Playlist (86)

Que je n'ai pas posté dans le topic playlist effectivement.

Prokofiev, Symphonie nº2.  Rozhdestvenski

 

difficile, difficile.

 

                  

Xenakis: Metastaseis
   

Jof M a écrit:

Barber: Sonate pour piano
Pollack

   On dirait le toucher d'Ashkenazy !

Ah non, c'est plus robuste qu'Ashkenazy, tout de même. (J'aime davantage, d'ailleurs, mais il faut dire que j'adore cette Sonate et qu'Ashkenazy ne l'a pas enregistrée.)

D'ailleurs je m'interroge sur la proposition de Plenum, parce que si effectivement les captations piano de Decca dans ces années sont assez dures et métalliques, Lupu ne sonne vraiment pas comme ça… Donc il y a clairement une idiosyncrasie Ashkenazy.

Jacob Clement (c.1510-1556) :
 
Chansons, motets, mouvements de messe
 
= Paul Van Nevel, Huelgas Ensemble
 
Superius : Els Van Laethem, Axelle Bernage
Superius/altus : Sabine Lutzenberger, Witte-Maria Weber
Altus : Kaspar Kröner
Tenor : Achim Schulz, Johannes Balbach-Nohl, Tom Philips, Matthew Vine
Baritonans : Erik Van Nevel, Tim Scott Whiteley
Bassus : Martin Backhaus, Joel Frederiksen

(DHM, juillet 2010)
 

Xenakis: Synaphaï
 

DavidLeMarrec a écrit:

Jof M a écrit:

Barber: Sonate pour piano
Pollack

   On dirait le toucher d'Ashkenazy !

Ah non, c'est plus robuste qu'Ashkenazy, tout de même. (J'aime davantage, d'ailleurs, mais il faut dire que j'adore cette Sonate et qu'Ashkenazy ne l'a pas enregistrée.)

D'ailleurs je m'interroge sur la proposition de Plenum, parce que si effectivement les captations piano de Decca dans ces années sont assez dures et métalliques, Lupu ne sonne vraiment pas comme ça… Donc il y a clairement une idiosyncrasie Ashkenazy.

Il y a pourtant pas à s'interroger, il n'y a pas qu'un technicien du son chez Decca. Le technicien des enregistrements du russe traite
les fréquences lors du mixage, alors que le technicien pour le roumain laisse intact ce que les microphones ont captés.

plenum a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Jof M a écrit:

Barber: Sonate pour piano
Pollack

   On dirait le toucher d'Ashkenazy !

Ah non, c'est plus robuste qu'Ashkenazy, tout de même. (J'aime davantage, d'ailleurs, mais il faut dire que j'adore cette Sonate et qu'Ashkenazy ne l'a pas enregistrée.)

D'ailleurs je m'interroge sur la proposition de Plenum, parce que si effectivement les captations piano de Decca dans ces années sont assez dures et métalliques, Lupu ne sonne vraiment pas comme ça… Donc il y a clairement une idiosyncrasie Ashkenazy.

Il y a pourtant pas à s'interroger, il n'y a pas qu'un technicien du son chez Decca. Le technicien des enregistrements du russe traite
les fréquences lors du mixage, alors que le technicien pour le roumain laisse intact ce que les microphones ont captés.

Tu crois que le son d'Ashkenazy est lié au fait qu'un seul technicien dans tous ses enregistrements a fait le même traitement du son ?

Que ce soit acentué par l'esthétique en vogue, ok, mais que ce soit le facteur unique ou déterminant, je m'interroge, si. Parce que même en modifiant les fréquences, la qualité de l'attaque reste ce qu'elle est.

Webern: oeuvres pour orchestre, jouées par le BP sous Karajan (DGG)

Bruckner: symphonie no 6, NDR Hambourg, Günter Wand. RCA, live

DavidLeMarrec a écrit:

plenum a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Jof M a écrit:

Barber: Sonate pour piano
Pollack

   On dirait le toucher d'Ashkenazy !

