que Céline Frisch, dont par ailleurs le son du Hemsch est superbe .

plenum a écrit:

Eh bien, pour achever de les faire venir, j'ajouterais que les Goldberg de Bach par Ross, oui, mais Gould, j-a-m-a-i-s. 

Voilà qui est réussi: Je ne sais toujours pas quelle version j'aime le mieux Live Salzburg, 55 ou 81. (mais moins que la première version Hantaï op 111)  

Dav' le brave a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mahler:Symphonie n°2 (Metha)

Version de luxe (prise de son Decca, Philarmonique de Vienne ,choeur superlatif, Christa Ludwig...) pour amateurs de cinémascope.

Dans cette optique spectaculaire c'est difficilement surpassable.   

Avec un commentaire précédent sur la n°2 de Mahler par Bernstein tu m'as donné envie de lui donner une seconde chance. Il vaut mieux Bernstein ou Mehta ?

Je dirais les deux mon capitaine.   

Pour la finition et le confort, Metha
Pour l'engagement et le souffle, Bernstein (Sony)

Ok, je prends Bernstein, c'est pour le gros œuvre. Programmé pour ce week-end.