Ah non, c'est plus robuste qu'Ashkenazy, tout de même. (J'aime davantage, d'ailleurs, mais il faut dire que j'adore cette Sonate et qu'Ashkenazy ne l'a pas enregistrée.)

D'ailleurs je m'interroge sur la proposition de Plenum, parce que si effectivement les captations piano de Decca dans ces années sont assez dures et métalliques, Lupu ne sonne vraiment pas comme ça… Donc il y a clairement une idiosyncrasie Ashkenazy.

Il y a pourtant pas à s'interroger, il n'y a pas qu'un technicien du son chez Decca. Le technicien des enregistrements du russe traite
les fréquences lors du mixage, alors que le technicien pour le roumain laisse intact ce que les microphones ont captés.

Tu crois que le son d'Ashkenazy est lié au fait qu'un seul technicien dans tous ses enregistrements a fait le même traitement du son ?

Que ce soit acentué par l'esthétique en vogue, ok, mais que ce soit le facteur unique ou déterminant, je m'interroge, si. Parce que même en modifiant les fréquences, la qualité de l'attaque reste ce qu'elle est.

Je le crois pas, j'en suis certain. Pour être actif dans la sonorisation depuis trente ans, je peux te confirmer que le technicien principal
a sa signature reconnaissable. Le son du piano que l'on entend avec le russe est la signature du technicien. La dureté sonore peut être
exacerbée par du traitement fréquentiel selon telle oreille alors que d'autres la perception est différente.

Dinu Lipatti : Tziganes (Suite pour orchestre)/Ernest Ansermet Live 1951

J.S. Bach: Prélude et Fugue en sol majeur BWV 541

Justinus Heinrich Knecht (1752-1817): Choral ''Freu dich ô meine Seele''

Ernst Köhler (1799-1847): Variations sur un thème de Louis Spohr op.33

Hans Uwe Hielscher (1945 - ) Variations sur Frère Jacques

Kurt-Ludwig Forg, aux grandes orgues Beckerath de l'Oratoire Saint-Joseph de Montréal
Récital du 13 juillet 2014

plenum a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

plenum a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Jof M a écrit:

Barber: Sonate pour piano
Pollack

   On dirait le toucher d'Ashkenazy !

Ah non, c'est plus robuste qu'Ashkenazy, tout de même. (J'aime davantage, d'ailleurs, mais il faut dire que j'adore cette Sonate et qu'Ashkenazy ne l'a pas enregistrée.)

D'ailleurs je m'interroge sur la proposition de Plenum, parce que si effectivement les captations piano de Decca dans ces années sont assez dures et métalliques, Lupu ne sonne vraiment pas comme ça… Donc il y a clairement une idiosyncrasie Ashkenazy.

Il y a pourtant pas à s'interroger, il n'y a pas qu'un technicien du son chez Decca. Le technicien des enregistrements du russe traite
les fréquences lors du mixage, alors que le technicien pour le roumain laisse intact ce que les microphones ont captés.

Tu crois que le son d'Ashkenazy est lié au fait qu'un seul technicien dans tous ses enregistrements a fait le même traitement du son ?

Que ce soit acentué par l'esthétique en vogue, ok, mais que ce soit le facteur unique ou déterminant, je m'interroge, si. Parce que même en modifiant les fréquences, la qualité de l'attaque reste ce qu'elle est.

Je le crois pas, j'en suis certain. Pour être actif dans la sonorisation depuis trente ans, je peux te confirmer que le technicien principal
a sa signature reconnaissable. Le son du piano que l'on entend avec le russe est la signature du technicien. La dureté sonore peut être
exacerbée par du traitement fréquentiel selon telle oreille alors que d'autres la perception est différente.

Je suis de l'avis de David, je ne peux pas croire qu'un technicien du son puisse modifier la sonorité du jeu de quelqu'un à ce point. Ashkenazy a forcément une façon de jouer et de timbrer assez personnelle.

Je ne prétend pas que le jeu du pianiste n'y est pour rien. J'affirme seulement qu'un technicien de la manière qu'il traite le son peut
exacerber et c'est ce qui est perceptible dans le disque du concerto de Bartok que tu as auditionné hier, qui est hors de tout doute
le même technicien qui a traité les enregistrements des Chopin par ce pianiste.

plenum a écrit:

Je ne prétend pas que le jeu du pianiste n'y est pour rien. J'affirme seulement qu'un technicien de la manière qu'il traite le son peut
exacerber et c'est ce qui est perceptible dans le disque du concerto de Bartok que tu as auditionné hier, qui est hors de tout doute
le même technicien qui a traité les enregistrements des Chopin par ce pianiste.

Dans ce cas-là ce serait aussi le même technicien pour les Sonates de Scriabine et beaucoup d'oeuvres de Rachmaninov.

Bien-sûr. Ashkenazy aurait été mieux avec un technicien comme celui du label Aeolus, qui est l'opposé traitant le son surtout vers les
basses et médiums alors que celui de Decca traitant les enregistrements du russe qui lui est porté au médiums et extrêmes aigües accusant
un trou de fréquence entres ces deux et pas porté aux médiums-graves ainsi que très graves.

La suite là    https://classik.forumactif.com/t6824-vladimir-ashkenazy#957860   

Vierne: Symphonie pour orchestre
OP de l'ORTF, dir. Tzipine

Mouais, pas mauvais.

Berg : Sieben frühe Lieder, Altenberg Lieder, Boulez/Norman

Je plane   .

Chopin: Sonate n° 3
Ashkenazy

  

Ça alors, le hasard! Je m'apprêtais à écouter aussi la troisième de Chopin, mais avec GELBER!  

plenum a écrit:

Ça alors, le hasard! Je m'apprêtais à écouter aussi la troisième de Chopin, mais avec GELBER!  

Nos esprits sont connectés.      

Tournemire: Office n° 37 : 11ème semaine après la Pentecôté
Delvallée

  

Riabov, Fantaisie à la mémoire de Maria Yudina (1983).  Mnoyants
tonal et atonal ; citations et pots-pourris.

Banschikov, Sonate pour piano nº3 (1974).  Berzon
euh... atonal ? ; composition « formulaire », peut-être avec des structures dodécaphoniques.

Palestrina, Missa Viri Galilaei.  Organum/Chapelle Royale

 

LULLY : Roland (Christophe Rousset, 2004 : Nicolas Testé, Anna-Maria Panzarella, Olivier Dumait, Monique Zanetti, Robert Getchell, Salomé Haller, Evguenyo Alexiev, Emiliano Gonzalez-Toro, Anders J. Dahlin, Marie-Hélène Essade, Delphine Gillot)

Oeuvre passionnante! Pour moi du même ordre que mes préférés Atys, Armide ou Isis...

Polyeucte a écrit:

LULLY : Roland (Christophe Rousset, 2004 : Nicolas Testé, Anna-Maria Panzarella, Olivier Dumait, Monique Zanetti, Robert Getchell, Salomé Haller, Evguenyo Alexiev, Emiliano Gonzalez-Toro, Anders J. Dahlin, Marie-Hélène Essade, Delphine Gillot)

Oeuvre passionnante! Pour moi du même ordre que mes préférés Atys, Armide ou Isis...

Isis est un des moins marquant pour moi, mais oui, Armide, Roland, Atys, c'est gigantesque !

Isis aussi, bien sûr, puisque c'est du LULLY.

Bach: L'Art de la fugue
Hespérion XXI, dir. Savall

Quelle grâce, quel lyrisme, quelle profondeur ! C'est très beau.

Par contre, une heure et demi avec ce discours, ça peut finir par être lassant...

4/5

Robert Schumann - Dichterliebe - Holzmair/Cooper



    

Strauss: Ariane à Naxos/DVD C.Davis, Marelli

     +

Oh, Strauss / Marelli ! Ça ressemble à quoi ? C'est aussi bien que son Rosenkavalier ?

J'ai juste fini le Prologue, c'est très bien pour l'instant. (en plus, superbes interprètes avec Koch, Iride Martinez, et Theo Adam encore présent en 1999 en maître de musique!)
Je ne connais pas le Chevalier du même metteur en scène.

Messiaen: Messe de la Pentecôte
Latry

C'est quand même pas bien beau. Le final est chouette.

Xavier a écrit:

J'ai juste fini le Prologue, c'est très bien pour l'instant. (en plus, superbes interprètes avec Koch, Iride Martinez, et Theo Adam encore présent en 1999 en maître de musique!)
Je ne connais pas le Chevalier du même metteur en scène.

C'est la plus belle mise en scène que j'aie vue. Ça avait été diffusé sur Arte, une production de Hambourg (avec Simone Young, Melanie Diener, Lucy Schaufer et Peter Rose).

Donc je m'interrogeais (parce que son Arabella, pour en rester à Strauss, n'étais pas du même tonneau).

Si c'est bien chanté en plus, je vais regarder ça !

Edgar Varèse (1883-1965) :
 
Arcana
 
= Pierre Boulez, Orchestre philharmonique de New York
 
(CBS, décembre 1975)
 

Pour mes statistiques:

Edgar Varèse (1883-1965) :

Amériques

= Pierre Boulez, Orchestre symphonique de Chicago

(DG, décembre 1995)

DavidLeMarrec a écrit:

Isis est un des moins marquant pour moi, mais oui, Armide, Roland, Atys, c'est gigantesque !

Isis aussi, bien sûr, puisque c'est du LULLY.

Ma première écoute d'Isis m'avait laissé plutôt impassible, mais la deuxième m'a emballé... A voir si ça tient sur le durée, mais malgré une histoire un peu faiblarde, la musique y est géniale je trouve!

Mais oui, de toute façon ça reste du LULLY donc forcément magnifique!

Beethoven:Quatuor n°15 (Berg)

Quel chef d'oeuvre.

....et ce mouvement lent.  

Moins le temps de passer en ce moment mais ravie de voir que LULLY survit malgré tout ! "C'est-il pas la fatalité ça ?"

Pour le peine :

LULLY : Phaëton, Rousset

Jof M a écrit:

Messiaen: Messe de la Pentecôte
Latry

C'est quand même pas bien beau. Le final est chouette.

L'œuvre ou l'interprétation ?
Car l'œuvre est franchement géniale je trouve !

Cololi a écrit:

L'œuvre ou l'interprétation ?
Car l'œuvre est franchement géniale je trouve !

L'oeuvre. En quoi tu trouves ça génial ?
Au contraire, je trouve que, pour donner ça, ses improvisations ne devaient pas être des plus inspirées.   

Jof M a écrit:

Cololi a écrit:

L'œuvre ou l'interprétation ?
Car l'œuvre est franchement géniale je trouve !

L'oeuvre. En quoi tu trouves ça génial ?
Au contraire, je trouve que, pour donner ça, ses improvisations ne devaient pas être des plus inspirées.   

Je te concède que c'est la plus ardue à écouter, après Livre d'Orgue, qui de mon point de vue est inbouffable.
Il a trouvé à mon sens un certain équilibre. C'est sensiblement plus dépouillé que ses œuvres antérieures (et postérieures), tout en gardant son côté coloré.
On arrive quand même à "suivre" là où il veut en venir. Bon perso j'aime beaucoup, mais je reconnais que c'est quand même très spécial, et particulièrement abstrait.

Plus consensuel tu aimeras peut être, si ce n'est pas déjà le cas, le Livre du Saint Sacrement. Je n'ose te proposer les Méditations sur la Sainte Trinité, même si elles me semblent plus abordables que la Messe de la Pentecôte, car je n'ai vu personne d'autres que moi en faire l'éloge ici (mais bon les amateurs du genre sont peu nombreux ...).

Jof n’a pas dit ardu, il a dit pas beau.  

lucien a écrit:

Jof n’a pas dit ardu, il a dit pas beau.  

Ah mais je trouve ça très beau !
Ce mélange de noir profond et d'arcs en ciels c'est génial    (ne pas rire ... c'est vraiment ce que je vois   )